HOPING
Emilie

Personnage.

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• Nom :Hoping• Prénom : Emilie• Surnom(s) :Blood (elle se fait toujours appeler ainsi, c'est devenu son prénom, car peu de gens la connaisse comme Emilie.)• Âge : 20 ans• Nationalité, origine(s) : Française• Pouvoir et description :Dans le monde des rêves, la jeune femme est une marionnette à la japonaise, une machine-poupée animée par des circuits et mécanismes magiques, spécialisée dans le combat rapproché. Blood a la capacité, de transformer sa peau en armure d'un geste tout simple : il lui suffit de désirez combattre quelqu'un ou se défendre, tout en passant sa main ( droite ou gauche ) sur une partie de son corps pour que le métal contenu dans ses circuits et engrenage se transforment en écailles de métal qui viendraient sur la peau de Blood, pour recouvrir les parties sur les quelles elle a passé sa main. Grâce à cette capacité, la marionnette peut moduler ses écailles pour donner un bouclier, ou des griffes. Elle peut ainsi recouvrir la totalité de son corps de femme petites écailles de métal, lui permettant de protéger son corps d'éventuelles attaques.

Description Physique.

Quand elle passe dans une rue bondée de monde, certaines personnes se retournent sur son passage pour vérifier qu'ils n'avaient rêver, car on dirais que cette jeune fille est sortie d'un rêve. Avec son teint de porcelaine et ses yeux étonnamment rouges, et ses longs cheveux noirs, la jeune Blood attire pas mal de regards.

C'est une jeune femme fraîche et mignonne, elle n'est pas vulgaire même si elle s'habille avec une robe courte à jupons ainsi qu'une paire de longue chaussettes blanches qui lui arrivent au dessus des genoux, et qui se cachent en dessous de petites chaussures noires vernie montées sur des semelles de quinze centimètres, ce qui rehausse légèrement son petit mètre soixante. Mais parlons de sa robe, car elle est des plus ravissante, bien que courte(elle cache néanmoins sa petite culotte), cette robe noire à jupons blancs est enserrée juste sous sa poitrine par un bandeau de tissu rose pâle sous un autre bandeau de couleur prune décoré d'un gracieux petit ruban violet. Poitrine, qui est d'ailleurs mise en avant par un décolleté pour le moins plongeant dont le tissu est rattaché par un ruban rouge qu'elle noue toujours derrière son cou fin.

Ses frêles épaules sont découverte ainsi que la moitié du haut de ses biceps (qui sont là bien qu'ils soient petits), puis cachés par de longues et larges manches noires qui se terminent en pointes au niveau de ses poignets. Malgré ses vingts ans, Blood a gardé un visage très enfantin ce qui en a troubler plus d'un.

Caractère.

Derrière cette petite bouille et cet air enfantin, se cache un vrai petit diable, Emilie...euh Blood est une véritable petite diablesse qui ne se laisse jamais faire, toujours entrain de courir partout pour annoncer qu'elle a enfin trouver LE concept pour sa bande dessinée ! La jeune femme est dynamique et pleine de bonne volonté dans tout ce qu'elle fait, elle donne souvent du fil à retordre à son éditeur car elle ne réussi pas toujours à prendre en compte ses conseils avisés...oui, bon en gros, elle n'en fait qu'à sa tête. En plus d'être têtue, Blood n'aime être servie que par elle même, autant dire qu'elle ne demande de l'aide que dans des situations extrêmes où elle est sûre de ne pas pouvoir s'en sortir seule. Il y a des fois où son caractère de chien resurgit et donne envie de prendre ses jambes à son cou pour ne pas être sur son chemin ! Mais à part cela, c'est une crème de gentillesse, toujours à se préoccuper des autres et éventuellement de sa propre personne quand l'idée lui prend. Blood est très téméraire dans le monde des rêves, elle est toujours partante pour aller à l'aventure et braver les dangers qui lui barre la route. Enjouée, rigolote, presque cruche sur les bords quand ils s'agit de sentiments. Ah oui ! Cette jeune femme est une grande sentimentale, même si elle proclame haut et fort qu'elle n'aime pas les films et histoires à l'eau de rose, et adore quand ça se fini bien pour les amants, quand à sa propre vie sentimentale, elle aime Humars avec un grand ''A''. Depuis peu de temps, un événement des plus triste pour elle créa un blocage émotionnel, elle ressent toujours des sentiments, mais son visage lui ne renvoi plus d'émotion, elle parait...vide. Derrière cette face de marbre, aussi muette qu'une tombe, fonctionne désormais un cerveau détraqué, dépourvu de tout repères.

