BACARY
Daan

Personnage.

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• Nom : Bacary • Prénom : Daan • Surnom(s) : à voir • Âge : 20 ans • Nationalité, origine(s) : Portugais ( origine ), vivant en France • Pouvoir et description : * Phobie des Crop Circle : Permet dans une zone délimitée au sol ( ou en gravitant au dessus du sol suivant la technique ) pour changer la trajectoire des êtres vivants ou/et objets qui le traverse. A la fois offensif et défensive, Daan peut aussi s'en servir comme booster de coups, du fait qu'il peut accélérer ses poings quand il traverse un cercle préalablement installé devant lui, du fait que le coup est déjà en avant Daan peut faire en sorte que le coup soit plus rapide en faisant en sorte que le cercle fasse aller le poing en avant, accélérant ainsi le coup. Et défensif du fait qu'il peut renvoyer les objets que l'adversaire envoie ( base du pouvoir). A faible niveau, Daan ne pourra créer que 2-3 cercles, par la suite, le nombre et la taille augmentera au fil des rangs tout en prenant en compte qu'il faut une certaine énergie et concentration pour mettre en place une zone/cercle bien plus grand(e). ( voir FT par la suite )

Description Physique.

Avec ses cheveux blonds qui tient de sa mère et du haut de ses 1m85, un corps jeune et musclé cache en faite une force de combat impressionnante. Ses yeux marrons lient sa détermination, son sérieux et en même temps une tristesse bien enfouie en lui, ces deux frontières proche l‘une de l‘autre sont en sommes assez rare à observer, de par son expérience il sait qu‘il ne doit montrer que la volonté d‘une âme forte et impénétrable. De plus la dominance des traits fins qui sculpte son visage peux nous faire penser qu’il ne vieillit jamais et qu’une touche de féminité peut se faire ressentir mais l’hypothèse et vite refoulée par le fait que c’est un violent dans l’âme. De plus sa clope perpétuellement à la bouche accentuent son côté mauvais garçon. Le voyageur n'impressionne pas au premier coup d'œil, mais peut de gens oseraient l’approcher rien de bien dramatique pour lui étant un solitaire aguerrie. Maître de tout ses mouvements, aucunes maladresses de sa part ne pourrait le mettre en doute de ses capacités physiques et surtout de son agilité, toujours précis et minutieux dans ses gestes rapides et appliqués, il en surprendra plus d’un.

Il ne se démarque pas des autres par son physique imposant rien avoir avec un titan ou encore par la bizarrerie du plus vieux peuple de Dreamland.
C’est un homme qui a environ une vingtaine d‘années, pour en revenir à ses cheveux ils sont mi-long coiffés en bataille et qui laisse malgrés ça fait bien apparaitre son visage.

Au niveau des vêtements au sein du monde des rêves, Il porte ce qu'il y a de plus simple, un pantalon de couleur noir, une chemise blanche avec un gilet noir dont l'intérieur est rouge ou encore un tee-shirt noir selon les jours. Il porte aussi un foulard en tissu rouge et trois boucles d‘oreilles de couleurs argent, élément qui d’ailleurs caractérise bien le personnage. Ce qui est par contre assez bizarre c'est que c'est cheveux sont roses quand il est à Dreamland, après il faut bien ce dire que l'originalité est le maître mot au sein du monde des rêves ainsi cela ne choque pas trop les divers rêveurs, voyageurs ou autres créatures des rêves, mais il ne peut expliquer cette étrange couleur de cheveux. Alliant force, agilité et vitesse peu de voyageurs l’aillant déjà affrontés peuvent aujourd’hui l’égaler, mais il espère trouver de nouveaux adversaires pouvant l’améliorer encore plus.

Caractère.

