EDWARD HENRY STEVENSON
L'ONIRIQUE
Il y as pas mal de blancs au niveau aussi bien du background que du caractère du/des personnages, mais c'est normal. Je compte faire évoluer tout ça au fil des aventures, disséminant ça et là cees éléments. En espérant que ça vous plaira...
Personnage.
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- • Nom complet : Edward Henry Stevenson
- • Surnom(s) : Eddie pour Edward/L'Onirique (ou Oni) pour "le monstre"
- • Âge : 12 ans, né le 13 novembre 2004
- • Nationalité, origine(s) : Oxford, en Grande Bretagne
- • Pouvoir et description : Souffre d'un trouble de la personnalité sévère, à tel point qu'une terreur extrême de celle-ci apparut et enterra au plus profond de sa psyché cette double personnalité. Ainsi, dans dreamland, ce n'est pas Eddie en contrôle, mais bien cette personnalité refoulée. Ladite personnalité - L'Onirique, telle qu'elle se fait appeler - a pour pouvoir une forme d'hypnose qui exagère un trait de caractère de la victime. Par exemple, une personne particulièrement avare verra un gros billet sans jamais pouvoir l'attraper. Bien sûr, les effets dépendront aussi en grande partie de la force mentale de ladite victime et du niveau de l'Onirique.
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Description Physique.
Edward Henry Stevenson est un jeune garçon britannique de 11 ans on ne peut plus normal. Au cheveux bruns et court, aux yeux bleus et au teint clair, il appelle la sympathie dès le premier regard. Un jeune garçon tout simple et mignon, en somme ; même si une personne particulièrement observatrice pourrait remarquer, à de rares moments, un sérieux que seule une vie pleine d'expériences difficiles pourrait créer. Outre ce détail qui pourrait sembler hors de propos, il n'y as vraiment rien à ajouter sur Eddie; du moins physiquement. Il est encore très jeune, et n'a pas eu le temps de se créer une identité propre.
L'Onirique est une personne particulièrement charismatique. Aux traits fins et à la figure mince et élancé, il est en quelque sorte l'image de la « beauté sombre » ; à tel point qu'il en deviendrait un cliché. Paradoxalement, il a quelque chose de particulièrement étrange – gênant presque. Comme s'il n'était pas en phase avec la réalité, comme s'il n'avait pas de forme physique dans le monde réel, le rendant cartoonesque voire caricatural dans le monde des rêves. Une étrangeté compréhensible, étant donné qu'il n'est qu'une figure créée par le subconscient d'Eddie, et non pas la représentation fantasmée d'une figure physique existante. Ses cheveux en sont un bon exemple : constamment en mouvement, une épaisse crinière d'un noir intense et d'un pourpre surréel sur les pointes se mouvant vers le ciel.
Lors d'une
Hypnosis (l'utilisation de son pouvoir), sa forme ne deviens que silhouette, et seul deux flammes blanches et un troisième oeil stylisé sur le front sont visibles. Petit détail, ce n'est pas une transformation mais bien une image hallucinée perçue uniquement par la victime, et éventuellement une personne non loin de là assez réceptive/concentrée pour être sujette à l'
Hypnosis, sans pour autant en subir les effets.
Caractère.
Le jeune Eddie est un garçon gentil, inspirant la sympathie, et souvent souriant. Il est à première vue l'exemple parfait de ce que devrait être un enfant bien élevé.
Et pourtant, cela n'a pas toujours été le cas.
En effet, il y a à peine deux ans, le pauvre garçon ne vivait que pour se battre contre
le monstre, une voix en lui qui se faisait de plus en plus difficile à faire taire. Une voix lancinante et violente constamment murmurante dans les tréfonds de son esprit. Une voix poussant vers les extrêmes les plus déviants, malgré son très jeune âge.
Suite à une batterie de méthodes différentes, de la simple psychiatrie à l’hypnose, le mal semble avoir été éradiqué. Ou en tout cas, emprisonné. D'après les psychiatres, la peur qui habitait l'enfant envers cette voix –
ce monstre - a provoqué dans sa psyché une brisure. Un traumatisme qui aujourd'hui lui permet de vivre sans aucun souvenir ni de cette seconde personnalité, ni de ces deux dernières années d'enfer.
