DASLER
AURELIAN, HYDE

Personnage.

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• Nom : Dasler • Prénoms : Aurelian, Hyde • Surnom(s) : Aucun • Âge : 23 ans • Nationalité, origine(s) : Français, d'origine allemande • Pouvoir et description : Peur des armures. Aurelian peut appeler une armure vide se mouvant d'elle-même pour se battre à ses côtés, voire même le protéger.

Description Physique.

Aurélian est un jeune homme plutôt bien bâti, quoi qu'aillant un léger embonpoint, mesurant 1m83 et pesant 78kg. Musclé de manière homogène, ses mains cornées sont le reflet de son tempérament rugueux, abîmées au travail. Ses épaules sont plutôt carrées et larges. Il arbore une barbe en collier ainsi que des cheveux en bataille et une queue de cheval d'un rouge flamboyant. Ses yeux verts émeraude s'accordent parfaitement avec le ton de sa chevelure et sont mis davantage en valeur par sa peau bronzée, légèrement caramel.

Ses tendances vestimentaires s'orientent vers le style militaire. Portant souvent des chaussures de randonnée, des treillis et des marcels, il n'est pas très original et se contente de s'habiller selon ses habitudes en tous temps, à moins que la situation n'exige réellement une exception (entretien, rendez-vous...). Il accorde énormément d'importance à la praticité de ce qu'il porte, c'est pourquoi cela doit être ni trop ample, ni trop moulant, histoire de ne pas gêner ses mouvements, ainsi que d'être pourvu de sacoches.

Son visage anguleux arbore souvent, soit une moue boudeuse, soit un sourire provocateur. Aurelian n'est fait que d'extrêmes et ne connaît pas de demi-mesures. Ainsi va également sa gestuelle, qui peut subitement passer du passif à l'excessivement nerveux, ainsi que son regard, passant de l’absentéisme le plus total à la détermination la plus robuste.

Caractère.

Lunatique, c'est le moins que l'on puisse dire à propos de ce demi-mastodonte qui est à la fois le tout et son contraire. Il peut être très réfléchi s'il s'en donne le temps, ou très (trop) téméraire.

Plutôt solitaire, Aurelian est d'un naturel aigri et ne fait confiance à personne d'autre qu'à lui-même. Ce qui fait qu'il aura toujours tendance à vouloir prendre les choses en main, pour peu qu'il se sente concerné. Il ne se repose jamais sur qui que ce soit, et c'est pourquoi il tend a développer lui-même toutes les connaissances dont il a besoin. Il n'est cependant pas médecin, et n'est pas bête au point de ne pas faire appel à un professionnel si cela est réellement nécessaire (bien qu'il le fasse à contrecœur). Cet orgueil est très certainement son principal défaut.

Il est également plus cérébral qu'il n'en à l'air, pouvant plancher une idée ou un concept sur une feuille de papier... ou cent... pendant des heures si sa détermination lui en dit. C'est (entre autre) cela qui lui à valu son poste de manager d'équipe dans l'entreprise de métallurgie dans laquelle il est employé. Il garde cependant un certain penchant pour la soudure et n'a pas encore eu le cœur d'abandonner son chalumeau.


La colère pourrait être son second défaut. Étant tout et son contraire, ses colères sont fulgurantes et très violentes, mais sont généralement très courtes. Leur nombre peut varier d'un jour à l'autre, le tout dépendant de son humeur et de son environnement.

En dépit de son apparence antipathique et nombriliste, Aurelian a un bon fond et n’hésite pas à aider quiconque est dans le besoin. Son caractère cependant, le forcera à prétendre de le faire à contrecœur.

Histoire.

Aurelian est le fils unique d'une riche famille d'origine allemande. A la tête d'une grande multinationale de prêt-à-porter, ses parents voyaient en lui la relève de l'entreprise familiale, ce qui ne fait pas vraiment partie de ses projets d'avenir...

Délaissé par ses parents depuis son plus jeune âge au profit de leur carrière professionnelle, Aurelian à grandi seul, avec pour seule compagnie sa nourrice ainsi qu'une figurine représentant un chevalier en armure.

Très vite, Aurelian s'intéressa à des jeux de construction tels que les "LEGO", les "Mecano" et autres jeux du même genre, réalisant au fil des semaines des figures de plus en plus complexes et abstraites.

