DUBOIS
Jean-Baptiste

Personnage.

© Avatar taille 160x320 pixels.

• Nom : Dubois • Prénom : Jean-Baptiste (raccourci en J-B) • Surnom(s) : Jhabu, Bad loser • Âge : 24 ans • Nationalité, origine(s) : Belge • Pouvoir et description : Sa volonté se manifeste par un halo autour d'une partie de son corps, voir de son être entier; ce halo lui octroie une force, une vitesse et une résistance légèrement supérieure, mais rien de transcendant. La force de son pouvoir tient dans son adaptabilité : le halo(ou aura) est déformable, et peut facilement changer de propriété, devenir solide comme liquide, être expulsé en projectiles perçants de faible puissances (un Kikoha du pauvre en quelque sorte), répandu dans une matière ou un objet. Impossible cependant de maintenir deux états en même temps; par exemple, si il essaye de lancer les flèches d'aura en planant, son halo se délitera rapidement, puisque qu'il doit se concentrer pour qu'il se maintienne, et il tombera. L'aura part de son corps, et s'évapore rapidement s'il ne la maintient pas. Il peut en revanche alterner rapidement, mais perd grandement en efficacité. C'est dans la polyvalence de ce pouvoir, baptisé "Projected will" (par ses soins), que Jhabu trouve une diversité stratégique utile en combat comme ... en fuite (rien de tel qu'un boost de vitesse drastique pour se tirer d'affaire). Pour l'utiliser, son pouvoir demande de la concentration, et surtout de la créativité, de la volonté et de l'intelligence. Savoir allier tactiques, bluffs et coups risqués est la clé de sa maîtrise.Enfin, et aussi de la pratique ...

Description Physique.

J-B est grand; en tout cas il le parait. Souvent, en l'approchant, les gens se disent "je le voyais plus grand".
Il est longiligne ( Il pèse 63 kilos pour 1m88), la silhouette anguleuse, de même que son visage, aux pommettes marqués, aux joues légèrement creusées, et aux arcades sourcilières prononcées, surmontant des yeux d'un gris-bleu métallique, avec le blanc taché d'une marque brune (une brûlure de la cornée) et injecté de sang à l’œil droit,(un problème de sinus en réalité, mais ça fait flipper certains).

Des cheveux longs, attachés sommairement ou pas attachés du tout, châtain, épais et aux reflets blond-roux, qui lui descendent jusqu'au lombaires, excepté une mèche révolté, que par dépit il tresse et laisse pendre, au niveau de sa tempe gauche, jusqu'à son épaule. Une courte barbe avec de nombreux poils roux, avec un bouc réparti en deux tresses attachées à leurs bouts par des cordelettes, bleues à gauche et noires à droite. Sa bouche n'est ni grande ni petite, avec des lèvres charnues, son nez est rond à son extrémité, et osseux, épais à son arête (sa sœur se moquait de son nez quand il était petit, mais entre nous, il pas si mal, non ?)  
Dans l'ensemble, son visage est harmonieux (bon, un peu asymétrique quand même, mais on va pas chipoter, hein), mais froid et un peu dur; c'est pour cela qu'il l'anime. Dès qu'il parle, qu'il regarde quelqu'un, ses yeux se plissent ou s'agrandissent, sa bouche se tord comiquement, sa tête se penche, en bref, il offre a l'interlocuteur un spectacle qui réchauffe son expression.
Pas laid, donc; mais beau ?... Plutôt atypique.

Il est généralement habillé d'une veste bleue sombre, cintrée et longue, qui descend en dessous de ses genoux, et d'une chemise à lacets grise ou brune, d'un pantalon ou étroit et noir (un pantalon "habillé", comme disent les anciens), ou large et gris anthracite. Aux pieds, des scandales de mai à octobre, des jikatabis (chaussures nippones avec le gros orteil séparé des autres) ou des bottes de cuir le reste du temps.
A Dreamland, il est pieds nus (le sentiment de liberté peut-être ? huh ...), et porte un gantelet et une légère spalière en cuir  au coté droit par dessus sa veste.

Sa peau est pale, son corps sec, sans la moindre trace de graisse, avec les cotes saillantes, les flancs creux, mais des abdos dessinés, et des bras fin mais musclés. Il est peu poilu au torse, mais ses bras, ses jambes sont recouvert de poils bruns et blonds (il à aussi des gerbes sur les orteils ...). Ses mains sont assez fines, avec des jointures plus épaisses, des ongles longs, durs, et pour deux d'entre eux (l'index et l'auriculaire de la main droite), taillés en pointes (pour se gratter uniquement, l’esthétique n'est pas recherchée). Ses dents, bien que légèrement jaunes, sont impeccables, avec des canines et des molaires puissantes, qui lui font un sourire assez carnassier qui, couplé à son profil sec et tranchant, lui donne un air parfois un peu prédateur (ou "fouine", ça dépend ...)

Caractère.

