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Je suis Fou de Nous ! [Terminé]

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Alfred Du Ponteigneux
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Alfred Du Ponteigneux
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MessageSujet: Je suis Fou de Nous ! [Terminé] Je suis Fou de Nous ! [Terminé] EmptyMer 12 Mar 2014 - 22:42


Du Ponteigneux
Alfred

Personnage.


Je suis Fou de Nous ! [Terminé] Jiraiya.240.732295
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    • Nom : Du Ponteigneux  • Prénom : Alfred• Surnom(s) : Alf’, et plus rarement : l’ermite ou le skizo’ • Âge : 43 ans• Nationalité, origine(s) : Française• Pouvoir et description : La phobie de la porte, le pouvoir se décrit par l’apparition de portes près d’Alfred. Les portes peuvent être utilisés pour frapper, surfer, s’éventer, soulever des gros cailloux et bien-sûr, elles s’ouvrent, une fois ouverte la porte ne bouge plus. Les portes ouvrent sur une petite planète (un peu plus petite que la Lune) habitée par une faune, une flore et un tas de trucs. La force à déployer pour maitriser ce pouvoir ne réside pas dans l’invocation des portes mais dans la capacité à faire sortir et entrer n’importe qui et n’importe quoi du monde d’Alf’. Il y a également un temps accordé sur la planète, c’est-à-dire qu’on ne peut pas y rester indéfiniment, même pour Alfred. Ce temps varie en fonction de la maitrise du pouvoir.




Description Physique.

Un physique qui en dit long sur son chemin de vie. Des cheveux gros et ébouriffés en queue de cheval, des sourcils broussailleux, de hautes pommettes, deux yeux bleus perçants coupés symétriquement par un nez proéminent, une mâchoire carrée entourant des dents quelque peu bilieuses. Grand, les épaules voûtés, une démarche timide et trébuchante, tête baissée, c’est comme si Alfred souhaitait cacher sa taille par quelques supercheries dont il aurait le don. Son air blafard, sa peau tirée par les insomnies et ses cheveux blancs parsemés de noir traduisent des angoisses permanentes. La carrure de notre ermite est imposante, des épaules et bras musclés contre un torse plus flasque, suivi de lourdes cuisses portées par des jambes poilus pour finir par de larges pieds romains. Après les marches soutenues et les escapades entreprises par Alfred, ses jambes obtinrent de l’endurance et à la suite de nombreux travaux manuels, ses bras obtinrent de la force.
A travers le temps et l’évolution de ses préférences, Alfred aime à porter du tissu ; ses rares vêtements, dont son pantalon ainsi que sa chemise, sont de cette légère matière. Sauf un long caban sobre couleur taupe qui, assemblé d’un chapeau discret, camoufle son apparence différente, même parfois gênante, lors de sortie en ville. C’est ainsi que l’on peut qualifier le physique d’Alfred, un physique atypique mais qui a le mérite d’être original.



Caractère.

Penseur et violent. Gentilhomme mais pourtant asocial. Alfred a tout du parfait double profil, ou dit autrement de l’homme paradoxal. Après une enfance très perturbée, il en ressort avec beaucoup de séquelles mentales. Toutefois son intelligence a su se faire une place dans sa schizophrénie et il a su prendre de bonnes décisions pour sa survie, autant physique que mentale, autant pour lui que pour les autres. Parmi ses solutions ; se cultiver et s’isoler. Voler le plus souvent, acheter en fonction de ses moyens, Alfred récupère tout un tas d’objets artistiques ; des peintures, des sculptures mais surtout des livres, énormément de livres. Vivant en ermite depuis quinze ans, il arpente les régions septentrionales françaises sans jamais se faire voir, se cachant des autres. Alfred se parle souvent et se répond sans se rendre compte qu’il s’adresse à lui-même, ainsi un problème de double personnalité resurgit de temps en temps à cause du traumatisme hérité de son enfance. Toutefois, malgré cette marginalité apparente, Alfred a du cœur et les rares amis qui le retrouvent quelquefois apprécient sa compagnie gaie et instructive. A l’inverse, la colère qui exulte de son caractère se dirige surtout envers lui-même ainsi que les inconnus trop curieux ou qui simplement se trouvent au mauvais endroit au mauvais moment. Celle-ci s’entremêle souvent avec la peur, et alors ce cocktail explosif le rend nerveux et violent.
Un dernier point à remarquer, d'autant qu'il n'est pas négligeable, est la chance d'Alfred. Celle-ci se manifeste occasionnellement, aléatoirement, personne ne la guide et son intervention inopinée à la qualité, dans la majorité des cas avérés, de sauver Alfred. Trouver une mallette remplie de billets pour un bon feu quand l'hiver est à son apogée est un exemple parfait, trébucher sur un petit caillou pour ensuite dévaler une pente à travers champ et tomber malencontreusement sur les plantations de cannabis cachées du fermier est un exemple moins parfait, mais très drôle.



