Nikaido
Hikari

Personnage.

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• Nom : Nikaido• Prénom : Hikari• Surnom(s) : Hika'. • Âge :19ans• Nationalité, origine(s) : Française. • Pouvoir et description : J'ai une peur panique des loups !.C'est pour ça que dans Dreamland, Hikari pourrait transformer à la base certains de ses membres, et finirait par se transformer intégralement au fil de ses aventures. Ca serais donc plus des combat au corps à corps donc pouvoir d’une morpheuse.

Description Physique.

Hikari mesure 1m72, une silhouette élancée elle se tient très droite. Ses mensurations sont celles d’un mannequin sans entrer dans le détail, elle est grande et fine mais a tout de même de jolies formes. Pour être franc c’n’est pas une planche à pain quoi. Ses mains sont longues et fines, toujours manucuré. Ces cheveux sont d’un brun brut, ayant pour effet de brisé la finesse trop parfaite des traits de son visage et ses yeux sont d’un vert émeraude qui ressort énormément. Elle a deux billes sur la tête et on ne voie que ça. Ses lèvres sont charnues et naturellement rosée. Sa peau est blanche parsemé de grain de beauté agréablement réparties. Un style vestimentaire riche et varié de par ses contrats. Elle prend soin d’elle et ne sors que très peu sans maquillage. Hikari aime prendre soin d’elle, l’apparence représente beaucoup pour elle (son gagne-pain).  

Caractère.

De par sa double vie, Hikari a développé une personnalité étrange. Dans son travail c’est une jeune fille souriante, très calme, à l’écoute et discipliné. Elle et mature et côtoie énormément d’adulte. Dans sa vie plus personnelle, c’est-à-dire en cours, avec son père, chez elle. Bah c’est une jeune fille joviale, explosive qui va avoir tendance à se jeter en avant la tête baissé sans même se soucier du danger. Malgré son besoin d’avoir des amis ainsi que beaucoup de relations, elle va se retrouver souvent seule, ses amis ne la comprenant pas toujours ou se méfiant de ce qu’ils pourraient dire. C’est une jeune fille qui profite de la vie à fond et qui essaie de s’en sortir comme elle peut. Une fois tous les ans, l’hiver, elle passe par un stade dépressionnaire en repensant à sa mère. Personnalité déroutante et lunatique, digne des plus grands psychopathe, mais qui sais ?  

Histoire.

A l’âge de 7 ans, Hikari partit en vacances avec ses parents. C’était habituel, elle n’avait jamais passé de vacances sur Paris, jamais. En plein mois de décembre et pour Noël, la petite famille avait décidé d’aller au Canada réputé pour son calme et ses magnifiques paysages, la petite fille avait froncé les sourcils quand on lui avait dit qu’il faisait froid là-bas. Elle, elle préférait les pays chaud ou on pouvait se baigner même si à la maison il faisait un froid de canard.

Ils avaient pourtant pris l’avion et la petite découvrit la neige la vraie, pas celle de Paris qui fondait immédiatement au contact de l’asphalte, non, la belle, la toute blanche immaculée. Une semaine passa, les promenades avec ses parents, la découverte des caribous et puis Noël. On prévint la petite que la dernière semaine allait passer bien plus vite et elle s’empressa d’aller construire des bonhommes de neiges sous l’œil attendrit de ses parents.

Un matin le père, rédacteur dans un petit journal, indiqua à sa femme et sa fille qu’il devait terminer son article sur le tourisme au canada et les invita à aller se promener un peu. Après un tendre baiser et des gros poutous pour la petite. Elles partirent à l’aventure, emmitouflée dans leur manteau. Le petit jardin de la maison de location était bordé par une forêt et elles avaient l’habitude d’y passer pour faire de longues balades et sa valait le détour.