Son arrivée à l'école marqua de manière indélébile son caractère. Mis de côté et discriminé par ses camarades en raison de ses origines bourgeoises et de ses cheveux roux, Aurelian n'avait pas d'amis et ne cherchait pas à s'en faire. Il restait dans son coin, avec sa figurine, et commençait à s'essayer au dessin. Il redessinait les figures qu'il avait réalisées chez lui à l'aide de ses jeux, et en concevait même de nouvelles, le rendant impatient de rentrer chez lui afin de les fabriquer. Déjà, il commençait à s'intéresser à l'architecture des choses.

Plus les années passèrent, et plus sa passion pour la construction et l'architecture s'affirmait, au grand dam de ses parents qui essaient de le convaincre, voire de le forcer, à s'intéresser davantage à la gestion des entreprises afin de reprendre l'affaire familiale. Ils eurent bien des occasions d'expérimenter le caractère tumultueux de leur fils, qu'ils ne connaissaient pas vraiment jusqu'alors, ne commençant à s'intéresser à lui qu'alors qu'il arrivait à l'âge de "comprendre les choses". Mais leur fils les avait déjà comprises bien avant, et ne se voyait absolument pas au milieu de gros-sous à discuter le moindre centime et à exploiter des milliers de salariés. Lui voulait créer des choses, participer à des monuments tels que la Tour Eiffel, qu'il a déjà reproduite dans sa chambre à l'aide de "Geomags".

Le temps passa, et le conflit entre Aurelian et ses parents s'intensifia. Aurelian retomba sur son vieil ami d'enfance, sa figurine de chevalier. La voyant comme un symbole de l'abandon et de l'autorité de ses parents à son égard, Aurelian jeta la figurine. Dès lors, il commença à avoir des cauchemars, représentant ses parents comme tyrans d'un monde qu'il fuyait, pourchassé et traqué par une armée d'armures semblables. Trop fier pour en parler à qui que ce soit ou bien consulter un spécialiste, Aurelian continua à vivre avec son cauchemar récurrent, au moins une fois par semaine, le réveillant avec la sueur au front au moment ou l'une d'elle lui enfonce sa gigantesque lame dans l'estomac.

A dix-neuf ans, Aurelian obtint son diplôme et fût embauché dans une entreprise de métallurgie en tant que soudeur. Ses cauchemars prirent alors une toute autre forme. Alors travaillant dans son entreprise, on lui confie un travail sur une des dites armures. Il se retrouve donc soudant une bonne dizaine de ses armures, qui se lèvent une fois le travail terminé. Sauf que cette fois-ci, le casque des armures est à l'effigie du visage de son père.

Aurélian découvre l'amour a vingt ans, et s'installe avec une jeune femme qui le quittera au bout d'un an du fait de ses cauchemars récurrents et des tensions existant entre le jeune homme et ses parents, le laissant seul dans l'appartement et emportant avec elle tout ce qui avait de la valeur. Il se renferma davantage sur lui-même, se noyant dans son travail. Ses nombreuses heures supplémentaires ainsi que son application au travail lui ont valu une promotion au poste de manager d'équipe deux ans plus tard. Mais ce que vise Aurelian est tout autre. Il veut devenir celui qui dessine les plans et donne vie a son imagination, et il n'aura de répit que quand il apposera son propre nom sur un monument qu'il aura tout droit sorti de son esprit.

Post Rp.

Six heure et demie du matin, le réveil sonne. Sur un air de black métal bien violent, Aurelian se réveille, cheveux en bataille et barbe désodonnnée. Aujourd'hui, il doit reçevoir une "commande spéciale", et comme tous ses autres collègues sont déjà occupés sur d'autres contrats, il devra s'en occuper seul. Il pose ses pieds sur son parquet froid sans oublier de râler tout seul au sujet de la température du sol, et les traîne jusque sa salle de bains. Sa douche prise, il attache les cheveux à l'arrière de son crâne, coiffe ceux du dessus en bataille, taille légèrement sa barbe, et après s'être brossé les dents, s'habille à son habitude : un treillis kaki, un t-shirt sans manches noir, ainsi que des chaussures de randonnée.

