Clem
Free
Personnage.
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• Nom : Free• Prénom Clem• Surnom(s) : Petit frère (/ petit con)• Âge :20 ans• Nationalité, origine(s) :Française • Pouvoir et description :
Agoraphobie : Contrôleur des distances. Clem a la phobie des grands espaces, son pouvoir lui permet de « dérégler » les distances dans un cercle de 5 mètres de rayon (pour l’instant). Dans ce cercle plus on s’approche du « wormhole » ou le « trou de ver » et plus les distances sont raccourcies (un pas correspond à 5 foulées par exemple), l’effet étant visible par tous (les motifs du sol et les objets sont étirés vers le wormhole) et tous pouvant l’emprunter. L’effet n’est pas instantané : Clem doit d’abord faire apparaître le wormhole sur la paume de sa main avant de le lancer (le wormhole à une masse nul). Il est aussi à noter que le wormhole perd sa puissance quand Clem s’éloigne, et inversement se densifie lorsqu’il est à l’intérieur.
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Description Physique.
Clem est un jeune homme ayant fini sa croissance il y a de cela peut d'années mais le résultat n'est pas vraiment à la hauteur de ses attentes. Clem n'est pas ce que l'on appelle un "fil de fer" mais c'est vraiment faute d'être grand. Sans être un nabot (1m78-79) il a été doté à la naissance de muscles terriblement atrophiés qu'il cache avec des manches amples. Sa longue exposition à la condition de voyageur dans Dreamland fera plus que comblé cette déficience physique mais Clem gardera dans le monde réel un épuisement assez prononcé suivant une succession d'efforts pas forcément violents. Seuls ses poumons sont plus vigoureux que le reste et lui ont souvent assurés de bons résultats à la course d'endurance (ou à la fuite de monstres énormes, pour une fois que l'on apprend quelque chose de vraiment important à l'école).
Modestie oblige engendré par le biberonage d'un nombre conséquent de film américain peuplé d'acteurs principaux sentant fraichement la crème pour la peau, Clem c'est longtemps trouvé moche avant qu'une forme d'acceptation en tant que forme de vie biologique comme une autre lui interdise de porter de méchant jugement de valeur à sa personne. Son visage n'est pourtant pas disgracieux (et ne l'a jamais été, sauf pendant une période de sa vie ayant de une à trois millions de secondes) et ses yeux sont bleu (comme 100% de la population portant des yeux bleu donc pas la peine de leur cracher dessus). Une stature de grand maigre. Un ventre plat et des épaules de serpent. On finira finalement par une chevelure rousse foncée (suivez la lumière) qui ne lui valut que très peu de moquerie pendant sa scolarité, la véritable nature maléfique des roux n'ayant pas encore put être prouvé scientifiquement dans le début des années 90
Question vêtements, Clem a depuis peu abandonné son ancien look, mélange de bleu et de rouge completé par une écharpe jaune, quand il a tout simplement remarqué qu'il était extrèmement dur de se cacher avec de pareils habits sur le dos. Après quelques achats compulsifs (quand on commence à acheter des habits, il est assez dur de s'arrêter). Désormais, l'essentiel de sa tenue se teinte de marron (c'est cool le marron, c'est de la même couleur que la terre : en se jetant à plat ventre sur le sol on a des chances de devenir invisible aux yeux d'un T-rex). Clem se laissa aussi persuader par son meilleur ami et se fit poser un anneau ainsi que 3 piercings à l'oreille. Le principal argument dudit ami étant que, si les deux larrons souhaitaient ouvrir leur propre boite de tatoueur-perceur, il fallait bien tester la qualité de leur materiel et la capacité de leur fournisseur à stériliser leurs seringues et autres objets contondants (son meilleur ami eu le bon sens d'attacher Clem avant de lui donner ce dernier argument). Les négociations sont toujours en cours pour le tatouage. Clem ayant refusé catégoriquement d'avoir sur le corps un dessin qu'il risquerait de regretter. De son poit de vue, ledit dessin doit être symbolique et représenter quelque chose à ses yeux, sinon ça n'a rien à faire sur sa peau.
