Preston
Daris

Personnage.

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• Nom : Preston • Prénom : Daris • Surnom(s) : . • Âge : 18ans • Nationalité, origine(s) : Français • Pouvoir et description : Manieur du bracelet de la chance, pas très compliquer à comprendre, sauf que les coups de chances sont limités en fonction du rang. Un coup de chance peut être permis dans certaines situations pour se sortir d'affaire, plus la situation est difficile, plus il va falloir user de la chance pour s'en sortir.

Description Physique.

Bonjour, alors je suis un jeune de 18ans, adepte du sport en tout genre, histoire de sculpter un peu ce corps qu'on m'a donné, quand je parle de sport c'est généralement de la musculation que je pratique depuis bientôt quatre ans et oui les amis, j'ai développé une certaine force non négligeable et une certaine sainteté dans mon corps de jeune adulte, je n'ai donc pas à me plaindre pour être franc, j'aime comme je suis.

Mes cheveux noirs constituent une partie de mon charme j'ai envie de croire, ils ne sont pas très long généralement, si ils le sont c'est parce que j'ai la flemme d'aller chez le coiffeur, malheureusement ça arrive. Mon regard n'est pas très perçant vu mes yeux marron, mais assez doux, oui, les yeux sont le miroir de l'âme, donc de la personnalité en quelque sorte.

Sinon, sur le style vestimentaire, ce serait assez long et assez chiant de vous dire comment je m'habille, car je n'ai pas de style particulier et je n'en veux pas, l'étiquetage ce n'est pas pour moi, j'ai tendance à varier les vêtements que je mets, pour ne pas permettre aux personnes que je côtoie de prévoir comment je vais être sapé, c'est comme ça, c'est moi. J'espère que mon joli accent du sud réchauffera les coeurs.

Caractère.

Ce n'est pas forcément ma partie préférée du programme, mais il faut bien une phrase d'accroche non ? Car oui, je suis le genre de personne qui n'aime pas les trucs chiants à faire, quoi, vous aussi ? Et bien vu qu'on se ressemble sur ce point, je pense qu'on va se ressembler sur les autres, non ? Tant pis. Je suis un être humain complet, je pleure, je m'énerve, je réfléchie, je pense et baise, quoi, fallait pas le dire le dernier truc, merde, je suis désolé.

Oui, comme vous pouvez le voir j'aime bien déconner ou prendre les gens pour des cons, je ne le fais pas par méchanceté mais pour divertir, j'aime être le centre de l'amusement dans un groupe, bon je sais doser pour éviter d'être trop lourd, je suis assez calculateur dans le fond, non, non, je me perds, je préfère plutôt dire réfléchi, j'ai tendance à beaucoup réfléchir, je me remets en question pour m'améliorer et grandir, vous allez croire que je n'ai aucune spontanéité et bien vous avez faux, j'ai tendance à intérioriser les remarques que je me fais à moi-même à propos de mon comportement, comme ça je n'ai pas à réfléchir avant de vivre une situation, je vous perds ? Pour faire simple, je vie comme tout le monde vie, dès que je suis chez moi, si j'ai l'impression que je peux corriger quelque chose, je le fais et on recommence.

Je dois avouer que c'est très dur d'être une personne parfaite sans défaut, oui j'ai déjà essayé, mais ma fierté et ma colère remontent souvent à la surface quand j'essaye le plus souvent de les cacher, mais n'allez pas m'imaginer en petit con qui dit n'importe quoi quand il s'énerve, loin de là et c'est sans prétention que je vous dis que je sais où faire mal, je sais quoi dire pour faire mal aux personnes en face de moi, ben, je réfléchis beaucoup sur moi, je peux me permettre de réfléchir un peu sur les autres et c'est une fierté. Je suis tellement fiers de ce que je suis, je m'aime beaucoup. Ce n'est pas de l'égocentrisme, on n'a pas le droit de s'aimer ?

Mais je peux aimer les autres aussi, rappelez-vous, j'ai dit au tout début que j'étais quelqu'un d'entier. Une qualité que je montre tout particulièrement, c'est mon côté sarcastique, je ne vous avez pas dit que j'aime prendre les gens pour des cons ? Et bien voilà. Qui sait, peut-être que tout ce que je viens d'écrire est faux et que peut-être je m'amuse à décrire quelqu'un qui n'est pas moi, pour rendre l'exercice un peu plus amusant que ce qu'il est en réalité... À méditer...

Histoire.

Il paraît que je suis né dans le sud de la France, ça peut s'entendre à ma façon de parler j'ai envie de dire. J'aime cet accent, j'aime cette façon de parler, j'aime tout ce qui fait que je suis moi. Donc je vais me présenter, je suis Daris Preston, fraichement bachelier et parti loin de la ville donc je suis issu pour vivre une grande aventure Parisienne, qui consiste à suivre des cours dans une école et visiter la ville... Et aussi connaître tous les trajets des transports en commun par coeur !