Sept heure du matin. Assis dans sa cuisine, Aurelian se tartine une tranche de pain de campagne grillée avec du beurre demi-sel, s'abreuvant d'un grand verre de jus d'ananas et d'un café très corsé. La radio ne marche pas ce matin... Mais il ne semble pas s'en soucier, il la réparera ou la remplacera plus tard. Pour le moment c'est la tête dans le cul qu'il lit pour la énième fois la composition du café qu'il boit. Il finit par connaître l'étiquette par cœur, et croyez-moi qu'il vaudrait mieux pas qu'il aie quoi que ce soit à redire à ce fameux Jacques Vabre au sujet de son café, car connaissant parfaitement l'adresse et le numéro de téléphone du siège, il n'irai pas de main morte, surtout le matin ! Une fois rassasié et prêt pour sa journée de labeur, Aurelian enfile son manteau à poches et sort de l'appartement.

Sept heure et demie, le ciel est toujours très sombre de part cette nuit d'hiver.
"- Rhah, putain d'froid à la con !" râle Aurelian, regrettant de ne s'être couvert davantage.
De la fumée d'échappe de sa bouche ou de son nez à chaque expiration, et le bruissement de la neige sous ses pas perturbe le jeune homme, le faisant râler davantage. Le jour s'annonce rude, et le bar-tabac l'Éléphant Rose ne sera même pas ouvert aujourd'hui pour qu'il puisse prendre sa pause à l'extérieur de l'atelier, café à la main. Putain de café ! Les mômes braillent à l'entrée de l'école maternelle sur le chemin. Putains de mômes ! Maintenant qu'il y prête un peu plus attention, cherchant des yeux le plus bruyant d'entre eux, il remarque que le groupe d'enfant joue ensemble, tous sauf un, cheveux roux, assis dans son coin avec son jouet dans les mains. Aurelian a un saut de cœur, et continue son chemin.

Huit heure moins le quart. Un couple se dispute sur le chemin. Aurelian se fiche de ce qu'ils peuvent bien se balancer à la figure, mais qu'est-ce qu'ils sont bruyants ! Il continue sa marche, et croise un second couple se mettant sur la face, tout aussi bruyamment.
"- Mais bordel, c'est quoi l'problème ce matin ? Y a pas assez des gosses qui braillent, faut qu'les plus grands s'y mettent aussi ?!"
Le couple fait un bond en arrière en réaction au râle du jeune homme, qui trace son chemin. Il entend cependant un drôle de bruit métallique qui lui semble familier. Il se retourne, rien. Sûrement son imagination. Il arrive sur son lieu de travail, la goutte à son nez rouge, et d'une humeur exécrable.

Huit heures. Aurelian est en tenue de travail, et se rend dans le bureau de son responsable, afin de discuter de la commande spéciale lui étant attribué. L'homme, cependant, n'est pas celui qu'il connaissait, mais lui semble tout de même étrangement familier.
"- Bon, c'est pas tout ça, mais moi je suis censé commencer a pile. Donc dites moi c'que j'dois faire, qu'on en finisse vite !
- Du calme, monsieur Dasler. Du calme... Les pièces de collection que vous devez assembler ne sont pas encore arrivées. Ce sont d'antiques reliques, vous savez. Elles requièrent un maximum de délicatesse dans leur manipulation !"
Assemblage et relique sont deux mots qu'Aurelian n'apprécie pas particulièrement. Car cela veut dire que non seulement il va devoir travailler sur quelque chose qu'il n'a pas conçu lui-même, comme à sa première année de travail, mais qu'en plus s'il se plante, ça risque de lui coûter cher, et Aurelian se refuse le soutien financier de ses parents, avec qui il à coupé les ponts il y a des années.

Les caisses arrivent une demi-heure plus tard, déposées dans l'atelier par un livreur. Elles semblent bien lourdes, et sont au moins une dizaine... A l'aide d'un pied de biche, il ouvre l'une d'elles.
"-Il y à dans une même boîte, tous les éléments d'une pièce. Ca vous évitera de toutes les ouvrir en même temps pour les assembler." dit le livreur.
La surprise d'Aurelian est de taille alors qu'il aperçoit un casque et des épaulières dans la caisse qu'il vient d'ouvrir, il y a là dedans toutes les parties d'une armure médiévale ! Aurelian approche la dite caisse près d'une table de travail et commence à en assembler les morceaux. Deux choses commencent à l'interpeller alors qu'il est à l’œuvre... Premièrement, pourquoi confier un travail sur de telles pièces à une simple entreprise de métallurgie ? Et, deuxièmement... pourquoi cette armure lui paraît-elle si familière ? Ce n'est qu'une fois qu'il en a monté la moitié d'une qu'il se rend compte : cette armure ressemble à s'y méprendre au jouer qu'il possédait étant enfant, et a cette même armure qui hante ses nuits depuis des années ! Pris de panique, Aurelian arrête son travail et s’assoit.