Histoire.

Tout commença en famille. Une mère jeune et naïve se maria avec un père pervers narcissique qui rejetait systématiquement toutes les fautes et torts sur sa femme, elle, si belle, à force de manipulation sur son mari pour maintenir une image extérieure de famille parfaite fini par sombrer dans la dépression. Toutefois, dans un reste d’intelligence et d’humanisme, la jeune mère amena très tôt son enfant chez un psychologue. L’enfant, sans repère d’autorité ni de refuge auprès de ses parents, est alors totalement déboussolé ; il ne sait quels comportements adoptés dans des situations habituelles de sorte qu'il sortit du circuit scolaire classique. Alfred était un enfant perdu. Sa mère, refusant de voir la vérité empêcha son fils d’aller dans un institut spécialisé ou un hôpital psychiatrique malgré l’avis même du psychologue.

Ce psychologue, justement, vit beaucoup d’espoir en Alfred, c’est ainsi qu'il le prit sous son aile pendant une brève année. Alfred apprenait à lire à une vitesse prodigieuse, et les calculs avaient rarement de secret pour lui. L’enfant vit en son thérapeute une source d’amusement, d’autorité instructive, c'est ainsi il se prit d’affection envers le psy. Un jour, son mentor lui posa une question très différente des habituels problèmes mathématiques, celui-ci lui demanda :
 
« -Alfred, imagine deux portes en face de toi, choisis les couleurs, les motifs, ça n’a que peu d’importance. Bien, maintenant, la première porte ouvre sur la vérité et la deuxième sur l’amour. Laquelle ouvres-tu ?
-Les deux, répondit l’enfant du tac au tac. Le psy se mit à rire,
-Non, tu peux en choisir qu’une jeune gourmand. Alfred réfléchit, au bout d’un moment il proposa :
-J’ouvre la porte de l’amour car avec on est heureux tout le temps !
-Tu laisses donc le mensonge hanté ta vie ? Haha ! Pas facile de choisir hein ? Bienvenue dans l'univers de la philosophie mon garçon. Toutefois, fais attention à tes choix car ils scellent ton futur et structure ton passé. »

Cette histoire depuis trottât dans l’esprit d’Alfred pendant de longues années. La fin de cette merveilleuse année s’acheva petit à petit et un drame survint. En effet, le père narcissique, alors en voyage, revint et apprit l’échec scolaire de son fils et disjoncta totalement en battant violemment sa femme à la maison durant un après-midi alors qu’Alfred se trouvait comme d’habitude dans le cabinet du psychologue. Vers seize heures, le téléphone du psy sonna deux coups, pas plus. N’ayant pas eu le temps de décrocher, le psychologue regarda le numéro, il sut alors que c’était le fixe de chez Alfred.

« -Alfred ! Je vais devoir te ramener à la maison, ta mère a appelé.
-Je veux pas ! Je veux pas ! Je veux pas !
-Aller ! Viens ici que je te donne des bonbons.
-Ouuiiii !
-Aller, on y va !
-Ouuiiii ! »

