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Vittoria Campbell, langue de vipère ophiophobe [Fini]

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Vittoria Campbell
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MessageSujet: Vittoria Campbell, langue de vipère ophiophobe [Fini] Vittoria Campbell, langue de vipère ophiophobe [Fini] EmptyDim 29 Nov 2015 - 1:29


Campbell
Vittoria

Personnage.

Vittoria Campbell, langue de vipère ophiophobe [Fini] 518953pouet
© Avatar taille 160x320 pixels.


  • Nom : Campbell
  • Prénom : Vittoria
  • Surnom(s) : L'Américaine
  • Âge : 22ans
  • Nationalité, origine(s) : Double-nationalité Franco-américaine ; Boston
  • Pouvoir et description : Son ophiophobie lui permet de changer son corps pour adopter des éléments anatomiques ou physiologiques propres aux serpents (explications en détails dans la fiche technique)



Description Physique.

Si l’on se projetait face à la jeune femme afin de la décrire de la manière la plus objective possible, voici ce que l’on pourrait remarquer. Tout d’abord, une silhouette svelte et tonique marchant d’un pas gracieux mais néanmoins sévère à une allure aussi cadencée que l’aurait été un métronome. Ses tenues sont habituellement sobres, peu colorés ou tape-à-l’oeil tout en restant racées et empreinte d’un certain luxe que ce soit de part la qualité des tissus ou encore les discrètes marques brodées sur les manchettes de ses chemises. En effet, les bonnes habitudes ont la vie dure et les aléas d’une éducation privée englobent entre autre le port de l’uniforme au sein de l’établissement et ce durant tout le long de la scolarité. Aussi s’est elle habituée au style auparavant imposé et est même allée jusqu’à en faire son habit de prédilection. Nombreuses sont les fois où l’on a vu sa jupe s’agiter au rythme de ses pas dans les couloirs de son université, où l’on a entendu les talons de ses bottes claquer sur le carrelage immaculé et où l’ample noeud écarlate accroché à son cou avait su capter l’attention, tranchant particulièrement sur ses chemises claires. Néanmoins, les détails les plus marquants chez elles résident ailleurs. Sa longue chevelure bouclée, tombant au creux de ses rein possède une authentique et étrange couleur rouge, selon les coiffeurs un simple dérivée d’auburn juste un peu moins commun que le reste. Ce qui par contre n’a jamais su trouver de raison spécifique et valable et la teinte singulière de ses iris. Alors que de rares chanceux possèdent des yeux gris, verts ou encore violets les siens sont d’un carmin profond rendant son regard assez compliqué à soutenir lorsque l’on n’y est pas habitué. Heureusement une longue mèche vient lui camoufler l’un de ses yeux et encadrer son beau visage rendant le phénomène moins insupportable. Parlons en à présent de son visage, et pour cela rien de tel que de revenir là où l’on s’en était arrêté. Ses yeux légèrement en amande se trouvent souvent rehaussé d’un peu de poudre ou de khôl et de mascara mettant ainsi en valeur son regard unique en son genre. Son nez est petit et fin, légèrement en pointe a souvent tendance à être tourné vers le haut et rehausse une bouche fine mais pourtant pulpeuse et toujours colorée avec style. De quelle couleur ? Est-il vraiment nécessaire de le préciser à ce stade ? La seule chose qui lui est souvent reprochée par ses rares proches, est la gamme de sourire qu’elle arbore et qui se trouve assez limitée. L’air ironique, sarcastique, moqueur ou encore calculateur voilà les seules expressions qui tourneront ses commissures vers le haut et qu’elle arborera spontanément, sinon sa bouche restera neutre quoi que quelque peu pincée accentuant son attitude acerbe. Son amour pour les sports de combats comme l’escrime et les arts martiaux lui ont permit d’acquérir une musculature discrète mais présente, ne jurant pas sur ses courbes toniques et féminine. Un nouveau reproche à lui formuler, autant dans ses gestes que dans son caractère sa rigueur se fait sentir elle n’usera jamais de plus de souplesse que cela ne lui semble nécessaire et ce non sans mal.



Caractère.