J-B est peu sociable (asocial, disent les autres étudiants ...), il a un besoin d'être avec lui et seulement lui, aussi il ne communique qu'avec un nombre très restreint de personnes, et plus rarement que souvent.
Cependant il se montre attentionné et prévenant, surtout avec ses rares amis. Il met souvent mal à l'aise par son étrangeté assumée, qui repousse invariablement quand elle ne séduit pas.

Il est cependant assez égoïste ("économe", dit-il), et à un grand besoin de solitude, ce qui ne l'a pas aidé à la fac (le début fut assez difficile, personne n'osant l'aborder pour lui proposer d'échanger les cours). Derrière sa figure soit trop soit pas assez animée, se cache un être très sensible (oooh, c'est mignon), qui sent et ressent facilement à travers les autres, ce qui l'amène à les éviter pour ne pas (se) blesser. sa sensibilité lui est par contre d'une grande aide dans ses études et maintenant son travail (il est (futur) neuropsychologue et neuropsychiatre), couplé à son intelligence fine et instinctive.
Il adore lire, romans, essais et mangas, jouer aux MMOs, aux MOBAs, aux RPGs en tout genre, la gastronomie (la seule passion qu'il aime partager avec les autres), et se confronter à lui-même. Malheureusement, sa peur irraisonnée de l'échec l’empêche de s'investir dans n'importe quoi qui puisse lui faire connaitre la défaite franche; c'est pour cela que, surtout sur les jeux, il ne se donne jamais à fond, et préfère ne pas chercher à gagner plutôt que perdre en ayant tout donner.

Cela lui a causé bien des problèmes dans sa scolarité, bien qu'il ait toujours été relativement bon élève, ses professeurs le trouvait en dessous de ses capacités et paresseux, quand ils ne le voyait pas comme prétentieux et méprisant envers leur travail. Il a toujours aimé la discussion, les jeux intellectuels, et trouve l'apaisement dans le dialogue et la réflexion (malheureusement, il trouve rarement d'autres interlocuteurs bienveillant que lui même... Enfin lui ne "le voit pas comme quelque chose de particulièrement négatif").
Ne supportant pas l'échec, il se remet perpétuellement en question, refusant "la facilité des certitudes", et plus qu'un anti-conformiste, il est un libre penseur qui n'a pas la prétention de se prendre au sérieux (mis en doute par certains).Il est doté d'un esprit sarcastique et de dérision acéré, et bon nombres de ces camarades de fac en font les frais, autant que lui-même, car il cultive l'autodérision en connaisseur. A Dreamland, il a mis longtemps à vaincre sa peur, et a passé de longues années à cauchemarder, prisonnier de "the mare of my night", comme il s'amuse à l’appeler (de jour uniquement, il ne s'amuse plus en face de lui, ou "elle", puisque sa peur est pour lui féminine. Pourquoi ?).

Histoire.

Sa peur est inhérente à son être.

Déjà à l'age de un an, il piquait des crises de nerfs explosives lorsqu'il était tenu en échec par quelque chose d'aussi naturel à son age que la montée d'un escalier, ou la marche bipède. Très vite, il découvrit le jeu et avec la frustration du perdant, et la terreur qui accompagnait son attente.
Il refusait de jouer, et le fit jusqu'à ce qu'il apprenne, avec sa troisième année, à ne pas s'investir. A l’école maternelle, il ne voulait pas participer aux activités de groupe, et cherchait à rester dans son coin. Idem à l'école primaire, puis le collège.
Un déclic se fit au lycée : il rencontra des gens qui, même s'ils ne le comprenaient pas, n'étaient ni agressifs ni blessés par lui; jamais il n'avait accordé de l'importance au jugement des autres, et en attendait de même de ses vis-à-vis. A présent, il s'intéressait aux autres, et partageait avec eux.
Mais jamais il ne se dévoilait trop, ni ne laissait percevoir sa faiblesse. Et toujours, l'échec planait sur chacun de ses choix, comme le sombre présage d'une finalité qui, si elle peut être retardée, ne peut être évitée. Il vivait dans la peur de cette finalité, l'attendant dans chacun des ses choix, chacune des ses idées, de ces amitiés, dans l'amour qu'il portait à son monde.

Il commit une erreur : il connut l'amour, à l'age de 16 ans, et il fut accepté, puis rejeté. Une seule imprudence avait suffit à lui faire oublier sa peur, mais elle ne l'avait pas oublié.

L'échec, après tant d'attente, s'abattit sur lui, comme une pieuvre monstrueuse qui coule le navire de sa volonté. L’âme en lambeaux, il tomba en dépression, pas parce qu'il avait été déçu par les autre, à qui, s'il il pouvait à présent s'y intéresser, n'accordait  toujours pas d'importance supérieure ou égale à son propre jugement,  mais par lui-même.

