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David Paterson dit "Trouble" [terminé]

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Trouble
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Age du personnage : 36

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MessageSujet: David Paterson dit "Trouble" [terminé] David Paterson dit "Trouble" [terminé] EmptyMar 20 Avr 2010 - 20:41
~~~~~~~~Présentation du joueur~~~~~~~~

Nom (ou surnom) :
Black Cat
Age :
17 ans
Sexe :
17cm heu, masculin, pardon.
Comment avez vous découvert le Forum ?
Je suis Admin^^
Première impression ?
ya du boulot, mais de l’avenir, aussi.
Autres ?
temps de connexion variant.
Comment trouvez-vous le forum ?
il en fallait un, on en a un.


~~~~~~~~Présentation du Personnage~~~~~~~~

Nom : ~
Paterson

Prénom :
David

Surnom :
« L’homme Trouble », « Dr Trouble », « Mr Trouble » ou tout simplement « Trouble »

Âge :
23

Classe désiré :
Contrôleur des changements

Pouvoir :

Contrôle des changements. Trouble est capable de changer la composition et la textures de n’importe quoi au mépris des lois de la physique. Si on lui jette une boule de feu, par exemple, il va la transformer en eau. Il peut également changer des parties de son corps ou de celui des autres, voire son corps tout entier. La première condition est qu’il doit toucher ce qu’il transforme, et la deuxième est que pour chaque « amélioration », il doit sacrifier quelque chose en échange. Il peut, par exemple, transformer son bras en pierre. Dans ce cas, son bras est toujours à lui et il peut s’en servir comme d’un bras normal. Celui-ci sera plus solide mais moins rapide. D’autres changements moins « conventionnels » sont possibles, tel rendre un membre élastique ou changer son propre métabolisme pour le rendre beaucoup plus fort ou rapide. Dans les deux cas, il abandonne quelque chose. La limite de ce pouvoir, c’est que Trouble de peux rien créer. Il doit modifier ce qui l’entoure, mais il lui est impossible de faire tomber la foudre ou de jeter une boule de feu.


Caractère :

David Paterson est un type assez difficile à cerner. D’une humeur oscillant constamment entre l’optimisme et le cynisme, il déborde néanmoins de confiance en lui. Sa vision du monde a été grandement salie par ses longues années de services à la DGSE, avant qu’il ne claque tout pour raisons personnelles et vienne faire une carrière à la Brigade des Mineurs, pourtant il garde une foi crédule et imbécile en l’homme et en quelque chose de bon quelque part dans celui-ci. L’entraînement qu’il a reçu de son ancien métier lui permet de jouer n’importe quel rôle dans la seconde, sans aucune préparation (voir histoire). Le problème, c’est que, à force d’imiter toutes les personnalités possibles, on finit par se demander qui on est vraiment. Sa relation avec son travail est peinte dans le même schéma : oscillant entre une dévotion sans borne au travail de terrain, il s’ennuie à mourir lorsqu’il doit remplir les rapports, ce qui a bien retardé sa carrière. En général, ce qu’il considère comme « une masse de papier inutile qui fait du mal à la forêt amazonienne, par ce que, de toutes façons, ces voyous vont repasser ici d’ici une semaine » échoue en général sur les épaules de son pauvre adjoint. David mange et dort pour vivre et vit pour son travail. Lorsqu’il se fixe un but, il fait tout pour l’atteindre et ne s’arrête pas avant que ce soit fait… sauf s’il abandonne au bout de dix minutes. A cause de la complète impossibilité de cerner ses réels buts et motivations, David fut surnommé par les délinquants juvéniles qu’il arrête et qui l’évitent comme la peste « le mec Trouble ». Au fil des ans, ce surnom à beaucoup varié pour finir sur un simple et amical « Trouble ». Lorsqu’il interroge un suspect, son flegme et son détachement amusé peuvent vite laisser la place à un intimidant regard qui semble percer les pensées des gens et à une concentration extrême. Ses facultés d’adaptation, la rapidité avec laquelle il assimile tout élément nouveau et ses dons d’acteur sont les qualités qui l’ont fait recruter au sein des services secrets français, mais c’est sa faiblesse pour les femmes qui a provoqué son départ. Il possède une acuité visuelle très développée (20/10) et est capable de donner les mensurations de n’importe qui d’un seul coup d’œil, voire constater des traces de chirurgie esthétique. Il se fait parfois massacrer par des filles dans la rue, alors qu’il les avait juste abordées pour vérifier qu’il avait bien calculé leurs mensurations. Derrière son comportement frivole se cache une personnalité complexe et dotée d’une grande sagesse. Pour finir, malgré son coté insondable, Trouble est doté d’un charisme assez efficace pour lui permettre de diriger une équipe, fut-elle petite. Sa peur du changement vient de ses années d’agent spécial, où sa vie sociale, sa personnalité et même le pays où il se trouvait changeait constamment. David a quitté son boulot pour une bonne raison et déteste qu’on lui parle de cette période (pour de bonnes raisons). Lui-même ne l’évoque que rarement, lorsqu’il est obligé. Ainsi, chaque changement dans sa vie privée, publique, voire même changement d’habitat le rends sujet à une panique difficilement contrôlable. C’était extrêmement difficile pour lui de draguer les minettes car, à chaque fois qu’il allait un peu plus loin avec une de ses conquêtes, il finissait par trembler de terreur simplement à la pensée que ça allait changer son quotidien. C’est également la raison pour laquelle, depuis cinq ans, il occupe le même deux-pièces miteux dans un arrondissement mal famé. Heureusement, vaincre sa phobie à Dreamland l’a rendu moins sujet à de telles crises.