Et pourtant, encore aujourd'hui, Eddie souffre de moments d'absence, de sérieux et de cauchemars pour le moins troublants. Ces parents lui cachant ces souvenirs oubliés, le pauvre Eddie justifie ces légers troubles par sa nature plutôt introvertie.
Son "éveil" en tant que voyageur est inhabituel. En effet, il ne s'est jamais éveillé à proprement parlé; c'est la seconde personnalité qui, suite à de nombreuses attaques contre son esprit, à réussi à se créer une porte de sortie vers le monde des rêves. Cet événement étant relativement récent, les effets sur son comportement ne se sont pas encore clairement définis, mais cela ne saurait tarder.
L'Onirique est un personnage de contrastes. Physiquement semblant avoir une vingtaine d'année, la violence extrême dont il peut faire preuve n'en est que plus choquante. Bien qu'ayant un visage fin et beau, celui-ci peut se tordre en rictus inhumains et horribles du fait de son existence purement psychique. Le plus souvent accessible, parfois hors de contrôle, parfois d'un sérieux froid et pragmatique, il est difficile de trouver un sens à cette psychologie lunatique.
Mais ces deux personnages cohabitant tant bien que mal l'un avec l'autre dans le même esprit sont profondément interdépendants ; les évolutions de l'un influant sur l'autre dramatiquement, souvent à leur insu. Il n'est pas rare qu'Eddie, maître dans le monde réel, entende la voix d'Oni, en voit la silhouette ou même se laisse contrôler malgré lui. De même, Oni, maître dans le monde de Dreamland, entende la voix de son hôte, voire même souffre de courtes paralysies totales.
La seule chose qu'ils semblent avoir en commun est un objet : un pendule d'hypnose sous forme de médaillon en argent. Une chose particulière à propose de ce pendule est qu'il est verrouillé; ainsi, aucun des deux ne sait ce qui se cache à l'intérieur.
Histoire.
« Mon fils est un garçon on ne peut plus normal, avait elle répondu, quelque peu agacée par les insinuations de la directrice. [<= cliquez]_Et il n'a jamais eu d’antécédents de la sorte, nous vous l’assurons, avait il ajouté, comme pour se rassurer mutuellement.
_Je comprend bien, et je suis aussi surprise que vous ! Mais il faut avouer que la réaction d'Edward fut tout de même... Quelque peu extrême... » Un regard à la fois emplit de confusion et de surprise vint illustrer ces propos.
Edward y vit aussi de la peur. Bien masquée, mais présente.
« Dis-moi Edward... Qu'est-ce qu'il s'est vraiment passé ? »
***
Sur le chemin du retour, un silence gêné avait noué les voix des parents d'Edward, mais leurs yeux en disaient long. Lui restait immobile, la tête baissé, l'esprit paralysé par les événements récents. A chaque fois qu'il se risquait un regard en direction de ses parents, la même chose.
La peur.
De quoi avaient-il peur ? Pourquoi ? Peur que ce ne soit que le début d'une vie de délinquance ? Peur que cet... Exception vienne tâcher son dossier jusque là parfait ?
Ou peur de quelque chose de plus profondément enfoui... ?
***
Il était resté dans sa chambre toute l'après-midi. Ses parents avaient été particulièrement compréhensifs, et avaient fait preuve de beaucoup de tendresse et d'affection envers Eddie. Mais cette peur cachée sous le linceul de l'amour parental n'en était que sublimé. Et donc, il était resté dans chambre toute l'après-midi. Seul.
Seul...
Seul ?
« Eddie ? Tu viens manger ?... »
Comme le phare perdu d'Alexandrie illuminait les côtes de l'île de Pharos, la voix d'une mère inquiète pour son fils brisa l'obscurité dans laquelle il s'enterrait doucement. Au loin, cette figure maternelle protectrice apparu, tendant la main vers l'absolution. Elle était si proche... Si proche qu'Edward essaya de l'atteindre. Mais une main le retenait par l'épaule.