Les premiers mots qui seraient susceptible de venir à l’esprit des gens qui croisent le chemin de Vittoria pour la première fois ? Prestance, élégance et une indubitable dominance sur toutes les personnes qui l’entoure. Elle ne marche pas, elle flotte tel un nuage chargé d’électricité et menaçant de s’abattre sur tout ceux qui s’approcheraient de trop près. Elle arbore comme un bijou toute la dignité que son patrimoine génétique et financier lui ont offert, tout en prenant bien garde à indirectement faire comprendre aux gens qui l’entourent qu’ils lui sont largement inférieurs. Bien entendu, l’effet ne serait pas entier si son regard n’était pas direct et franc prêt à se planter dans celui des mal-avisés se présentant spontanément devant elle. Face à son regard d’acier teinté de rouge, tout ce que vous savez n’est que coincidence. Ayant toujours profité d’une éducation stricte, elle sait exactement comment se conduire, comment paraitre en n’importe quel endroit et avec n’importe quelle compagnie seulement elle n’en voit pas l’utilité avec le bas monde qu’elle côtoie au quotidien. Rigoureuse, travailleuse , confiante en ses aptitudes et très intelligente elle met un point d’honneur à atteindre des sommets dans tout ce qu’elle entreprend mais aussi à enfoncer tout ceux qui sont autour, comble du naturel puisqu’ils sont si bas au dessous de ses capacité. Qui prendrait garde à éviter les nombreux et invisibles insectes qui grouillent sur le chemin que l’on s’efforce de suivre ? Au contraire c’est presque un service qu’elle leur rend, en leur rappelant que rien ne sert de se lancer dans un changement trop brutal entre la médiocrité et l’excellence. Cet état d’esprit transparait même dans ses hobbies, l’escrime les art martiaux… Seuls des domaines où elle est apte à prouver ouvertement et publiquement que toute tentative de lui arriver à la cheville est vain. L’unique chose pouvant briser ce masque de supériorité, c’est que quelqu’un parvienne à la dépasser. Rien ne peut la mettre plus hors d’elle qu’un tel cas de figure mais rien ne sert de se donner en spectacle en se transformant en hystérique. Non ça c’est bon pour le commun des mortels. Elle préfère se draper dans son amour-propre pour laisser des émotions plus froides, plus cérébrale s’occuper d’elle. Seul le mépris est pire que la haine, alors pourquoi se priver de coupler ces deux états-d’esprits ? A coté de ça, elle n’est pas que défauts non plus, elle est une personne fiable, digne de confiance pouvant potentiellement se montrer à l’écoute si l’intérêt lui semble justifié et si ses instincts calculateurs ne prennent pas le dessus. Elle est simplement une personne solitaire, bien décidée à le rester tant que personne ne lui aura prouvé que l’inverse en vaut la peine.



Histoire.

Qu’est ce qu’une brillante élève de Boston est venue faire en france, au sein d’une université qu’elle ne connaissait même pas, qui n’est même pas à la hauteur de son niveau et qui surtout se trouve perdue dans une ville au nom imprononçable pour une américaine ? Là est la question existentielle de la vie de Vittoria ou plutôt de Mlle. Campbell comme elle préfère qu’on la nomme, trop de familiarité envers des inconnus est le comble de la vulgarité.

La jeune fille est ce que l’on pourrait définir comme “bien née”. Une mère diplômée de la prestigieuse université de Yale, un père sortant de Harvard et des grand-parents propriétaires d’une immense propriété en périphérie de la ville, oui il n’y a pas à chercher plus loin, l’expression est la bonne. Ses parents se rencontrèrent jeunes et malgré une grande envie de fonder une famille, ils préférèrent rester concentré sur leur carrière respective plutôt que de s’éparpiller de droite et de gauche. Seulement ce qui devait arriver arriva et la naissance de la petite Vittoria marqua un tournant décisif dans la vie de ses parents : devaient-ils sacrifier leurs professions en faveur du bien être du nouveau née ou devaient-ils plutôt s’efforcer de gagner toujours plus d’argent et de prestige, en prévision du futur ? C’est ainsi que la petite fille et plus tard son frère furent éduqués selon les anciennes méthodes de leurs grands parents. Néanmoins alors que Vittoria s’efforçait toujours de donner le meilleur d’elle même, espérant ainsi attirer le regard ou l’attention d’une de ses figures parentales son frère partait du principe avec beaucoup de lucidité et de désinvolture que de toute manière, qu’ils travaillent ou non leur avenir était assurés de par leur héritage ou possessions actuelles aussi, pourquoi se donnerait il du mal en quoi que ce soit ? Cet état d’esprit a toujours su attiser les foudres de la jeune femme, horripilée par cette indifference des moyens que son frère était en mesure de posséder mais à coté de ça elle gardait une profonde affection pour le garçon qui était finalement pour elle un compagnon de infortune plus qu’un simple frère.