C’est ainsi qu’ils arrivèrent devant la maison parentale et le psy sonna à la porte. Alfred n’était pas bien, si son mentor pensait à un surplus de sucreries qui lui faisait mal à l’estomac, Alfred lui sentait une boule dans son estomac se former, de plus en plus rigide. Des gouttes de sueur perlait son visage tandis qu’une exhalaison s'échappait de la porte. La porte, sombre et provocatrice, si familière et pourtant si impavide. Il n'avait qu'une envie, pleurer mais il savait aussi que pour avoir des bonbons il ne fallait pas pleurer, alors il se retint comme un grand.
Soudain, la poignée se mit à tourner et la porte grinça sourdement. A peine une petite ouverture se forma qu’un trou noir de la taille d’un bouchon apparu dans l’entrebâillement. Alors, le psy eu une réaction des plus étranges pour Alfred, il le poussa puis commença à s’éloigner de la porte. Mais celle-ci émit une détonation si forte que les oreilles de l’enfant sifflèrent. Le temps sembla se figé pour Alfred, les yeux écarquillés, il vit son mentor s’effondrer par terre tandis que la porte fumante fini de s’ouvrir pour montrer son père prit d'une démence se ruer sur l'enfant. Il le tira violemment par les cheveux et le ramena à l’intérieur. Sous état de choc, Alfred ne dit rien ni même ne se débattit. Le père ferma la porte et le jeta sur le sol.
Puis, comprenant qu’il ne reverrait jamais son mentor, Alfred se mit à crier et à pleurer. Dans le même temps son père le pointa d’une main maquillée de sang et cria également. Alfred ne comprit pas ce qu’il disait mais le geste qui suivait le fit reculer. En effet, le père leva haut sa jambe droite vers l’arrière et le coup partit dans les côtes. Alfred décolla alors sur deux mètres, atterrit lourdement sur le mur et retomba mollement sur le parquet. Si Alfred gémissait à terre peinant à retrouver son souffle, son père riait à haute voix. C’est à ce moment qu’il entendit une autre voix remplie de larmes, étouffée, plus aiguë, plus faible que celle du paternel mais avec de la conviction. C'est ainsi que la mère se manifesta :

« -Ne touche pas à mon enfant sale raclure !
-Tais-toi ! Tu ne sais même pas éduquer un enfant ! Femme de mes deux ! Et toi petit morveux, tu vas gentiment retourner à l’école ! Tout en suffoquant, Alfred réussit à articuler :
-Maman…
-FERME LA ! Tu veux voir Maman, hein ?! Tu n’as qu’à ouvrir cette porte p'tit bouzeux !
-Non ne l’ouvres pas mon chéri, dit la voix maternelle implorante derrière la porte close.
-Si ! Mais si ! Vas-y ! Regardes ta mère ! "

Tandis que sa mère le suppliait de ne pas ouvrir la porte et de s’enfuir, le père saccageait tout, menaçait son fils et sa femme dans un flot continu d'insulte. A force de coups, Alfred était refoulé vers la porte, il n’arrivait pas à prendre une décision, il ne comprenait pas ; d’un côté on l’exhortait d’ouvrir et de l’autre on l’implorait du contraire. Comme si le bien et le mal se trouvait chacun d’un côté, et pourtant le bien ne voulait pas de lui alors que le mal ne souhaitait que le bien. Indécis, apeuré, crispé, il se dressait devant Alfred un choix dont il ne voulait pas.
La porte, représentante de ce choix, blanche comme si elle était lavée de tout soupçon alors que la poignée peignée de sang laissait paraître une scène morbide. La porte prit alors une dimension symbolique, tout devint flou sauf elle, incommensurable et pourtant réelle. Alfred pleura de plus belle. Ne supportant plus la pression qui le rendait malade et ne voyant pas d’issu, les cris implacables et surdimensionnés de son père eurent petit à petit raison de lui. Alfred, tremblotant, leva son bras lentement puis tourna d'un geste vif la poignée et lâcha. Il recula de torpeur tout en laissant la porte coulisser toute seule.
Alors, dans la pénombre de la pièce, un théâtre de désolation humaine se présenta à ses jeunes yeux ; recroquevillée dans un coin de la salle de bain, une jambe et un bras tordus, maints contusions sur le corps, un visage boursouflé et sanglant. Sa mère souffrante rassembla le courage qui lui resta et dit en un souffle :

«Vas-t-en chéri, ne me regardes pas, tout va bien.»

A partir de cet événement, Alfred ne pouvait plus voir de porte. Alertée par les voisins la police arrêta son père et sa mère fut transportée à l’hôpital, elle y décéda un peu plus tard. De nombreuses aides furent apporter à Alfred mais rien n’y fit ; durant les premières années après le drame il voyait flou et se jetait sur la plupart des murs qu’il croisait. Un long travail de reconstruction commença, sa vue revint, ses facultés mentales également malgré quelques légers handicaps ainsi qu’une phobie non résorbable. Au bout d’une quinzaine d’années, Alfred, conscient d’une sorte d’emprisonnement au centre où il vivait, décida de partir alors que s'élevait de nombreux  avis défavorables de la part des médecins. Mais c’était son choix.
Et en effet, à partir de l’âge de vingt-trois ans, sa vie devint rude et âpre car ne pouvant s’installer en ville ou même dans un village, il se mit à vivre en ermite. Cultivant son potager, fabriquant son logis et ses objets, il prit goût à ce mode de vie. Pour conclure son ermitage, il se mit à voler ce qu’il ne pouvait créer : des livres de toute sorte, qu’il dévorait à peine les avait-il trouvé, des nains de jardin, des stylos de couleur, des ustensiles de cuisine, etc…
Dorénavant, âgé de quarante-trois ans, DEUG de philosophie en candidat libre en poche, Alfred vagabonde de plus en plus loin et cherche désespérément un moyen de s’intégrer, rien que pour gagner de l’argent et voyager dans des lieux lointains dont il a toujours rêvés.