Hey boyo ! Ca fait un bail.« Eddie ! Cria-t-elle en voyant son fils en boule sur sa chaise, en sueur.
***
« John ?
_Présent.
_Camille ?
_Présente !
_Edward ?... Eddie ?... Hm, absent aujourd'hui... C'est rare... Bartholomew ?... »
Un délicat malaise s'était assis sur la chaise vide d'Edward Henry Stevenson, souriant d'un sourire sadique aux élèves de la classe. Des rumeurs avaient courues depuis l'incident. Et son absence ne faisait qu'en alimenter d'autant plus.
« Hey, t'as entendu parlé de l'histoire ?...
_De quoi ?
_Eddie aurait cassé le bras de Big B.
_Quoi ? Eddie ?! Comment c'est possible ?!
_J'sais pas, j'ai entendu dire que Big B avait essayé de lui voler son déjeuner...
_Comme d'habitude...
_Ouais; et du coup Eddie aurait piqué une crise et lui aurait cassé le bras! C'est dingue !
_Mouais... Sûrement des rumeurs. Eddie ferait pas de mal à une mouche.
_Pourtant, Big B a -
_Vous deux ! On arrête le bavardage ! »
***
Il fait noir. Et froid. Et vide. Un jour chez
lui est comme une éternité chez moi.
Il tourne la tête à droite, ses yeux perçants l'obscurité ambiante. Comme s'il y verrait quoi que ce soit. Mais non. Il fait toujours noir. Et froid. Et vide.
Il tourne la tête à gauche, ses yeux perçants l'obscurité ambiante. Et il n'y vit toujours rien. Il fait toujours noir. Et froid. Et vide.
Un léger soupir, mais il était rapidement absorbé par la lourde atmosphère.
Puis soudainement, les ténèbres devinrent rouge; des nuages de sang flottant autour de lui. Les barreaux de sa prison s'ouvrirent d'eux-même, et une porte apparue face à lui. Le léger grincement des gonds était musique à ses oreilles.
Ooooh... En voilà une bonne surprise...Il sort de sa cage, et s'approche de celle-ci. Le ciel s’agite à chacun de ses pas. Un sourire disproportionné laissait voir des dents carnassières.
Puis la violence. Et un rire. Il était malsain, à jamais ancré dans l'esprit de Big B alors qu'Edward était pris d'une rage nouvelle. Le craquement des os le fit frémir de plaisir avant qu'un autre craquement eu lieu, cette fois dans sa tête. Il s'immobilise, tous ses membres tremblants, puis tombe à genoux.
Le sang, les cris et pleurs, l'agitation. Tout était mis en sourdine. Seule sa respiration lui était audible.
Et son rire.
SON rire.
Le monstre.***
Les jours passèrent et le cas d'Eddie s'aggravait. Il avait de plus en plus de mal à se lever du lit. Il mangeait peu, parlait peu. Mais surtout, il était terrifié. Absolument paralysé de peur. Tremblant constamment. Sursautant au moindre bruit, au moindre à-coup. Il disait entendre parler son ombre. Entendre des voix. Voir...
Le monstre. Il n'avait pas prononcé ce nom depuis le fameux jour...
***
Ils avaient tout essayé. La psychiatrie, la psychanalyse, les médicaments, les méthodes spirituelles et même des rituels de « sorcellerie ». Rien n'avait marché. Le pauvre Eddie perdait chaque jour du terrain mental face
au monstre. Il souffrait d'un sévère trouble de la personnalité depuis son plus jeune âge, mais son état était devenu véritablement inquiétant vers l'âge de sept ans. Après deux ans d'enchaînements de traitements, de pleurs, de cris, d'espoirs brisés et de désespoirs intacts, le psychiatre avait proposé une méthode expérimentale et aux effets secondaires pour le moins radicaux. Une forme d'hypnose qui pousserait la seconde personnalité au plus profond du subconscient, et ceci avec tous les souvenirs associés à celle-ci. Bien que cette solution puisse sembler extrêmement faible – cacher le problème sous un tapis et oublier son existence – la maladie d'Eddie ne permettait aucune autre alternative.