C’était magnifique, tous les arbres était recouvert d’une fine couche de neige tombé pendant la nuit, des stalactites pendaient des branches mortes en goutant régulièrement, les rayons du soleil eux, perçaient a la cime des arbres. Hikari, devant tant de jolies choses avait ralenti le pas, satisfaite de ce qu’elle était en train de voir elle se mit à sourire. Sa mère marchait devant elle et comme toute  petite fille de 7 ans elle se mit à l’admirer. Après tout sa mère avait été mannequin avant de l’avoir. Et puisque c’était sa mère ça ne pouvait être que la plus belle femme du monde. La mère surpris sa petite à l’admirer et partit d’un grand rire en envoya une petite boule de neige dans sa direction.

« Maman, tu déclares la guerre. »

La bataille commença, dans de grands éclats de rire. La neige craquait sous leurs chaussures et la neige coincé dans le col de la petite commençait à couler dans son cou. Elle avait les joues et le nez rouge, mais elle s’amusait tellement qu’elle ne sentait pas cette différence de température. Pourtant sa mère indiqua la fin de la bagarre en l’enlaçant tendrement.

« On fait la paix »

Elle regardait sa fille tendrement avec des yeux d’un bleu pur, brillant. Hikari, elle aimait bien quand sa maman la regardait comme ça, avec ses yeux couleur océan, elle aimait bien quand elle se regardait sans rien dire. La mère relâcha doucement l’emprise qu’elle avait sur sa fille, ferma les yeux et se mit à compter.

« 1. 2. 3 … »

La petite fille partit d’un grand rire nerveux et fonça se cacher. Arrivé a 50, caché derrière son arbre, la petite arrêta de respirer, elle jeta un coup d’œil sur le côté et se rendit compte que sa mère partait a l’opposé de sa cachette ce qui l’a fit pouffer de rire.
Cela dit au bout de 5 minutes Hikari commença à s’impatienter, c’était drôle cache-cache, mais fallait que ça aille plus vite. Un peu ennuyé la petite retourna dans l’espèce de clairière ou sa mère avait compté. Il n’y avait plus un bruit et l’idée d’être toute seule lui fit peur en plus le soleil s’était caché, les nuages étaient gris et on aurait dit qu’il allait neiger.

"Maman ? MAAAAMAAAAN ?
Hika ? Ou es-tu ma chérie ?
Dans la clairière de tout à l'heure !"

Elle s’assit dans la neige et attendit, un bruit dans les buissons attira son attention elle tourna la tête mais le buisson arrêta de bouger. Elle se redressa et en essayant de voir à travers les feuilles appela

« Maman ? »

Le buisson derrière elle se mit à bouger à son tour et quand elle se tourna, deux yeux dorées était fixés sur elle, on aurait dit 2 soleils incandescent. La bête avait comme une emprise sur la petite, elle était paralysée par le froid, la surprise et la splendeur de ces orbites. Mais quand le loup gris sorti complétement du buisson, la peur sembla prendre la petite qui fit un pas en arrière.  Ce pas fit grogner le loup, il retroussa ses babines. La petite fille était paralysée, le loup avançait faisant luire ses crocs. Le bond était prévisible. Un craquement dans le dos de la petite détourna l’attention du loup mais pas celle d’Hikari.

« Hikari, tu viens ? »

Pour seule réponse, elle eut le droit à un grognement sourd.  Elle remarqua tardivement la présence de l’animal. L’instinct maternel la fit se jeter en avant en hurlant, le loup eut un mouvement de recul. Elle se mit à hurler dans ma direction

« Cours, je te suis »

Le petite se redressa et courut aussi vite qu’elle le pouvait, un aboiement, des crissements dans la neige, elle ne put s’empêcher de regarder derrière elle. Sa mère se fit rattraper, et dans un hurlement tomba au sol, le loup l’avait attrapé à l’épaule et elle hurlait. Sa mère se débattait avec la force du désespoir. Le loup s’attaqua ensuite à sa cuisse, en arrachant un bout. Les cris stridents de sa mère se heurtaient en Hikari et elle tomba à genoux. Pulvériser par cette douleur. Sa mère arrêta de hurler, lança un dernier regard a sa fille, ferma les yeux. C’était la fin du combat, le loup se redressa et vint planter ses crocs dans le cou de sa victime, mettant fin à son agonie. La petite se laissa trainer jusqu’à un tronc pour se cacher.