Responsable d’un haut poste dans une compagnie de conceptualisation aéronautique, c’était le père de famille qui avait le plus de chance de renter le soir et de passer du temps avec les enfants. Leur mère, biologiste de renom spécialisée dans les espèces de reptiles exotiques se déplaçait constamment pour faire des recherches sur le terrain, allant parfois en pleine foret amazonienne, au coeur du désert africain ou même encore au sein des lointaines terres australiennes. Cette absence avait su se faire accepter au sein de la famille, de toute façon les enfants avaient comme figure de référence leurs grands parents et membres du personnels travaillant au sein  de leur manoir aussi, le couple parental ne voyait pas où était le problème à agir de la sorte. Ce fut grâce à eux par exemple que la petite fille commença l’escrime à l’âge de 5 ans et les arts martiaux deux ans plus tard. Leur mère envoyait souvent des photos ou des videos des paysages qu’elle rencontrait, des espèces qu’elle observait et rapportait souvent d’étranges trouvailles et histoires de ses épopées. Même si elle appréciait ces attentions, la petite Vittoria comprenait bien que les seuls responsables de cet éloignement étaient les objets d’études de sa mère, les serpents, ces monstres étranges variants tous de tailles, de couleurs et de singularité et éloignant toujours et encore son modèle d’elle. Elle grandissait hantée de cauchemars où ces créatures rampantes ne cessaient de lui enlever les êtres qu’elle aimait, la laissant seule ou l’attaquant directement elle qui était sans défense et à leur merci depuis toujours.

Un jours alors qu’elle avait quatorze ans, sa mère amena pour la première fois un de ses spécimens d’étude à leur domicile. Elle l’avait placé dans une sorte de vivarium de transport, une cage de verre avec quelques aérations, entièrement dénudée de toute fioritures au fond de laquelle était tapie l’animal. Calme, silencieux et immobile. Au départ les deux enfants se précipitèrent pour observer la petite chose dont ils avaient tant entendu parler et qui savait attirer toute l’attention de leur génitrice sans aucun effort mais rapidement un fossé se creusa entre les réactions du jeune garçon et de sa soeur. Alors que lui tentait par tous les moyens de faire bouger l’ophidien, elle préférait se tenir en retrait le regard fixé dans les yeux fendus du monstre miniature. Elle se sentait paralysée, consciente que la mince couche de verre la séparait d’un animal apte à la tuer en quelques minutes. Elle était mal à l’aise et ça se sentait. Lorsque sa mère plongea la main dans la boite, se saisissant du mince serpent, elle retint son souffle sentant son pouls à travers de sa poitrine s’accélérer alors que ses yeux suivaient toujours le regard de la créature. Elle eu même un mouvement de recul et des larmes perlèrent à ses yeux lorsque l’animal se mit en mouvement, s’enroulant doucement autour du poignet de sa mère. Elle ne parvint à se détendre qu’à partir de l’instant où le reptile retrouva sa place d’origine et préféra tout de même se réfugier dans sa chambre, apeurée et sous le choc. Comment une chose pareille pouvait-il l’angoisser de la sorte ? Il était si petit, si insignifiant, si peu intimidant face à une personne comme elle l’était… Elle les connaissait bien, elle avait lu tout ce que sa mère lui avait donné à lire, avait tenté d’aller plus loin en complétant ses recherches à contre coeur pour sortir du rang et se faire entendre. Mais en voir un en vrai était si différent de toutes les images qu’elle avait vu, et qui lui donnaient déjà pour certaines, la chair de poule.

Au fil des ans, la mère de famille continua à agir de la sorte en amenant ses sujets dans des boites de transport et en les laissant éphémèrement profiter d’une illusion de liberté, au grand damne de sa fille et de son mari. Ce dernier n’appréciant pas particulièrement que les expérimentations de sa femme passent avant la sécurité de l’ensemble des habitants de la maison. Un jour, alors qu’un des spécimens avait réussi à se glisser hors de sa cage de transport, Vittoria fut portée disparue durant plusieurs heures et ce, même après que le serpent soit retrouvé dissimulé non loin de là où il était parti. On la retrouva prostrée au fond d’un de ses placards, les genoux serrés contres sa poitrines et les joues baignées de larmes encore chaudes. Sentant que cela ne pouvait plus durer plus longtemps, l’homme entama une procédure de divorce la veille des 16 ans de leur ainée. Cette année là personne hormis Seth, son frère, ne souhaita un bon anniversaire à Vittoria. Une fois encore les reptiles lui avaient volé ce qu’elle avait de plus cher au monde.

Oubliant cette période difficile, la jeune femme commença à s’épanouir véritablement quelques mois plus tard, réussissant brillamment sa scolarité et prenant de plus en plus de plaisir à surpasser ses camarades de classe. Elle n’avait jamais eu de véritables amis de toute manière alors autant en profiter. Elle s’éloigna peu à peu des domaines scientifiques se plongeant dans une filière plus littéraire et centrée sur le droit et l’histoire. La véritable consécration de son existence arriva lorsqu’elle reçu un courrier cacheté de trois syllabes si importantes à ses yeux. Au dos de l’enveloppe était annoté en rouge “Ve-ri-tas” alors qu’à l’intérieur se trouvait une réponse à sa candidature. Le chemin qu’avait emprunté son père lui ouvrait largement ses portes. Elle se lança avec ferveur dans des études de droit, déterminée à assoir définitivement sa supériorité en ressortant diplômée avec brio d’une des université les plus prestigieuses du monde. Enfin du moins ça, c’était la théorie.