Et c'est ainsi que
le monstre fut emprisonné, verrouillé dans un néant absolu et ruminant sa rage en attendant l'inévitable heure où les barreaux de sa prison fléchiraient.
Et ce jour est arrivé, boyo. Time to have some fun, he he...***
Il fait moins noir. Et moins froid. Et moins vide. Un jour chez
lui devenait comme quelques minutes chez moi.
Il tourne la tête à droite, ses yeux perçants l'obscurité ambiante. Et il vit les nombreuses ombres dansantes sur l'horizon. Il faisait moins noir. Et moins froid. Et moins vide.
Il tourne la tête à gauche, ses yeux perçants l'obscurité ambiante. Et il y vit les barreaux de sa prison s'agiter d'impatience. Il faisait moins noir. Et moins froid. Et moins vide.
Un léger sourire.
Et soudainement, le cliquetis d'un cadenas qui s'ouvre. Et le grincement d'une lourde porte de métal rouillé qui se mouve.
"Knock knock.
_Who's There ?
_Me.
_Me who ?
_The Monster.***
Et maintenant, on partage, hein boyo ?
Toi, tu prends le jour, et moi, la nuit.
Post Rp.
J'adore cet endroit ! [<= cliquez]Une phrase toute simple qui résumait parfaitement ce que pensait
le monstre de Luxuria, l'endroit le plus déviant de dreamland. Un endroit parfait pour lui, en somme. Il lève les yeux au ciel, un sourire difficilement descriptible déformant son visage. Cela faisait à peine trois ou quatre nuits qu'il était enfin libre du néant dans lequel on l'avait enterré.
Un profonde inspiration emplit ses poumons. Un délicieux parfum d'alcool, de sang, de pisse, de sexe fit frémir ses sens d'un plaisir trop longtemps réprimé. Il sortit de la petite ruelle sale pour se fondre dans la foule.
Les formes allant et venant dans tous les sens ; les rires, les pleurs, les cris.
J'adore cet endroit !***
La porte arrière réservée aux employés du bar
La Putain Sophistiquée s'ouvrit brusquement dans un lourd son métallique. Elle donnait sur une toute petit ruelle se finissant en cul-de-sac. La violente musique des cris de plaisir et de douleur essayait de s'échapper avant d'être lourdement réprimée par la lourde porte se fermant, devenant leur gêolier.
La figure mince qui en sortait, mains dans les poches, se dirigait alors vers le cul-de-sac. Un court silence qui semblait durer des heures s'ensuivit, romput par un bruit aigu et métallique, un bruit de liquide se déversant sur le sol et un soupir de soulagement.
« Hé ! Un peu de respect toi, va pisser ailleurs !
_Hein ?
Le monstre tourna la tête. Tout ce qu'il vit fut un clochard assit par terre, bouteilles vides aux pieds, probablement saoul.
_Dégage, j'te dis ! Y en as qui vivent ici ! »
Le pauvre homme n'obtenu comme réponse qu'un rire à la fois sadique et méprisant. Un court silence qui semblait durer des heures s'ensuivit, romput par un bruit aigu et métallique, les bruits de pas du jeune homme élancé et sa voix, chaude et teinté de violence :
« Donne-moi une bonne raison de ne pas te faire du mal, une phrase accompagnée d'un sourire difforme et carnassier.
_Qu-quoi ? Balbutia le clochard.
_Je me sens d'humeur joueuse, et il se trouve que tu ferais un parfait partenaire de jeu. Les règles sont simples : tu me donnes une bonne raison de ne pas te faire du mal, et si je n'arrive pas à le contrer, tu perds. Allez ! T'as 10 secondes. »
One.« T'es complètement malade ! » La colère fut la première réaction du vieil homme. C'est souvent comme ça.