Post Rp.

Les pieds d’Alfred Du Ponteignueux claquaient à la rencontre du sol, ses nouveaux sabots en bois étaient lourds et encombrants si bien qu'il marchait d’un air empoté au beau milieu de la nuit. Le grand homme à fier allure vagabondait à travers une forêt claire, la lune éclairait d’un éclat argenté ces lieux sombres. Alfred, heureux et solitaire, se baladait tranquillement vers un entrepôt qui ne dépassait pas les cinquante mètres en longueur, tout de bois, dont  l’aspect était fort lugubre. Cet endroit, à quelques miles de Chartres, Alfred le connaissait bien mais cela faisait un bail qu’il n’y avait pas remis les pieds.

« -Nous avons retrouvé notre coin préféré Alf !
-Vite, allons-y Alf !
s’exclama-t-il le sourire remonté jusqu’aux lèvres et l’œil pétillant il se dirigea vers le bâtiment sombre. »

Une petite maisonnette jalonnait l’entrepôt, une faible lumière vacillait à la fenêtre du rez-de-chaussée, à l’intérieur un vieil homme préparait du thé devant son poste de télévision allumé. Sa cuisine était loin des standards d’Ikea mais plus des cuisines d’après-guerre avec un four à gaz et un frigo en plomb. Jumelant la cuisine, le salon accusait le même coup de vieux ; un fauteuil au tissu délavé, un parquet grinçant et une ribambelle de tableaux accrochés au mur. Tous ces tableaux de peintres divers, montant jusqu'au plafond, représentait toute la vie de ce vieil homme, en effet il était apothicaire.
Alors que sa théière se mit à siffler, l'ancien se leva péniblement et éteint le gaz quand soudain un bruit sonore venant de l’extérieur se fit entendre, comme un craquement. Les yeux du vieux se plissèrent d’inquiétude, connaissant la région il avait une idée très fixe de la raison de ce bruit suspect, reniflant de dédain il pensa à cet acheteur véreux rencontré la semaine dernière à un marché aux puces et qui n’en voulait qu’a ses magnifiques tableaux. Réflexe de chasseur, il prit son fusil ainsi qu’une lampe de poche et sortit. Il se dirigea à pas de loup vers son entrepôt, endroit où il stockait tous ces produits destinés à la vente ou délabrés, allant de l’éventail chinois du XIIIème siècle à la cheminée de marbre du siècle des Lumières.
Arrivant en face de l’entrée, il ne vit rien d’inquiétant et préféra la jouer discret en collant son oreille à la porte. A ce moment-là il entendit distinctement un martèlement régulier sur le sol, comme si quelqu’un marchait en claquant durement ses pieds sur la terre. Étrange pour un voleur pensa le vieil homme, mais ceci étant dit, quelqu’un le volait !
S’armant de tout le courage qu’il pouvait, braquant son fusil en avant il ouvrit la porte précautionneusement à l’aide de son arme et la porte grinça de tous gonds. Ceci eut deux effets ; le premier sur le vieil homme qui se rendit compte qu’il était repéré, et le second, beaucoup moins attendu, fut une longue plainte agonisante, commençant doucement dans les aigus, le sifflement se transforma crescendo en un cri de plus en plus grave et traumatisant de quoi donner la chair de poule aux plus grands héros mythologiques.

« -AaaaaaaaaaaaaaAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHH… »

Un hurlement puissant, sonore, interminable. Les tympans à l’agonie, l’apothicaire libéra ses mains des objets superflus et les plaqua sur ses oreilles. Le son était insupportable, insoutenable. Le vieux se mit à crier à son tour, à la différence des paroles qui avaient un sens et une amplitude moindre : « M’enfin arrêter ce vacarme ! » une plainte bien vaine tant le cri résonnait à travers tout l’entrepôt, -et sûrement bien au-delà- un cri aux allures bestiales. « Mais taisez-vous !  » répéta le vieil homme, qui, n’en pouvant plus, saisit son fusil jeté au sol et tira un coup de sommation. Cette action eut un meilleur impact, en effet le hurlement s’arrêta plus soudainement qu’il n’avait commencé rendant le silence qui suivi pesant, comme s’il fallait lentement se remettre d’un choc fracassant. A peine le soupir de soulagement fini que le cri reprit de plus bel mais avec une tonalité plus joyeuse voire délirante. C’est alors que le vieil homme n’en revint pas, laissant tomber grand sa mâchoire suivi de son fusil puis ses bras. Une chose de taille imposante venait de bondir d’un placard minuscule à quelque pas de l’entrée et s’éloignait à grandes enjambées.