C'est alors que les boîtes explosent, et que les armures commencent à s'assembler toutes seules, comme par magie.
"- Nom d'un bordel de chalumeaux... J'me tire d'ici !"
Aurelian cours vers un couloir, mais celui-ci s'allonge à mesure qu'il s'y enfonce. Les armures, quant à elles, sont assemblées, et commencent à le poursuivre. Aurélian sprinte, accélère, mais peu importe la distance qu'il avale, la porte ne se rapproche pas. Les armures, quant à elles, se rapprochent, menacantes, leur pas fracassant le calme ambiant d'un lourd bruit métallique. L'une d'elles le saisit, elle fait deux fois sa taille, puis le re balance au sol. Aurelian roule sur le côté pour éviter de se faire saisir à nouveau et recommence à courir, haletant, et luttant contre la panique.

Il arrive enfin près de la porte, mais celle-ci ne s'ouvre pas, elle semble verrouillée de l'extérieur, et il n'a aucun outil pour l'ouvrir. Les armures se rapprochent encore.
"- Ca va finir comme dans mes putains de cauchemars... J'vais me faire broyer ou planter ! Oh putain d'merde pourquoi j'peux pas me défendre ?! J'déteste ces armures !!"
Coincé entre la porte et ses poursuivantes, Aurelian finit par s'asseoir au sol, incapable de penser ou d'agir. Elles se rapprochent. Il commence a se recroqueviller sur lui-même, comme essayant de se protéger de ce qui l'attend.

Dans ses yeux s'allume une lueur de détermination. Il en a marre. Il est en colère. Il se relève, serrant les dents, et les poings.
"- Ça fait des années... Bien une dizaine de putains d'années, que vous, tas de ferraille, pourrissez ma vie ! Et ça commence SÉRIEUSEMENT à me taper sur le système !!"
Habité par sa rage, Aurelian arrache la barre-poussoir de la porte afin de s'en servir comme arme. Il y a un maillet derrière elles, il court donc, utilisant sa barre pour parer les attaques ou déstabiliser les armures pour l'atteindre. Armé de son fidèle outil, il se sent plus en confiance.
"- C't'avec CA que j'forge et assemble les tas de ferrailles ! Ça devrait marcher aussi pour faire le travail inverse !!"
Sa colère le fait frapper le sol de toutes ses forces avec son maillet. S'ensuit un grand flash de lumière, se matérialisant en une nouvelle armure. Celle-ci, cependant, est différente. A taille humaine, un air d'armure de paladin tout en aillant un je-ne-sais-quoi de familier a Aurelian, comme si le style de l'armure correspondait à ce qu'il aurai pu lui-même imaginer ou concevoir, cependant, elle n'est pas armée. La nouvelle armure se jette sur les assaillantes, les réduisant en pièces de par ses poings. Aurelian l'accompagne, emboutissant ses ennemies de son lourd maillet. Le duo inespéré vient a bout de toutes les armures en l'espace de deux minutes de combat acharné, après quoi Aurelian refrappe le sol de son maillet, hurlant a plein poumons un cri de victoire et de rage.
"- VOUS POUVEZ REVENIR, SALOPES, MAIS PLUS JAMAIS VOUS NE M'AUREZ !"
Il se retourne et contemple l'armure qui l'a aidé, celle-ci disparaissant en laissant derrière elle un collier. Collier qu'Aurelian porte autour de son cou depuis qu'il s'est affranchi de ses parents. Aurelian comprend maintenant... Il rêve, et cette armure fait partie de lui. C'est alors que l'homme effrayé par les armures, décide de commencer à en imaginer, à en créer. Son oeuvre, son art, son héritage à la métallurgie, sera une armure. La plus belle, mais aussi la plus fonctionnelle qui n'ait jamais été.

Autres.

