STAIN
ALAN

Personnage.

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• Nom : Stain (se prononce stèïne) • Prénom :Alan • Surnom(s) : Al/ Le doppelganger/ Le schizo. • Âge : 19 ans • Nationalité, origine(s) : Française • Pouvoir et description : Et bien, tout a commencé par la mort d’une personne. Pas franchement réjouissant. Aujourd’hui j’en parle comme ça mais je ne faisais pas franchement le malin à l’époque. Me sentant réellement coupable de cette mort, j’ai développé une egophobie, la phobie de moi-même et plus particulièrement de la conséquence que peut prendre mes actes. J’ai néanmoins réussis à vaincre cette peur dans dreamland et suis devenus un voyageur. Au début je ne contrôlais pas mon pouvoir et il se manifestait sous la forme d’une deuxième personnalité qui prenait le contrôle de mon corps. Cette personnalité n’était autre que le reflet de ma peur. Une personne qui se moque des conséquences, qui fait se qui lui passe par la tête et laisse libre cour à ses pulsions. Ensuite, en dominant cette personnalité mon véritable pouvoir a pris forme, un deuxième moi, palpable, le reflet personnifié de mes peurs. Celui que je nomme mon Doppelganger. Il est la copie conforme de moi-même à quelques exceptions prêts, ses yeux sont rouges, il n’a pas d’ombre ni de reflet dans le miroir ou dans l’eau et il est constamment baigné d’une sorte d’aura obscure le rendant bien plus sombre que je ne le suis. Il se bat donc à mes côtés lorsque le besoin s’en fait sentir… la plus part du temps. Il est particulièrement brutal mais reste agile et précis dans ses attaques. Mis à part cela il n’a étrangement aucune capacité spéciale.

Description Physique.

(Minimum 15 lignes complètes.)

Hum… Par où commencer ? Bon commençons par le plus général et on affinera au fur et à mesure. Je suis un gars ni trop grand, ni trop petit, dans la moyenne dirons-nous. Je fais un mètre quatrev… soixante dix-neuf pour 69 kilos. Plutôt léger mais pas dénué de muscles pour autant, s’il vous plait ! J’ai une musculature plutôt sèche laissant facilement des muscles fins mais denses se dessiner sur mon corps.
En se qui concerne mon visage je suis là encore dans la moyenne je dirais, pas un canon de beauté mais pas non plus le mec laid dont on aurait peur de s’approcher. J’ai des cheveux noirs, en bataille et pleins d’épis qui donnent l’impression que tout cela tient grâce à du gel. Que nenni vous dis-je ! Cette matière grasse et collante me répugne et la flemme matinale ne me laisse pas le temps de m’occuper de mes cheveux. Je n’accorde que très peu d’importance à mon apparence personnelle et n’aime pas tomber dans la superficialité. Mes yeux sont verts foncés oscillants vers le marron en hiver. Mon nez est fin et le bout pointe légèrement vers le haut, symbole d’ambitions qui me mèneront vers les plus hautes cymes de ce monde ? Je ne crois pas. Ma bouche est fine, mes lèvres le sont aussi. Ces dernières affichent d’ailleurs assez souvent un léger sourire permettant ainsi de me protéger des remarques à la « il sourit jamais » qui me renverraient aussitôt à un traumatisme passé fortement déplaisant.
Je ne suis pas trop le genre de gars à se faire remarquer par son apparence extérieure. Mon style vestimentaire est assez simple, je me contente, la plus part du temps, d’un jean large et une ceinture ainsi qu’un T-shirt. J’attends en général qu’il fasse cinq ou six degrés pour sortir une veste légère. Vous l’aurez compris, je ne suis pas franchement frileux. De solides défenses immunitaires ainsi qu’un nombre de fois ou je suis tombé malade quasi proche du néant me permettent ce décalage vestimentaire. Niveau couleur, on ne peut pas dire que je sois un arlequin. Plutôt habillé sombre, quand ça ne l’est pas je me vêtis de blanc, enfin je parle du haut, car le bas reste plutôt dans le noir et le bleu marine, je n’ai pas de pantalon blanc. Pas vraiment de juste milieux sur ce plan là, je m’habille jamais coloré, je reste sobre. Je porte aussi des chaussettes noires ou blanches et des chaussures de sport noires. Bon si jamais vous me voyez torse nu, ça peut arriver, à la piscine ou au lit par exemple. Vous remarquerez d’abord que j’ai tendance à bronzer vite et puis sans trop de difficultés un tatouage noire dans un style entre le tribale et le gothique, du moins c’est comme ça que je le vois, dans mon dos. Pourquoi ce tatouage ? Vous le saurez en lisant la suite.
Ah oui ! Dernier détail, dans la réalité, je sors rarement sans mon mp4, j’écoute de la musique quasi-tout le temps et parfois quand on me parle cela peut énerver.