Je ne vais pas cracher dans la soupe, j'ai eu une vie génial, enfin, j'ai une vie géniale. Mon enfance fut banale j'ai envie de dire, rien de vraiment spécial à signaler. J'ai grandi en ne manquant de rien. Je suis issu d'une famille modeste et je ne manquai pas d'amour. J'ai toujours détesté la routine, donc je faisais en sorte de faire toujours quelque chose de nouveau ou que j'avais fait il y a un moment, comme le sport par exemple. Je changeai beaucoup de club de sport. Club de foot, boxe thaïlandaise, basket, judo, théâtre et j'en passe. Je restai généralement un an et je changeai, c'était une façon pour moi d'être une personne assez polyvalente, j'aime l'idée d'un homme capable de tout, même si je sais que c'est impossible, ou du moins difficile.

Au niveau de l'école, j'ai toujours été un élève assidu, même si je l'étais par peur de ne rien avoir plus tard, mais maintenant que j'ai eu mon Bac, je me rends compte que mes années de primaire, collège et lycée furent celles dont un bon nombre d'enfant rêve. Quand j'étais à la primaire, c'était moi le bagarreur, je n'arrêtai pas, c'était presque bizarre si je passai une journée sans avoir cogné et avoir été cogné. N'allez pas penser que j'étais l'agresseur, ahah non, j'étais le défenseur, enfin, j'aime pas dire victime. Ce n'était pas du harcèlement scolaire, comme je vous ai dit, je n'aime pas être victime. Mais plus je grandissais et passai les années, plus ça se calmait.
Au collège, c'était une bonne ambiance, tout le monde se connaissait, la plupart de mes amis de maintenant étaient au collège avec moi. Alors le lycée. Les meilleurs années de ma vie d'élève, ce fut magique, un vrai coin d'amitié et de déconne, tout en gardant en vue l'objectif qui était le Baccalauréat.

Que dire de plus, vous savez, si j'avais vraiment quelque chose à raconter, comme mon traumatisme pour ma phobie, ou encore la raison de la mort de mes parents que je veux venger et que comme par hasard (ou Deus ex Machina) je retrouverai dans une de mes histoires futures, je le ferai. Heureusement, rien de ces trucs ne m'est arrivé, donc je suis plutôt content de ne rien avoir à vous raconter. Après c'est sûr que j'ai raconté les grandes lignes de ma life, il manquerait plus que je vous raconte ma vie depuis le premier jour dans les détails et là ce sera très chiiiiiiiant pour vous comme pour moi qui va devoir chercher dans sa mémoire tous les evenements de sa petite vie qui n'a commencé il n'y a que 18 années en arrière...

Aujourd'hui, je suis toujours à Paris, je descends régulièrement dans le sud pour revoir ma famille et me revigorer des bons souvenirs que mes amis et moi nous racontons.  

Post Rp.

Il parait que plus une personne fait des rêves étranges plus elle est intelligente, je ne sais pas pourquoi j'ai l'impression de l'avoir déjà marquée, mais bon, les gars je crois que je suis un génie. Je me baladai sur des rails de train, je me trouvai dans une vallée remplie. Je commençai à comprendre la raison de cet environnement, je m'étais endormi dans le train qui me ramène dans le coin ensoleillé de la France pour les vacances de Noël, ben oui, il manquerait plus que je les passes éloigné de ma famille.

Je ne semblais pas vraiment dérangé à l'idée que je puisse me faire percuter par un train, je continuai donc ma marche. Je peux justifier cet état d'esprit, car je ne voyais aucun wagon dans les environs, rien, même le vent qui me décoiffa fit demi-tour pour me dire qu'il ne comprit pas. On se salua et chacun reprit sa route.Ce ciel gris, couvert par quelques nuages blancs en forme de doigt d'honneur ou encore certains faisaient des signes à connotations sexuelles assez explicites, je ne vais pas en dire plus pour vous permettre de bien visualiser ce que j'étais en train de voir. Ma marche n'en fut pas stoppée pour autant, mon rythme toujours aussi lent, mon visage aussi inexpressif, j'étais un être vide, perdu au milieu de cette vallée de rails rouillées et inutilisées.

Je suis, habituellement, un rêveur lucide, usuellement je remarque que je rêve et m'amuse à faire un peu n'importe quoi, sachant qu'il n'y aura aucune répercussion, dans ce que mon subconscient m'a créé pour passer mes nuits de sommeils. Cette nuit, donc ce rêve, ne furent pas épargnée par ma folle personne et ma lucidité s'activa. Je n'aime pas le dire comme ça, mais je ne sais pas comment le dire autrement. J'ai donc voulu amener un peu de vie dans cet endroit mort, j'ai donc voulu y inviter une belle femme, il n'y a pas que les nuages qui sont pervers, mais au lieu d'une belle, ce fut un beau. Je crus me connaître assez pour savoir que je n'étais pas attiré par le même sexe que moi, mais bon, si mon subconscient voulu me surprendre, il a réussi son coup. Mais la surprise fut encore plus grande, quand ce "beau" m'adressa la parole.