Physique :
Trouble porte un chapeau. Un chapeau bizarre qu’il a acheté dans un autre pays alors qu’il était en voyage… Quoi ? Comment ça, je ne commence pas de façon orthodoxe ? D’abord je ne suis pas croyant, que ce soit protestant, orthodoxe ou herbivore, et ta gueule, merde, c’est à moi de décider par quoi je la commence, ma prez, non ? C’est la mienne ou la tienne ? Bon, alors ta gueule et lis. Je disais donc… merde, je me suis perdu… C’est de ta faute, aussi, là ! Ah oui, le chapeau ! Donc Trouble porte un chapeau, voilà, c’est dit, c’est écrit et imprimé et rien ni personne n’y changera quoi que se soit (d’ailleurs on ne peur pas enlever le chapeau sur l’avatar, alors…). On ne sait plus trop où il l’a trouvé, mais il le garde tout le temps. Il prétend à qui veut l’entendre qu’un vieux sorcier vaudou lui a donné pour lui avoir sauvé la vie alors qu’il avait faillit se faire tuer par un poulet zombie pendant un de ses rituels. Lequel sorcier lui avait alors assuré en achevant son rituel sanglant sous les yeux blasés de Trouble, que ce chapeau le protégerait des ensorcellements vaudous, de la volaille nécro-animée et, surtout (par ce qu’on a beaucoup de mal à rencontrer le reste dans la rue), des mensonges. D’après lui, le couvre-chef était enchanté pour doter son porteur d’un scepticisme à toute épreuve. Et c’est depuis ce jour, racontait-il pour la seizième fois à un brigadier crédule, que le chapeau aux larges bords et au bout entortillé façon Tortellini ne le quittait plus. Effectivement, il lui donnait un air bizarre, mais que voulez-vous, les objets vaudou, ce n’est pas fait pour être joli, hein ? Le sorcier aurait pu enchanter un parapluie ou une paire de godasses de sport, mais ça aurait été beaucoup moins classe. Et dans la magie noire, rouge ou verte, la classe, c’est primordial. Pour d’autres membres de la brigade, le chapeau avait été trouvé dans un bazar à Istanbul et Trouble s’était fait royalement arnaqué par le vendeur qui lui en avait demandé une somme exorbitante, arguant qu’il s’agissait d’un ancien couvre-chef de la famille royale et qu’il disposait de pouvoirs magiques qui attiraient les femmes (la famille en question avait battu le record du harem le plus fourni, avec 578 femmes). Trouble avait été tellement honteux de s’être laissé avoir comme une bleusaille qu’il l’aurait gardé tous les jours pour se rappeler ce passage peu glorieux de sa vie et en aurait tiré son légendaire scepticisme. D’autres rumeurs un peu moins réalistes ou invérifiables disent qu’il le portait pour cacher une calvitie naissante, ou que c’était la dernière chose qu’il lui restait de son père, jongleur et magicien dans un cirque itinérant hollandais. Dans tout les cas, ce chapeau fait partie intégrante de Trouble, et le suit partout. C’est moins efficace pour les planques, mais ce n’est pas grave, selon lui, par ce que : « c’est claaaaasse ! ».