Caractère.

(Minimum 15 lignes complètes.)

Que se passe-t-il dans ma tête ? C’est là le plus compliqué car moi-même je ne le sais pas vraiment. Je suis plutôt souriant et assez-avenant avec les gens. J’aime bien faire rire et dire des conneries. J’ai tendance à ne rien prendre au sérieux et à avoir la réplique cinglante facile lorsqu’on me cherche. Je sais rester patient et calme mais lorsque ça pète et que je vois rouge, j’ai tendance à ne plus me soucier de se que je fais. J’ai horreur de cette facette de ma personnalité. J’aime dire la vérité et essaye d’être honnête au maximum. Plutôt fier, j’aurais souvent du mal à admettre que j’ai tort. Je suis plutôt modeste mais préfère me cacher derrière des phrases ironiques qui me mettent en valeur. Je suis le genre de personne à ne pas tenir en place. Je cours et fait du sport en général assez régulièrement pour me vider la tête et me détendre. J’aime la compétition mais n’aime pas perdre. Bien que souvent la défaite me rende en colère contre moi-même et me pousse à aller de l’avant. Je déteste les injustices, mon père m’a transmis cela et je ne peux m’en défaire. Si je vois quelqu’un en difficulté voir réellement dans la merde, je vais me sentir obligé de l’aider, c’est comme ça. J’ai un grand sens des valeurs et reste toujours dans le droit chemin. Chose qui pourrait changer si l’on s’en prenait à un de mes proches, je ne sais pas se que je ferais mais honnêtement, je m’en balancerais bien des valeurs à ce moment là.
Enfin, tout cela est bien beau mais ce n’est qu’une façade, une protection qui permet de cacher une partie de moi-même beaucoup moins joviale. Suite à un traumatisme, j’ai contracté une sorte de phobie assez-rare, la phobie de soi-même. En fait j’ai peur de la conséquence de mes actes ou de me laisser emporter par mes émotions et de perdre le contrôle. Aujourd’hui je l’ai vaincu, bien qu’il y ait encore des restes mais il fut un temps où ce n’était pas joli à voir. Je parlerais de ce dernier élément un peu plus tard. Ce qui est sur c’est que depuis que je suis dans dreamland, je n’ai qu’une envie, casser les dents de tous les fouteurs de merde, les voyageurs killer, les mégalos et tous ceux qui viennent perturber les rêves des gens qui se dresserons sur mon chemin.

Histoire.

(Minimum 25 lignes complètes.)

Tout d’abord je situe les lieux. Je suis né à Lyon et y habite encore aujourd’hui. Je n’ais jamais eu une vie bien intéressante, j’allais en cours, faisais du sport, rentrais chez moi, dodo et voilà. Le train-train quotidien. Je m’entendais plutôt bien avec mes parents, ma mère était illustratrice et mon père écrivain. Nous vivions notre vie tranquille, sans problèmes, rien de croustillant mais j’étais heureux. Petit, je n’étais pas brillant en classe mais restait dans la moyenne grâce aux efforts acharnés de ma mère. J’avais tendance à me perdre dans mes pensées facilement et donc avais du mal à suivre. Je ne me suis démarqué du lot qu’en sport ou j’avais des capacités innées pour la course, étant plus endurant et plus rapide que mes camarades.
Mes années de collège passèrent ensuite durant lesquelles je m’inscrivis à un club d’escalade ainsi qu’à un club de handball. Au lycée je m’inscrivis à un club de boxe et décidais de laisser tomber le handball pour ce dernier. Je passais les épreuves du bac pour ensuite me retrouver en vacances après le « stress des exams ». La vie est belle les oiseaux chantent et tout et tout.

Un soir, je rentrais du cinéma avec mon père. Le film avait été à notre goût pour ne pas dire excellent et rester dans l’objectivité. Nous reparlions des différents éléments du film que nous avions aimés, ainsi que du jeu d’acteurs. La soirée était tiède, c’était le début des vacances qui suivaient le bac, je l’avais eu, j’étais pris en STAPS, tout allait bien. Nous passions par un quartier peu fréquenté et assez peu fréquentable mais nous n’avions pas l’intention de nous attarder. Je délirais avec lui sur des choses et d’autres. On s’imaginait dans une autre vie parallèle avec des pouvoirs et on se disait l’un à l’autre quel aurait été son pouvoir si l’on avait le choix. Mon père optait pour l’immortalité et le facteur auto guérisseur à la Wolverine. Moi j’optais pour la téléportation.