Il est à noté que, de part sa très faible imagination passive, les vêtements de Clem à Dreamland sont les mêmes que dans le monde réel, mais la paire de lunette de protection n'apparait que dans le monde onirique ; question de principe.
Caractère.
Clem a un caractère résolument et terriblement complexe qui forme un amalgame de pensées et contre-ordres dont le tout est une espèce de bouillie psychiatrique dont la surface ne s'orne que d'un "vague ennui pour le monde qui l'entoure" en bref il est distant, pas froid mais pas à l'aise non plus avec les gens qu'il rencontre. Ayant peu de talent pour consolider ses réflexes sociaux, ceux qui le connaissent bien ne s'étonne pas de l'absence de sourire sur son visage (son corps "oublie" juste qu'il a des amis en face de lui) et de ses réponses mornes alors qu'à l'intérieur, ça bout là-dedans ! Seulement c'est parfois enfoncé terriblement profond.
Face au danger Clem a adopté par conviction la philosophie selon laquelle personne ne peut l'attaquer s'il reste à cinq pas de distance et qu'il vaut mieux pouvoir courir plus vite que son prochain. Depuis qu'il a expérimenté les dangers du monde onirique, son intelligence vive l'a poussé à reconsidérer la distance de sécurité à conserver face à une menace potentielle (tout ce qui bouge et qui a des dents, l'ensemble de la population humaine étant comprise dans la définition). On ajoute à cette (d'aucuns diraient "lâchetés" et Clem est parfaitement d'accord avec eux vu que de son point de vue, la lâcheté est une forme rare d'intelligence) une paranoïa rendu encore plus intense par ses expériences souvent mortelles de voyageur (Clem est le genre de personnage pouvant déclencher des bagarres généralisés dans les tavernes et des chutes de piano à queue au milieu du désert par sa simple présence).
Pour finir, même s'il a du mal à décrypter les émotions faciales qui l'entourent, Clem reste un attentif passif de son environnement et est capable de sortir de surprenantes conclusions intelligentes quand il arrive à s'en donner la peine : on appelle cela "réfléchir dans le mauvais sens" ce qui est une très mauvaise image mais une bonne utilisation du terme.
Histoire.
Son enfance étant réellement perturbée par sa phobie, Clem à passer une préadolescence et une adolescence seul, la seul personne avec qui il parlait vraiment fut son frère Ed avec qui il entretenait des rapports souvent conflictuels mais malgré leur phobie respective qui les séparaient autant qu’elles les rapprochaient, leur relation était basée sur un rapport de force bien connu, le grand écrasant toujours le petit, et ce dans tout les domaines. N’ayant aucune autre relation avec un tiers, celle-ci avait une grande valeur aux yeux de Clem qui, plus que n’importe quel autre petit frère, souffrait grandement de cette différence entre frères, parfois omniprésente, parfois voilée, souvent cachée mais toujours présente.
Le départ de son frère dans son studio fut pour lui comme un coup au cœur, pas dans le sens où on pourrait le penser ou le décrypter mais, pour Clem ce départ ne serait pas vu avec un commentaire du style « plus rien ne serait plus comme avant » ; mais plutôt l’inverse. Leur relation serait désormais figée à jamais, stérilisée par une distance et un fossé désormais impossible à traverser. Leur relation allait désormais rester la même : inchangée. Et ça, Clem ne pouvait le supporter.
Mais il existe une autre voie, avec Dreamland, Clem allait désormais pouvoir retrouver son frère, renverser l’équilibre des forces pourtant pensé comme universel, et lui, Clem, serait le premier à accomplir l’impensable.
Chaque nuit, Clem se plonge dans Dreamland entreprendre sa chasse, une traque qui allait l’entraîner au confins d’une lutte ancestrale qui l’entraînerait dans tout Dreamland, dans une nuit qui allait le transfigurer à jamais.
Poste Rp.
Ce qui frappe le moins dans un rêve, c’est l’absence de sensation, non pas la peur ou la joie, qui nous permettent de faire rapidement la sélection entre le rêve ou le cauchemar ; mais plutôt l’absence disons totale de stimuli extérieur : Nos 5 sens sont complètement inutiles une fois endormi. Quand on rêve on ne détient aucune de ses sensations.