Bon, recomptons… ça fait une bonne trentaine de lignes (31 en tout, du moins sur word), que je vous parle du chapeau de Trouble comme étant un truc forcément intéressant. Sa position en première ligne sur l’énumération de toutes ses particularités tendrait à faire penser que c’est partie la plus intéressante de son anatomie. En fait il n’en est rien. Si vous tenez vraiment à le savoir, le bout de son corps le plus digne d’intérêt reste évidemment sa B…bague ! (merde, la censure est passée, vite improvise un truc). Celle-ci est une bague de fiançailles plutôt jolie et aux reflets dorés captant immédiatement le regard averti (c’est-à-dire celui de la plupart des filles qu’il drague, les autres la découvrant quelques années plus tard, genre : ah, ben tiens ! t’as une bague là !). Une observation symbolique plus approfondie permet de montrer que celle-ci est passée au travers d’une chaîne et attachée autour de son coup, ce qui est symboliquement, une manière de hurler : » je suis célibataire, merde ! Regardez-moi ! ». Mais puisqu’on est partit sur les bijoux, on va faire le tour, hein ? Bon, bah, ça va être vite fait : il n’en porte aucun autre. Voiiilà ! Comme ça c’est plié. A part bien sûr sa bague et ses bijoux de famille que la censure ne me laissera pas décrire en détail, il ne porte aucune ornementation lourde et chère, du genre bague, collier, ou percing, ou quelque autre membre de la famille « on coûte la peau du cul et on peut t’étrangler, te planter ou t’arracher un doigt par accident ». Rigolez pas, ya un pote à lui à qui c’est arrivé. Sur un grillage, pendant une poursuite, le gamin l’escaladait et le collègue le suivait. L’accident bête… un index droit en moins. Ils avaient couru à l’hôpital et, à quelques secondes près, ils avaient réussit à le recoller. Le lendemain, les consignes sur le port de bijoux étaient arrivées et Trouble les avaient accepté avec grand plaisir. Sinon que dire d’autre ? Il porte été comme hiver la même veste noire à manche longue et qu’il laisse entrouverte « comme ça, elle peut se soulever dans son dos comme une cape et ça a la classe intergalactique pendant une poursuite » (ce qui, soit dit en passant, remplit la moitié de la journée de Trouble. Les dealers ne s’arrêtent pas). Il possède une collection Bon, je m’arrête là, nan ?

Comment-ça, on ne sait toujours pas à quoi il ressemble ? Mais vous faites un peu chier, les gars ! Le chapeau, la veste, les bijoux, le pantalon, c’est quand même ce qu’on regarde en premier, non ?! Comment ça, ya que les pickpockets qui réagissent comme ça ?! Mais moi, c’est comme ça que je repère regarde les gens ! Le visage ? le corps ? Pfff, à quoi bon, de toutes façons, tout les personnages seront pareils, ils seront musclés, et tout… Bon ok, ne vous fâchez pas, j’y vais…
Bon, ben, son visage… Anguleux, les pommettes hautes, les yeux légèrement blasés. Vous savez, le genre d’yeux qui semblent refléter le brouillard des mers du nord, là où les bateaux avancent au radar et à pas plus de cinq nœuds… Bref le regard du type mal réveillé, dont on ne sait pas trop que penser, dont on n’arrive pas à évaluer encore s’il est con où intelligent, tellement il y a une espèce de brouillard opaque devant nos détecteurs. C’est le genre de regard, tellement trouble que les yeux paraissent gris. Pourtant, il arrive parfois que ce regard s’éclaire, comme s’il était éclairé de l’intérieur par le phare perçant à travers la brume. Ses yeux prennent alors leur couleur naturelle : vert brillant. Son visage souvent dissimulé d’un air classe par son chapeau, on ne peut pourtant pas s’empêcher de noter les cheveux de jais avec des reflets roux qui tombent sans ordre aucun autour de son visage. On aurait pu penser que le chaos approximatif de sa coiffure aurait un effet désastreux, mais pas du tout. De ce hasard complet jaillit un nouveau cocktail détonnant qui lui avait donné une beauté épatante, un peu étrange, mais certaine. Comme si le diable avait voulu s’en mêler. En fait, il existe une histoire comme ça qui circule dans la brigade. Celle-ci dit que, lorsque Dieu créa Trouble, il avait passé une fort mauvaise nuit. Il avait tellement picolé avec ses potes saint Pierre, saint Nicholas, et tous les autres dont j’ai oublié le nom, qu’Il avait super mal à la tête le lendemain. Il c’est alors rendu compte qu’Il était à court de matériel. Mais comme il était hors de question de laisser du travail en suspens, Il est allé, à contrecœur, frapper chez son Collègue d’en bas. Evidemment, ce dernier se jeta sur l’occase de foutre un peu sa merde dans le monde de l’AGDE (l’Autre Glandeur De l’Eternel), et s’empressa de lui filer des trucs intéressants. Dieu, qui avait mal roupillé et qui n’avait pas assez fait gaffe, mélangea tout un peu n’importe comment et de la pâte sortit David Paterson, dit Trouble. Après analyse, les anges réussirent à dire avec précision qui avait donné quoi à Trouble (on dirait qu’ils n’ont rien d’autre à faire, d’ailleurs). Dieu lui avait donné l’intuition, la douceur, la beauté et la souplesse. Le Diable, lui, aurait donné l’indifférence, la douceur, la beauté et la souplesse. La morale de l’histoire ? A part « ne laissez pas traînez vos outils », on pourrait juste dire que Trouble est vraiment un type qui mérite son surnom. Evidemment, comme la moitié des inscrits, son corps est entraîné, musclé, et tout le bordel qui plaît aux dames. Il ne fait pas des pompes sur ses doigts, il ne s’amuse pas à soulever des altères jusqu’à ce que sa tête explose, il passe juste ses journées à courir après des voyous. Et comme le département est un gros radin, il y a pas moyen d’avoir une moto pour les poursuites. Comme eux sont souvent en mobylette, les courses-poursuites développent l’endurance, la puissance et la prévoyance (pour savoir par où ils vont passer). Ces longues journées de sport ont fait de lui un bon athlète
.