Three.« Arrête ça, j'te dis ! » C'est à ce moment-là, cet instant précis de basculement où le mélange des humeurs transforme la colère, la diluant doucement en peur.
Six.« J-j'tai dit d'arrêter ! C-casse-toi ! » Et alors que la peur s'installe de plus en plus sur le trône qu'est l'esprit de la victime, son corps commence à réagir. Tremblement, dilatation des pupilles, perte de logique...
Nine.« N-non, s'il te plaît ! Ne m-me fait pas de mal ! »
Ten. Game Over.Le monstre tends une main ouverte vers sa victime. Cette dernière tremble, paralysée par l'appréhension. La figure émincé perds sa couleur, devenant une simple silhouette noire. Deux points blancs fixe le poivrot. Les cheveux de l'ombre dansent suivant un rythme inaudible. La ruelle disparaît, la réalité se perd dans un tumulte de couleurs surnaturelles. Là où se situerait le front de la silhouette, un troisième œil s'ouvre, multicolore cette fois. Un arc-en-ciel psychédélique et terrifiant.
Je viens tout juste d'arriver dans ce monde, tu comprends ? Il faut bien que je me fasse la main sur un raté comme toi.La pupille descends doucement sur le clochard, tremblant sur le sol, qui n'avait rien demandé. Il sursauta en entendant un bruit d'éclatement, sentant en lui quelque chose se briser comme du verre.
Puis l'obscurité.
En rouvrant les yeux, le voilà dans la même ruelle. Aucune trace du taré qui l'avait abordé juste avant. Il se touche le visage, par reflèxe. Ses doigts glissèrent sur sa peau ridée, sale et couverte d'un voile de sueur fraîche.
Un cauchemar, pensa-t-il.
J'serais pas contre un p'tit coup... Et comme pour répondre à sa demande, ses yeux visèrent une bouteille neuve de whiskey à ces pieds.
Quelle chance ! D'un geste brusque et tremblant, il attrape la bouteille pleine et tente de l'ouvrir, sans succès.
J'ai tellement soif... Ouvres-toi, nom de dieu !***
J'ai tellement soif... Tellement soif !« Mh ? Tu as entendu ça ?
_Quoi ?
_Une voix, je crois que quelqu'un à besoin d'aide... »
Bras dessus, bras dessous, le jeune couple venu à Luxuria pour... Profiter de l'endroit, disons simplement, n'était pas encore totalement habitués à l'ambiance. Entendre une voix demandant de l'aide résonnait chez eux plus que chez un habitué des lieux. La voix venait d'une petite ruelle.
Aidez-moi... J'ai. Si. Soif.La jeune femme avait entendu des histoires concernant la violence à Luxuria, et avait peur de ce qu'ils allaient découvrir. Le jeune homme, quant à lui, était bien trop saoul et préoccupé par sa libido pour porter un intérêt à ce qui allait se révéler à eux.
« Peuh, tu vois ? Un simple clochard saoul... Allez, retournons à l'hotêl, hein ?... »
Le couple s'éloigne alors de la scène, n'ayant vu qu'un clochard essayant d'ouvrir une bouteille d'alcool ouverte et complètement vide.
Autres.
(La première partie de cette section concerne votre personnage, et pas vous IRL)•
Aime (parmi tant d'autres) : les jeux de figurines, la littérature d'aventure/toutes les déviances possibles et imaginables, Eddie.
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N'aime pas (parmi tant d'autres) :
Le monstre, les brutes/Eddie, les êtres dans les plus basses classes sociales, les naïfs.
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Particularités, autres : Tiennent tous deux particulièrement à leur pendule d'hypnose.
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Niveau d'étude hors de Dreamland :
Year Seven in Prep School, soit l'équivalent de la première année en collège privé.
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Comment avez-vous découvert le forum ? Via Kala et Clem.
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Première impression : Difficile d'avoir une première impression sans même une expérience de celui-ci.
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Avez-vous lu les règles et les respecterez-vous ? Oui.
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Code de validation :
Code validé