Une descente aux enfers fut entamée par ce qui restait de la famille Campbell lorsqu’un coup de téléphone raisonna un soir d’automne dans la maison de leurs grands-parents. Un accident était arrivé lors d’une expérimentation en laboratoire quelques heures plus tôt, alors que la mère de Vittoria et Seth travaillait sur une nouvelle sorte d’anti-venin. Le sujet avait réussi à mordre la scientifique, le temps d’une fraction de seconde d’inattention et la pauvre femme n’avait pas survécu à la toxine. Même si la rousse avait prit garde à ne rien laissait paraitre, sa plus grande angoisse refit surface et l’enveloppa tel un linceul. Comment pouvait-elle ne pas haïr et craindre ces animaux, aptes à foudroyer une personne qui les connaissait pourtant par coeur ? Une fois encore ils lui avaient volés sa mère, sauf que plus aucun retour n’était possible à présent. Mais ce qui acheva vraiment le mental de la jeune femme n’arriva qu’un an plus tard.

La boite où travaillait son père lui offrit une mutation à un très haut poste, à plusieurs milliers de kilomètres de là dans une ville française inconnue de la demoiselle. Quand son père et ses collègues en parlait ils l’appelaient “Teuluze” ou quelque chose de cette sorte là, tout ce qu’elle notait c’était que rien que sa prononciation était désagréable pour l’américaine pure souche qu’elle était. Elle avait espéré qu’ils ne partiraient pas, ou simplement que son père la laisserait habiter sur le campus de Harvard ou de nouveaux chez ses grands-parents. Bien au contraire il les trainerait elle et son frère avec lui au fin fond de l’Europe où tout serait à recommencer pour eux une fois sur place. Même si le jeune garçon s’en moquait éperdument sa soeur quand à elle en était folle de rage. Elle abandonnerait son prestige, son luxe, son pays pour aller se trainer dans la fange d’une université publique et méconnue. Lorsqu’elle parvint à se persuader que c’était pour son bien, pour le bien de sa famille ou du moins ce qu’il en restait et resterait après ça elle se fit une promesse. Elle montrerait à ces médiocres européens ce qu’étaient l’excellence et le luxe à l’américaine. Grace à une session diplomate durant l’été elle apprit à parler français emportant avec elle un bien maigre tribut de sa chère université par rapport à ce qu’elle espérait à la base.

Tout se passa parfaitement bien une fois arrivée sur place ou du moins exactement comme elle imaginait que cela se passerait accentuant les cotés méprisants et acerbes de sa personnalité au fil du temps et ce, jusqu’à l’arrivée des premiers résultats. La justice française singulièrement différente de celle des états-unis lui avait donné du fil à retordre à la base mais une fois les bases assimilés tout avait glissé comme sur du savon et les résultats de ses premiers contrôles étaient comme elle les avait espérés digne de ses antécédents à un simple détail près. Elle était deuxième. Une personne osait se mettre sur son chemin et ça, c’était plus que ce qu’elle n’était en mesure d’accepter, néanmoins elle tenait à rencontrer personnellement cette personne. Elle devait être exceptionnelle pour réussir à dépasser une si brillante élève. Elle fut confrontée à une nouvelle déception, la jeune fille était fade, sans personnalité, pâle et pauvre. Surtout pauvre. Rien qui émanait d’elle n’attirait de compassion, de sympathie… Rien. Cette Lilith Daël n’était rien d’autre qu’une rivale à abattre, une personne qui aspergeait régulièrement de sel les plaies creusées par ses regrets et sa nostalgie.

Un an passé sur place suffit à parfaire son niveau en langue et amoindrir le fort accent de la jeune femme qui continuait malgré tout à commander des “cwassants” dans les boulangeries ou du “freumage” dans les restaurants. Elle parvint sans mal à se trouver un club d’art martial mais eu plus de difficulté à un chercher un pour pratiquer l’escrime sans avoir à traverser la ville pour pratiquer aussi cherche t’elle toujours, s’entrainant chez elle grâce à son frère et au matériel qu’ils possédaient déjà à leur domicile. Ce cher Seth quand il ne cherchait pas à l’exaspérer représentait à ses yeux la seule oreille attentive sur qui elle pouvait compter et la soutenir peu importe pourquoi ou comment. A coté de ça les charbons ardents de sa haine envers Lilith n’avait pas diminué non plus, bien au contraire évoluant entre dégout, mépris et colère froide alors même qu’elle savait ces sentiments non partagés. C’était sans doute ce qui l’insuportait le plus tout bien réfléchit. Parallèlement à ça, sa phobie ne décrut pas non plus et ce même si les occasion de croiser un serpent en plein centre ville étaient on ne peut plus rarissime. C’était son frère qui se chargeait régulièrement de verser de l’huile sur le feu en cachant sous ses draps ou dans ses placards des jouets en bois où en plastique qui ne manquaient pas de lui faire pousser de hauts cris pour son plus grand amusement. Elle était loin de douter que beaucoup de chose risquaient de changer dans sa vie une fois encore.