Le calme retomba avec violence dans la clairière, et quand Hikari regarda à nouveau dans la direction de sa mère elle se rendit compte que le loup avait disparu et qu’il avait entrainé avec lui le corps. Il y avait du sang, tellement de sang. Le corps de la fillette se mit à trembler elle poussa un cri et elle tomba inerte dans la neige.
Un coup de feu retentit au loin, le garde forestier avait été prévenu que les loups en manque de nourriture se baladaient un peu trop près des maisons ces derniers temps et quand il avait entendu les hurlements il avait fait au plus vite, il tomba nez à nez avec un loup gris qui trainait un corps, au moment où il tira, le loup bondit sur le côté et pris la fuite. Laissant là le corps d’une femme meurtrie qui saignait, il s’empressa de s’approcher, voulut prendre son pou mais son cou ne ressemblait plus à un cou, le cœur ne battait plus. Un hurlement le fit se redresser d’un bond, avec son talkie, il appela les forces de l’ordre et les pompiers tout en courant dans la direction du hurlement. Il tomba sur le corps inerte d’une petite fille, elle n’était pas morte, mais en hypothermie. Il enleva son manteau la pris dans ses bras en la serrant fort contre lui.

Quand elle reprit ses esprits, elle était dans un lit, une machine bipait régulièrement a côté d’elle. Elle entendait des bribes de conversation. Reconnut la voix de son père provoquant en elle de la panique, faisant  biper la machine plus rapidement. Une infirmière entra rapidement lui demandant de se calmer derrière elle son père apparut il était blanc, ses yeux étaient rouges.

Elle eut peur, se cacha sous sa couette. Elle se sentait si coupable elle était là mais n’avait rien pu faire c'était affreux. Son père souleva la couette et la prit dans ses bras. Ils pleurèrent ensemble un long moment, enlacé s'accrochant l'un à l'autre avec désespoir.

A 18 ans, les loups ou chien typé, la rendait malade de trouille. Elle faisait souvent, des cauchemars, des rêves avec sa mère. Et quand l’hiver approchait, la jeune fille s’isolait et pleurait beaucoup. Voilà sa phobie.

Poste Rp.

"Comme beaucoup, de gens je rêve la nuit et la nuit dernière j'ai commencé à refaire le cauchemar celui que je faisais depuis mes 7 ans. Je me pensais libérer de celui-ci, à croire qu’il me suivrait toute ma vie... Je  retrouvais le magnifique foret, ma mère, notre merveilleuse journée et par-dessus tous ses magnifique bille turquoise qui lui servait d’yeux, le cache-cache…  Des yeux dorés dans le buisson, un râle sourd, puis l'arrivée de ma mère.

A ce moment-là, je n’étais que spectatrice de l’histoire, encore. Je vis ma mère dire à Hikari âgé de 7 ans à l’époque de courir, elle courut obéissant à sa maman. Je voyais la scène mais je la voyais seulement, je n’avais pas le pouvoir de bouger dans ce rêve, j'étais impuissante. J’avais seulement le droit de côtoyer la mort… Encore une fois.

Je vis ma mère répété les gestes d’il y a 11 ans… Se mettre à courir. Le loup semblait épuisé mais pas au point de rater le repas du siècle…
Ne pouvant pas bouger, je me mis à hurler, espérant qu’elle pourrait m’entendre, mais rien à faire. Rien ne bougeait, rien. Le loup sauta sur ma mère, je vis la tête de l’enfant qui n’était autre que moi à cette époque et ce regard. Soudainement,  une vague de colère énorme pris place dans mon cerveau, sur mes pensées, sur mon corps, sur mes muscles crispés. Je brûlais de l’intérieur et tout ce qui aurait pu être qualifié de raison m’avait abandonné.

