TWINA
LYLIO

Personnage.

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• Nom : Twida. • Prénom : Lylio • Surnom(s) : Lyly. • Âge : 17 ans. • Nationalité, origine(s) : Pure française. • Pouvoir et description : Peur de son avenir. Une peur bien égocentrique. Pourtant Dreamland a tiré de sa peur égoïste, un pouvoir proche de celui que l’on donnerait à l’acérophobie. Quand son plus grand effroi fut vaincu, elle a obtenu le pouvoir de prédire les mouvements d’autrui pendant un combat ou même une discussion sous forme d'un pressentiment. Pour cela, elle se doit de fermer ses yeux, plus elle les clos longtemps, plus elle se concentre et plus elle pourra voir loin dans le futur avec de plus en plus de précision. À chaque fois qu'elle prendra de la puissance, il seras plus facile pour elle d'utiliser son pouvoir. Elle aura besoin de moins de concentration. Lylio est aussi capable de se défendre en manipulant par le toucher ses ennemis ou même amis. Autant pour les mouvements que pour les paroles, elle pourra leur ordonner de faire un geste ou de dire quelque chose. Il lui suffira de toucher le membre qu'elle veut activer et d'indiquer à haute voix ce qu'elle désire, de même pour les dires qu'elle veut entendre en plaçant sa douce main sur les lèvres de son assaillant. Cependant, dès que ses adversaires ont comprit son petit jeu, cette capacité ne lui sert plus à rien, un grand malus pour la jeune fille. Plus tard, quand elle aura pris un peu plus conscience de son pouvoir, il lui seras possible de manipuler les personnes sans les touchers, mais ce n'est guère pour tout de suite.

Description Physique.

De son attitude et des formes de son corps émane une élégance, non pas hors du commun, mais agréable à regarder. Chacun de ses gestes sont gracieux et réfléchis. Certes par moments la maladresse l’entraîne à paraître bien moins élégante, mais sa délicatesse reste inscrite dans ses mouvements. Sa marche est lente et son cours est le même que celui d’une gazelle. On sent son agilité dans chacun de ses actes. Une telle attitude ne peut s’obtenir qu’avec un corps d’une beauté minime. Dressée sur ses longues et fines jambes se creusant au milieu vue de profil puis redevenant rondes et musclées vers le haut, elle ne doit pas dépasser le mètre 70. Bien qu’elle ne soit pas si grande, les formes de ses hanches et de sa taille bien fine et si bien construite la grandisse autant que sa poitrine. Poitrine d’ailleurs non pas élégante, mais provocatrice, qu’elle ne cache pas, mais qu’elle ne met pas trop à découvert non plus. Ses bras sont aussi délicats et musclés que ses jambes. Précisons que tout, tout son corps n’a aucune pointe de pilosité.

Sous ses longs cheveux couleur naturelle, tel de l’herbe fraîche et aussi propre comme si l’on n’avait jamais posé un pied dedans, c’est d’ailleurs vrais. Personne n’a jamais posé son pied sur sa chevelure. Sur cette douce verdure vient se poser comme de la rosée qui garde les brins d’herbes lisses. Touchant et cachant ses fesses, ils laissent cependant en deviner la forme. Des mèches un peu perdues viennent se poser sur le front de la jeune fille. Au-dessous de ce front large se trouvent deux opales aussi vertes que sa longue crinière. Ces pupilles reflètent les larmes de son passé qui semble encore coulé tant ses cernes sont rouges quand elle s’est décidé à passer une nuit blanche. Son petit nez aquilin est si propre et dénudé depuis sa naissance de bouton d’acnés, qu’il est impossible de se l’imaginer coulé en temps de rhume. Une jolie courbe en trompette tombe jusqu’à sa lèvre supérieure, pas souvent collé à l’inférieur. Non pas qu’elle est l’air d’une idiote avec un air béat, c’est presque envoûtant de laisser ses yeux aller sur sa bouche entrouverte comme si elle vous y invitez. Aucune ride ne froisse son visage sans pour autant qu’elle se cache sous une tonne de fond de teint. Elle n’aime pas vraiment touché au maquillage.

Quand la colère s’en prend à elle, c’est bien le seul moment où des plis se forme sur sa peau, plus précisément entre ses sourcils vu qu’elle les fait se croiser au-dessus de son nez. Quand l’angoisse la prend, c’est aussi un moment exeptionel, le seul où ses lèvres se ferment pour se tordrent, de même quand elle se sent embarrassée. À vrai dire, ce ne sont pas ses lèvres ni ses sourcils qui vous donnent le ton de ses sentiments. Ce sont le fond de ses yeux, comme donnant une couleur à chaque émotion, c’est facile de deviner ses pensés en la toisant du regard.