Histoire.

Blood, enfin Emilie de son vrai nom, est une jeune femme sans histoire particulière, quoique... une enfance plutôt violente, dans le sens où s'était elle la violentée, non pas par ses parents...non...par les enfants de son âge. Elle en a vu des vertes et des pas mûres la petite Emilie, elle a toujours été très solitaire, et ce n'est pas faute de le dire, il valait mieux être seule avec son tempérament de feu. La jeunette aimait tout diriger, elle voulais toujours être celle qui tire les ficelles,  étrange quand on sait que plus tard elle sera terrorisée par une marionnette.

Emilie, donc était une enfant seule, mais elle ne s'en plaignait pas, elle restait là, las, sans jamais rien dire, sans jamais rechigner. Comment peut on être aussi calme quand on vit ça ? C'est bien là le problème, la plus part du temps, elle était d'un calme placide, mais quand elle s'énervait...il valait mieux ne pas se trouver sur son chemin. Car elle entrait dans des colères noires foncées ! Oui...le noir foncé existe...mais là n'est pas le problème ! Le problème s'était ça...ses colères incontrôlables. Il lui fallait parfois des heures pour redevenir la fillette calme et silencieuse qu'elle était au quotidien.

Un beau jour, pour son anniversaire, elle du accompagner sa mère dans un sombre magasin qui marqua son âme au fer rouge de la peur. L'endroit était pitoyable, miteux, poussiéreux, et emplis...de marionnettes ! Et croyez le ou non, mais ce sont ces mêmes marionnettes qui hantaient ses nuits jusqu'à ce qu'elle ait battu sa peur. Sa peur parlons en !

Quand Emilie et sa mère entrèrent dans le magasin, la gamine senti se poser sur elle, des dizaines et des dizaines de petits yeux luisants...ceux des pantins...tout sourires, et innocents. Ces visages de chérubin et lui rappela douloureusement les visages de ses persécuteurs, la façon dont ils la fixaient. L'enfante ne le supporta pas et se renferma sur elle même, serrant ses petits poings de huit ans, fermant ses petits yeux en espérant que cela passerait, en espérant que ce n'était qu'un rêve...qu'un cauchemar.

Quand elle rouvrit les yeux, sa mère la regardait étrangement, puis elle lui sourit et lui tendit un paquet en disant :

''Tu l'ouvrira quand on sera à la maison, d'accord Emilie ?''

La petite se saisit du paquet en hochant sagement la tête. Elles étaient dans l'arrière et commencèrent à ressortir du magasin, la petite Emilie gardait la tête baissée et essayait de ne pas regarder toute ces poupées. Elle était si concentrée pour ne pas avoir peur, qu'elle ne vit pas le carton posé à terre et se pris vulgairement les pieds dedans. En tombant,  elle tenta de se rattraper à quelque chose...une marionnettes à la peau assombrie par l'usure, aux yeux mates et jaunis par le temps. L'enfant poussa un cri de terreur, c'est ce même cri qui cella sa peur, sa phobie pour les pantins et marionnettes en tout genre.

Aux yeux de sa mère, cet événement ne parut guère important, car elle ne pris nullement la peine de rendre la chose qui terrorisait sa fille. Alors imaginez la frayeur de la gamine en ouvrant le paquet, elle y découvrit, bien emballée, une magnifique petite marionnette. Un visage aux courbes douces, un cou fin, et un corps de jeune fille dans des vêtements roses, ourlés de fines dentelles blanches. De longs cheveux aux couleurs inhabituellement rose pâles et violette. Un léger maquillage rose au dessus de grands yeux de biche d'un bleu gris ravissant. Une merveille à la bouche pulpeuse et fine. Cette marionnette, qui pourtant, n'était rien de plus pur, la terrorisait au plus profond de son âme d'enfant.