- "Dit, tu sais où on est là ?"

C'était mon rêve, si je ne voulais pas lui répondre, je pouvais me le permettre. J'eus donc l'envie très conne de le frapper, je ne me su pas si violent... Je déconne, je le savais que j'aime les bagarres, mais pas quand c'est moi qui les déclenche et qui y participe. Enfin, une bagarre dans mes rêves ont tendance à ne jamais être comme ceux de la vraie vie, sinon ce serait barbants non ? Je pris mon envole pour lui envoyer une rayon laser.

- "C'est la première fois que je vois un truc..."

Il croisa donc ses bras en guise de défense et mon attaque le contourna.

- "... Aussi faible !!"

Sur son poignet, je vis une lumière, je pensai que c'était la cause de l'inutilité de mon attaque, je compris donc que je devrais procéder autrement, sauf que j'eus l'idée de Deus ex Machina, oui j'ai appris la signification de cette phrase il y a peu, donc pour fêter ça, je l'ai utilisé dans mon rêve, face à cette individu bizarrement dénué de toute envie de contre attaque. Je créai donc un train, sur chacune des rails présentes pour écraser cet homme que j'ai osé défier ! Et le résultat ne fut pas très jolie à voir, vu que rien ne se passa. Je commençai à croire que j'étais impuissant dans mon propre rêve et ça je ne pouvais l'accepter. Je posai donc mes pieds au sol et fixai mon opposant.

- "T'es sérieux mec ? Je suis en danger, j'ai pas le temps de... Ah merde, c'est un rêveur. Je me rappelle de quand j'en étais un... C'était le bon temps"

Il semblait perdu dans ses pensés juste après cette phrase, moi, je restai stoïque face à tant de désespoir, je m'en battais tellement les couilles, que j'avais presque envie de le pousser au suicide. Oh ça va, c'est un rêve bordel ! J'eus donc décider de le faire. Pas le tuer, le faire se tuer lui même. Mais au moment où je m'apprêtai à lui adresser la parole (enfin), une autre personne s'incrusta et commença à menacer monsieur beau.

- "Je t'ai enfin retrouvé. Petite merde, tu pensais vraiment que j'allai laisser passer ce que tu m'as fait ?"

- "Ecoute, je regrette franchement, s'il te plait, épargne moi, je suis pas ici depuis longtemps, je ne comprenais pas ce que je faisais et je comprends même pas pourquoi j'suis là" répliqua le beau.

Emmerdeur que je suis dans mon rêve, je m'étais placé derrière lui pour le pousser vers l'étrange nouvel arrivant qui en une fraction de seconde le taillada de toute part. Et bien, mon subconscient est vraiment quelqu'un de violent. Je vais vous rappeler que nos actions dans les rêves sont parfois... Bizarres et vous avez jamais remarqué qu'on ne voit jamais tout, enfin, vous n'avez pas l'impression qu'il y a une sorte de voile sur nos yeux qui nous empêche de voir correctement. Ben c'est ce qui m'a empêcher de voir ce qu'était devenu le mystérieux agresseur... Pas moi, l'autre.  

Je fus donc à présent à coté du corps du triste défunt, je ne pus m'empêcher à ce moment là de dire.

- "Ta mort ne sera pas vaine... l'auteur ne restera pas impuni !"

Il fut puni... Car l'auteur à récupérer sur le seul membre du défunt (qui, par ailleurs, on ne connait toujours pas et dont on ignore la raison de sa présence ici et tout et etc...) encore entière qui était le bras, un bracelet, qui le força à s'adapter à un monde nouveau, sournois, vicieux et dangereux. Le bracelet du coquin comme il l'appelle dans ce monde, Dreamland, il permet à son possesseur d'appeler la chance à l'aide dans des moments désespérés, ce que je peux vous dire c'est que le nouveau voyageur Daris Preston, est malchanceux d'être né, aussi malchanceux que le défunt qui a utilisé toutes les possibilités de son bracelet en une nuit et qui l'a conduit à sa perte, est une chance d'être chanceux pendant un petit peu de temps ? Ou est-on malchanceux quand on sait quand on ne sera plus chanceux ?

Autres.

(La première partie de cette section concerne votre personnage, et pas vous IRL)
• Aime : prendre du bon temps
• N'aime pas : prendre du mauvais temps
• Particularités, autres : Je suis quelqu'un de très précis
• Niveau d'étude hors de Dreamland : J'ai eu mon Bac et là je suis en formation pro


• Comment avez-vous découvert le forum ? Google tu connais ?
• Première impression : Ca à l'air vivant tout ça
• Pour les DC (double compte) ou TC (triple compte), qui a donné son accord ? Je me suis donné mon accord tout seul pour faire un premier compte (PC si tu préfères)
• Avez-vous lu les règles et les respecterez-vous ? ça va venir
• Code de validation : Validé par Jacob