¤ Vous ¤Comment avez vous découvert le Forum ? Je fais partit des créateurs 8)
Première impression ? Magnifique, forcement !!
Age : 20 ans
¤ Le personnage ¤Nom : Pebbles
Prénom : Nodox
Âge : 20 ans
Sexe : Masculin
Classe désiré : Contrôleur
Pouvoir : Contrôleur de foudre
Caractère :
Parlons de ce que l’on pourrait appeler ma psychologie, je ne supporte pas l’injustice, l’égoïsme et la violence gratuite (même si au départ c’est involontaire), dans ces moments là, je suis capable du pire, et quasiment rien ne peut m’en détourner. Pour ce qui est du sexe opposé, j’y suis tout naturellement attiré, comme n’importe qui me direz-vous, et j’ai assez souvent, faut bien l’avouer, des pensées assez tordues sur le sujet, je préfère donc passer au suivant sans plus attendre …
Les goûts de la vie quotidienne ? Je déteste le jardinage et tout ce qui se réfère aux activités de déco, aussi bien extérieur qu’intérieur … mise à part ça, je recherche l’assassin de ma grande sœur, je ne crois en rien, ou du moins, rien que je ne puisse voir de mes propres yeux, tout simplement parce que je trouve personnellement que le monde n’est qu’un ramassis d’hypocrisie, provenant de chacun des êtres qui le compose, toutes ces lois plus tordues les une que les autres, même si parfois il se peut que l’on rencontre quelqu’un de confiance, il ne sera pas rare que cette personne reparte comme elle est venu sans un mot, et franchement, je trouve tout cela très (et trop) compliqué pour que l’on s’y intéresse sérieusement. Enfin dans un sens, on peut dire que je crois en quelque chose, et ma seule croyance réside dans le combat et la connaissance de l’adversaire par le contact et la douleur. Bref, je ne crois qu’en moi … sans vouloir être égoïste.
Autrement, et dans les combats, je précise, ma stratégie se résume en quelques mots : tout miser sur la force et la tactique dans l’art du combat. Je privilégie véritablement le mode bourrin, même si ça m’arrive de réfléchir un petit peu avant, mais c’est plus marrant et surtout il n’y a que comme ça que l’on peut ressentir la terreur de son adversaire, le sang qui coule à flot, les muscles qui frémissent, les vêtements déchirés, et pas qu’un peu bien sûr, mais là, on ne me changera pas.
La douleur n’est qu’une simple information et toute cette énergie ne peut être transmise que par contact, c’est ma philosophie.
Mes techniques de combat ? Je suis un maître dans les techniques du kung-fu à main encordées … Par contre mes seules armes, ce sont mes mains et mes pieds. Inutile donc de préciser que je n’attaque qu’au corps à corps. Pour ce qui est des armes blanches, je suis aussi mauvais que si on m’avait donné un épouvantail à frapper à l’aide d’une brindille, sérieusement, si vous me voyez avec quelque chose de ce genre, pariez vite tout votre or aux cartes, il y a de très fortes chances pour que vous remportiez le gros lot.
Physique :
Parlons maintenant du visage, tout d’abord mes parents m’ont doté de cheveux roux toujours dressés en pic en direction du ciel. L’avantage, c’est que je n’ai même pas besoin de gel, et même au réveil, pas un seul épi, ou si vous préférez, ce ne sont que des épis qui créent cette forme aussi étrange que surnaturelle … la forme d’un oignon.
Pour les yeux, je n’ai ni pupille, donc vous n’y trouverez qu’un font blanc immaculé, ni de nez, c’est tout plat, malgré une très légère bosse là où se trouverai le nez, ce qui ne m’empêche pas d’être comme tout le monde, hein, mais voila il y a tout de même quelques différences notables avec les humains normaux, ensuite je suis un adepte des boucles en argent, d’un diamètre approximatif de un centimètre, sur mes oreilles pointues d’une longueur également approximative de huit centimètres pour une largeur d’environ cinq centimètres, et oui, même pour un mec, c’est fun. Sinon j’ai une cicatrice en forme de croix sur le front datant du mois qui suivie ma naissance, pour une petite explication à cela, il suffit d’avoir un couteau mal rangé, une bonne dose de curiosité et un soupçon de maladresse pour l’obtenir, bien sur il faut également le talent de l’artiste, mais je m’écarte un peu du sujet.