(La première partie de cette section concerne votre personnage, et pas vous IRL)
• Aime : Le café bien corsé, le black métal (au moins aussi noir que son café), l'humour noir (pareil), la tranquillité, les beaux monuments.
• N'aime pas : Les gamins, le romantisme (depuis sa rupture), les bureaucrates, l'exploitation, ses parents, les "wesh", le rap, l'hypocrisie.
• Particularités, autres : Aurelian porte un médaillon en or depuis qu'il a coupé les ponts avec ses parents. "freedom" ainsi qu'une colombe sont gravés dessus. Il a toujours son téléphone sur lui, qu'il utilise avant tout pour écouter sa musique, et toujours des poings américains dans les poches pour se défendre.
• Niveau d'étude hors de Dreamland : Aurélian à un BAC +2 en ingénierie mécanique.


• Comment avez-vous découvert le forum ? Flavien Madelar m'a traîné ici de force. t('^'t)
• Première impression : Ca me plaît bien ! On verra bien comment ça tourne.
• Pour les DC (double compte) ou TC (triple compte), qui a donné son accord ? Je sais que j'suis un peu schizophrène... Mais QUAND MÊME !! (premier compte ^^)
• Avez-vous lu les règles et les respecterez-vous ? Je les ai lues et ferai de mon mieux pour les respecter.
• Code de validation :

(PS : posté depuis un téléphone donc rudimentaire. Mise en page et corrections éventuelles à venir au courant de la journée entre deux parties de Destiny sur PS4 avec Flavien Madelar o/)

(PS2 : Bro ! Ça y est j'ai fait ma fiche comme promis, gros !! \o/)

(PS3 : Grand merci à Éd pour avoir pris le temps de répondre à mes questions sur la chatbox !)

Alors déjà, on te souhaite la bienvenue sur notre forum !
Le code est bon, je valide.

Quant à la fiche en elle-même, elle est sympa.
Pour ton pouvoir, ton armure, obtiendra-t-elle avec le temps des capacités ?

Et bien je pense, oui.
Je prévois de la faire évoluer. En fait, je pense que les "améliorations" se concentreront plus sur l'armure qu'Aurelian lui-même.
Aurelian apprendra avec le temps à l'équiper sur lui-même, mais l'armure deviendra plus puissante, résistante, fonctionnelle et "moderne" en fonction de sa maîtrise.

A tes yeux, l'Armure serait ton invocation que tu contrôles, ou un objet magique ?
Histoire de savoir dans quel groupe te placer ? ^^

J'hésite encore à ce sujet.

Dans le cas du Manieur, l' "objet" serait plutôt le fameux pendentif qu'il porte autour du cou.

Dans le cas de l'Invocateur, ce serait l'armure elle-même.

Mais j'ai du mal a comprendre la réelle différence que subirai mon personnage en choisissant de l'affilier de l'un ou l'autre côté, excepté le fait qu'en tant que Manieur, sa capacité à appeler l'armure serait directement liée au pendentif.

J'ai lu et relu les descriptions des deux classes, mais je ne peux me décider. Un avis ne serai pas de refus.

Pour te/vous (selon préférence) donner une meilleure idée du pouvoir... (spoiler)


C'est à peu près l'idée. Bien entendu, c'est l'idée générale, je ne l'ai encore soumise à aucune réflexion en termes d'équilibrage, et le cheminement de ses amélioration peut être discuté/modifié/équilibré autant que nécessaire, je suis ouvert à toute discussions à ce sujet.

Tout compte fait...

Adjugé, je prend MANIEUR ! o/

Bienvenue sur le forum !

Pour ce qui est de ta fiche, j'en ai beaucoup apprécié la lecture. Je n'ai pas le souvenir d'y avoir vu de faute, l'écriture était relativement fluide et ton personnage se découvrait. Mention spéciale pour le début du post RP et toutes les petits clin d'oeil à la vie d'Aurelian qui font penser qu'il est dans un rêve.

J'hésite pour un rang 2 et un rang 3 pour ta fiche, mais avec une nette préférence pour le rang 3. De toute façon même si j'avais été décidé il faut de toute manière un autre avis d'un admin en ce qui concerne ton rang pour valider le tout ^^

Merci beaucoup Clem pour ton commentaire que je trouve assez élogieux ! Moi qui avait peur d'avoir complètement planté m'a fiche, j'admets que j'ai été pris de court et que ça m'a fait très plaisir !

Mais vaut-elle reellement un R3? J'ai le sentiment que j'aurai pu faire mieux... ><

Alors, je suis d'avis pour rang 2 en tant que Manieur.
Oui, je suis ennuyante u_u

Donc c'est décidé, tu es validé Manieur Rang 2, félicitations ^^ Tu peux allez faire ta fiche technique !