Trainer
Fely

Personnage.

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• Nom : Trainer • Prénom : Fely • Surnom(s) : / • Âge : 19ans • Nationalité, origine(s) : Français • Pouvoir et description : Manieur du Smartphone de Dreamland, appelé Dphone. C'est un smartphone ressemblant énormément à ceux du monde réel, si ce n'est les mêmes. Ce que permet de faire un smartphone dans le monde réel est pareil ici, sauf qu'elles sont beaucoup plus importantes. Exemple, l'utilisateur de ce smartphone pourra envoyer des Sms à ses amis, en gros, ça leurs enverra un message dans leur esprit. La suite dans la fiche technique.

Description Physique.

Hey. Moi c'est Fely, je suis un jeune adulte de 19 ans mesurant 1 mètre 75 et pesant dans les alentours de 73 kilogrammes Je n'aime pas me vanter mais physiquement je suis un peu imposant, je fais de la musculation depuis plus de 4 ans maintenant, à mon avis ça commence à se voir. Ne cherche pas, je muscle TOUS mes muscles, enfin, en partie. Je muscle le haut et le bas quoi tu m'as compris.

Sinon je suis brun. Je sais que tu aurais pu t'attendres à ce que j'ai les cheveux verts ou bleus, mais non, je suis un mec normal, bon j'ai quelques mèches blanches, mais elles n'apparaissent qu'à Dreamland donc ça va. Les yeux marron. Quand on me dit que les yeux sont la fenêtre de l'âme, je commence à croire que la mienne c'est de la merde. Mais bon passons.

Niveau style vestimentaire suis-je obligé d'en parler ? Etant donné que c'est très varié quand même. Les seuls trucs que je peux te dire là-dessus c'est que tu ne me verras jamais habillé totalement en blanc ou noir. J'aime varier les couleurs, les marier et... Je ne sais pas quel mot je pourrai utiliser ensuite. Mais voilà, j'aime m'habiller, je suis le genre de mec à aimer faire du shopping avec sa meuf ou tout seul hein. Voilà physiquement c'est moi et toi t'es comment ?

Caractère.

J'ai 19 ans et je dois avouer que je suis un jeune qui se cherche encore sur certains détails de sa personnalité. Je m'aime tellement que je veux approcher de la perfection, sachant que ça n'existe pas, j'essaye quand même. J'ai tellement de fierté que quand je me lance dans un truc je dois le continuer  et l'achever par la même occasion. C'est comme ça, je suis un battant. J'avoue que cela peut être chiant des fois, ben, c'est limite si je suis têtu et borné.
Je dis limite car je me remets souvent en question. Quand on veut atteindre la perfection il faut connaître ses faiblesses et y remédier, sinon comment évoluer ? Comment apprendre de ses erreurs ? C'est quelque chose que j'ai appris à faire il y a très longtemps, à force de me disputer avec mes parents et qu'ils m'envoient toujours cette même phrase : "Toute façon t'as toujours raison hein ?".
C'est frustrant ! Donc ma fierté parlait encore, je voulais leur montrer qu'ils avaient tort et que je n'avais pas toujours raison. Je rigole encore rien qu'en y repensant.

Je suis quelqu'un d'intelligent, je ne suis pas prétentieux, seulement honnête. En fait, par intelligent je parle plutôt de réfléchi. Je réfléchis énormément et pour moi tout a une logique. Je comprends facilement le fonctionnement des choses, j'analyse rapidement la logique. J'ai tendance à le cacher, à minimiser ce côté-là de ma personnalité pour ne pas être un incompris.
Je dois dire qu'à une période j'avais très peur du regard des gens, c'était ma principale crainte, on m'a souvent reproché d'être trop avancé pour mon jeune âge. Quand je dis avant, je parle d'il y a au moins 3 ou 4 ans, quand j'étais vraiment dans l'adolescence.
Ce temps est révolu depuis que j'ai connu le théâtre où je peux utiliser TOUT mon ressenti, toutes les émotions que j'ai éprouvé, mais que j'avais peur de montrer (comme la peur ou la peine). J'habite dans le sud de la France et j'ai grandi dans un milieu ou la sensibilité n'est pas la chose à montrer si on ne veut pas passer pour un faible, maintenant j'ai compris que c'est une force que de la montrer et de s'en battre les couilles du regard des autres.
J'ai un côté marrant, j'aime beaucoup divertir, en fait je pense ressentir un léger manque de reconnaissance, mais je ne suis pas du genre à me mettre trop en avant, je suis trop humble pour ça et un peu trop honnête pour mentir sur mon compte et m'attribuer des atouts comme beaucoup de personnes ferait. J'aime être regardé, briller, mais en restant moi-même c'est le mieux je pense. Après ne pas être reconnu à ma juste valeur ne me fait pas souffrir, mais c'est toujours plus agréable d'être vu. Je pense avoir tout dit, si j'oublie certaines choses c'est pas grave, ça te donnera une raison de suivre mon aventure. 