Histoire :
David Paterson est né -oui, ça on est sûr, il est né- dans une petite bourgade du Limousin nommée Chnaffon. N’allez pas vérifier sur une carte, ce village n’est pas assez grand pour être digne d’y figurer (et, de toutes façons, il n’existe pas). Malgré son ascendance improbable (sa mère était une magicienne dans un cirque itinérant d’origine hollandaise et son père un professeur de danse cubaine américain recalé par le monde cruel du théâtre de Paris et l’ayant croisée par hasard dans une représentation), le médecin qui a vu mettre au monde Trouble a tout de suite senti son potentiel et déclaré haut et fort : « ce garçon a un avenir radieux qui l’attend! Il est né sous le signe du Grand Trilobite et ce dernier prévoit de grandes choses pour lui! ». Ce praticien à spécialisation pédopsychiatre et à vocation destinologue, qui occupait après le travail le poste très respecté de Grand Prophète/Oracle/Gourou dans la secte de la Béatitude du Grand Oursin Evanescent, fut interné en maison de repos (aujourd’hui, on dit « asile ») quelques mois après, alors qu’on le découvrait à son domicile en compagnie d’une quinzaine de fidèles et en possession d’héroïne, de shit et de nombreux exemplaires du Petit Livre Rouge, avec la ferme intention de fumer la première, manger le second et de s’introduire par voie anale les derniers, dans cet ordre. Pourtant les parents, dont les vies étaient désormais soudées par cette naissance, prirent les mots de cet homme pour une prophétie tout ce qu’il y a de plus vraie, et décidèrent d’arrêter là leur vie de bohème pour élever ce garçon au destin si exceptionnel. Sa mère décida de le prénommer David, par ce qu’elle avait voulu une fille, et qu’elle avait déjà choisit pour elle le nom de Ziva, comme Ziva David de NCIS, sa série culte ; Trouble étant malheureusement un homme, elle lui donna le nom de David, ce qui se rapprochait le plus à ses yeux de son idéal de Ziva. David signifie en hébreux « aimé, chéri », ce que son père ne lui fit jamais remarquer, étant donné qu’il ne le savait pas, et que, de toutes façons, il se foutait royalement des significations des prénoms. Ils s’installèrent dans une caravane sur un terrain de tennis désaffecté et prirent un boulot « raisonnable », dans le but d’aider leur enfant à prendre un bon départ dans la vie.

C’est donc sur ce terrain vague, dans une caravane qui s’agrandissait au fil des ans, que grandit le jeune David, et dans une ignorance totale de ce que pouvait bien être son futur si reluisant. Ses parents firent tout ce qu’ils pouvaient pour que leur fils eu une scolarité normale, leur enseignant en plus leur expérience de la vie. Grâce à ses parents, à 18 ans (oui, on fait une parabole, sinon, ça va être vraiment long), il obtenait un Bac S avec mention Très bien, savait conduire une caravane, un tracteur, et à peu prés tout ce qu’on n’utilise pas d’habitude pour se déplacer (ses parents n’avaient pas de voiture). Il avait un physique souple et fort, dansait merveilleusement bien la danse cubaine, et savait comment tromper un maximum de personnes avec des numéros simples (tels que la disparition de la pièce de monnaie, la télépathie,…) ou plus compliqués (tels que la disparition d’une voiture contenant une dinde. Un écran de fumée, et il ne restait plus que la dinde) grâce à l’enseignement de sa mère. Avec de tels talents, il intéressa les Services Secrets Français (DGSE)