Gesticulant un bras dans les airs, l’autre portant un cadre, les jambes cherchant à savoir comment on fait pour courir et donner une direction en même temps avec des sabots se tenant tant bien que mal aux bouts des orteils d’un voleur terrorisé. Il tirait une tête à effrayer des épouvantails ; cheveux ébouriffés, yeux exorbités, nez en forme de truffe et une bouche baveuse qui ne cessait de beugler des choses si insensées que même un bébé ne pourrait y saisir une syllabe -faut-il encore y distinguer une syllabe dans ce charabia-. Autrement dit, entre le vol qui se déroulait sous les yeux de l’apothicaire et le professionnalisme des films d’espionnage hollywoodiens, il y avait de quoi laisser pantois n’importe quel amateur de film.
Tandis que le géant continuait à gueuler et à se déplacer d’une manière semblant aléatoire dans la pièce, le vieil homme ne se remettait toujours pas de cette apparition ahurissante, si ahurissante qu’il mit un certain temps à apercevoir la peinture sous le bras de l’énergumène. Reprenant conscience, il chargea son arme d’un coup sec et le braqua : « Eh ! R’viens là sale babouin des îles d’mon cul ! ». Réagissant à l’insulte profané -mais surtout au fusil pointé dans sa direction- Alfred, dans un moment de génie à travers sa folie, fit une sorte de grand écart si puissant qu’il propulsa dans les airs et dans des directions diamétralement opposées ses deux sabots. L’un démolit une fenêtre se situant à quatre mètres devant Alf'. L’autre vola et renversa un lampadaire qui s’écrasât sur le fusil. Le tir partit dans le sol sans faire de blessé. Le vieil homme eut juste le temps de relever la tête pour voir cet homme étrange sauter par-dessus le rebord, se prendre les pieds dans ce rebord, se ramasser par terre puis courir vers la forêt tel un coq en retard pour sonner le réveil.

« -Aaah !
-Nous l’avons !
-Aaah !
-Calmons-nous !
-Aaah ! Oui il faut se calmer !
-On l’a ! On l’a ! Youhou !
-Calme-toi ! Calme-toi !
»

Le jour commença à pointer ses rayons lumineux. Tout en courant à un rythme plus régulier, Alfred exultait. Il était heureux de son méfaits, cela faisait plusieurs mois qu’il ne s’était pas procuré de peinture. Regagnant fièrement l’une de ses cachettes, Alfred fut pris de fatigue, son allure ralentit, jusqu'à n’avoir qu’un pas lourd et pesant. Toute cette excitation il y a quelques heures l’avait épuisé, entendre ce grincement à se faire glacer le sang l’avait mis hors de lui.

« -Hou hou ! J’ai bien débloqué cette nuit, je suis fatigué. Je… crois que… je vais… faire… un… petit… somme… »
Entre deux bâillements Alfred vit un renfoncement au pied d’un arbre, il profita de cette chance, s’y affala et s’endormit quasi instantanément.
Une impression de mains moites. Une obscurité absolue. Des bruits de battements au loin. Seul au milieu du néant, un Alfred rajeunit mais inquiet, apeuré. Une voix féminine apaisante susurrait de doux mots :

« - Chériie, youuhouu… Viens, viens me voir.
- Maman ! »

S’orientant au son, Alfred se précipita dans la pénombre, tomba dans l’excitation, se releva pour découvrir le visage attendrissant de sa mère à une cinquantaine de mètres. Hypnotisé, Alfred courut aussi vite qu’il pouvait, trébuchant tant l’effort était intense.

« - Maman ! » répéta-t-il.

Arrivé à portée de bras de son amour maternel, relique d’un passé heureux, une succession d’événements brusques et démesurés intervinrent. Un encadrement rectangulaire rouge de grande taille sortit des ténèbres et entoura sa mère devenue implorante et mortifiée. Soudainement, cet encadrement amena une porte massive toute de noir vêtue qui se referma violemment devant Alfred. Le souffle de la fermeture eut l’effet d’une claque monumentale, de sorte qu’Alfred recula de plusieurs pas avant de s’effondrer, ses jambes grelottantes ne supportant plus son poids.
Un cauchemar tyrannique frappait le sommeil de notre schizophrénique. Ce sont de petits démons cachés derrière leurs illusions qui  créaient cette ambiance morbide. Tel était le talent des diablotins du Royaume des cauchemars, hanter le repos des rêveurs.