Histoire.

C'est sous le soleil de Provence que je vis le jour. Un beau jour, pourtant c'était l'hiver encore. Ma ville Marseille, m'a vu grandir, évoluer et comme toutes grandes villes qui se respectent, il y a sont lots d'habitants, tous plus différents les uns que les autres. On peut dire que durant ma courte vie j'ai fréquenté vraiment tous les types de personne qu'on peut trouver. Je peux me vanter en disant que ma vie a été riche en rencontre, mais je suis trop modeste pour ça, je préfère que ça se voit plutôt que ça s'entend.

J'ai grandi dans un coin de la ville considéré comme difficile. Je n'ai jamais compris comment les gens peuvent aussi facilement poser une étiquette sur des lieux qu'ils n'ont jamais visités. Mais en grandissant, j'ai compris.

Je me rendais que mon envie de connaître les gens, mon envie de grandir, peut-être trop vite, je commençai très tôt à réfléchir différemment des autres jeunes avec qui je traînais. On devait avoir aux alentours de 13 ou 15 ans. Je ne casse pas du sucre sur le dos des gens, mais mes amis avaient toujours le même point de vue sur tout, ils partageaient la même façon de penser et c'était toujours dans la même lignée. Ils se sentaient persécutés par les "autres", toutes les personnes différentes devaient être évitées. C'est à cause de cela que je commençai à vivre une deuxième vie en cachette. Quand je n'étais pas avec mes amis d'enfance, j'étais très souvent avec les "autres".

Le plus triste dans l'histoire, c'est moi. Je pensai que je pouvais m'évader, apprendre plus en échangeant avec des personnes que je n'ai pas l'habitude de fréquenter. Dans un sens j'avais raison, mais j'avais oublié que les mauvais sont partout, peu importe l'environnement. Qu'on soie dans une grande ville, un village, un quartier difficile ou des quartiers chics. Cette ouverture aux mondes m'a fait perdre mes repaires, je voyais mes amis comme mes ennemis et les "autres" comme mes amis d'enfance. Mais j'ai vite compris qu'il y a du bon et du mauvais dans tout et qu'il faut faire des choix sur ce qu'on va prendre.

Mes amis n'avaient pas encore compris tout cela et se sont donc recroquevillés sur eux-mêmes, sur le cocon si je peux dire. Je simulai mon ignorance par rapport à tout ça. C'était mes amis, je les aimais bien, je ne voulais pas être jugé, j'avais peur de ce que tout cela pouvait engendrer par peur de perdre le contrôle sur la situation. J'ai trop de fierté et une trop haute estime de moi pour ne pas être en mesure de contrôler mon destin et les situations que j'affronte. Bref j'avais peur de les perdre. J'avais peur de tout perdre.

Petit à petit j'ai essayé de construire quelque chose de neuf, de plus fort. Je voulais être plus fort qu'avant. Je me suis rendu compte que je pouvais être qui je voulais cela ne changera rien sur moi, je veux être qui je suis et pas celui que tout le monde veut.

Après avoir obtenu mon bac ES, j'ai quitté ma ville pour la capitale. Je voulais vivre une aventure, je pense que c'est ce qui me manquait dans ma vie, un peu d'action, de stress. Cette expérience me permet en fait une plus grande ouverture d'esprit qu'avant, je me suis même inscrit à des cours de théâtre. C'est drôle quand j'y pense, car les autres élèves qui, selon mes amis du sud seraient considérés comme des "autres", ne s'attendaient pas à ce qu'un garçon comme moi vient dans un cours de théâtre. C'était un peu de la stigmatisation si je peux dire. Un mec de quartier ne peut pas s'intéressé au théâtre, c'est pas normal, du moins pour eux.

Je veux grandir et le théâtre m'aide pour ça, je peux être qui je suis et en même temps quelqu'un d'autre. Mes craintes se sont estompées mais d'autres sont venues, je pense que c'est ça la vie, c'est ça grandir. Il faut évoluer pour vivre de nouvelles expériences et affronter de nouvelles épreuves. Je sais maintenant que tout ce qui m'arrive devait m'arriver pour que je puisse avancer.

Post Rp.