Ceux-ci lui firent une proposition assez alléchante : aventure, argent et voyages, espion, quoi ! La classe intergalactique, mais, contre toute attente, Trouble refusa. Il expliqua aux agents recruteurs ébahis que les Services Secrets ne l’intéressaient absolument pas, et qu’il avait déjà trouvé sa vocation : il s’était engagé dans une troupe de théâtre itinérante, la « Moliere is Funny company », qui partait dans une semaine en suède. La proposition qui aurait due changer sa vie, il l’avait dédaigneusement repoussée avec l’indifférence d’une vache regardant passer un train. Pourtant, par on ne sait quelle magie, ses parents furent au courant de cette proposition, mais pas de la réponse de leur fils. Avec toute la fierté d’une famille qui n’avait vécu ensemble que pour David, ses parents furent aux anges, persuadés d’avoir permit à leur fils de devenir une sorte de James Bond français, mais encore plus classe. Trouble n’eu pas le cœur de les décevoir, sa mère en aurait eu une crise cardiaque, et leur mentit sur toute la ligne sans le moindre remords.

Il voyageait beaucoup avec sa troupe et passa par des heures de gloires ou de déchéance, obnubilé qu’il était par le monde du spectacle et de la culture, ainsi que par le changement constant que cela donnait à sa vie. Il devait en effet changer de personnalité, de lieu et de contexte dans chaque pièce, chaque voyage, et, à force de pouvoir être n’importe qui, il finissait par ne plus trop savoir qui il était vraiment, mais bon, c’était pas trop grave, par ce que, tant qu’on joue du théâtre et qu’on fuit les gitans et les percepteurs d’impôts, ya pas trop de problèmes dans la vie, nan ? Enfin, lui, c’est ce qu’il pensait. Chaque fois qu’il repassait par la région de ses parents, il se séparait un jour ou deux de la troupe et leur faisait croire que ses missions étaient top secrètes, mais qu’il allait quand même leur raconter. Il les abreuva d’histoires sublimes, aux méchants atypiques et détestables, aux paysages magnifiques et aux demoiselles sublimes, qui contenait autant de vérité qu’un rapport dicté par la C.I.A., mais qui passait d’autant mieux, étant donné que personne n’irait inventer quelque chose d’aussi improbable. C’est d’ailleurs durant cette période qu’il trouva son chapeau, mais personne ne sut d’où il venait (d’ailleurs, si ça vous intéresse, ya un pot annuel à la brigade : chacun met 10 euros tout les trois mois, et celui qui trouve d’où vient le chapeau de trouble remporte le tout). Mais tout ça, messieurs-dames, c’était avant le drame, bien entendu… (FD : c’est pour toi !)

Un soir que Trouble était allé faire des course pour toute la troupe (des œufs, du lard, trois écharpes, du papier toilette et de raviolis), le théâtre ambulant fut attaqué par des jeunes du quartier qui, à défaut de pouvoir s’en prendre directement à Molière et Racine pour toutes les heures qu’ils passaient à étudier leurs textes, choisirent de mettre le feu à l’abri de la troupe. Lorsque Trouble revint des courses, les bras chargés de diverses choses, il vit le théâtre ambulant carbonisé entouré de pus de pompiers, de policiers et d’ambulances qu’il n’en avait vu de toute sa vie. Malheureusement, outre les dégâts matériels qui étaient considérables pour ces enfants de bohème, on déplorait quatre victimes, des membres de la troupe dormaient à l’intérieur et qui n’avaient pu sortir à temps. Pour le pauvre David Paterson, ce fut un coup dur, car cela marquait la fin du voyage pour tous les membres encore debout, dont lui. Privés de logement et de moyens de transport, leur troupe se sépara sans un adieu, sous le ciel couvert de novembre. Trouble avait alors vingt-et-un ans.

Choqué profondément par cet événement, il alla annoncer comme un abruti à ses parents qu’il leur mentait sur sa vie depuis à peu prés trois ans et, histoire d’en remettre une couche, il leur raconta ce qu’il lui était vraiment arrivé. Pour eux, ce fut un choc sans précédent. Son père fut impressionné que son propre fils puisse lui mentir ainsi et en conçu une grande fierté. Sa mère, elle, fut catastrophée que son fils puisse lui mentir ainsi et en conçu une crise cardiaque. La pauvre femme résista à la première crise, mais pas à celles qui suivirent, survenant à chaque fois qu’elle pensait à son fils, et décéda un mois plus tard. Trouble s’engagea dans la police et fit tout ce qu’il pu pour se retrouver dans la Brigade des Mineurs. Il ne pouvait s’empêcher de penser aux gamins qui avaient ruiné sa vie et arrêté définitivement celle de d’autres personnes, juste par ce qu’ils détestaient le théâtre. Il ne leur en voulait pas, au contraire, il les prenait en pitié, ce qui le poussa à vouloir ramener les gosses perdus sur le droit chemin. Voilà en gros l’histoire de Trouble.