Pour ce qui est de ses vêtements, elle a beau dégager une beauté un peu extraordinaire, elle est tout de même le genre typique de lycéenne. Du slims aux tuniques, du sac à main aux lunettes de soleil, elle n’a pas vraiment de style attitré. Ce n’est que dans ces différents petits boulots pour payer ses futures études qu’elle met son uniforme officiel, et dans Dreamland. Le monde des rêves lui dédie toujours le même costume de combattante. D’un haut décolleté noir et moulant, d’un petit short de la même couleur ne s’arrêtant qu’à peine aux cuisses. De longues bottes blanches couvrant le manque d’habits sur ses jambes et pour recouvrir le tout un manteau féminin, aussi moulant que son haut, terminant en une queue de corbeau, mais la couleur n’est point la même que cet oiseau sombre. Non, il n’est que d’un simple marron à l’extérieur et d’un rouge sang à l’intérieur tout comme sa ceinture ne tenant rien, l’on se demande même comment elle tient elle-même. Peut-être grâce à la forme remonté de ses hanches.

Caractère.

Semblable à celui d'un petit lutin, le caractère de Lylio reste enfantin. Et, malgré la lueur de surestimation qui brille à l'infini dans les prunelles vertes de ses yeux, ce n'est qu'une jeune fille naïve, certes un peu mature, mais qui ne le laisse pas voir. Bien que son esprit ne soit pas encore bien construit, elle a subi un changement radical après avoir vaincu son effroi. Bien avant cela, elle n'était que réservée et bien calme, presque repoussante et sans aucune confiance en elle. À présent, elle est plus décidée dans ses mouvements ainsi que dans ses paroles. Sa façon de marcher à même montrer à tous son entourage combien elle était fière de son corps, sa façon de s'habiller ne fit qu'embellir son assurance. Cependant, elle est certes consciente d'être un minimum belle, mais se pose toujours des questions quant aux avis des autres. Parlons d'ailleurs des autres, depuis cette fameuse nuit où elle a vaincu sa terrible peur qui la hantait chaque jour, elle est devenue agréablement sociable, souriante et joviale. Son rire est constant, son sourire de même. Pas qu'elle est tendance à tout prendre à la rigolade, au contraire, mais elle préfère montrer à tous combien elle est heureuse plutôt que combien elle est triste ou angoissé.

Son sourire s'égare quand la tristesse la prend, mais celle-ci ne s'empare d'elle que pour les larmes des autres. Lylio, se rendant compte qu'elle n'avait fait que penser à elle avant Dreamland, n'ose plus pleurer sur son sort ou bien ses blessures physique ou mental. De cette attitude, on la qualifie de femme forte, mais ce n'est pas le cas. Ce n'est que le fruit de sa naïveté : pensée que se lamenter pour les autres est mieux que de se morfondre sur elle-même. Mais chacun sait que ce n'est pas bon de garder tout pour sois et de ne laisser qu'aux autres une tristesse plus grande à la vue de leur amie qui n'ose avouer sa peine. Aussi, l'on peut dire qu'elle reste un minimum réservée de ce côté.

Et pourtant, quand il s'agit de ce qu'elle aime, de ce qu'elle chéris cela devient du pur égoïsme. Elle aime le crier à tu tête, le chanter ou le montrer. On la verra souvent sourire quand elle écoutera ses musiques favorites, mais on la verra aussi beugler et gémir devant celle qu'elle déteste. Bien qu'un peu réservée elle a un caractère assez fort et des goûts bien précis. Mais, ne nous le cachons pas, la musique ou même les films ne sont pas la seule source de sa joie ou de son bonheur. L'amour aussi fait partie de son cœur. Peut-être un peu plus dans le sien, vu qu'elle garde l'image parfaite d'une innocence sans erreur. Cependant sa réaction n'est pas la même. Elle ne crie pas à tu tête le nom de l'homme qu'elle aime. Comme chaque damoiselle de son âge, elle le garde bien secret dans un coin de sa tête le partageant timidement avec ses amies les plus proche, sans plus.