Salut tout le monde ! C'est ma première vidéo sur ce site internet de Dreamland, c'est une podcast si vous voulez. J'avais envie de parler de ma première nuit à Dreamland, celle où tout a commencé si je peux dire. Je sais que t'en bats les couilles et je m'en bats les couilles aussi. Mais c'est toujours marrant de savoir comment tout le monde a vécu cette expérience, enfin, moi je trouve. Sur ce, la petite introduction est terminée, je te souhaite une bonne vidéo !

//Coupure//

Ouverture de rideau (ajouté au montage) sur Fely.

C'était tellement marquant que je me souviens de quasiment tous les détails. Je n'ai jamais eu de soucis à mémoriser ce que je trouve important. J'étais au beau milieu d'une grande entreprise, les ouvriers étaient en train de fabriquer toute sorte de matériaux électroniques : caméra de surveillance, télécommande, robot...

Je dois dire que cet endroit dégageait une aura plutôt sombre, ça se voyait que les gens n'étaient pas sympathiques. Bien que c'était un rêve, je voyais clairement, ça m'a troublé un moment, je n'osai pas bouger, je craignais la réaction de ces créatures étranges. Je m'imagine planté comme I au beau milieu d'une entreprise entièrement constituée de métal. Il fallait bien que je bouge à un moment, quand on est un rêveur on ne pense pas vraiment à ce qui peut nous arriver, du moins, c'est quand j'ai compris que je rêvai que je commençai à penser comme ça. Etant un rêveur lucide à mes heures perdues, cet éclair de lucidité m'a permis de vivre une nuit bien différente des autres.

Au fur et à mesure de ma prise de conscience que je rêve, ma taille diminua... Non, non, je me suis trompé, tout ce qui se trouvait autour de moi se mit à grandir. Je peux vous dire que la peur revint. Tellement que je me mis à courir pour éviter de me faire tuer, j'ai bien dit : tuer. Dans les rêves l'instinct de survie revient, c'est le propre de l'homme, se battre peu importe la situation. Mais durant ma course, ma lucidité disparaissait, je ne compris pas trop. Ce rêve était bouleversant.

J'avais donc réussi à quitter mon lieu d'arrivée sans avoir été repéré. Une chance, mais quand on voit la taille que je faisais par rapport aux autres êtres présents, il faut dire que ce n'était pas étonnant. Je me retrouvais donc dans un couloir, mais à peine avoir mis les pieds dedans, que je ressentis un léger choc au niveau de mon bassin, qui me fit trébucher et tomber au sol. Une gêne au niveau du ventre m'empêchait de me relever, une sensation de lourdeur et des vertiges par la suite. Ce n'est qu'en tournant ma tête en arrière que je vis un petit robot, il devait mesurer au moins 50 centimètres par rapport à ma taille. Dans sa main, un petit pistolet, sur mon ventre, une fléchette.
Je n'ai pas trop compris sur le coup, mais j'ai donc enlevé ce projectile, sauf que cela déclencha un bruit strident. L'objet était une sorte d'alarme miniature, comment je le sais ? Attends la suite.

Donc, instinctivement je me mis à courir, l'incompréhension et la peur de me faire attraper me firent prendre des directions désordonnées et sans aucunes logiques. Je voulais fuir, mais personne n'était à mes trousses, du moins je crois. J'avais trop peur pour tourner la tête et voir si j'étais suivi. Dans les rêves ce qui est con, c'est qu'on n'est censé être invincible, indestructible ou inépuisable, mais les limites du monde réel sont tellement implantées dans mon esprit que je me mis à m'essouffler. Prenant appuis sur le mur de droite avec mon bras, je m'abaissai légèrement et commençai de très rapides mouvements respiratoires.

Ma main gauche alla se plaçait sur ma plait causée par la fléchette du robot et là je vois qu'il n'y a plus rien, plus de blessure, mais les effets du "poison" étaient encore là malheureusement, étrangement ils reprirent leurs effets qu'au moment de ma pause, donc il fut plus difficile de reprendre ma course. Je décidai donc de continuer à un rythme, plus lent qu'une marche à pied.

Les vertiges étaient plus forts, mon mal de ventre et la lourdeur de mes jambes aussi. Je perdis l'équilibre et je perdis connaissance. Enfin, pas totalement, c'est un rêve, je dirais que j'étais semi inconscient. Après être tombé au sol, j'eus une vue de cinéma, comme une sorte de plan reculé de mon corps. Je me voyais allongé sur le sol métallique et tout ce qu'il y avait autour. Grâce à ce nouveau point de vue, je pus apercevoir une porte sur laquelle était marqué "Hide yourself", puis les lettres devinrent floues.