Personnage mystérieux de par son passé, impassible devant un bon défi, c’est un voyageur qui paraît très décontracté dans tout ce qu'il fait : on note ce comportement lorsqu'il s'adresse à toutes les personnes qu‘il rencontre tout rang confondus, il n‘est pas affecté par le grade ou le statue, et encore moins par la terreur ou l‘autorité que celui-ci pourrait désespérément mettre en avant. Ce comportement lui vient sûrement du fait que son inconscience et son instinct leur dictent que tout est possible dans la vie surtout quand on s‘en donne les moyens. Si au premier abord il parait un peu froid avec sa clope au bec, il est attaché sur le plan émotif à ses camarades, même si il le montre rarement, d’ailleurs il les considère comme ses frères quand eux-mêmes ont prouvé leur sincérité et leur loyauté au combat.

Cet amitié sincère envers son groupe lui vaut d'aller à l'affrontement sans une once de doute ou de peur, même lorsqu'il peut s'agir d'un haut rang. A première vue, il passe pour une personne flegmatique, ce qui n'est pas le cas. C'est une personne posé et réfléchi, de telle sorte qu'il scrute le champ de bataille dans son ensemble, il sait de lui-même ce qu’il est capable de faire et aussi de penser rapidement et en utilisant l’environnement à son avantage. Il est également très bon dans l’improvisation mais reste quand même un stratège dans l’âme.

Daan a une habitude, celle de l'information. Selon lui le véritable atout c'est la connaissance. De ce fait il lit régulièrement les Dream'mags pour savoir tout ce qui passe dans le monde des rêves. C'est ainsi qu'il essayera de rencontrer les voyageurs de grandes renommée et aussi les personnes ayant la chance de faire parler d'eux pour ainsi les affronter et pourquoi pas devenir le numéro 1 ! Daan, décide de commencer sa route et de prendre tout son temps pour voyager au sein de Dreamland. Il explique que la place du Roi ne disparaîtra pas comme ça et qu'il préfère "Voler le bon trône" ...

Pour en revenir a son regard froid, il n'y peut rien, il est comme ça et c'est tout, car il est quelqu'un qui marche à l‘instinct, préférant si possible observer la ou les personnes, pour en conclure si telle ou telle est une personne de confiance. D’où l’atmosphère froid qu’il dégage et une sensation impénétrable d’un sérieux que rien ne pourrait ébranler. Mais en plus de cela, il aime combattre et dès qu'il en a la possibilité, il sautera sur l'occasion, surtout si ses adversaires ont un certain niveau.

Histoire.

Comme tout être vivant, il a bien fallut que Daan passe par la dure étape que l’on appelle la naissance. C’est un moment difficile à passer pour un nouveau né, il découvre les parents et la famille qui lui sont imposés, sa situation sociale, son physique ainsi que de nombreuses autres choses. Pour certains c’est un moment de pure joie, mais pour d’autres ça se passe moins bien, ce fut le cas de Daan.
Pourtant au premier abord, il n’aurait rien eu à envier à quiconque : parents soudés et roulant sur l’or, Ville prospère et ensoleillée, corps en bonne santé. Enfin le bonheur complet. Mais hélas, ses parents, étant continuellement occupés par leur représentation et toutes les distractions qu’offre une immense fortune, ne prenaient jamais le temps de s’occuper eux-mêmes de leur fils. Il passa donc son enfance à regarder défiler les nounous et les gouvernantes.
Depuis des générations, la famille avait la musique dans le sens, pianiste et autres violonistes embellissais l’arbre généalogique et chaque branches étaient un fierté en plus dans la famille Bacary.
Car pas un seul membre du personnel attaché à son bien-être ne restait plus d’un an, c’est après ce délais qu’ils proposaient généralement aux parents de passer un peu de temps avec leur enfant, une telle audace signifiait un renvoi immédiat. C’est ainsi que, bien qu’entouré de tout le confort matériel imaginable, l’enfant vécut une enfance dénuée de toute d’affection parentale.