« -La téléportation ? C’est vrai que… Mon père n’eut pas le temps de finir sa phrase.

-AAAAH !!! Laissez-moi !!! »

La voix d’une fille qui criait provenait de la ruelle perpendiculaire juste devant nous. Je me mis à courir pour voir se qu’il se passait, c’était plus fort que moi, je ne pouvais pas rester sans rien faire.

« Alan attends ! » Cria mon père en m’emboitant le pas.

Un Homme et une femme, elle était plaquée contre le mur tandis que lui, la tenait par le bras et par la gorge.

« -Arrêtez ! S’il vous plaît !

-Ta gueule salope ! » Il la jeta à terre.

L’homme avait l’air ivre, mais ce n’étais pas important. J’avançais sur lui, déterminé à aider cette jeune femme. Il m’aperçut du coin de l’œil et grommela quelque chose d’incompréhensible avant de me balancer un coup de poings. La boxe me permit de réagir vite et proprement. Je passais en dessous du coup et ripostais par un crochet du gauche dans le foie, un point très sensible chez les alcooliques. L’homme s’effondrait tandis que j’allais voir la demoiselle pour l’aider à se relever, mon père arrivait à mes côtés légèrement essoufflé.

« -Tu as bien agis fils. Bien que les conséquences auraient puent être beaucoup plus dramat… Alan attention !!! »

Une détonation résonnait à mes oreilles au moment ou mon père me poussait de la ligne de mire se plaçant lui-même consciemment dans la trajectoire de la balle. Mon père tombe, l’homme part en courant laissant l’arme derrière lui.

«- Papa !!!  Merde j’appelle une ambulance !

-Restez auprès de votre père, je m’en occupe ! » La jeune femme était là, elle était restée malgré le coup de feu. Je l’en remerciais et me retournais vers mon père.

C’est lorsque je vis son visage que je compris, il était mort, je pris son pouls pour vérifier, son cœur ne battait plus. J’enchainais alors massages cardiaques et bouche à bouche. Inutile, la balle avait traversé le cœur. Je lui criais de rester, qu’il ne fallait pas qu’il parte. Bien sûr il était déjà mort et le resterait. J’avais 17 ans et mon père venait de mourir sous mes yeux. J’aurais préféré vivre dans ce monde parallèle ou il aurait choisit le pouvoir de l’immortalité…

Le lendemain et des mois durant je restais enfermé dans ma chambre. Je décidais de ne pas sortir de peur de provoquer une autre tragédie. L’homme avait été arrêté et mis en prison, ses emprunte digitales sur l’arme et le témoignage de la jeune fille ne laissaient pas le doute planer. Je ne voulais aller voir aucun psy, mon état je le connaissais bien, je me dégoutais. Un homme ivre, voulait violer une femme, une fois à terre, pourquoi ne pas s’assurer qu’il y reste ?! Pourquoi ne pas vérifier s’il était armé ?! J’ai été con ! Je repassais la scène des centaines de fois dans ma tête, ma négligence ou peut être même le simple fait de m’être occupé de cette histoire avait couté la vie à mon père ! Il n’y a pas de héros ! Il n’y a pas de super pouvoirs ! J’aurais dus appeler les flics ! Le mal était fait, je ne pouvais rien y faire. Je sortais bien sur pour ma toilette et pour manger en coup de vent. Lorsque je passais devant un miroir je ne pouvais m’empêcher d’avoir envie de vomir. Un soir alors que je ressassais mes idées noires, je sortis. Me dirigeais chez un tatoueur dont un ami m’avait parlé. Je laissais toutes mes économies en l’échange d’un tatouage dans le dos. Je ne pouvais le voir mais je savais que quand quelqu’un me verrai et qu’il m’en parlerait, je repenserais à cette erreur qui coutât la vie à l’homme qui m’avait vu naître, grandir, tomber à vélo pour ensuite me relever, m’avait enseigné des leçons qui ont fait de moi l’homme que je suis aujourd’hui, qui par un soir d’été fût assassiné en me sauvant la vie. Mon père…