Quoi, sa peur ? Ah, oui, il est Voyageur, merde ! Eh bien, en fait, après l’histoire du théâtre, il rêvait régulièrement de tout ce qu’il avait fait pendant trois ans : tous ses voyages, ses changements de lieux de répertoire, de personnalité, aboutissaient toujours sur la scène dramatique d’un théâtre carbonisé et du cadavre de quatre amis. Au fil du temps, il commença à avoir peur de se laisser aller, à avoir peur des changements. Il lui fallait donc vivre toujours dans le même appartement moisi, même s’il pouvait en changer, porter les même style de vêtement, ne jamais lâcher son chapeau, etc. Mais finalement, comme tous les connards de Voyageurs, ce n’était pas tant une tafiole, et, un soir, il réussit à se débarrasser de ce rêve en cassant la gueule aux créatures de cauchemars avec son pouvoir naissant, point. Voilà ! C’est fait ! Comment ça « c’est pas assez » ? Mais vous faites chier, un peu ! Comment a-t’il vaincu sa peur ? ben en étant courageux, banane !



(en cours)

Post RP :

---Extrait d'une journée de Trouble---

--Brigade des mineurs. 7h08 du matin--

La mine dédaigneuse du jeune skinhead était une parfaite imitation de la tête à claques. Des bagues dans ses oreilles et un collier clouté complétaient la panoplie habituelle du biker : veste en cuir, jean délavé, bottes de cow-boy. Il avait tout du dur de chez dur, aussi hargneux qu’imbécile, avec des propensions à défier l’autorité ou tout simplement à empêcher les gens de dormir à deux heures de matin avec le bruit de son moteur trafiqué. C’était d’ailleurs la raison pour laquelle il était assis sur une chaise dans cette pièce aux murs délavés, face à un flic adossé à un énorme miroir incrusté dans le mur. Une table simple et sans accessoires séparait le skinhead du flic, qui disposait aussi d’une chaise, dont il n’avait apparemment pas envie de se servir. En fait, la situation pouvait parfaitement avoir l’air normale, un Biker en salle d’interrogatoire, sauf que la « moto » de ce mec se résumait à un petit scooter décrépit et que l’interpelé n’avait pas encore atteint la majorité légale. A la brigade des mineurs, on en voyait défiler chaque jour des types comme ça. Pour le moment, Joey, le biker, jouait les bravaches, il se balançait sur sa chaise d’un air détendu en croisant ses jambes sur la table. Puis le flic de planton fut remplacé par un type. Une espèce de type, voilà peut-être la meilleure façon de décrire l’individu qui prit la relève. Portant une large veste ouverte sur un torse nu et un chapeau étrange, on l’aurait dit sorti tout droit d’une mauvaise série rétro sur les sorciers. Pourtant, Joey perdit instantanément son sourire provoquant. C’était le mec Trouble, bon sang ! L’espèce de type en question était lieutenant à la Brigade des Mineurs depuis seulement deux ans, mais ça lui avait suffit pour se tailler une solide réputation auprès des bandes de délinquants. Joey le connaissait, il savait qu’il fallait se méfier de ce type aux yeux vagues et imprécis et à l’allure plus qu’étrange. Il enleva ses pieds de la table et prit le visage le plus innocent qu’il pouvait, ce qui ne voulait pas dire grand-chose pour lui. Quiconque aurait assisté à l’effort aurait cru que le môme s’apprêtait à attaquer une supérette.

-« Sérieux, mec, quand-est-ce que je vais pouvoir sortir de cette piaule ? Mes parents m’attendent, là ! »

Trouble lui lança un regard de poisson mort et s’assit à l’envers sur la deuxième chaise de la pièce, qui se trouvait de l’autre coté de la table que celle du délinquant. Il rabattit son chapeau sur les yeux, semblant dormir, alors qu’il lançait en fait des regards en biais à l’accusé. Cette méthode avait toujours fait ses preuves lorsqu’il s’agissait de faire peur au suspect. Joey déglutit et reprit, sa voix manquant tout de même d’assurance :

-« vous n’avez pas le droit de me garder ici. Je veux partir. »

-« Joey, franchement, tu vieillis. Tu es actuellement en garde à vue pour tapage nocturne, comme tu n’as que 15 ans, on ne peut te garder que 24 heures. Tu as le droit à un avocat et tu peux avertir tes parents que tu es en garde à vue. Tu as compris tes droits ? »

Joey ria vaguement et répondit :

-« ben ouais, mais quel tapage nocturne ? J’ vois pas du tout de quoi vous parlez… si c’est à cause de la voiture du proviseur qui a brulé, j’y suis pour rien, hein ! »

Le jeune était à peu prés aussi convainquant qu’un dentiste assurant que retirer la carie ne ferait pas mal. Trouble se rapprocha de la table, le menton appuyé sur le dossier de sa chaise. Il avait l’air affable, mais sa voix était tranchante comme un rasoir. Il fallait tout d’abord impressionner le petit, l’écraser dans la masse de système. Lui donner l’impression qu’il n’existait aucune sortie de secours. Ensuite seulement on la jouerait plus fine et on monnayerait cette sortie contre ce dont Trouble avait besoin.