En face de quelqu'un qui l'attire, elle ne peut que se résigner à baisser la tête pour cacher le rouge qui entoure ses joues et serrer ses mains pour cacher leurs humidités. Sans oublier qu'il lui arrive parfois de lâcher des mots et des phrases sans sens tant elle est sermonnée par son esprit qui ne cesse de s'imaginer tous ce qui pourrait arriver avec celui qui se trouve en face d'elle. Malgré sa beauté et sa façon adorable de réagir à l'amour, elle n'a pas vraiment eu beaucoup de copain dans sa courte vie. Bien qu'elle en recherche inlassablement, elle ne cherche que le vrai. Aussi, déçue assez souvent par ses prétendants, elle les rejète gentiment en attendant naïvement le prince charmant.

Maternelle, malgré sa situation parentale, elle déteste ceux qui s'en prennent à des plus jeunes. Cependant, elle ne vénère pas non plus les plus vieux, au contraire, elle est certaine qu'elle arrivera au même niveau qu'eux à un moment ou un autre et elle aime le faire entendre.
Pour résumer, Lylio est niaise, grande gueule, réservée quand il s'agit de ses problèmes ou de ses blessures puis maternelle et hautaine.

Dans Dreamland c'est la même chose, elle ne se bat que si on lui propose ou si une raison la pousse à faire elle-même la demande en duel.

Histoire.

Les jours s’ensuivent, chacun leurs tours. Ce n’est qu’une journée et pourtant des milliers de personnes la vivent. Certains la passe entre deux flaques de larmes qui ont coulé en ce jour, d’autres sourissent à ces heures ensoleillées. Il y a une dernière catégorie de personnes, celles qui la redoutent. Et, bien que leurs voisins est un sentiment différent pour chaque jour, ils prient pour que le soleil se laisse tomber sous les montagnes pour oublier tout dans une inconscience parfaite. Mais, roue infinie qu’est le jour et la nuit, ça n’en termine jamais. Chaque matin leurs cœur se serrent en sachant que cette journée ne seras jamais revécue et que lendemain après lendemain, ils devront un jour terminer par faire un choix. Pour peu de personne c’est peu un important, mais pour ce genre de gens le choix est primordial. Car, chaque fois que la planète de feu montreras son nez et éclaireras leurs maisonnées, ils devront se rendre vers une destination, la même à chaque fois. Pour éviter de se retrouver chaque jour avec quelque chose de différent. Bref, ce sont le genre de personne qui n’osent rien tant que rien n’est sûr, ils ont peur de leur avenir.

Tout comme Lylio.

Jeune fille au tempérament généralement calme et réservé qui cache derrière un visage aux expressions inexistante la peur du lendemain, la peur de son avenir, du jour prochain. Rien que l’idée de devoir choisir une option dès l’entrer au lycée la terrorisait. Personne ne lui prêtait vraiment attention. Malgré sa beauté, son manque de confiance en elle faisait déguerpir tout homme envieux de quelqu’un sûr de soi, sur qui ils pourraient eux même s’appuyer. Sachant qu’elle-même en était incapable ils laissaient tomber l’idée de l’accoster. De toute façon, l’amour ou même l’amitié n’intéressait pas Lilyo. S’accrocher à des personnes pouvait faire qu’ils l’influencent dans son choix pour l’avenir, qu’ils lui en parlent, et c’est justement ce qu’elle redoutait le plus au monde. Mais, qu'en est-il de sa famille ?

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" Suffit Lylio ! Je t'ai chéri de tout mon cœur ! Je t'ai gâté malgré tes caprices ! Tu es assez grande maintenant pour savoir ça, j'ai le droit à un peu de reconnaissance, merde ! "

Jamais la jeune fille en question n'aurait cru que sa mère lui parlerait comme ça un jour. Avachis sur une chaise en bois dont les pieds étaient décimés par les griffes du chat, elle se recroquevilla sur elle-même en rassemblant ses jambes près de sa tête qu'elle cacha derrière ses longs cheveux verts. La cuisine, généralement remplis de rire par la petite famille, était à présent désagréable à regarder. L'enfant, pas plus âgé qu'une douzaine d'années, se trouvait sur la chaise au centre de la pièce. La mère, se tenait debout, redressée et levant un doigt pour faire comprendre à Lylio combien elle était sérieuse. Pourtant, avant cela, cette femme n'avait jamais osé ne serais-ce que se fâcher un peu contre ses enfants. On pouvait le voir dans sa façon de fermer les yeux et de serrer sa main collé à sa cuisse, qu'elle le regrettait déjà. Pourtant, elle était sûre et certaine que Lylio, la plus jeune de ses deux filles, l'ai méritée. Et ce n'était pas complètement faux. Concrètement, elle n'avait rien fait de mal. Mais cela est vrai que depuis plusieurs années, depuis sa naissance presque, elle restait indifférente et réservée auprès de ses parents et de ce qu'il faisait pour elle ou non. Elle s'était, toute seule, enfermée dans des murs qui l'emmenait peu à peu vers une solitude certaine.