La dépression dans laquelle j’étais tombé crée par mon ego phobie me rongeait, je n’allais plus en cours et cela faisait maintenant 4 mois que je n’étais plus que l’ombre de l’ombre de moi-même. Un déchet. Je sortais maintenant de temps en temps, j’avais repris contact avec mes amis qui me soutenaient, je riais, faisaient le con et je le faisais bien. Personne ne voyait qu’à l’intérieur j’étais vide. Je masquais ma peur comme on essaye de masquer une horrible cicatrice. Lorsque dans mon groupe d’amis il fallait prendre une décision, jamais je ne cherchais à en discuter, je suivais, ne voulant à aucun pris que ce soit à cause de moi que telle ou telle chose arrive. Je ne me battais pas, j’avais arrêté la boxe que j’aimais tellement, ne faisait plus trop d’escalade et ne courait plus. Un après-midi, allongé sur mon lit, alors que je faisais le point sur ma vie telle qu’elle était, j’en arrivais à la conclusion que pour mettre fin à tout cela, il n’y avait qu’une seule solution. Mourir. Allais-je retrouver mon père comme beaucoup le croient ? N’y avait-il rien après la mort et donc plus de souffrance ? Allais-je être réincarné ? Je devais le faire pour en finir avec tout ça. La mort était mon ultime solution.

Poste Rp.

Je me réveillais au sol. La sensation glacée de mon corps ainsi que de ma joue plaquée contre le pavé me poussait à me relever et à contempler le sinistre endroit dans lequel je ne savais pas se que je pouvais bien faire. J’étais en jean large, bleu foncé, ma ceinture le soutenait à peine en dessous de la taille et, chose étrange, j’étais torse nu. Une faible lueur éclairait la pièce, celle de deux immenses lustres bardés de bougies. Ce n’étais pas du pavé sous mes pieds mais le sol car j’étais semble-t-il dans une salle à manger de château style moyenâgeux. J’aperçus par la fenêtre que le château était entouré par un immense domaine remplis d’arbres et de jardins. Les reflets de la pleine lune donnaient à tout ce décor une allure des plus sinistres. La salle était grande, dans divers coin, parfois entre les pieds de chaises et le sol, des toiles d’araignées me révélaient que personne n’habitait ici.
Je sortais par une grande porte en bois pour déboucher sur un couloir se terminant par un grand escalier menant dans je ne sais quel coin de se château abandonné. Sur les murs, des portraits de divers personnages, hommes ou femmes dont la tête n’était pas visible. Non pas qu’ils n’aient pas de tête, on devinait qu’ils en avaient mais elle était cachée par une sorte de tache noir qui cachait leur visage. Je montais cet escalier et continuait mon avancée dans ce sinistre endroit un peu au hasard sans savoir ou j’allais vraiment mais presque comme guidé par une force inconnue. Vous me direz, pourquoi n’ais-je pas cherché à sortir ? Et bien, je dois avouer qu’encore aujourd’hui je me le demande. J’ai bien quelques hypothèse mais rien de vraiment sur. J’arrivais à un embranchement ou le choix était de continuer vers le haut sur ma gauche, ou bien m’engager dans un grand couloir où sur les deux côté, et sur toute la longueur, des armures se tenaient, en face les unes des autres, armées d’épées et de lances. Se couloir se terminait par une grande porte en bois enjolivée par des armoiries en fer. Je traversais ce couloir et me tins devant la porte un instant. Les armoiries formaient un blason séparé en deux parties par une ligne horizontale en son milieu. Sur la partie supérieur on pouvait y voir deux hommes de profils, face à face. Ils tenaient tout deux une épée à la main. Je remarquais que leur position l’un par rapport à l’autre était parfaitement symétrique. Sur la deuxième partie du blason, un seul homme se tenait debout, de face, une épée dans chaque main. J’en concluais que le vainqueur avait ramassé l’épée du perdant et s’en allait victorieux. Jamais je n’avais vu une telle armoirie. Sur ce, je plaçais mes mains sur chaque battant et poussait pour entrer dans ce mystérieux endroit.
La salle était extrêmement obscure, j’avançais en regardant autour de moi pour mieux distinguer ou j’avais atterris. Les portes se refermaient derrière moi d’un fort claquement sonore. Je me retournais par réflexe, il n’y avait personne. Je regardais à nouveau devant moi et ne compris pas vraiment se qu’il venait de se passer. Je n’étais plus dans un château mais dans la rue. Deux hommes se tenaient devant moi, l’un de dos, tenant une arme et l’autre face à moi. Mon père. Une détonation, mon père s’effondre. Je m’avance en trainant les pieds, la main en avant, des larmes commencent à couler. Je tombe à genoux puis me relève, j’avance vers mon père et me place à côté de lui. Il essayait de me parler, je penchais la tête pour mieux entendre.