-« tu es là pour 24 heures mais ces 24 heures peuvent être allongées à 48 si on arrive à prouver ta possible implication dans le feu de joie que toi et ta bande ont fait hier soir avec la voiture de votre proviseur, ce qui nous laisse une journée de plus pour te prouver coupable. Comme il s’agit d’une dégradation d’un bien appartenant à autrui par l’effet d’un incendie intervenu dans des conditions à exposer des gens à des dommages corporels, conformément à l’article 322-6, tu serais passible de 15 ans de peine criminelle. Comme tu as 15 ans, tu bénéficie d’un allégement de la responsabilité qui ne te donne droit qu’à 7ans de prison, ou, si le juge est clément, de maison de redressement et de travaux d’intérêt général. Mais je serais toi, j’y compterais pas trop, par ce que ton apparence est excellente pour te faire intégrer dans une bande, mais elle n’attire pas vraiment la sympathie des autres, tu vois… »

-« mais vas-y ! Arrête de me parler comme un dictionnaire, là ! J’ai rien fait, ok ? Et puis t’as aucune preuve que c’était moi ! »

Ce fut le moment que choisit un brigadier pour entrer dans la pièce. Trouble ravala la colère et les reproches qui montaient et les transforma en lassitude. Il était nouveau, il ne savait pas qu’il ne fallait jamais interrompre un interrogatoire. Le lieutenant se leva nonchalamment et alla le rejoindre à la porte. Discrètement, le flic lui glissa d’un air anxieux :

-« heu, inspecteur Paterson, on doit prévenir le Procureur avant toute garde-à-vue, et je doute qu’il apprécie de découvrir que vous cuisinez son neveu… »

Trouble soupira et lui répondit :

-« écoutez, brigadier. Pour commencer, on est dans la Police, ici, ok ? Alors vous n’avez pas besoin de m’appeler par mon grade. Appelez-moi Trouble, comme tout le monde. Ensuite, c’est bien de connaître la loi par cœur, ça peut éviter des vices de procédures qui conduisent au relâchement du criminel. Vous avez raison, allez téléphoner au Procureur. »

Le flic acquiesça d’un air un peu timide et commença à repartit quand Trouble l’interpela

-« Brigadier ?! Prenez quand même le temps de vous faire un petit café, voir deux, d’accord ?! »

Trouble referma la porte et revint à son suspect. Le type était plus facile à manipuler que prévu : il semblait effrayé de ce que pouvait lui apporter la visite du brigadier, sans savoir qu’il allait en fait le sortir de la merde. Le flic retourna s’asseoir, avec l’expression victorieuse typique du gars qui en tient un autre par les couilles, et se planta en face du jeune. Tremblant comme une feuille, il déglutit lorsque Trouble plongea sa main dans sa veste et devint plus blanc que neige lorsqu’il en sortit une photo. Celle-ci montrait le jeune Joey avec les mêmes fringues qu’il portait aujourd’hui, debout sur sa « moto » et crânant avec quelques potes qui avaient l’air aussi louche que lui devant un grand feu de joie. L’inspecteur joua avec, la balançant de gauche à droite sous les yeux de son suspect, comme pour l’hypnotiser alors que sa voix narquoise se faisait plus douce, charmeuse.


-« C’est cool de faire des photos entre potes devant un feu de joie, c’est sûr. Mais vous n’auriez pas dû la mettre sur internet. Avec un petit zoom, on peut assez nettement remarquer que vous vous trouvez devant la maison de votre directeur. Or, devant chez lui, seule sa voiture à brûlé cette nuit. »

Le môme, transpirant à grosses goutes, joua son va-tout, avec un étonnement aussi dur à avaler que le trou de la Sécurité Sociale, il s’exclama :

-« ah ! Mais c’est mon frère jumeau que je croyais perdu depuis des années !! Vous dites qu’il est devenu un délinquant ?! »

Une veine saillant brusquement de son front témoigna un peu tard que la patience de Trouble venait de s’envoler. Il se leva brusquement et choppa le gosse au col. Ses yeux étaient écarquillés de peur.

