NAVROM
Flavien

Personnage.

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• Nom : Navrom • Prénom : Flavien • Surnom(s) : Aucun pour le moment • Âge : 18 ans • Nationalité, origine(s) : France - Essonne • Pouvoir et description : Flavien n'as aucun pouvoir. En effet, il est arrivé dans dreamland grâce à la drogue. Il arrive cependant à mettre la main sur un artéfact très intéressant. Des gantelets aux allures organiques à réaction. Il s'agit de gantelets qui permettent à l'utilisateur de se propulser a grande vitesse, comme une fusée, un missile, etc...

Description Physique.

(Minimum 15 lignes complètes.)

Caractère.

(Minimum 15 lignes complètes.)

Histoire.

C’était une journée froide. Dans le ciel de la Normandie, pas un seul nuage, mais un beau soleil se dressait haut dans les cieux, malgré le vent glacial qui enrobait le temps de cette mi-journée. La ville était paisible, comme tous les jours. Evidemment, tout le monde travaillait ardemment pour gagner sa vie dans ce monde ou l’échec n’est pas autorisé. En tout cas, les infirmières de la clinique locale étaient on ne peut plus actives. Dans la section maternité, une multitude de femme attendaient ou accouchaient de leur bambin. Dans le lot, une femme était justement en train de mettre au monde un enfant. Cela se passa sans encombre, et un petit garçon naquit en ce 7 Octobre 1994. Cet enfant ? C’est moi. Flavien Navrom, actuellement âgé de 18 ans, de taille et de poids tout à fait moyen. Un gars normal quoi. Je suis en terminale, dans une section pro d’Art Graphique et Communication. De la pub et du dessin, en gros. Je rêve de devenir testeur de jeux vidéo. C’est ma plus grande passion, et je compte bien y parvenir. Autrement, je suis un véritable ami des animaux, fumeur à temps partiel, sauf lorsqu’il s’agit d’un spliff. J’ai une oreille musicale, je suis deuxième Dan d'Aikibudo et j’aime tout ce qui touche à la culture japonaise. Mais comme je suis Français, je me contente des restaurants japonais. Ca, c’est pour les informations générales.

Ma famille était assez irresponsable. Mis à part ma mère, mon père était alcoolique, et ma PNJ maternelle était seule pour s’occuper de moi, de mon demi-frère et de mes deux demi-sœurs. Pendant une longue année, mon père manipulait ma mère pour lui soutirer son argent pendant qu’il allait au bar pour boire comme un trou. Un jour, ma génitrice éclata, et sa rage la porta à divorcer, et partir avec moi. Les enfants qu’elle avait jadis élevés et qui n’étaient pas les siens se sont ligués avec mon père et elle dut partir en laissant tout derrière elle. Elle retourna chez ses parents et m’y éleva. Toute cette histoire sous mon regard impuissant.

Je grandis paisiblement, bercé par le 21eme siècle. Rapidement, je vis une certaine passion pour les jeux et l’informatique, et ce fut dans cette voie la que je me lançais. Je découvris ma phobie dès mon plus jeune âge, horrifié par les têtes bizarres des insectes. Mais ce n’est pas cela qui me fit rentrer dans le monde des rêves. Ce fut au lycée. Sur internet, j’avais rencontré une fille. Je me suis lié avec elle, puis je finis par sortir avec. Cependant, mon immense joie ne dura pas beaucoup de temps, et mon couple finit par se rompre, et la fille finit par me haïr. Suite à ca, je fus vraiment mal, et je me mis à fumer. Puis à toucher a la drogue. Rapidement j’en devins dépendant, et c’est grâce à cela que je pus devenir voyageur. Ce que tout le monde appelait un rêve Lucide dans la réalité prit forme et devint un monde que je ne connaissais pas. Dès ma première nuit, dans une vaste plaine ou l’on marchait sur des nuages, ce fut un grabuge total et complètement stupide. Je ne comprenais pas vraiment ce qui m’arrivais mais en tout cas j’étais la et je devais survivre face aux créatures hostiles qui m’attaquaient sans relâche. C’est en courant pour ma vie que j’ai trouvé des gantelets quelque peu.. spéciaux qui me sauvèrent la vie.

Je venais de passer une nuit mouvementée. Quel était ce monde ? Qu’allais-je y faire, accompagné de ces armes ? En tout cas, une longue épopée venait de commencer…

Post Rp.

Noir. Il faisait noir. Le sommeil m’avait emporté. Je me sentais tomber dans un gouffre, lentement. La lourde atmosphère m’empêchait de bouger, et impuissant, je m’enfonçais dans les abysses de cette noirceur. Qu’adviendrait-il de moi ? Allais-je m’écraser au fond du trou.. ?

