Présentation du joueur/se
Nom (ou surnom) : Ed(ouard)
Age : 18 ans
Sexe : Je vous laisse deviner, vous n’êtes pas loin, oui ! C’est ça ! Je suis un homme !
Comment avez-vous découvert le Forum ? Recherche par Internet
Première impression ? Un forum qui est en début de vie, mais actif. Hâte qu’il se développe, et je l’aiderais du mieux que je peux
Autres ? Non, rien
Comment trouvez-vous le forum ? Prometteur (et graphisme fun)
Pour les DC (double compte), qui a donné son accord ? Je vous rassure, je viens pour la première fois !
Présentation du Personnage
Nom : Free
Prénom : Ed
Âge : 21 ans
Classe désirée : Contrôleur (?)
Pouvoir :
C’est rare, mais ça existe ! Avant mon arrivée sur Dreamland, j’étais…phobique des portes. Impossible pour moi de passer sous une de ses saletés, sinon après un grand moment de concentration, de stress, et en fermant les yeux. Je vous explique : cette peur peut s’apparenter à de la claustrophobie. Si j’entre dans nous nouvelle pièce (ou dans une habitation), j’ai l’impression que je ne pourrais plus jamais y en sortir, que je resterais enfermé à tout jamais entre quatre murs. Il m’est facile de traverser les portes pour sortir dehors, mais il y a le faux contact dès que je dois rentrer quelque part. Voilà pour ma phobie !
J’ai donc hérité du pouvoir des portails. Il me permet de créer une paire de portails liés l’un à l’autre. Si je mets ma main dans une des portes, elle ressortira comme par magie dans l’autre ! Pour les détails, je ne peux pas créer plus de cinq paires de portails par nuit (quand je serais devenu plus balèze, je suis persuadé que je pourrais en faire plus) ; j’en fais généralement quatre, je n’utilise le dernier que dans les moments les plus extrêmes. De plus, je ne peux pas les séparer d’une distance infinie. Il me faut une visualisation de la pensée, qui ne doit pas dépasser les cinquante mètres. Par exemple, je ne pourrais pas me téléporter d’un bout de Dreamland à un autre, mais je pourrais passer à travers un mur (même si je ne sais pas ce qu’il y a derrière ce mur). Les portes sont de tailles variables (d’un à deux mètres de diamètre) et d’une forme à peu près ovales. Seul moi peut les voir entièrement (en gardant notre exemple de tout à l’heure, les autres ne verront qu’un bras coupé, et la main se baladant plus loin, alors que moi, je vois le portail distinctement, de couleur noire). Quoi d’autre ? Ah oui, je ne peux pas les déplacer après leur activation !
Caractère :
Bon, je vais être obligé de parler de façon objective pour ne pas embrouiller le lectorat.
Dans le monde réel, je suis pas la personne la plus heureuse sur Terre (voire mon histoire). Je suis souvent triste, mélancolique au possible, et d’un pessimisme aberrant. La fumée de ma cigarette ne parvient plus à me distraire, ma vie prend une tournure inintéressante au possible. Mes amis se comptent sur le doigt d’une main. Pas gai pour un sou, mes journées sont devenues une routine dont je ne parviens pas à m’extraire. Puis j’ai rencontré Dreamland.
Mon comportement changea du tout au tout. Pour moi, c’était un retour à la case départ, une remise à zéro. Ma timidité, mon comportement abusif et pantouflard disparaissent la nuit. Ayant loupé ma vie le jour, j’ai pour objectif de réussir celle sur Dreamland. Et enfin, j’ai l’impression de devenir moi-même ! De nature surexcitée, vantard à souhait, je parcours ces terres en recherchant à devenir le type le plus célèbre de ce monde. Je suis prêt à toutes les excentricités possibles pour faire parler de moi : affronter de puissants Voyageurs, entreprendre les quêtes les plus dures, etc. Evidemment, je ne suis pas suicidaire ; je connais à peu près mes limites. Je garde un tempérament fonceur et un sang-chaud qui font de moi…un type presque insupportable. Si j’adopte un comportement à la limite du mépris, ce n’est rien qu’une tactique pour me donner un style. Tant qu’on me remarque, tout me va.
Les combats sont parfaits pour faire parler de mon nombril, mais je préfère largement user de ma rhétorique pour impressionner le monde. Sinon, j’use de stratégies vicieuses pour avoir mes adversaires. J’engage une bataille que si celle-ci est irrévocable. Je n’ai aussi aucune honte à fuir. Ma seule limite est la frontière du mal. Je ne suis pas à Dreamland pour blesser les gens, et je préfère mettre de côté mes envies personnelles pour aider quelqu’un coincé dans une situation blessante. C’est bien le seul moment où mon honneur rejaillit ; il est le plus souvent à la poubelle, coincé avec mon calme. Je suis donc prêt à tout pour atteindre mes objectifs tant qu’ils ne m’obligent pas à attaquer des innocents, ou qu’ils ne m’apportent rien. Je ne suis pas fan des dons et autres bénévolats classiques : je suis plutôt pour l’échange de bons procédés.