« Hé hé, on continue comme ça les gars, il chie dans son franc le p’tit gros eh eh… »

Tandis qu’Alfred, en boule sur sol les yeux couverts par ses mains, tremblotait de peur de nouvelles portes venaient se joindre à la première, elles se rangeaient côte à côte comme à l’armée, droites, immobiles comme un garde à vous lors de parades militaires. Un cercle de portes se forma autour d’Alfred, mais celles-ci continuaient à affluer, de plus en plus oppressantes. Une sphère de portes se forma dont le centre était Alfred. Elles rigolaient d’un rire grinçant, se bousculaient pour se rapprocher de leur proie, tordaient d’impatience leurs gonds. Le cauchemar atteignait lentement son apogée, dans peu de temps Alfred se réveillerait par un désagréable sursaut toujours accompagné de cette phobie ingérable.

« - ‘Veux pas, ‘veux pas, ‘veux pas
- Maman… reviens !
- ‘Veux pas ! ‘veux pas !
- Maman…
- Maman nous avons peur. Oui très peur ! ‘Veux pas !
- Il faut retrouver Maman.
- ‘Veux pas ! ‘Veux pas !
- Si nous le voulons !
- J’ai peur !
- Nous avons peur ! Oui très peur !
- Maman !
- Retrouvons là !
- Maman !
- Maman !
- Oui. Retrouvons là !

-Qu’est-ce qu’il raconte le p’tit gros là ?
-Qu’est-ce que j’en sais moi ? De toute façon il va bientôt se réveiller le pantalon trempé héhé.
»

Seul contre tous, Alfred se releva. Il n’était plus le même, il se métamorphosa en un homme mature, à la fois beau et fringuant avec un regard décidé, rempli de convictions. Déterminé, il avança d’un pas sûr vers ses Némésis.

« -Mais… mais pourquoi il ne disparaît pas ? Qu’est qu’il fait ?! ,s’égosilla la porte la plus proche de la nouvelle menace.
Avec un dédain hors du commun, Alf’ marmonna froidement : -Dégagez, vous me gênez.
-Il… Il… Il n’a plus peur ! , s’effrayèrent les démons. »

Alfred leva la main à la hauteur d’une poignée. Il se fichait royalement des portes désormais, tout ce qu’il voulait était de découvrir l’autre côté, de connaître la vérité cachée, de retrouver des personnes chers à son cœur, de sortir de cette pièce sombre et étroite. Alors il attrapa une poignée, puis la tourna. Soudain tout se décomposa dans des cris de souffrances, toutes les portes disparurent et le nouveau voyageur fut catapulté hors de ce sombre tableau pour atterrir dans un univers radicalement différent. De l’herbe, quelques roches pour relief, un ciel bleu sans nuages, un soleil lumineux, un courant d'air rafraîchissant. C'est comme si le paradis venait de lui ouvrir ses portes.

« -Hooooo… Où sommes-nous Alf’ ?
-Bienvenue à Dreamland voyageur. Et t’es tout seul, donc c’est première personne du singulier pour toi tête de nœud.
-Hoooo! Pourquoi as-tu un point d’interrogation sur la tête petit homme ?
-T’en poses des questions toi ! Je suis un habitant du royaume des songes, un lieu remplit d’interrogations et de pensées.
-Hoooo! …
-Mon dieu, il ne va pas faire long feu celui-là, marmonna le petit homme plus pour lui que pour son hôte. »
-… Et donc vous dîtes que nous sommes à Dream… Pouf ! Alfred disparut laissant derrière lui un nuage tout mignon.
-Plus maintenant en tout cas, dit de manière désinvolte et détaché l'habitant du monde des songes qui retourna à ses occupations. »

L’œil semi-ouvert, la bave accroché aux lèvres, les cheveux en pétard, Alfred entendait une voix au loin ainsi qu’une pression régulière et de plus en plus vive sur son épaule. Après un effort de battements de cils qui s’avéra inutile, Alf’ arriva à articuler quelques mots :
« -Hein Que Quoi ?
-Police nationale Monsieur. Au nom de la loi, vous êtes en état d’arrestation pour vol et nuisance sonore. »



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Alfred Du Ponteigneux
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N'aime pas : le cluedo, le pot au feu, l’enrichissement pour l’enrichissement, les gargouilles
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Niveau d'étude hors de Dreamland : niveau officiel : bac +2, niveau officieux : il peut réserver de très bonne surprise dans certains domaines (notamment les mathématiques et l’histoire).