La lumière giflait mon visage. Une lumière ? D’où pouvait-elle venir ? J’ouvris les yeux lentement, aveuglé, laissant apparaître devant moi un bleu éclatant parsemé de taches blanches aux diverses formes. Un ciel ? Mais je ne venais pas de m’endormir raide défoncé dans mon lit, comme tous les soirs ? Je me redressais doucement. Je me sentais un peu engourdis, et un cuisant mal de crâne me prenait. La vision d’une vaste plaine de nuage me fit écarquiller les yeux de surprise.

Flavien, légèrement perturbé : Whaaaat… ?

C’était littéralement une prairie. Je pouvais voir des créatures valdinguer de gauche à droite, comme pressé par le temps. Au fond se trouvait des montages de nuages. Quel drôle de rêve. Etais-je en train de faire un rêve lucide ? Pour vérifier cette hypothèse, une seule solution. Je me mis debout d’un bond, comme boosté par une quelconque mouche qui m’aurait piqué. Avec vive allure, j’élançais mon poing vers l’avant, comme je l’avais appris pendant mes cours d’Aikibudo.

Flavien : Falcon.. PUNCH!

Rien de se produisit. J’étais à la fois déçu et content. J’étais en train de faire un rêve lucide, pas de doute, vu l’illogisme que représentait le fait de marcher sur des nuages. Mais de ce que j’avais pu lire sur internet, on pouvait y faire ce qu’on veut. Apparemment des informations erronées. M’enfin pas très grave.

Je commençais à marcher. Je pensais que la texture des nuages était comme celle de la neige. A mon grand étonnement, ce n’était pas le cas. J’avais l’impression de marcher sur du sable, sauf que cette fois, aucune de mes traces de pas n’étaient retenus. Des monstres se baladaient aussi ici, mais aucun être humain. Il m’arrivait parfois de devoir m’arrêter, car un géant de pierre bloquait la route pour passer, puis de repartir, un tantinet perturbé. Par ci et par la, de drôles d’oiseaux volaient. Il ne possédaient aucune des formes des animaux du monde réel, bien qu’ils en gardaient les principales caractéristiques que sont les plumes, les ailes et le bec crochu qui indiquait que si je voulais en approcher un, c’était à mes risques et périls.

Au bout d’une longue marche, je ne me sentais pas fatigué. Comme si cette fascination pour ce nouveau monde m’avait extirpé toute exténuation. Je me sentais libre comme l’air. Mais ça, c’était parce que nous étions dans les nuages et qu’il y avait beaucoup de vent, j’imagine. Mais je n’eus pas le temps d’épiloguer seul sur le sujet que je me retrouvais face aux montagnes de nuage. Ils étaient imposant et d’une clarté qui me força à plisser les yeux pour ne pas être éblouis. En observant bien, je remarquais une cavité. Mon instinct d’explorateur refoulé pris le dessus et je sentais l’excitation me gagner. J’y rentrais d’un pas prudent, prêt à m’enfuir ou à affronter le danger qui pouvait s’y trouver. Je marchais lentement. Le tunnel de l’entrée n’était pas très long, et je pouvais déjà voir la sortie de l’autre côté. Étonnement, ce n’était pas sombre comme une grotte de la vie réelle. C’était juste légèrement moins lumineux, et des reflets bleutés parsemaient la galerie. Les nuages tournoyaient lentement arrivaient à me donner le tournis.

Très vite, j'ai atteind la cavité au fond. La salle était d’une rondeur surnaturelle. Je me suis cru l’espace d’un instant à l’intérieur d’un gigantesque Igloo. En plus, un courant d’air frais me donna un frisson qui me remonta dans l’échine avec violence. Le sol de l’igloo était bossu, et au sommet de cette bosse se dressait une sorte d’autel. Dessus, je pouvais voir quelque chose, mais la perspective voulait que je m’approche pour pouvoir l’examiner. Je commençais à faire quelques pas, avant d’entendre un grognement sourd qui me stoppa net et qui me fit plus sursauter de surprise que de peur. Je regardais autour de moi. Rien. Je relançais ma marche et je vis le contenu de la table. Une paire de gantelet. On aurait dit des gantelets de plate de chevalier, mais avec énormément d’écaille à la place de l’acier, comme s’il existait une race de lézard avec des mains aussi grosses et imposantes. Je voulus me pencher pour les regarder, voire pour les prendre, mais un nouveau grognement plus hostile se fit entendre. Une masse gargantuesque se mouva de derrière l’autel. Elle se leva de toute sa hauteur, sortant des nuages pour découvrir des yeux de saurien qui mesuraient au moins ma taille, voire un peu plus. Ses écailles étaient blonds comme les blés, et sur les larges ailes qui l’avait camouflé se trouvait un tel duvet de nuage qu’il ne pouvait sûrement pas voler avec. Ces gantelets d’écailles étaient un trésor ? Si c’était le cas, le ce lézard quadrupède était son gardien ! Je ne pensais pas à m’enfuir et, au contraire, cela m’excitait. C’était une aventure qui me sortait de ma vie banale.