" Mais… Maman, je…. "

Lylio avait bel et bien une raison pour ne pas faire attention à ses parents comme cela. Ce n'était que la source de sa peur. Elle ne faisait que se lamenter dessus et pourtant, ses parents seraient les derniers sur lesquels elle aurait voulu se morfondre. C'était un peu leurs fautes si une peur la détruisait peu à peu chaque jour. C'était à cause de leur histoire qu'elle avait commencée à réaliser combien l'avenir était important. Tous deux, ils aimaient à raconter qu'ils avaient tous deux choisi une école qui ne les intéressaient pas, mais que quelques années plus tard, alors que leurs désespoirs grandissaient dans leurs cœurs en sachant que leurs vies seraient foutues, ils se rencontrèrent puis s'aimèrent avant d'abandonner leur école pour finir mariée, deux filles, la mère femme de ménage et le père menuisier. Elle n'avait pas honte d'eux, mais redoutait chaque matin de tomber vers un avenir sans nom, comme le leur. Car elle savait, ou du moins elle pensait, que ses parents ne resteraient pas ensemble toutes leurs vies. Peu à peu, les questions la sermonnaient, elle ne savais que faire, que dire. Au fur et à mesure, elle tirait la conclusion de se séparer un peu d'eux, comme si leur avenir était contagieux. Le fossé qu'elle créait peu à peu ne lui rendit que malheur, elle devint seule avec personne avec qui parler, à se poser des questions inutiles aux réponses qu'elle-même n'acceptait pas.

" Lylio… Tu n'arriveras à rien dans la vie comme ça, a rien tu m'entends ?! Et ton père est d'accord avec moi. "

Bien que ce soit une façon pour sa mère de dire qu'il fallait absolument qu'elle parle à quelqu'un de ces tracas, Lylio le prit mal. Elle courut s'enfermer dans sa chambre. Dans le noir, elle sauta sur son lit, pleura à chaudes larmes. Elle pria pour pouvoir s'endormir sans penser à cela, car le sommeil et ses rêves sont sa seule consolation. Chaque jour est unique et pourtant vécu par plusieurs milliers de personnes, chacun avance chaque fois que le soleil sort son museau, d'autres stagne et encore d'autre, tentent de reculer.

Tout comme Lylio.

De ce jour, elle ne fait que se taire, ne regarde plus sa mère dans les yeux ainsi que son père. Le fossé s'est agrandi entre eux. Seule la sœur de la jeune fille reste à ses côtés, malgré tout.

Poste Rp.

Les jambes ouvertes, mais les genoux côte à côte, les mains liées dans le dos, la tête basse, les sourcils froncés et la sueur grimpant le long de son front pour descendre jusqu'à sa poitrine recouverte d'un tissu de satin beige. Un pantalon déchiré de toutes parts, le tout recroquevillé dans un coin, le coin d'une pièce. Pièce sombre qu'aucun meuble ne décorait, pièce inquiétante qu'aucune fenêtre n'éclaircissais, pièce résonnante avec pourtant un seul être à l'intérieur. Une jeune fille semblant avoir passé maintes épreuves pour passer du tabouret où on l'avait posé jusqu'à ce coin, une bonne dizaine de mètre plus loin. Pourtant, seule la sueur recouvrait ses vêtements et non du sang. Son expression trahissais la culpabilité et la peur. Dans la salle rempli uniquement d'un vieux tabouret et d'une jolie fille aux cheveux verts, l'on n'entendait qu'une respiration haletante, incontrôlable. C'était, sans aucun doute, Lylio qui se trouvait ici. Son visage se releva, ses yeux ne semblaient plus pouvoir cligner. Elle resta ainsi une bonne dizaine de minute sans bouger, sans même respirer. Quand elle revint à elle, un cri de torture résonna dans la pièce et une sorte de convulsion la mena à s'allonger au sol, se tordant de tous côtés comme un pauvre asticot s'imaginant avoir des bras. Elle se calma soudainement, resta au sol, ferma les yeux et repris une respiration normale. Elle semblait vouloir dire quelque chose quand sa bouche frémit, mais sa voix était extenuée, elle avait trop crié. Une voix résonna dans la pièce, mais ce n'était pas la sienne, non, celle-ci semblait venir de l'extérieur, alors qu'il n'y avait pas d'extérieur ici. Cette voix laissait imaginer que celui qui l'utilisait était assez âgé et sombre vicieux. L'on s'imaginais très bien alors l'homme aux cheveux aussi noirs que l'ébène, dont le regard ne trahissais même pas une once de gentillesse ou de pitié.