Comment avez-vous découvert le forum ? par un ami.
Première impression : la forme : c’est très beau, le fond : je ne sais pas encore.
Pour les DC (double compte) ou TC (triple compte), qui a donné son accord ?
Avez-vous lu les règles et les respecterez-vous ? Oui et oui !
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Lithium Elfensen
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MessageSujet: Re: Je suis Fou de Nous ! [Terminé] Je suis Fou de Nous ! [Terminé] EmptyVen 14 Mar 2014 - 17:35
Alors déjà, bienvenu à toi !
Veux-tu peut-être que l'on change ton actuel pseudo avec celui de ton perso ?
Sinon, fais attention aux petites erreurs de code (la taille par exemple).
A part ça, j'attends l'intégralité du code de validation, bien entendu.

Mais surtout, j'aimerais avoir quelques explications plus fournies sur tes portes.
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Alfred Du Ponteigneux
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MessageSujet: Re: Je suis Fou de Nous ! [Terminé] Je suis Fou de Nous ! [Terminé] EmptyMar 18 Mar 2014 - 21:50
Bonjour !

Alors, oui je veux bien que l'on change mon pseudo pour celui de mon perso s'il vous plaît !

Puis, pour les explications sur le pouvoir des portes ça va être quelque peu compliqué. A vrai dire, je n'ai pas trop réfléchi aux spécificités de mon pouvoir exprès pour avoir un grand choix de porte invoqués. En fait je préférerais que vous me dîtes les interdictions, restrictions ou inquiétudes qu'il y a autour de ces portes, si cela ne vous dérange pas Smile

Voilà, je suis ouvert à toute suggestion ! ou reproche Smile



Edit:

           
            - erreurs de code corrigé

            - code de validation complet
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Nodox Pebbles
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MessageSujet: Re: Je suis Fou de Nous ! [Terminé] Je suis Fou de Nous ! [Terminé] EmptyJeu 3 Avr 2014 - 17:47
Hum, bah pour des portes, ça peut être tout et n'importe quoi. Y a que toi qui peut choisir ça ^^
Là comme ça, je dirais ça pourrait faire comme le fruit des portes dans One Piece (le mec du CP9 aux cheveux en forme de taureaux), ou une porte des étoiles qui te téléporte quel part (invalidable puisque ce serait donc de la téléportation = l'un des rares pouvoirs refusés d'office), ou ... hum ... simplement être capable de créer une porte sur une surface, qu'elle soit plane ou non (à haut niveau, l'air pourrait servir aussi de surface) et qui permet de traverser la dite surface (dans le cas de l'air, ça peut servir à "claquer la porte au nez" ! Bouaahahahah, trololo ! Very Happy)

Nan après voilà, c'est toi qui voit, faut que tu choisisses un truc, on discutera dessus en suite. C'est ton perso a toi, pas le notre ^^



P.s. : Le code de validation est faux, là tu n'as que la fin ^^
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Alfred Du Ponteigneux
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Alfred Du Ponteigneux
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MessageSujet: Re: Je suis Fou de Nous ! [Terminé] Je suis Fou de Nous ! [Terminé] EmptyMar 8 Avr 2014 - 19:45
Merci beaucoup de m'avoir répondu ! J'ai également discuté avec la CB et j'ai compris mon manque de précision. Je ne voyais que trop bien mon pouvoir que j'en ai oublié la description la plus basique ^^. J'espère que la nouvelle description suffira !

Sinon j'ai rajouté un petit plus dans le Caractère. J'amène une touche de chance dans mon perso un peu dans l'esprit de la chance de Sabba. J'adore le côté déjanté et aléatoire que ça apporte ! Et je promets de ne pas en abuser, ce ne serait plus drôle de toute façon.

Enfin, pitié dites moi que le code de validation est bon cette fois-ci !!! ^^
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Nodox Pebbles
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MessageSujet: Re: Je suis Fou de Nous ! [Terminé] Je suis Fou de Nous ! [Terminé] EmptyMar 8 Avr 2014 - 20:39
Le code est toujours faux XD
T'as le début et la fin, toute la partie du milieu est fausse ^^'

Pour le pouvoir, si c'est bien ce que je comprend, ouais moi ça me va !