De plus, je suis devenu un optimisme réaliste, dans lequel je laisse de côté l’à-peu-près. Je suis le seul maître de mes actions, et suis le seul qui puisse changer mon avenir. Je déteste ne pas contrôler une situation ; ça me permet de me calmer, d’analyser les actions et les comportements, et d’agir en conséquence. On ne dirait pas, sous mon caractère intempestif, mais je suis parfaitement maître de ce que je fais. Faut être doué pour me foutre en colère (par contre, dès que je vois rouge, je suis très faible, sachant que je n’utilise pas mes pouvoirs avec parcimonie…). Ma principale qualité est donc l’improvisation. Mon don polyvalent me permet de mettre en pratique n’importe quelle tactique, aussi peu commune et tarabiscotée soit-elle.
Vous l’aurez compris, moi-même j’ai du mal à savoir si je montre ma véritable personnalité dans Dreamland (ce que j’essaie de me faire croire), ou si ce n’est qu’une façade que je m’oblige à mettre afin de ne pas sombrer dans la déprime. En tout cas, le pays des rêves m’a permis de me ressaisir un peu dans le monde réel (à commencer par ne plus vomir sur toutes les portes que je croise).
Bref, la tête brûlée qui ne se soucie en aucun cas des conséquences qu’elle provoque (à court, moyen ou long terme) que je suis, enrobée d’un cynisme et d’une ironie déconcertante, fous le boxon à peu près partout où elle passe.
Physique :
Disons le bon mètre quatre-vingt pour soixante-huit kilos. Grand, presque maigre, dégingandé. Ma corpulence fine cache quelques muscles secs, acquis par un entraînement quotidien (voire histoire aussi). Mes bras et mes jambes sont assez longs et assez gracieux pour donner une bonne agilité. Je suis pas bien costaud au niveau des épaules, je dois l’avouer…
Ma tête est perpétuellement éclairée d’un sourire, qui peut passer de radieux à rire jaune. Il accueille souvent une cigarette allumée, même sur Dreamland (?) J’ai des cheveux mi- longs blonds qui me chatouillent la nuque, une barbe de quelques jours que j’ai peine à raser, et mes yeux aciers sont protégés par une paire de lunettes de soleil. Souvent, une frange vient masquer mon visage (que j’enlève d’une main habituée). Peu pratiques au combat, je n’hésite pas à attacher mes cheveux avant chaque affrontement. Si on remarque bien, j’ai tout fait pour qu’on est du mal à déterminer mes expressions.
Pour mes habits, je suis axé vers la chemise unie, ou celle de bûcheron. Selon la saison, je les porte directement sur le corps, ou en survêtement. Mes T-shirts sont généralement de couleur sombre (ou alors complètement immaculée), mes jeans sont impeccables, et tombent sur mes chaussures de chantier (coques d’acier). Je porte souvent un bracelet, une montre, un collier, etc. J’ai deux paires de lunettes de soleil, que j’inter change selon mon humeur ; en hiver, je porte néanmoins des lunettes normales. Pour les événements, je porte la cravate et le chapeau (noirs tous deux). J’essaie par tous les moyens de m’habiller léger (ma veste reste le plus souvent au fond du placard, même sous la neige), mais je garde des gants et une écharpe grise.
Histoire :
J’ai rien de très intéressant à vous raconter sur moi en fait. Jusqu’à ma première année de licence, je restais au domicile parental. J’ai quitté la maison pour m’installer dans un appartement à une pièce (où j’ai retiré la porte de ses gonds, passage oblige). Ma vie avait commencé à déraper un peu avant ce moment-là ; mon excitation après-bac retombée, je me suis retrouvé dans un univers impitoyable qui ne voulait pas de moi : je n’étais pas assez rigoureux, pas assez intelligent. Même si je passais mes examens haut la main, ça ne m’empêchait pas de me sentir refoulé. Puis j’ai changé : je me suis renfermé, assombri. Je parlais de moins en moins aux gens, je me laissais couler dans la solitude. Le soleil pouvait briller comme il le voulait, il faisait tout le temps froid et pluvieux dans mon monde. Ma phobie ne m’aidait pas du tout à m’intégrer dans la société. Des nuages flottaient au-dessus de moi constamment, et les rayons ne provoquaient en moi qu’une mélancolie des jours anciens où j’étais encore quelqu’un de normal.