Quittant la scène un instant du regard, Je regardais le sol à ma plus grande surprise, j’en étais près, très prés.  Je ne mettais pourtant pas sentit tomber, je m’avançais en direction d’une flaque gelé. Je regardais mon reflet dans celle-ci, ce n'était plus moi mais une louve blanche avec de grands yeux vert émeraude.

Incroyable renversement de situation voilà que je me transforme en ce que je déteste, dont j'ai extrêmement peur. Je voyais le loup mordre ma mère à l'épaule, ce n’était pas encore la fin je pouvais encore la sauvé.  Je me concentrais sur le loup que j’étais devenue et je poussais un grognement. Cette fois si, ils m'avaient tous les deux entendus ils s’immobilisèrent, le loup lâcha l'épaule qu’il tenait dans sa gueule et ma mère cessa de se débattre.
Le loup c’était dégagé et me faisais face à présent. Ma mère eu du mal à se redresser, mais finit par y parvenir et ainsi pu rejoindre sa petite fille derrière l'arbre. Elles m'observaient toute les deux. Je me rapprochais alors de mon adversaire relevant les babines et montrant les crocs, il se raidit. L’un comme l'autre aucune des deux bêtes ne bougea durant une longue minute. Cette attente était insupportable et ce loup sauvage avait le temps de d’analyser la situation, je décidais de passer à l'attaque en première et lui sautait dessus, c'est ainsi que le combat commença.

L’on ne distinguait que des claquements de mâchoires, des grognements et nos fourrures ne formaient plus qu'une boule. Le loup mâle affaibli par son manque de nourriture tomba à terre plus rapidement que prévu. Mais je ne pouvais me résoudre à le laisser en vie et lui plantait donc les crocs dans l'encolure lui enlevant son dernier souffle.

Apres cet affreux combat l'une de mes pattes était sanguinolente. Je me calmais, lentement, et cette poussée d'adrénaline qui m'avait transformé repartit comme elle était venu. Ma mère s’approcha avec l’enfant de 7 ans, que je ne pouvais m’empêcher de dévisager. Je fixais ma mère… elle me dévisageait, passait du visage de sa fille de 7 ans à celle du futur et me reconnut enfin.

Je lui sautais dans les bras l'embrassant, pleurant, humant une dernière fois le parfum de ses cheveux. »
C'est à ce moment précis que mon alarme retentit. Je me suis réveillé en larmes dans mon lit. J'ai vaincus le loup qui a tuer ma mère je l’ai tué à son tour. Comment cette réaction avait pu se produire, elle ne comprenait pas tout mais sentit rapidement que ces transformations étranges n'étaient pas finis, elle en était convaincue. Elle sortit de son lit descendit l'escalier de sa maison pour se retrouver dans la cuisine ou son père buvait un café en lisant le journal, elle se planta devant lui du haut de ses 18 ans et lui lançait avec fierté


"Je n’ai plus peur !"

Autres.

• Aime : La photographie, la musique, les animaux, l’architecture, l’été et les fruits qu’il apporte.  
• N'aime pas : Les gens mauvais, la mauvaise nourriture, l’orage, l’ananas, que son agent prévois des choses sans la prévenir.
• Particularités, autres : Percé au nombril pour ses 18 ans
• Niveau d'étude hors de Dreamland : Fac de lettre depuis cette année
• Comment avez-vous découvert le forum ? Par un très vieux partenariat
• Première impression : Ca fait un bail que je dis que ce fow est le meilleur !!
• Pour les DC (double compte) ou TC (triple compte), qui a donné son accord ? Pas de Dc.
• Code de validation : Hikari sort les poubelles en mâchant du chewing-gum à la fraise.