C’était pour cette raison que, pas une seul fois, Clem eu l’impression de se retrouver dans la réalité onirique.
Et pourtant il y avait de quoi : le paysage était inexistant, le sol était marron, le ciel était bleu et entre les deux, une ligne floue qui semblait noire si on y prêtait attention, en tout pour tout et rien d’autre.
Pourtant l’œil critique de n’importe qu’elle observateur lambda aura vite eu une pensée du style « Tiens, je suis certainement en train de rêver ».
Mais pas Clem. Pour l’instant, sa principale préoccupation était de suivre les conseils de son psychologue : fermer les yeux, inspirer, expirer… le tout calmement, le ciel n’est pas en train de t’aspirer, tout ça c’est dans ta tète, inspire, expire, baisse la tète et ouvre les yeux :
Il flottait, ses pieds ne touchaient plus le sol, ses yeux baissés regardaient, le ciel.
Ce n’était pas normal.
Quelque chose était en train de merder. Et ce vide était angoissant. Bien trop angoissant pour un simple rêve.
Il y avait quelque chose qui avait bien foiré à un moment mais quand ?
L’angoisse commençait généralement au niveau de l’entrejambe, au niveau de la tète, comme un bourdonnement rond et sourd, un bourdon dans la tète dont les ronflements ne faisaient pas de bruit, mais où l’écho résonnait douloureusement dans le crâne.
Car l’angoisse faisait mal, aucun doute là-dessus, surtout quand elle se logeait dans le ventre, là où les ronflements deviennent des constipations, Clem avait l’impression que son abdomen se tordait, que ses muscles abdominaux prenaient la forme d’un serpent dont chaque respiration réchauffait ses veines de 5 degrés centigrades.
En bref, l’enfer.
« Garde ton calme, inspire, expire, ferme les yeux.»
« Non, garde-les ouverts ! »
« Accepte les faits, tend les bras, relâche tes muscles, garde ton calme. »
Affronter sa peur, rien que ça.
Mais c’est ce qu’il fit, après une éternité passer entre ciel et terre, quand son propre corps retrouva une tension normale.
Bref quand Clem fut en paix, il senti un picotement, dans sa main droite, une sphère apparu.
Pas d’un seul coup, non, plutôt comme si les couleurs du paysage se tordaient autour d’un trou.
« Un trou de ver. Se dit Clem, un wormhole. »
Cette pensée le fit sourire.
Il souriait toujours quand la sphère tomba et l’entraîna avec lui, sur la terre ferme.
Cette nuit, Clem venait de se débarrasser de sa phobie.
Mieux, elle serait désormais son arme.
Cette nuit, Clem venait de devenir un voyageur.
Une fois réveillé, Clem se souvint avec précision de son songe :
« Je viens de voler dans une plaine étrange, j’ai fais apparaître une boule d’énergie de ma main, et j’ai contrôlé ma peur. »
« Un drôle de rêve, vraiment. »
Mais ce n’était pas un rêve.
C’était bien plus que cela.
Autres.
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Aime :Son frère (parfois), les melons, son écharpe et Alain Souchon.
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N'aime pas :Son frère (souvent), les gens qui lui posent des questions personnelles,les endives,les questionnaires, et tout ceux qui crânent en publique(cela tient plus de la jalousie).
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Particularités, autres : Son comportement(habituellement calme et réservé) change quand il aperçoit son frère : il se met dans un état de colère telle qu’elle ne s’arrêtera que lorsqu’il se fera remettre à sa place. Il semble que mentionner son frère fasse, à peu de choses près, le même effet.
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Niveau d'étude hors de Dreamland : Troisièmes année de première scientifique au lycée.
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Comment avez-vous découvert le forum ? Par mon frère.
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Première impression : Un forum sur Dreamland ? Sympa et surtout très complet.
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Pour les DC (double compte) ou TC (triple compte), qui a donné son accord ? Aucun
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Code de validation :
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