Post Rp.


Assise au volant de sa voiture, une petite citadine sportive flambante neuve, Vittoria prit une profonde inspiration ajustant son rétroviseur afin de regarder dans un premier temps son visage maquillé avec soin puis son large noeud écarlate ajusté à la perfection autour de son cou. Il était temps de subir une nouvelle journée. Non, de faire subir aux autre un nouveau jour d’humiliation, où la petite américaine leur mettrait de nouveau d’innombrables longueurs dans la vue avant de repartir comme elle était venue. Seulement lorsqu’elle ouvrit sa portière ce ne fut pas le paysage toulousain auquel elle s’était habitué qui s’étendait devant elle, c’était Harvard, sa vraie place.  Une légère brise agitait des feuilles mortes tombées non loin de leurs arbres, des nuages paresseux obscurcissaient la lumière de l’astre du jour et le fond de l’air se laissait deviner comme étant automnal. Elle su en posant les yeux sur les bâtiments rutilants de l’université que tout ceci était bien trop beau pour être vrai mais peu lui importait, partiellement consciente seulement du rêve dans lequel elle se trouvait elle se laissa guider instinctivement avançant droit devant elle. Elle ne croisa personne sur son chemin tout était vide, le lieu lui était offert et mit à sa seule disposition. Ecartant un instant sa mèche de son oeil dans l’espoir de graver cette image dans son esprit, elle s’avança et prit de mémoire le chemin qu’elle avait l’habitude de suivre durant ses quelques années ici.

Ses bottes noires lui montaient jusqu’au genoux la protégeant ainsi des quelques feuilles encore humides que ses pas faisaient virevolter avant qu’elles ne retombent mollement sur le sol. Il avait sans doute du pleuvoir quelques temps auparavant et même si le sol boueux menaçait de salir ses élégantes chaussures l’odeur si particulière qui flottait dans l’air et lui faisait remonter tant de souvenirs valait largement le sacrifice. Peut être arriverait elle à trouver quelqu’un en salle de cours ou en amphithéâtre, au moins un de ses professeur ou ne serait ce qu’un simple professeur à qui elle pourrait confier combien ce lieu emblématique lui manquait et combien elle était fière d’écraser les minables étudiants présents dans sa licence et ce, en temps qu’ambassadrice de cet établissement de renom.

Seulement, un bruissement dans un tas de feuille non loin de là où elle se trouvait attira son attention et lui provoqua un frisson le long de l’échine. Et s’il s’agissait d’un… Non impossible. Il ne pouvait pas y avoir de pareil bestiole ici et encore moins devant elle. Pleine d’appréhension, elle  rapprocha des feuilles colorées et les écarta du bout de sa botte, découvrant alors une longue silhouette brune. Passé un sursaut de surprise, elle se détendit et afficha même un rictus face au ridicule de cette situation. Il ne s’agissait là que d’un simple bout de bois perdu au milieux de feuilles qui avaient été animées par le vent. Reprenant sa course elle espéra tout de même qu’il ne se trouvait vraiment personne pour épier son étrange comportement dans les alentours. Alors qu’elle avançait toujours, suivant son éternel rythme cadencé, de nouveaux bruissements se firent entendre venant aléatoirement d’une direction ou de son opposée mais préférant repousser ses angoisses et son instinct elle resta concentrée sur la porte vers laquelle elle se dirigeait inlassablement. De plus en plus nombreux et prolongés les bruits se mirent à converger vers une seule et même origine se faisant plus ou moins pressant et ce alors même que l’intensité de la brise n’avait pas varié. Prenant une grande inspiration pour se calmer, Vittoria regretta de ne pas avoir ses écouteurs sur elle. Elle n’avait pas vérifié que c’était bel et bien le cas mais elle en avait l’intime persuasion comme si cela tombait évidement sous le sens. Alors que le bruit augmentait encore et toujours elle essaya de se mettre à courir sans même oser se tourner mais elle se rendit rapidement compte que tous ses efforts étaient vains. Elle semblait piégées dans une sorte de gélatine, comme si l’air avait brusquement gagné en densité et viscosité bloquant sa course en une allure à peine plus rapide qu’une petite marche. Le bruissement lui rappelait de plus en plus la reptation si particulière de l’objet de ses craintes les plus primitives aussi redoubla t’elle d’effort pour quitter ce terrain infernal. Rien n’y faisait le sol était semblable à de la colle et l’air à du gel. Au prix de nombreux efforts elle parvint enfin à atteindre ce qu’elle visait et ce fut haletante et terrifiée qu’elle referma la porte du bâtiment derrière elle pourtant, lorsqu’elle jeta un coup d’oeil à travers la fermeture vitrée elle se rendit compte qu’il n’y avait rien. Quelques feuilles, l’herbe humide et des bâtons , nombreux et éparpillés sur tout le gazon qu’elle venait de traverser. Y en avait t’il autant tout à l’heure ? Elle préféra ne pas s’attarder sur cette question.