S’il y a des chirurgiens, ou futur chirurgiens qui me lisent, elle est d’une profondeur de zéro virgule cinq centimètre sur deux centimètres d’envergure en surface.
Le corps ensuite, doté une musculature dissimulée mais bien présente, histoire d’en surprendre plus d’un, je ne crains pas les grosses brutes qui se croient tout permis sous prétexte qu’elles ont plus de pectoraux que moi. Ensuite j’ai des bras fins, sans avoir la peau sur les os bien sur, finissant au milieu des cuisses, mais que voulez-vous je ne suis pas un fan de la musculation, avec des mains crochues, faute d’oubli d’utilisé les ciseaux à ongles.
Des jambes robustes, pas trop longues et suffisamment souples afin de me permettre mille et une folies lors de mes combats, le tout assez bien proportionné selon moi, et recouvert d’un petit bronzage digne des îles Caraïbes, sans vouloir me vanter.
Sinon, question vestimentaire, je porte deux style très différents. Dans Dreamland, j’ai une sorte de pendentif en forme de croix attaché à une mèche, une écharpe rouge découpée d’une longueur d’environ deux mètres cinquante, je la porte tout le temps et à toutes les saisons. Aussi longtemps que je me souvienne, je l’ai toujours eu sur moi. De plus, je suis souvent, pour pas dire tout le temps, en débardeur coupé ou déchiré, selon les péripéties précédentes, au niveau de la cage thoracique, au milieu du ventre quoi … puis un pantalon assorti en version « patte d’œuf », si jamais vous ne voyez pas à quoi ça ressemble, c’est serré au niveau de la taille et très large aux chevilles, couvrant la quasi-totalité des jambes. Question chaussures, je suis souvent pieds nus mais bon, il m’arrive parfois de mettre des bottes, également assorties au reste de la tenue. Pour finir, j’aime particulièrement les motifs en forme de croix et ce, depuis très longtemps, sans doute à cause de ma cicatrice sur le front … Dans la vie, c'est bien plus classique, un jean généralement du style militaire, un tee-shirt souvent noir, des lunettes. Et oui, je suis un binoclard ... pour les chaussures, des Vans noir sont idéales.
Histoire :
[Passons à la troisième personne, je vous pris]
C’est dans un petit hôpital de province que naîtra l’une des plus grandes terreurs de ce monde. Enfin n’exagérons rien, une terreur n’engage que ceux qui s’y intéressent, autrement dit pas grand monde. C’est donc par un beau jour d’été, au détour d’une ruelle, d’un rond-point et d’un panneau sens interdit qu’un morveux encore chauve poussa son premier cri. Ce nouveau-né pour le moins bruyant à cette heure de la journée porte un nom quelque peu original, Nodox. Qui a bien put avoir l’idée farfelue d’appeler un enfant ainsi, et bien du monde lui fit la même remarque durant son enfance, remarque qui se transforma en moquerie puis insulte au court du temps. L’enfant grandit, comme tout le monde ou presque dans un milieu particulièrement hostile à l’épanouissement psychologique, l’école. Très vite, l’enfant ne se révéla pas docile du tout, et ce pour simplement tout le monde. Sauf en l’occurrence ces parents qui avaient, malheureusement pour lui, trouvés ce qui lui composait son point faible. Une chose que personne ne révélera ici puisque c’est une affaire de famille et qui dit famille dit priver !! Enfin pour les profs c’était bien évidemment une toute autre mélodie que celle du foyer familial, si bien que cet enfant alors âgé de dix ans se fit renvoyer de l’école pour insolence à répétition envers le corps scolaire et perturbation constante de la classe. Même avec le rendez-vous parental ça n’as pas suffit mais bizarrement, ce sale môme était fier de lui.
Il déménagea à Paris, profitant d’une mutation de son père dans la région. Ce nouvel environnement eu l’effet étrange d’un déclencheur dans la conscience du petit Nodox. En quelques jours il passa du titre de perturbateur récalcitrant à passe-partout timide. Un tel changement que personne n’en crut avant plusieurs semaines. Et comme si ce changement des plus extrêmes ne suffisait pas, ce qui lui servait d’ami et/ou d’acolyte étaient à présent remplacés par des livres, des étalages et des étalages de livre. Un changement de comportement si radical qu’il eu même le droit à un voyage chez le psy, mais rien n’y fit. Les années passèrent et malgré ce comportement propre à l’intello de service, les notes scolaires ne suivaient pas. Il obtint son diplôme de fin de collège à tout juste la moyenne, ni plus ni moins. Comme on dit dans le jargon, il eu chaud aux fesses.