J'entendis des bruits de pas, comme des pieds recouverts de chaussures métalliques. C'est la peur de ce bruit qui me donna la force de me relever et de continuer ma course. Le poison ? Disparu, la peur l'a fait disparaître de mon esprit, pour moi à ce moment c'est comme-ci il n'avait jamais existé. Je poussai donc la porte qui donna accès à un grand toboggan qui me fit tomber jusqu'à un tas de métaux abîmés.

Blessé à cause de la chute, je pensai que rester ici pour récupérer était une bonne idée. Je restai donc assis, attendant je ne sais quoi. Je sais que l'attente fut longue, mais quand on rêve on n'a pas le temps d'attendre. Je devais trouver quelque chose, une étrange sensation de vibration délicieuse souleva mes mains qui creusèrent dans ce tas de métaux usés. Griffées et tailladées, mais mains ne s'arrêtèrent pas, je perdis contrôle de ces deux membres. La petite creusette se stoppa à la prise d'une boîte noire, pas la même que celles des avions, mais plutôt comme celles des téléphones. Un petit message écrit dessus : "Prototype inachevé".

Je l'ouvris et vis un smartphone, très beau, dégageant quelque chose de spécial, je ne pouvais pas vraiment savoir ce que c'était vu que je n'étais qu'un rêveur. J'appuyai donc un long moment sur la touche de verrouillage ce qui l'alluma. Un smiley sur l'écran et un message apparu dans une bulle, comme celle que l'on peut voir quand les personnages de bandes dessinées parlent.

"Bienvenue sur le smartphone, je m'appelle phone... Dphone".

Je dois vous dire qu'à partir de cet instant, je n'ai pas tout compris, je pense que ce cellulaire a dû comprendre ou plutôt sentir, que je n'étais qu'un rêveur. Car à la suite de tout ça, une légère secousse vint me secouer (lol). J'eus l'impression qu'une bulle éclata devant mes yeux et ma vue fut plus net, enfin, plus réaliste... Non... Comment je peux dire... C'était si singulier... Euh... Presque, comme-ci tout ce que je regardai était réel, enfin... Non. Je savais que c'était pas le vrai monde, je savais que je rêvai, mais je voyais les choses comme dans le monde réel...

Le téléphone sonna, sur l'écran s'était écrit ces mots : "Vous avez un nouveau message".
Je l'ouvris donc : "Bonjour, vous voilà maintenant maître du Dphone. Nous avons compris que vous n'étiez pas un voyageur, donc on vous a aidé à l'être . Un simple contact avec cet objet vous donne la chance de devenir un voyageur et de voyager (logique non ? Lolilol... Comme les humains wesh !) à travers les rêves une fois endormis. Je vous souhaite bonne chance et amusez-vous bien."

Voyageur ? Voyager ? Comme les humains ? Je peux vous dire qu'avec tout ce qui m'est arrivé, je pense que je n'avais pas besoin de toutes ces explications d'un coup, ça me créa encore plus de question. Je ne sais pas à quoi ce téléphone allait me servir, je regardai donc dans les applications présentes... Pas grand-chose, si ce n'est une carte. Je tapotai dessus et ouvrir une sorte de carte du lieu dans lequel je me trouvai. J'ai donc suivi les flèches présentes sur la carte et qui m'indiquaient "Sors par là, petit con !".

Il y avait donc une sortie cachée dans cette poubelle. Une fois dehors, je me sentais bien, meilleur que dans cette énorme entreprise, je m'en éloignai donc à grande vitesse et je fus ébahis par tant de beauté dans les décors que je voyais. Les couleurs, les créatures, les gens ou encore les formes. Tout était entraînant et magnifique, je ne voulais plus me réveiller, je voulais vivre ici, évoluer ici, apprendre ici, rencontrer ici, mais comme à chaque meilleur moment dans un rêve, il y a ce PUTAIN DE REVEIL QUI SONNE, qui par ailleurs, est mon téléphone...   

Autres.

(La première partie de cette section concerne votre personnage, et pas vous IRL)
• Aime : S'amuser
• N'aime pas : l'ennui
• Particularités, autres : Des mèches de cheveux blancs apparaissent quand il est à Dreamland
• Niveau d'étude hors de Dreamland : Actuellement en formation professionnelle théâtrale.


• Comment avez-vous découvert le forum ? Je suis un ancien membre (je ne me rappelle plus vraiment de mon ancien perso mais je me rappelle d'anciens membres)
• Première impression : Cool
• Pour les DC (double compte) ou TC (triple compte), qui a donné son accord ? Non ce n'est pas un DC ou TC.
• Avez-vous lu les règles et les respecterez-vous ? Ok
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