Les années passe et sa peur ne faiblit pas, au contraire, elle grandit, devenant étouffante tant elle était tenace. Quand elle eu onze ans, elle passa dans une période de rébellion, où elle décida de recommencer tout à zéro.

Ce fut son entrée en sixième qui la mit sur cette pente difficile qu'était celle de se faire accepter. Elle décida de se choisir un pseudonyme qui inspirerais peut-être une forme de respect au près des gens de son âge. Mais en vain. Elle ne réussi qu'à se démarquer encore plus. Elle recommença à être seule. Les filles se moquaient d'elle, ne l'estimaient pas le moins du monde ; les garçons, eux, l’appréciaient car elle n'était superficielle comme les filles de son âge. La sixième et la cinquième passèrent lentement, mais à partir de la quatrième tout s’accéléra, elle rencontra des gens qui comme elle étaient différents. Se fut une véritable délivrance. Même si ses nuits, étaient hantées par des cauchemars, ses journées, elles étaient faites de rires. Puis la fin du collège arriva et avec elle la possibilité de tout ré-recommencer ! Le lycée.

Premier amour, un jeune homme rencontré sur un site de dessin, rien de très long. Elle fut seule à nouveau, jusqu'au jour bénit où elle alla parler à un certain Humars...qu'allait il se passer ? Elle apprécia tout de suite le jeune homme qui était un peu moins âgé qu'elle. Ils étaient pareil...seuls...et un peu torturés.

Ainsi débuta une longue romance qui même aujourd'hui dure toujours et durera encore, jusqu'à ce que plus rien ne soit sur terre. Mignon n'est il pas ? Elle n'était plus seule. Elle vivait enfin ! Heureuse et épanouie comme jamais elle ne l'avait été auparavant !

Puis un jour cette romance s'arrêta, la distance avait engrangé un mensonge, dont je ne dirais le propos sous peine de trahir cette chère Emilie, et Humars parti, la jeune femme fut complètement déboussolé, et en garda des séquelles elle ne réussissait pas à se pardonner, elle perdit contact avec celui qu'elle aimait, et ne le revis plu dans le monde des rêves, tout comme dans le monde réel. Cette rupture la déséquilibra mentalement pour le moins. C'est peu de chose me direz vous, ce n'est qu'une rupture, mais Blood est fragile psychologiquement, et la moindre petite contrariété la bouleversait, alors imaginer cela...une tragédie pour elle. Dans le monde réel, elle s'efforce de ne pas laisser ses penchants psychotique la dominer...mais pour ce qui est du monde des rêves, elle est méconnaissable !

Aujourd'hui, vous pourrez sûrement la croiser dans un bistro, ou dans une librairie, si non, c'est qu'elle est chez elle à travailler sur ses bandes dessinées. Mais la marionnette aux cheveux violets dans tout ça ? Et bien elle n'a jamais,pu se résoudre à s'en débarrasser. Quand elle était encore hantée par sa phobie, la chose était dans une caisse bien au chaud dans la cave de son immeuble. Mais maintenant elle est avec elle, sur une étagère en face de son lit, elle la regarde dormir la nuit , et elle la protège des mauvais rêves.

Post Rp.

La nuit tombait sur Rennes, encore. J'étais allongée, les bras sous la tête, le regard posé dans le vide. Je ne voulais pas m'endormir. J'avais peur, encore...encore et toujours...peur...mais peur de quoi ? Peur...mais pourquoi ? J'étais terrorisée à l'idée de m'endormir, terrorisée à l'idée qu'elles reviennent me hanter comme chaque nuit. Elles sont toujours là, présentes, elles sont toujours au rendez-vous. Avec leur teints pâles et cireux, leurs yeux luisants, et leur tignasses blondes bien coiffées. Pas une nuit, pas une seule elles ne m'ont laissé dormir en paix. Rien que d'y penser, mes draps commençaient déjà à être humide de transpiration et cela n'allait qu'empirer !

Mais à 20 ans me direz vous, est il encore logique d'avoir peur des pantins ? Et des marionnettes ? Peut-être que non. Mais c'était le cas. Et je dis bien ''c'était'' ! Car cette nuit là, ce qui se passa me délivra à jamais de ces terreurs lancinantes. Quand à contre cœur mes paupières se fermèrent, je me retrouvais à nouveau à l'endroit qui avait fait naître cette phobie. Car à se point là, on peut bien parler d'une phobie. Bref.