Se déplaçant de nouveau sans la moindre difficulté, la jeune femme pénétra dans une salle de cours situé au milieu du couloir qui lui faisait face et qui à la différence de toutes les autres, était déjà ouverte. A l’instar de tout ce qui se trouvait dans les environs elle était entièrement vide néanmoins le tableau était entièrement saturé de phrases qui prises individuellement pouvaient sembler logiques à l’exemption de certaines, mais qui mises ensemble formaient un ensemble désaccordé et sans aucun sens.

Alors que poussée par sa curiosité la rousse s’avançait vers le tableau noir, déchiffrant non sans mal quelque unes des phrases affichées et remarquant les différent styles d’écritures qui se mêlaient dans ce puzzle vide de tout fil directeur, un nouveau bruit se fit entendre. C’était difficilement discernable et discret comme si l’on agitait une sorte de hochet à vive allure… Tournant sur elle même, elle ne put cacher sa stupeur et son angoisse alors qu’une ombre se formait sur le mur opposé et que le son gagnait en vigueur. Cela ressemblait à une masse noire et aplatie et surmontée d’une courte tige vibrant à une vitesse effrénée. Une cascabelle, l’américaine n’avait eu aucun mal à reconnaitre le bruiteur même s’il ne s’agissait que d’une ombre et réalisa en une seconde qu’au bout de la sonnette devait forcément se trouver un crotale. Tentant de ne pas céder à la panique elle fut prise d’un mouvement de recul qui la fit se heurter contre le tableau. Sous le léger choc la brosse servant habituellement à nettoyer la craie chuta sur le sol, forçant le serpent à monter encore le volume de sa menace sonore. Sans quitter la silhouette fantomatique des yeux et sans même savoir ce qu’elle faisait,  Vittoria ramassa doucement l’objet et le projeta contre le mur de toutes ses forces. S’écrasant contre ce dernier dans un nuage de fumée calcaire il laissa apparaitre une tache blanchâtre et poudreuse sur le mur, à l’endroit même où l’ombre était précédemment tapie. La jeune femme soulagée poussa un soupir en baissant les yeux et ne retint pas plus longtemps le cri de terreur qu’elle espérait ne pas avoir à pousser lorsqu’un rampant passa juste entre ses jambes avant d’aller disparaitre dans un coin de la salle maintenant obscure. Affolée, elle tenta de reculer mais renversa au lieu de ça les bureaux sagement alignés derrière elle provoquant le retour du bruit de sonnette accompagné maintenant d’un agressif sifflement.

Il fallait qu’elle parte, qu’elle sorte de ce lieu et se remit à courir une nouvelle fois, bloquant encore ses mouvement dans la gélatine. A contre-coeur elle se remit à marcher se libérant de son entrave mais la sensation que lui procurait cette lutte contre-nature entre l’adrénaline et son instinct lui donnait un vertige étouffant. Le couloir était il si long quand elle était arrivée ? Ou était-ce du à l’obscurité ? Elle glissa furtivement une main dans sa poche et en sortit son téléphone qu’elle s’empressa d’allumer en lampe de poche, se répétant qu’elle était persuadé un instant plus tôt de ne pas l’avoir sur elle. Elle déboucha d’un seul coup sur une vaste salle circulaire entièrement vide et sans aucune issue. La rousse entama alors un lent demi-tour dans l’espoir de ressortir par là où elle était venue mais se dressait à présent une énorme menace face à elle. Une énorme tête triangulaire variant entre des teintes d’un brun-vert sombre oscillait devant elle, la forçant de nouveau à faire marche arrière. Elle sentait les larmes perler à ses yeux, elle se sentait vulnérable et la lumière blanche et indirecte du téléphone donnait au massif serpent des cotés monstrueux et irréels. Il ne bougeait pas, la fixant alors qu’elle s’éloignait sortant de temps à autre sa langue pour gouter l’air ambiant avant de la rentrer. Sentait il la peur irrationnelle dont Vittoria était victime ? Sans aucun doute.