Lorsqu’il atteint l’âge de 10, son père le prit personnellement en charge, c’est à dire qu’il le voyait 1 à 2h toutes les semaines, entre deux leçons de piano, afin de lui parler de sa passion. Il espérait ainsi, en plus des cours à domicile dispensés par des professeurs réputés, le former à prendre la relève au sein de la prestigieuse famille musicien qu’il était.
La maison familiale, située à San Poplar où était situé le plus grand opéra, était un endroit triste et sans vie pour un enfant de 10 ans. Daan profitait donc de l’absence de ses parents afin de se promener dans l’opéra, il ne manquait d’ailleurs pas une occasion se tâter l’imposant piano qui était sur scéne. Lorsque ses parents apprenaient qu’il était l’auteur de ces merveilleux mini concert, ils en étaient plus que fière et pouvait ainsi être sûr que la relève était assuré.
Cette relation houleuse avec ses parents, bien qu’il ne les voie que quelques jours par semaine, atteint son apogée lors de ses 12 ans. Son père, pensant stimuler son enthousiasme pour la musique, lui offrit la possibilité de se représenter lors d’un gigantesque concert en tant que principal acteur de scène, ce qui représentait plusieurs millions de berrys. Mais Daan, qui n’avait aucune envie de côtoyer cette vie de bourge tous aussi faux-cul les uns que les autres. Il refusa alors sa proposition en disant qu’il n’en avait rien à faire et qu’il voulait perpétuer la passion de la famille petit à petit et non par une prétendu célébrité.
Son géniteur entra alors dans une colère terrible, se plaignant du manque d’intérêt que son fils témoignait envers ce qui serait son avenir. Daan surenchérit en affirmant qu’il n’avait aucune intention de reprendre directement le métier qui l’avait privé de ses parents. Leur dispute dura de longues minutes et se solda par un « Va dans ta chambre ! » colérique de la part du plus âgé.

Le lendemain, se sentant coupable des paroles prononcées, son père se rendit dans sa chambre afin de s’excuser et de tenter de trouver un terrain d’entente, mais son fils avait disparu. Au plus profond de la nuit, l’enfant s’était glissé par sa fenêtre, n’emportant avec lui que ce qu’il avait sur le dos et une petite bourse, il ne voulait pas garder de souvenirs de son existence dans ce lieu. Grâce à son talent, il put ainsi jouer dans les petits bars de ruelles ne gagnant que quelques sous, mais tout en faisant plaisir à une société plus humaine et sans fausse modestie. C’est ainsi qu’il quitta San Poplar avec l’intention de ne jamais y revenir.

Poste Rp.

Il est possible de vivre de ses rêves, mais apparemment, ces cauchemars aussi. Seul au milieu de nulle part, un terrains vague m’entoure. Pour se connaître véritablement soi-même, il faut savoir quitter un certain nombre de mémoires avec lesquelles nous confondons notre identité.
Quitter le connu...le reconnu que nous croyons être...
Pour l'inconnu... le méconnu que nous sommes... Un amas de peurs infranchissable que par le biais d’une volonté à tout épreuves … au départ ce n’étais pas mon cas…

Puis vînt ce soir ou plutôt ce cauchemar, je suis au milieu d’une solitude qui m’étonne et m’effraie à la fois. J’observe de plus prêt ce qui m’entoure, des tailles parfaitement mise en place dans une herbe humide et froide. Je regarde autour de moi, la plaine commence à bouger, ainsi je peux voir au loin les divers motifs dont la zone est parsemés, des crop circle la peur de tout un début de vie. Je me sens crispé, stoïque devant une atmosphère à la fois si naturel et pourtant envahie d’un ciel d’encre dont on pourrait croire que rien n’est possible, que rien ne transperce ce monde, qu’il est éternel.