Puis les vacances d’été de la même année le fit à nouveau déménager pour cette arriver à présent dans le sud de la France et plus précisément à Montpellier. Une ville à haute capacité étudiante et active, donc en grande partie différente de la capitale française. Et comme par magie, Nodox devenu un peu plus grand et mature sans trop vouloir abuser transforma une nouvelle fois son attitude sans vraiment le vouloir. Une attitude plus bien plus calme que dans son enfance mais en même temps plus rebelle et soucieuse de sauvegarder sa liberté, contrairement à son époque de collégien presque modèle. Mais pas non plus spectaculaire et digne de figurer dans tous les journaux de la ville, les adolescents de cet age tente déjà d’exister et ce n’est pas une simple affaire.
Parlons d’autres critères de sa personnalité bien trempée. Pour ce qui est des amis par contre, c’est plutôt simple. Avant le collège, il était adulé de tous les pires mômes existants dans l’établissement, arrivé au collège seul les livres de la bibliothèque lui tenait compagnie puis enfin le lycée où il redécouvrit ce que tout le monde appelle « les potes ». Et oui, ce Nodox avait donc décidé pour une raison que ne regarde que lui de se faire des vrais amis. Chose simple direz-vous mais lorsque l’on s’appelle Nodox, qu’on débarque dans une région de méditerranée totalement inconnue pour lui et donc sans le moindre repère ou point de retraite, ce n’est pas vraiment si facile que ça. La technique, foncer dans le tas et après on voit. Il fit ainsi la connaissance d’un certain Caîn Sloph, plutôt terre à terre comme garçon mais avec un bon fond, un humour bien à lui, une attirance extrême pour les armes à feu et une peur bleue des monstres plus étranges les uns que les autres. Mais pour ce qui est de faire la fête, il répondait présent à chaque fois. On peut dire en quelque sorte qu’ils faisaient une belle paire d’abrutis heureux tous les deux … Enfin, il n’était plus seul et c’est l’essentiel.
Post RP :
8h00. Le réveil sonna de son bruit nuisible et tellement énervant que tout le monde effectue le même geste pour le faire taire, le prendre à pleine main et le balancer à travers la chambre de toutes ces forces. Nodox fit donc de même et le pauvre réveil qui ne faisait que son boulot se retrouva sous un meuble avec plusieurs coups sur le dessus. Il se redressa lentement de son lit douillet, écarta les bras au maximum vers le plafond en baillant aux corneilles. A travers les volets et les rideaux fermés s’étirait les lueurs d’une belle journée ensoleillée même si le mauvais temps ne tarde parfois pas à gâcher l’ambiance pour le moment il faisait beau. Nodox observa les rideaux encore clos avec une suffisance et un ennui extrême. Encore une journée comme les autres, aussi ennuyante que d’habitude ou presque. Le temps de descendre dans la salle de bain, de faire sa toilette et prendre le petit déjeuné, et la journée reprenait le même rythme que la veille. Seulement cette fois-ci il était plus énervé que d’ordinaire. Il monta dans le bus sans même rendre le bonjour au chauffeur et s’installa sur l’un des derniers sièges encore vide en soufflant pour lui-même dans le vent :
« Encore ce cauchemar … »Le bus s’arrêta à destination et largua ces occupants avant de repartir. La vie en est si répétitive que le corps prends les automatismes, le faites de descendre d’un véhicule et d’aller en cour ne requière même plus l’attention du cerveau tant les mêmes gestes sont répétés encore et encore. Et il n’y a absolument rien d’amusant à raconter cela, donc passons à un évènement un peu plus palpitant. L’après-midi, contrôle de quatre heures, Nodox regarda sa montre l’air las et un sourire apparut sur son visage. Il avait encore le temps pour une séance de cinéma improvisée, bien évidemment sans aller en cour et encore moins à ce fichu contrôle à la noix. Après une petite marche d’un quart d’heure en sifflotant gaiement dans le vent, il s’arrêta devant les différentes affiches de film que l’établissement proposait. Une rapide sélection et l’heureux élu fut celui d’un homme qui décide de défendre les opprimés en incarnant une légende, son nom : KICK-ASS. Bon c’est peut être pas le film que tout le monde regarderais mais d’un avis de professionnel, ce film c’est mortel. Quoi qu’il en soit rien de mieux qu’un bon film pour se ressourcer après quatre heures de sommeil scolaire intensif. Et retour à la maison, les parents qui demandent constamment si tout s’est bien passé et toujours la même réponse de routine sans autre commentaire utile à dévoiler alors que l’on pense pertinemment le contraire et hop direction la chambre ou plus précisément le lit. Le sac de cour qui s’écrase lamentablement au sol et un Nodox qui s’écrase tout aussi lamentablement dans ces draps. Une vraie limasse. Tellement limasse qu’il va jusqu’à ramper le long de sa couette pour attraper sa console confortablement installé à l’autre bout du lit. Puis vint une petite heure de détente sur jeu vidéo, rien de tel qu’un bon vieux HALO3 pour oublier les petits tracas de la journée.