"Tu en a marre ?"

Question à laquelle elle ne répondit pas. De un, parce qu'elle ne pouvait pas, et de deux parce qu'elle savait qu'il connaissait la réponse. Personne n'aime se faire torturer ainsi. Les convulsions reprirent de plus belle, elle cria encore et encore. Mais qu'est-ce qui pouvait créer un tel mal ? Qu'est-ce qui pouvait lui faire tant de mal sans la toucher ? Et surtout… Où était-elle ? Ce n'était pas difficile à deviner quand on était un connaisseur, à part dans les films, une pièce comme ça ne se voit pas très souvent dans la vie de tous les jours. Et, si jamais on finissait pour de vrai dans une pièce comme ça, il fallait avoir commis un délit plus lourd qu'un meurtre ou qu'un viol. Or, Lylio était loin d'être comme ça. Elle se trouvait tout simplement en train de rêver et, pour ceux qui connaisse, le monde des rêves est plus habituellement appelé Dreamland. Comme elle ne pouvait le savoir ou elle ne serais pas torturée le jour par une peur, elle n'était que rêveuse. Et une rêveuse faisant un cauchemar, rêve, si l'on puis dire, de ses plus grandes angoisses de sa plus grande peur. Sa peur ? L'avenir, son avenir. Le futur produit-il des crises ainsi ? Non, pas à ce qu'on sache. Cependant, nous sommes dans Dreamland et tous genre de magie y est autorisé. Ici, la voix ne cessait d'envoyer à Lylio, depuis plusieurs nuits, une petite vue de son avenir. Avenir qui s'annonçait bien, mais il n'en tirait que les mauvaises parties, en plus de ça, il lui lançait comme une centaine de flèches dans le corps à tout moment, sans qu'elle soit prévenue.

Depuis tant de nuit l'on pourrait deviner son petit jeu. Et c'est ce que, peu à peu, Lylio faisait. Quand il lui montrait, contre son gré, de mauvais futurs souvenirs, elle commençait à en voir du bien. Et, elle comprenait qu'il ne pouvait lui faire mal quand il voulait, il fallait qu'il attende un certains moments avant de relancer ses flèches. Aussi ce soir, elle s'était décidée à vaincre cet homme qui lui faisait tant de mal. Après avoir vu son futur une fois, elle reçus encore la douleur puis, sachant qui ne lui restait que dix secondes, elle se releva titubante et sortit sa première phrase compréhensible depuis le temps.

"C'est faux ! Je n'ai qu'un bel avenir ! Tu ne me montre que les mauvais côtés ! Je n'ai pas peur de mon avenir !"

Elle avait balancé ça l'ayant préparée avant de s'endormir, mais jamais elle n'aurait su qu'elle le pensait réellement. Elle se tut, réfléchis à sa phrase. Non, elle n'avait plus peur de son avenir, non c'était fini… Fini. La magie noire qui s'était emparée d'elle depuis une longue semaine laissa place à une magie blanche qui lui délia ses liens puis fit disparaître la pièce. Elle se retrouva, par terre dans sa chambre, ici aussi elle avait roulé à en tomber de son lit. Ce fut certes un énorme poids en moins, mais une peur vaincue ne donne que plus d'assurance, elle ne remplit pas les trous que l'on a créés plus tôt. Aussi, Lylio ne changea pas sa situation parentale, mais elle reçus le lendemain une confiance en elle soudaine qui frappa tout le monde avec bonheur, sauf sa mère et son père qui le prirent comme une attitude se montant contre eux.

Autres.

• Aime : Les hommes, les chats, le courage et tant d'autres choses que je n'aurais ici pas la place de vous conter.
• N'aime pas : Le contraire de ce qu'elle aime.
• Particularités, autres : Capacité à avoir un esprit pervers par moment.
• Niveau d'étude hors de Dreamland : cherche inlassablement une orientation, en attendants, tente de gagner un peu d'argent en travaillant dans les restaurants en tant que serveuse ou bien dans les fêtes forraines dans des stands.
• Première impression : Le meilleur design jamais vu, tirée de mon manga favorie.
• Code de validation : Validé par Dox'