Pour la prez, je pencherais pour un rang 2, en invocateur.
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Alfred Du Ponteigneux
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MessageSujet: Re: Je suis Fou de Nous ! [Terminé] Je suis Fou de Nous ! [Terminé] EmptyMar 8 Avr 2014 - 22:18
C'est encore moi ! J'ai changé la description du pouvoir mais fondamentalement ça reste la même chose. Juste histoire de donner de la consistance, ça fait office de pop-corns avant le film XD

Jamais deux sans trois, je prie cette fois-ci, genoux à terre pour que le code de validation soit enfin bon Smile

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MessageSujet: Re: Je suis Fou de Nous ! [Terminé] Je suis Fou de Nous ! [Terminé] EmptyMar 8 Avr 2014 - 22:55
XD
Et bah nan, le code est toujours incomplet ! T'as le début et le milieu, manque la fin ^^
Mais c'est dans le bon ordre déjà, courage !

Pour le pouvoir, en faites t'as juste rajouter qu'au lieu d'ouvrir les surfaces (comme un mur), tes portes ne servaient plus que de portails vers une autre dimension. On a un voyageur qui fait ce genre de chose (je crois bien que c'est Francis), donc bon, pas de raison de refuser.
Perso je trouve quand même ça moins fun ^^ mais ce n'est que mon avis.

D'ailleurs toujours même opinion pour le rang de la prez. Smile
Ah nan, il te faut un avatar pour être validé !
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Ed Free
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MessageSujet: Re: Je suis Fou de Nous ! [Terminé] Je suis Fou de Nous ! [Terminé] EmptySam 3 Mai 2014 - 20:54
Juste une précision pour ton pouvoir : quand tu enfermes quelqu'un sur ta petite lune, au bout d'un moment, elle revient sur Dreamland ?

Je t'évalue après avoir eu ta réponse ^^
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Alfred Du Ponteigneux
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MessageSujet: Re: Je suis Fou de Nous ! [Terminé] Je suis Fou de Nous ! [Terminé] EmptyMer 7 Mai 2014 - 15:29
C'est une bonne question. Si Alfred enferme quelqu'un sur sa petite planéte, je dirais alors que c'est Alfred qui prend les conséquences de la personne enfermé puisque c'est son pouvoir. je m'explique : Alferd ne peut pas rester indéfiniment dans son monde car cela l'épuise, i faut donc de l'endurance qu'il acquiert avec le temps et la pratique. Si quelqu'un le suit, volontairement ou involontairement dans son monde, alors Alfred s'épuise deux fois plus vite car il y a deux personnes dans son monde. Et si Alf' s'en va en laissant une personne derrière lui, dans ce cas Alfred continuera à s'épuiser car il y a toujours une personne sur sa mini-Lune.

Pour revenir à ta demande, la personne enfermée reviendra forcément. La durée de l'enferment variera en fonction de la puissance d'Alf' à maintenir cette personne dans son monde.

Edit : Code de validation mis à jour.

Edit de l'edit : Trouvé ^^
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MessageSujet: Re: Je suis Fou de Nous ! [Terminé] Je suis Fou de Nous ! [Terminé] EmptyMer 7 Mai 2014 - 18:44
Le pouvoir est sympa. Et le code est (hélas) toujours faux. Il te manque plus que la fin. Courage ! Very Happy
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MessageSujet: Re: Je suis Fou de Nous ! [Terminé] Je suis Fou de Nous ! [Terminé] EmptyMer 4 Juin 2014 - 20:27
Alors, le code a, semble t-il, été validé.
La fiche peut-elle être validée en l'état ou non ?
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https://berliefanny.wixsite.com/illustratrice
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Nodox Pebbles
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MessageSujet: Re: Je suis Fou de Nous ! [Terminé] Je suis Fou de Nous ! [Terminé] EmptyDim 20 Juil 2014 - 10:32
Up d'actualité !
La fiche est terminée ? On peut la valider ? Alfred, tu es toujours là ? Smile
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Kala Kourou
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MessageSujet: Re: Je suis Fou de Nous ! [Terminé] Je suis Fou de Nous ! [Terminé] EmptyLun 25 Aoû 2014 - 3:11
Allô ?
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MessageSujet: Re: Je suis Fou de Nous ! [Terminé] Je suis Fou de Nous ! [Terminé] EmptyLun 25 Aoû 2014 - 11:31
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Prez classée !
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Je suis Fou de Nous ! [Terminé]

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