22h30. Extinction des feux, ou presque. La logique voudrait que ce cher Nodox aille au lit bien sagement mais c’est sans compter sur son attitude un peu trop rebelle pour obéir gentiment aux ordres parentales. Autant dire que la console portable, plus petite que l’autre effectua ce pourquoi elle avait été créée, divertir son public. Si bien qu’il fallu que la batterie lâche pour que Nodox fasse de même, dans un grognement intempestif. Il se résigna donc à dormir sans un mot.
Si l’on plonge maintenant dans son esprit très tordu. L’environnement semble être une plage au sable blanc et à la mer bleu turquoise, un grand soleil brille dans un ciel sans nuage et quelqu’un chantonne dans la brise. Ce quelqu’un se trouve être une jeune femme en maillot de bain, bien sous toutes les formes pour rester poli. Pour Nodox, bon nombre de ces rêves commences par ce genre de scène, avec toujours la même fille brune, yeux noisettes tirant sur le vert, une peau bronzée juste comme il faut et un maillot de bain blanc en format bikini. La jeune fille lui sourit en l’apercevant, se lève et l’attrape par la main avant de l’emmener dans les vagues. Un détail oublié sur le chemin, Nodox est également en maillot de bain, enfin plutôt en short de bain et il ne rechigne d’aucune façon à suivre la demoiselle dans l’eau. Vous auriez tout à fait raison de traiter ce jeune imbécile de gros pervers mais après tout, c’est son rêve et même s’il ne contrôle rien ce sont ces désirs les plus profonds qui guide son esprit vagabond à travers le pays des songes. Du moins c’est ce qui se passe au début, et comme de plus en plus fréquemment cette merveilleuse jeune fille en maillot de bain blanc à moitié transparent se révèle n’être qu’un saleté de mirage une fois le pied à l’eau. Et suite à ce mirage des plus crispants, d’énormes nuages viennent masquer le beau soleil et zébrer le ciel de leurs éclairs. Nodox se mit à hurler de rage en direction de l’orage si soudain et courut se mettre à l’abri sous l’unique parasol. Même s’il est toujours très déconseillé de se dissimuler sous ce genre de chose, quand il n’y a que ça à des kilomètres à la ronde, tampis. Nodox se mit donc à croupit dessous, jurant autant que possible.