Mes nuits furent changées à jamais quand je réussis à vaincre ma peur pour m’engouffrer dans le monde idyllique de Dreamland ! Je fus sidéré par ce monde, tellement plus vaste et décalé que le nôtre. Je vous passerai les détails du changement de mon comportement que je vous ai raconté plus tôt. Je décidai ainsi de tout recommencer à zéro. En ce qui concernait mon avancée dans ce monde, je tracerais l’histoire au fil de mes actes et de mes humeurs.
Pour le monde réel, je devenais plus conquérant. Je sortais plus souvent, rencontrais des gens plus intéressants. Je devenais plus rayonnant (tout est relatif évidemment, je guérissais mais n’étais pas encore rétabli), mon pessimisme s’évaporait. Pour établir ma célébrité, je devais être plus fort. En plus de faire passer ma crise d’asocial, je me mis au sport. Mon beau-père avait été soldat, il m’apprit le Close Combat (il ne se posa pas plus de questions sur ma soudaine envie, il était content de me muscler un peu). Je connais maintenant les bases, et j’en apprends de plus en plus. Je terminerais enfin sur ma soudaine collaboration avec Jacob Hume, un autre Voyageur.
Post RP :
Bon sang, les rêves, je peux les contrôler, les arrêter, les distordre ou me réveiller. Mais là, j’étais juste maître de moi, et non de cet univers. Flou, je me rappelais un plancher de bois sombre, éclairé par je ne sais quelle lumière inexistante. Je suis seul, dans une grande pièce, j’entends des voix et je n’y comprends rien. Je suis entouré par quatre murs de brique aux couleurs vivaces et changeantes, des masques y sont accrochés (inutile de me demander la description de ces masques, je ne m’en souviens plus). Ce n’est pas la première fois que je me disais que mon inconscient puisait de l’imagination plus loin que mon cerveau conscient, mais là, j’étais ébloui. Mais rapidement, toute excitation s’éteignit. Les murs qui m’entouraient se rapprochaient doucement, inexorablement, par un maléfice inconnu.
* Oh, zut. Merde, merde, merde.*
Je regardais en tous sens, mais seuls les masques rieurs me narguaient, ainsi que…des portes. Une dans chaque mur de la salle. Je sentais que j’allais m’écraser contre les parois... le sol bougea à son tour, je baissai les yeux pour remarquer qu’une porte était apparue sous mes pieds. Je retins un juron quand la porte sous mes pieds s’ouvrit sans grincement. Blanche et parfaite, elle me happa sans merci. Je tombai pendant cinq secondes avant de m’écraser sur le sol sans aucune blessure. Je relevai la tête ; j’étais dans une pièce qui ressemblait bien trop à la précédente pour être honnête. Ma vision se brouilla, et les portes sans gonds m’arrachèrent du sol pour m’engloutir une nouvelle fois en elle. Je mis ma main devant mes yeux, et les masques se détachèrent pour me crier aux oreilles une mélodie lancinante. Je tentai de marcher vers un coin, mais de toutes parts, j’entendis les portes qui se refermèrent les unes sur les autres. Je suis enfermé. Cauchemar, cauchemar. Enfermé dans mes propres rêves, dans mon esprit. Personne ne pouvait m’aider, j’allais mourir. Une autre porte à mes pieds s’ouvrit sans prévenir. Je me raccrochai à la poignée, les jambes pendantes dans un vide que je ne percevais pas. Mon bras retint tout mon corps avec une facilité qui me dépassait. Je ne VOULAIS pas être impuissant. Ma fierté me perdrait un jour, on m’avait dit, mais pour le moment, elle luttait dans ma tête, et contre CETTE STUPIDE POIGNEE !!! Mon autre bras se raccrochai au sol d’où émergeait l’immonde trappe, et je me hissai à en faire craquer mes os et le bras. Une veine palpiterait à ma tête que ça ne m’étonnerait pas. En colère, tenant enfin sur mes jambes, je me dirigeai à pas furieux contre la porte la plus proche. Elle était bien droite sur son mur, ça me rendait colérique. Mais ce qui me rendait fou, c’est qu’elle se refermait, m’emprisonnant. C’est ce pourquoi je détestais ces engins du diable. Mais là ! Je serrai mon poing, et l’écrasai furieusement contre la porte, qui se craqua sous le poids. Je lui resservis deux autres coups furieux, et une ouverture saillante se créa. Je m’élançai dans le trou que j’aggrandis. La même salle, comme d’habitude ! Je pris la gauche, et réduisis en charpie les battants avec mon pied. Je défonçai littéralement une autre porte qui avait le culot de se dresser sur mon chemin. Quand je me relevai, les poings en sang, les jambes fatiguées, j’étais baigné de lumière.
Métier ou niveau d'étude hors Dreamland : Troisième année dans une école de journalisme
Divers : Non, rien à dire de plus
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bonne chance