Trop concentrée sur la menace plutôt que sur l’endroit vers lequel elle se dirigeait, persuadée sans le savoir qu’elle atteindrait tôt ou tard le fond de la pièce or un observateur attentif aurait pu noter en d’autres circonstances qu’une légère pente orientait le sol en un seul point situé en plein centre de la salle. Coeur de la pièce matérialisé par un large trou béant et aussi sombre qu’une tâche d’encre. Le pied de la jeune femme glissa bientôt contre la bordure du carrelage la déséquilibrant et la faisant basculer en arrière. La promesse d’une longue chute lui semblait inévitable mais tel que son désir de vivre le lui conseillait, elle parvint à se raccrocher rudement lâchant au passage sa seule source de lumière. La petite lumière traversa les ténèbres et se figea quelques secondes plus tard sur un sol brillant et sombre. En baissant le regard, l’américaine pensa d’abord qu’il était recouvert d’une fine pellicule d’eau mais ce ne fut que lorsqu’elle réalisa sa véritable composition qu’une horreur sans précédent l’envahi. Des serpents, des grands, des petits et toutes les tailles, toutes les espèces rampaient et se tordaient en un sol grouillant et abjecte. Elle était là suspendue dans le vide ayant à choisir entre une sorte de python plus grande que la moyenne ou une mare remplie de multiples représentant de leur type. Ses mains et ses bras étaient de plus en plus douloureux à cause de cette tension constante et forcée, sachant pertinemment qu’elle ne tiendrait plus très longtemps ainsi elle tenta de se persuader de lâcher que tout se passerait bien si elle lâchait, incapable de se tracter sans appuis jusqu’à l’endroit d’où elle venait.

Puis un contact chaud, sec et glissant vint se créer contre ses doigts, derniers obstacles s’opposants à son inévitable chute. Comprenant en un battement de cil qu’il s’agissait des écailles du python du haut, elle poussa un cri à s’en percer les tympans et lâcha prise dans un ultime réflexe protecteur. S’attendant à un impact violent contre le sol, elle tendit l’ensemble de ses muscles anticipant tant bien que mal et s’efforçant de rester apte à réfléchir dans le brouillard que lui imposait sa terreur. Le choc fut encore plus dur que ce à quoi elle s’attendait, mais pas au sens littéral du terme. Comme si elle venait de plonger dans une macabre piscine vivante, elle s’enfonça dans l’amas de créatures qui contre toute attente ne s’intéressent pas à elle outre mesure, préférant continuer leur parcours statiques, s’étalant du mieux qu’ils pouvaient les un sur les autres, certain allant même à se dévorer entre eux.

La pénible traversé ne dura que quelques atroces secondes avant qu’elle ne tombe de nouveau dans le vide, atterrissant dans une salle nue et éclairée par une source de lumière totalement inconnue. Son maquillage avait coulé, sa gorge la brûlait d’avoir tant crié mais elle était encore là, debout gardant au fond d’elle une minuscule lueur d’espoir quant à la fin de cette expérience traumatisante. Comme s’il s’agissait d’une étrange salle de danse, les murs étaient tous sans exception masqué par de splendides miroirs affichant ainsi une mise en abîme des plus perturbante, alors que le plafond n’était constitué que de la piscine de reptiles. Non loin de là où elle était tombé se tenait un présentoir de bois, simple sur lequel reposait un fleuret argenté au pommeau noir. Elle s’en rapprocha pleine d’appréhension mais fut saisie d’un nouvel effroi lorsque la sensation de contact qu’elle avait éprouvé quelques instant auparavant se répéta mais cette fois, au creux de son cou. Un des spécimens de la piscine avait du resté accroché à elle quand elle était tombé si bien que dans un enchainement de mouvement saccadés, elle se secoua pour le faire tomber du mieux qu’elle pouvait. Son inquiétude redoubla lorsqu’elle envisagea que le contenu situé au dessus de sa tête pouvait probablement lui chuter dessus mais rien de tel ne se produisit pour affirmer cette théorie.