Il déteste ça, le rêve à la limite du fantasme qui disparaît aussi sec pour être remplacer par ce qui lui fait le plus peur, la foudre. Et ce type de rêve, voila prêt d’un vingtaine de fois qu’il le fait et qu’à chaque fois il se réveil en sueur dans les alentours de trois heures du matin. Mais plus le faites de se réveiller d’un cauchemar, ce qui le gênait c’était de perdre à chaque fois la fille en maillot bain. C’est vrai que si cela avait été un thon plein de bouton, le problème ne se poserait pas mais ce n’était pas le cas. Cette fille ressemble trait pour trait à sa femme idéale, du moins pour ce qui est du physique puisqu’il ne lui a encore jamais parlé, mais à chaque fois elle disparaît avant d’avoir confortablement apprécier le spectacle. Non cette fois, s’en ai trop. Il se releva, l’estomac noué et se mit à courir sur la plage comme si la mort était à ces trousses. Et d’une certaine manière, c’était le cas. Sur tout le long de sa course, la foudre frappait à chaque fois à quelques centimètres de ces pieds, le faisant sursauter et courir de plus bel. Jusqu’au moment où il s’arrêta, à court de souffle. Grossière erreur, il mangea violemment un salve électrique qui le fit légèrement décoller du sol pour retomber dans le sable, fumant et cuit à point. Il ne bouge pas pendant bien une dizaine de minutes, puis un doigt se leva suivit d’un deuxième, puis d’un troisième et finalement il se remit debout, les genoux dansant comme jamais. Il regarda le ciel avec dégoût, et ce dernier le punit d’un tel affront par une nouvelle salve électrifiée. Il mit à nouveau une dizaine de minutes à se relever. C’est dans ces moments-là que l’on peut voir, lire et apprécier les efforts titanesques des héros d’antan, ceux qui surpassent les limites de leur corps. Même si Nodox n’a absolument rien d’un héro quel qu’il soit, c’est toujours beau ce genre de spectacle. Non pas le faites de regarder quelqu’un se faire assaisonner la face mais que ce quelqu’un se relève après chaque attaque. A présent, cela fait la sixième fois qu’il se relève et son visage, parmi les diverses brûlures, laissait clairement apparaître un sentiment de colère. Il tourna une nouvelle fois les yeux vers le ciel et ce mit à hurler :
« Viens te battre, espèce de lâche !!! Tu ne me fais pas peur !!! Tu crois m’intimider avec des gros éclairs, t’es qu’une sale poule mouillée !!! Descends un peu qu’on se cogne comme des hommes !!! »La réaction du ciel fut prévisible. Une salve dix fois plus importante que les précédentes fendit l’air en direction de Nodox. L’atmosphère vibra sur plusieurs mètres à la ronde, le sable fondait littéralement sur le lieu d’impact et le corps du jeune homme fumant comme un jambon grillé s’étendait de tout son long. L’orage fit une halte dans sa colère, comme s’il observait son adversaire, si jamais on peut appeler ça un adversaire. Ce dernier ne bougea pas, n’émit même pas un seul mot. Quoi de plus normal avec tout ce qu’il s’est mangé dans les dents. Les nuages commencèrent à se dissiper quand un geste pour le moins surprenant et culotté de la part de Nodox. En effet, il ne semblait pas être en capacité de bouger et c’est pour quoi seul sa main droite se redressa légèrement, ferma le poing en mettant bien en évidence le majeur vers le ciel. Un geste qui fut reprit par sa seconde main. Aucun bruit ne venait perturber cet élan de courage, ou de folie c’est selon. Nodox observa difficilement une ombre descendre des nuages sans pouvoir bouger son propre corps. L’ombre se posa devant lui. Des éclairs sortaient de toutes les parties de son corps et glissaient le long de ces muscles pour être finalement réabsorbé. Ce nouveau personnage n’avait pas tellement de visage à proprement parler et même s’il en avait un, Nodox était bien trop explosé pour pouvoir le voir. Tout ce qu’il puit dire ou faire c’est lâcher en direction du nouveau venu un « classe » en souriant. La créature l’observa et sourit à son tour puis lui attrapa le pied et lui annonça sur un ton victorieux tout en envoyant une nouvelle décharge à travers le corps déjà bien cuit de Nodox. Celui-ci se mit à hurler et n’entendit pas ce que le protagoniste sortit, c’est pourquoi nous allons décrypter pour lui :
« Bien joué jeune homme, tu m’as pas mal amusé pour cette nuit et croit-moi c’est rare de me voir rire autant. C’est pourquoi je fais de toi mon nouveau voyageur. Tu aura en toi le pouvoir destructeur de la foudre, apprends à le contrôler et revient me voir quand tu te sentir prêt. Bonne chance. »L’ombre disparut soudainement, et les nuages ainsi que tout l’environnement se disloqua et un bruit immonde envaillit l’univers. Ce bruit se trouva être le cri du réveil qui sonnait 8h00. Et comme chaque matin, ce réveil fit un vol plané à travers la chambre. C’est partit pour une nouvelle journée banale …
Métier ou niveau d'étude hors Dreamland : Étudiant
Divers : /
Code : Validé par moi-même ^^ 