Bientôt je me sens m’envoler, un plaisir de courte durée puisque mon vol se transforme en véritable voltige. Suivant la houle des vagues vertes, je ne peux stopper tout ça, ainsi je me vois tel une marionnette qui se voit contraint de subir le fracas de son corps contre les divers tsunami végétal que je croise durant mon parcours céleste. Je passe de crop circle à un autre, la douleur me semble insupportable, je résiste au divers moments de chocs ou je suis à la limite de la perte de conscience mais au fil du temps mais mains me sont de plus en plus obéissantes. Par ce temps de réflexion je peux enfin m’apercevoir que finalement rien ne nous guide à par notre instant et rien ne doit l’ébranler, dépassons ainsi l’entendement humain pour non pas suivre des règles, mais mettre en place une éthique de vie propre à chacun, en clair faire SES choix.

Je me suis enfin immobilisé tout en étant en apesanteur, la houle continu de se mouvoir, mais en somme je peux faire en sorte qu’elle ne m’atteint pas. Je sens comme une vibration .. Ou plutôt comme une présence, une vague fantomatique vibrante autour de mon être, elle semble s’accumuler et se contenir en moi. Nouvelle évènement pour nouvelle douleur, celle de ne rien lâcher, ne rien écarter tout contenir et ne rien laisser s’échapper par peur de connaître ou tout simplement de se libérer, de tout mouvements et attaques. La houle tourne autour de moi, sa vitesse augmente, je perçois que l’aura fantomatique en fait de même, je profite de cette rotation pour dégager cette douleur dans ce mouvement circulaire et ainsi me libérer de toute emprise. Une lumière intense se dégage du cercle apparu sous moi, tout s’éparpille disparait et ne me fait plus obstacle. Plus rien de m’atteindra désormais, cette peur d’être enlevé, d’être aspiré ou rejeté de tout horreur ou mépris, comme le soir ou j’ai vu cette lumière intense, m’éblouir. Je n’ais jamais su comment je mettais retrouvé de mon lit jusqu’à à un champ en pleine nuit au beau milieu de ce cercle immense de par sa taille mais aussi par son mystère….

Une silhouette se fait voir malheureusement je ne peux voir l’homme en question .. Oui je dis un homme car sa voix grave et enrouée me donne toute envie à croire que j’ai affaire à une personne assez âgée pas plus de la quarantaine. Les informations me manquent pour la simple est bonne raison que celui-ci est entouré d’une brume noirs voguant le long de son corps tel une tornade noir. Pourtant un simple moment d’attention me permet de m’apercevoir que l’homme en question est loin d’être imposant et pourtant sa présence en dit long sur sa personnalité, à la fois sur de lui et ne croyant apparemment pas la peur de l’évènement dont je viens de subir, il semble avoir tout observé du fait de tourner autour de moi, de m’analyser. C’est ainsi qu’il prend la parole et m’annonce d’une bien curieuse nouvelle :

- Aujourd’hui est un grand jour jeune voyageur, ton monde étant déjà en tout point mystérieux, tu es quand même jusqu’à survivre à une peur à la fois inconnu de tous et pourtant si spectaculaire. Je te félicite.

Je ne peux décrocher un mot qu’il disparait déjà dans la pénombre de sa brume… voyageur …. Ca à beaucoup de définition mais je me sens différent, revivre dans un sens. J’ai bien l’impression que mes nuits risques d’être longues et mouvementées. 

Autres.

• Aime : la glace à l'italienne, le noir, le rouge, les brunes, les cirques, la viande blanche ...
• N'aime pas : les légumes, le vert, le jaune, la foule, les rousses
• Particularités, autres : Au sein de Dreamland, il a les cheveux roses Oo, trois anneaux d'argent à l'oreille gauche et son foulard rouge fétiche qu'il porte à la taille.
• Niveau d'étude hors de Dreamland : Pianiste
• Comment avez-vous découvert le forum ? Google
• Première impression : design en construction mais sympatoche
• Code de validation : Daan Bacary sort les poubelles en mâchant du chewing-gum à la fraise.