Vittoria cessa sa gigue quelques secondes plus tard, cherchant sur le sol l’ophidien qu’elle avait du déloger de sa chevelure mais il n’y avait aucune trace de lui nulle part. Au lieu de ça, un rapide coup d’oeil dans l’un des miroirs lui permit de découvrir la chose la plus horrifiante de sa vie. Une bonne vingtaine de serpents s’agitait maintenant sur sa tête s’attaquant les uns les autres ou observant ce qui les entourait de leur regard sévère et inexpressif. Passant outre ses appréhensions elle réussit à en attraper un du bout des doigts pour tirer dessus et le déloger de sa place, au lieu de ça elle eut l’impression qu’elle essayait de s’arracher un membre de son corps. Haletante de peur ses yeux se posèrent sur l’arme posée là à portée de main et sans plus réfléchir aux conséquences de ses actes elle s’en saisit et commença à trancher les mèches ondulantes et vivaces dressées sur sa tête. La douleur qu’elle ressentait était cuisante, affreuse, terrible mais elle s’efforçait de passer outre ne pouvant plus supporter ce spectacle abominable. Prise d’un haut-le-coeur elle lâcha le fleuret lorsque l’un des corps tranché s’agita, et se dédoubla pour former deux serpents distincts et en pleine santé. Le phénomène se répéta encore et encore et bientôt plus aucun cadavre ne pendait de l’ancienne cascade de boucle rousses. Et ce fut à ce moment précis que le changement opéra.

La peur se changea en haine, la haine en colère et la colère en force. Elle abattit violemment son poing contre le miroir le brisant sans considération et ne se souciant pas des années de malheur qu’elle risquait en agissant ainsi. En réponse à cela, deux serpents chutèrent de son crâne et partirent se réfugier un peu plus loin. Emplie d’un nouvel espoir elle recommença sur le suivant, répétant le phénomène une nouvelle fois. Les rôles s’inversaient enfin, elle prenait le contrôle sur ces vulgaires rampants et gagnait peu a peu en assurance alors que les miroirs étaient réduits un à un en minuscules fragments. Elle fut bientôt débarrassée de la totalité des envahisseurs qui avaient prit plus tôt le contrôle de sa propre tête, le brouillard se levait et seule une des glace restait encore debout. Elle se plaça en face de cette dernière, regardant son reflet l’espace d’un instant puis celui de ce qui se tenait dernière elle. De nouveau, le serpent qui se trouvait plus haut tout à l’heure était apparu dans son dos mais cette fois, hors de question de fuir lâchement. Envoyant un nouveau coup dans le miroir elle s’attendit à ce que l’apparition ne s’évapore comme elle était arrivée mais en se retournant elle le vit, toujours face à elle. En baissant les yeux elle vit le fleuret qu’elle avait lâché de l’autre coté de la pièce était juste là, à ses pieds, prêt à servir. Prenant une grande inspiration et ignorant une seconde les réflexes hors du commun dont pouvaient faire preuve ces animaux, elle s’empara de l’arme blanche et dans un mouvement fluide et assuré, l’abaissa droit vers le cou de l’ophidien. Et au moment où la lame écarta les écailles comme s’il ne s’agissait que de simple carton pâte, le cauchemar de Vittoria arriva à sa fin.

Se redressant brusquement, essoufflée et transpirante elle eu besoin d’un moment pour situer son lit, sa chambre et sa maison. Elle jeta un bref coup d’oeil au réveil posé non loin de là et estima qu’elle avait le temps de se rendormir avant que la véritable heure de son réveil n’arrive. Elle reposa la tête sur son oreiller, ferma les yeux et entama une nouvelle phase d’un sommeil plus détendue que jamais. Elle était loin de se douter qu’elle n’était pas au bout de ses surprises et que les cauchemars tels que celui ci ne la hanteraient plus à l’avenir. Restait à savoir s’il s’agissait d’une bonne ou d’une moins bonne nouvelle.



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MessageSujet: Re: Vittoria Campbell, langue de vipère ophiophobe [Fini] Vittoria Campbell, langue de vipère ophiophobe [Fini] EmptyDim 29 Nov 2015 - 12:32
Bienvenue sur le forum !

Concernant ta fiche, cette dernière est de très bonne qualité : belle longueur, bien écrite et complète, tout y est ! Je serais pour une validation en tant que Morpheuse rang 3 ^^ On attend un second avis et tu pourras ensuite allez faire ta fiche technique.
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MessageSujet: Re: Vittoria Campbell, langue de vipère ophiophobe [Fini] Vittoria Campbell, langue de vipère ophiophobe [Fini] EmptyDim 29 Nov 2015 - 19:59
Oh oh oh, Lilith nous ramène quelqu'un !
C'est bien ça, surtout pour la période de Noël ^^

Bienvenue !
Alors, même si je suis d'accord pour un rang 3, j'ai cru déceler quelques fautes d'inattention, comme ces S clandestins, ces saligauds. Rien de grave, je remarquais seulement.

Je te mets les couleurs sur le champ et go faire ta FT !
Bon courage et encore une fois la bienvenue chez nous !
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Vittoria Campbell, langue de vipère ophiophobe [Fini]

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