-« arrête de te foutre de moi ! Tu me fais perdre mon temps et je n’en ai pas ! J’ai de quoi te faire prendre pour sept ans à l’ombre, alors pose ton cul et écoute ! »

Il le lâcha brusquement et se força à se calmer. Il prit trois grandes inspirations et se retourna, ayant à peu prés retrouver une maîtrise de soi. Avec un sourire un peu crispé, il resta debout et s’alluma une cigarette, adressant un véritable pied-de-nez au panneau situé derrière lui et qui indiquait : « zone non-fumeur ».

-« bon, écoute, je peux te sortir de là, toi et tes potes. Cette photo, elle n’est pas sur internet, on l’a retrouvée dans ton portable quand on te l’a pris. Tu peux encore éviter la taule ou la maison de redressement. Si ça ne tiens qu’à moi, tu peux sortir, mais j’aimerais que tu me rendes un service. »

On était plus dans une accusation, mais dans un deal. La porte de sortie contre un service. Maintenant, restait à débattre du service en question. Joey, qui se remettait de ses émotions, le demanda :

-« Qu’est-ce que vous voulez ? »

-« J’ai besoin d’informations. »
Commença Trouble en tirant une bouffée. « Je sais que toi et ta bande, vous savez tout ce qu’il se passe dans l’arrondissement. C’est votre secteur. »Il tira d’une énième poche une carte de la ville et la jeta sur la table. « Je veux connaître l’itinéraire des trafiquants qui viennent de se poser dans le coin. Je sais qu’ils font le tour des écoles, mais on arrive jamais à les chopper. Ils font hyper gaffe à ce qu’aucun adulte ne puisse les chopper, et ne se montrent pas si je place un agent déguisé. Mais vous, ils ne vous voient pas. Pistez-les, et donnez-moi l’itinéraire et leur labo. Si on les choppe, on doit avoir toutes les preuves à disposition. »

Le skinhead sembla rassuré, et même en colère.

-« Ok, t’auras ça d’ici demain. On les observe depuis une semaine. Nous, la drogue, on aime pas. C’est un truc de pourri et pour la moto, c’est pas terrible. Ils font la sortie des collèges aussi. ‘ya des gamines de sixième qui commencent à leur acheter. C’est bien par ce que c’est toi. on allait pas le dire aux flics, tu vois, fallait régler ça nous-mêmes. "

-"ouais ben, évite de chercher d'autres manières d'aller en prison, s'il te plaît. Laisse moi faire mon job et c'est eux qui y seront."

Quelques minutes après, ils sortaient de la salle d’interrogatoire. Le skinhead semblait remonté, comme s’il se retrouvait chargé d’une mission honorable et sérieuse. Il salua Trouble et sortit du commissariat après qu’on lui ai rendu sa mobylette. L’agent de tout à l’heure revint, le téléphone à la main.

-« il dit de laisser tomber le gosse, inspecteur. »

-« répondez que ses désirs sont des ordres » répondit Trouble avec un petit sourire.

-« vous fumez ? Je croyais que vous aviez arrêté ? » Remarqua le brigadier après avoir raccroché le téléphone.

-« quand quelqu’un fume, il est tout de suite pris au sérieux par ces jeunes. Pour autant, ne vous inquiétez pas, c’est une fausse. »

Trouble balança la cigarette factice, qui ne contenait que de quoi faire une petite fumée inoffensive et s’étira. Il avait passé la nuit à poursuivre un clan de gothiques qui monopolisaient un cimetière pour un rituel à la con et n’avait attrapé le jeune Joey que vers 7h du matin. Le lundi, même les skinhead se levaient tôt.

-« j’ai eu une longue nuit » bailla t’il. « Je rentre me pieuter. Appelez-moi si on a une urgence. »

[j'écrirais le reste sous forme de RP]

[en cours]

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Inspecteur à la brigade des mineurs (grade officiel : Lieutenant)

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Trouble
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MessageSujet: Re: David Paterson dit "Trouble" [terminé] David Paterson dit "Trouble" [terminé] EmptyJeu 8 Juil 2010 - 15:49
je me valide^^. Dox, Caîn, un second avis?
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Cain Sloph
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MessageSujet: Re: David Paterson dit "Trouble" [terminé] David Paterson dit "Trouble" [terminé] EmptyJeu 8 Juil 2010 - 15:58
validé ^^
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Nodox Pebbles
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MessageSujet: Re: David Paterson dit "Trouble" [terminé] David Paterson dit "Trouble" [terminé] EmptyJeu 8 Juil 2010 - 16:01
non non rien ^^

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MessageSujet: Re: David Paterson dit "Trouble" [terminé] David Paterson dit "Trouble" [terminé] Empty
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David Paterson dit "Trouble" [terminé]

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