Je revenais chaque nuit dans ce vieux magasin de jouet. Un vieux débarras que le temps avait encombré de sa poussière et de son odeur, dans cette petite antre qui sentait le renfermé, il n'y avait qu'une petite lucarne perchée en hauteur et donc difficile d'accès. Le plancher sombre était recouvert de un ou deux millimètre de crasse du au manque de nettoyage. L'espace pour marcher était obstrué par des meubles de rangement en tout genre penderies, commodes, coiffeuses et leurs miroirs mouchetés de traces d'usures. A priori, rien de bien effrayant à première vue, mais détromper vous car toute l'horreur est là. Cachée, dans l'obscurité, les yeux rivés sur vous, cette terreur qui vous observe derrière des yeux de verre si innocents. Et moi, je me trouve là, au milieu de tout cela, au milieu de cette profonde angoisse qui me donne des sueurs froides.

Je suis dans l'arrière boutique au fond du petit magasin, cachée au milieu des cartons. J'avance craintive vers la sortie, je sais parfaitement ce qui va se passer. Mais malgré moi, je ne peut m'empêcher de marcher droit devant moi. Je reste le regards bas, j'évite de croiser mon propre regard dans les miroirs, de peur de ne pas me voir, du moins pas tel que je suis réellement. Je suis presque arrivée, je suis maintenant devant une grande armoire attaquée par la mousse et les termites. J'entends un craquement, un bruit de pas...un petit rire cristallin. Je me retourne, la vue troublée par les larmes, mais derrière moi, il n'y a rien. Un nouveau rire me fait me retourner.

Elle est là. Posée au sol, toute innocente avec ses traits découpés pour pouvoir être maniée, elle s'est détachés de ces fils qui la rendaient immobile. Dans ses yeux, il y eu un éclat inquiétant. C'est ce même éclat qui marquait le réel début du cauchemar. Elle me regarde avec ses yeux de verre, elle me fixe, puis comme contrôlée par une puissance supérieure, elle se lève dans un grincement à réveiller les morts. Elle ouvre sa bouche de bois et un autre rire s'en échappe, le signal. Je commence à entendre un concert de craquements et de rires stridents. Alors, les autres poupées répondent à l'appel et se libèrent de leur liens et s'approchent de moi. Ma crainte n'est pourtant pas à son apogée, je me réfugie vite dans l'armoire et les écoute gratter à la porte puis tout s'arrête. Serait ce la fin ? Non. Pas encore. Je sors, toute penaude de l'armoire tout semble calme, mais se n'est qu'une triste illusion, car à peine suis- je sortie, qu'une marionnette se jette sur moi et tente de m'arracher les yeux. Je crie dans mes cauchemars, elle va jusqu'au bout de ses intentions, et je me réveille. Mais là, c'est différent...j'ai l'impression d'avoir le contrôle de mon corps...Je repousse alors la poupée, elle se met à pleurer, elles se mettent toutes à pleurer, je profite de ça pour me diriger vers la sortie. J'ouvre en grand la porte et là devant mes yeux, des dizaines de milliers de marionnettes. Je sers les poings. J'en ai marre d'avoir peur, tout ça...c'est fini!!! Je respire un grand coup et me met à courir au milieu de tout ces pantins. Je couru pendant quelques temps puis j'arrivais au milieu de nul part. En me retournant...j'étais seule. J'avais vaincu ma peur.

Autres.

(La première partie de cette section concerne votre personnage, et pas vous IRL)
• Aime :  le chocolat, les combats bien violents, la musique des ''vieux de la vielle'' et les mangas
• N'aime pas : Qu'on l'embête, Plus Belle La vie, les histoires qui finissent mal.
• Particularités, autres : Fait pleins de trucs fous fous. Ne renvoi aucune émotion.
• Niveau d'étude hors de Dreamland : Dessine modestement des bandes dessinées pour enfants.


• Comment avez-vous découvert le forum ? Grâce à Humar
• Première impression : Je sens que je vais bien m'amuser:D
• Pour les DC (double compte) ou TC (triple compte), qui a donné son accord ?/
• Avez-vous lu les règles et les respecterez-vous ? Bien entendu !
• Code de validation : L(Homme Fontaine valide