Avec vivacité, j’ai posé les mains sur les gantelets, ce qui fit réagir la créature par un hurlement déchirant qui me fis tomber en arrière avec le trésor. D’un battement d’aile violent, il se redressa de toute sa hauteur, comme pour bondir. Je me croyais déjà mort. Il me laissa étrangement le temps de me relever avant de me bondir dessus, un saut que j’esquivais avec facilité d’une roulade rapide sur le côté. Mais l’animal était rapide aussi, et il se retourna rapidement, préparant un coup de griffe. Je me protégais en portant l’objet des convoitises devant moi. Ce bout d’armure était très léger. J’avais l’impression de porter deux pommes de pin. Je reçus une nouvelle bourrasque de vent. La bestiole venait de stopper ses griffes et de faire un bond en arrière, comme s’il craignait cette chose, lâchant un grognement énervé. La remarque me fis sourire, et je finis par me lever, puis enfiler ce que j’avais dans les mains. J’avais la classe. Enfin, je crois. En tout cas, je pris une position de combat d’Aikibudo. Ce n’était pas une chose humaine alors je devais improviser mon style. J’avais limite l’impression de devoir inventer un art martial.

Flavien : Allez, viens, je t’attends.. !

Le lézard à l’apparence de dragon semblait hésitant, et n’osait pas attaquer. Il voulait surement protéger le trésor. Pour être aussi docile, il devait avoir peur de les abîmer, ou alors ils avaient un incommensurable puissance. Mais si c’était le cas, ne serais-je pas déjà mort ?

Je me mis à faire des moulinets avec mes bras, comme si je m’échauffais un sourire aux lèvres, sautillant de gauche à droite.

Flavien : Tu fais moins le fier, hein ?

Je resserrais mon poing droit, me préparant à un coup dans le vide, provoquant et tout fier de lui faire peur. Puis soudainement, je sentis une secousse dans mon bras, et sans m'en rendre compte, une puissante onde de choc en continu me propulsa avec violence et rapidité vers la cible de mes provocations, lui assénant un coup violent dans sa gueule reptilienne. Je n'avais rien compris, il n'avait rien compris, bref c'était la surprise qui s'affichait sur mon visage et la douleur sur la joue distordue du dinosaure ailé.

J'étais incontrôlable.

Flavien, hurlant : COMMENT CA S'ARREEEEEETTE ?!!

Je me prenais tout les murs, le poing serré par peur de tomber. Sous la violence des chocs, l'un des murs céda, et je commençais à avoir mal partout à force de m'écraser lourdement sur les parois du dôme de nuage. Comme aspiré par l'orifice créé, je passais par ce trou et m'envolais en hurlant.

Flavien, toujours en gueulant : AAAAAAAAAAH..!

Puis par réflexe, j'ai relâché ma main, aveuglé par le paysage blanc et brillant, et voulant me protéger de la lumière. Mais cela arrêta le "moteur" des gantelets, et je fis un arc dans le ciel avant de retomber lamentablement. J'allais m'écraser et à cette hauteur, je pouvais dire adieu à la vie.

Soudainement, ma vision se changea. Plus de nuage et de lumière. Juste le plafond de ma chambre. Étourdis par tout ce qui s'était passé, je me redressais. Je me sentais encore endormi. C'était étrange comme sentiment. allais-je y retourner la nuit prochaine? Je n'en sais rien. En tout cas c'était mouvementé. Quel était cet étrange monde? Qui sais...

Autres.

(La première partie de cette section concerne votre personnage, et pas vous IRL)
• Aime : La weed, la sieste, les jeux vidéos et le KFC
• N'aime pas : L'injustice, les relous, Justin Bieber et le Quick
• Particularités, autres : Très bon joueur, pas compliqué, sociable, un tantinet barré (pour ne pas dire énormément), parfois inconscient.
• Niveau d'étude hors de Dreamland : Terminale Pro en Art Graphique et Communication


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• Pour les DC (double compte) ou TC (triple compte), qui a donné son accord ?
• Code de validation : Fino et Germaine