« C’est… ta faute. »

Je m’éloignais, il l’avait dit, je le savais.

« Il a raison ! C’est entièrement ta faute. Tu n’aurais même pas du naître, cela aurait évité à ta mère bien des souffrances. Je regardais celui qui avait tiré, c’était moi. Du moins une copie presque conforme. Il avait les yeux rouges et un sourire sadique constamment figé sur son visage tellement semblable au miens. C’en était trop, je fondais en larmes et m’écroulais en tenant la chemise de mon père.

« -Désolé papa…

-Oh mais ce n’est pas ça qui le ramènera ! Tu as entendu le vieux, c’est de ta faute, on peut pas faire plus claire. T’aurais dus appeler les flics ou alors t’assurer qu’il reste à terre.

-C’est vrai… c’est v… » Une phrase m’est alors apparut, l’une des dernières de mon père

« Tu as bien agis fils. »

Je l’avais ignorée, trop focalisé sur les évènements qui s’en étaient suivis. Elle était présente depuis le début, et moi j’avais oublié. Mon père ne m’en voulait pas, je regardais son visage et remarquais un détail que mon esprit avait dut sauvegarder mais dont je ne m’étais pas rendu compte, il souriait. Mon père souriait quand il est mort. Il venait de me sauver, quoi de plus normal pour un père que de savoir son fils sauf ? Je n’avais jamais pensé à tout cela. J’avais même oublié que le fait d’avoir réagis lorsque quelqu’un est en danger m’avait été inculqué par mon père lui-même. Je me sentais con, mais mieux vaut tard que jamais. Je me relevais et me retournais face à mon double.

« Alors comme ça tu n’as plus peur. Son sourire sadique s’était mué en un sourire d’excitation. Intéressant. Vois-tu, nous sommes à dreamland, dans un rêve… » Un rêve ? Là je me sentais vraiment con, bien sûr que c’était un rêve ! Quel débile, c’est comme ça à chaque fois, il peut se passer n’importe quoi, à aucun moment je ne vais penser être dans un rêve.
« -Tu fais partis de ceux qui ont vaincus leur peur en rêve, tu es maintenant devenus un voyageur.

-Et toi, qui es-tu ? Un clone ?

-Moi je suis le reflet personnifié de ta peur, je suis ton Doppelganger. Une partie de toi-même. Je peux t’aider dans dreamland, ça te tente ?

-Et ben si tu peux m’aider alors, je veux bien.

- Ok, serre-moi la main l’ami !

Et c’est ainsi que je devins l’invocateur de Doppelganger.

«I’m Stain, my name is Stain
I don't complain, I won't complain
Do you comprend what is the point
Of being born and being gone
There must be a reason”

La musique de mon portable resonne tandis que je me réveille, allongé sur mon lit.

« -Ouais allo.

-Ouais Alan, ça te dis pas de sortir cet aprèm ? On a finis les cours tôt donc si tu veux te faire un ciné avec nous ou quoi ben rejoins nous à Bellecour.

-Ok j’arrive, à tout’ »

Je regardais autour de moi encore dans la tête dans le chou, je m’étais sans doute endormi en pensant au suicide, drôle de trip. En tous cas ça m’a été utile. Ca c’est se que j’appelle un sommeil réparateur. Je passais dans la salle de bain, me laver la figure. Mon reflet dans le miroir ne me donnait plus envie de vomir.

« -Salut toi, ça faisait longtemps. Va falloir que tu te remettes au sport. » Me dis-je.

Autres.

• Aime : Le coca, la viande, le sport, les mangas, les jeux vidéos.
• N'aime pas : Perdre, les injustices, les personnes qui s’en prennent aux autres sans raisons.
• Autres : -Désolé si vous trouvez que jsuis tombé dans le mélo mais il fallait vraiment un traumatisme puissant pour en arriver à cette phobie.
-Pour l’avatar, il devrait arriver d’ici mercredi ou jeudi.
• Niveau d'étude hors de Dreamland : 1ère année en STAPS (Fac de sport)
• Comment avez-vous découvert le forum ?: Un ami m’en a parlé car on aime tous les deux dreamland et les rps alors les deux en même temps c’est cool !
• Première impression : J’adore =)
• Pour les DC (double compte) ou TC (triple compte), qui a donné son accord ? Pas de double compte.
• Code de validation : (À trouver dans le règlement.) : Alan Stain sort les poubelles en mâchant du chewing-gum à la fraise.