Il avait une année d'avance, et redoubla. Il émergea de sa dépression avec une peur devenue dévorante, dont il sentait les câbles d'acier se tendre sous sa peau, tordre ses chairs et broyer son esprit, fracturer ses os et sa conscience. Il vécut 2 années comme un mort-vivant, non plus dépressif, mais si effrayé de l'être que rien extérieurement ne changeait, ne faisant ni ne tentant rien, habité par une terreur de sa propre ingérence.

Son amour propre se releva, ses blessures finalement cicatrisées, quand il eut 18 ans. Il reprit ses rythmes, ses amitiés, et repris un pied d'égalité avec sa peur, devenue une partie entière de lui, comme la seconde personnalité d'un schizophrène. Sa peur avait une voix, un corps à l'intérieur du sien qu'il sentait la nuit, alors qu'il se tordait d'impuissance dans ses cauchemars.
Ce processus d'intériorisation/extériorisation s'accompagna d'un endurcissement physique : il attaqua les arts martiaux de combats (kendo, jujitsu, chanbara) se muscla, affinant ses réflexes, combattant non pas les autres mais lui-même, avec non pas de l'agressivité, mais une volonté tranchante comme sa lame.

Parallèlement, il entreprit ses études en fac de psycho, qui l'amenèrent au front de la recherche en neuropsychologie et neuropsychiatrie. Sa détermination, vite tarie, était perpétuellement renouvelée, tandis que sa peur se séparait de plus en plus de lui, tout en étant de plus en plus présente, comme un second être. Cette bataille interne secoue chacune de ses nuits, et elles le laisse épuisé, et plus décidé chaque jour.

Post Rp.

Je la sentais, sur moi, en moi, comme un amas brûlant qui me consumait, incendiant mes désirs et réduisant en cendres ma volonté, en un mélange écœurant d'extase et de douleur, un murmure insidieux qui me viole et me baise. Ma peur. Mon cauchemar. The mare of my night, comme je plaisantais parfois.
Comme toutes les nuits, j'était en combat. Ne devait-il jamais se terminer ? Mes ruses pour la contourner, la prendre au flanc, étaient ,comme moi, épuisées. J'était en lutte avec ma peur, et elle était plus forte, plus belle, plus horrible, sans rivales ni comparaisons, et elle me défonçait. Ma volonté s'effritait face à ses assauts toujours plus violents, elle semblait infatigable.

"Tu échoueras ... Ne résiste plus ... Abandonne toi à moi !"

J'ai résisté, mais pas assez. Je ne pouvais pas. Je ne pouvais plus. Après autant de lutte, d'effort, elle me vainquait.
Je sombrais en elle, en ses ténèbres liquides et épaisses qui m'étouffaient, comme une honte qui vous noue la gorge et vous noie dans vos remords, comme une punition trop longtemps évité,comme une amante qui vous étrangle, un orgasme qui vous tue.

"Oui, oui ! Viens, soit miens !"

J'ouvre les yeux. Immédiatement, le sens ses énergies sombres qui poussent, qui s'introduisent. Avides, elles tentent de se glisser par cette brèche offerte, cette capitulation face à l'agression.

"C'est toi qui échoueras !"

Un rayon sorti du fond de mon crane les évapore, dans un crépitement qui brise le silence. Elles refluent, tentent de se dérober à notre étreinte, de fuir notre passion. Je les matent, les soumet, je les aspire, les avale, les calcinant, les digérant, les assimilant. Je les sens devenir infimes particules, je sens ma volonté la faire mienne, la posséder, la répandre dans mon être tremblant, éreinté, y distillant une nouvelle force.
Je tombe sur un sol dur. A nouveau entier, mais encore palpitant de la violence de la lutte. Je me relève lentement, savourant la sensation de tension dans mon corps.

Mais ...

"Comment vais-je remonter ?"(oui, J-B se parles à lui même, ça l'aides à se calmer, on ne juges pas)

Je suis au fond d'un puits si profonds que la lumière ne me parvient que comme un ombre moins dense, loin au dessus. J'ai l'impression d'être dans l’œil d'un cyclope endormi, confiné dans les entrailles de la terre (poétique n'est-ce pas ? Pas vraiment).

Mais je sens crépiter dans mes membres un pouvoir nouveau, distillé en moi par ma victoire. J'ouvres ma main gauche; des fumerolles d'un gris-bleu moiré s'en échappent. Elles éclairent mon torse, mon visage, rassurantes. Puis lentement, elles progressent, courent dans mon dos, sur mon torse, partent à l'assaut de mes jambes et de ma tête, et je me retrouve tout entier baigné dans une énergie vaporeuse et électrisante.

Je sens ma volonté qui pulse en moi, autour de moi. Mon corps réponds à cet élan de force, je me gaine, fléchis les jambes, redresse le buste. J'impulse un mouvement en avant, un pas en forme de bond, vif et parfaitement dosé, esquivant le coup d'un ennemi invisible et

"Wouaaah !!!!"

Je suis propulsé vers le mur, comme projeté par l'aura ! Je me prends les pierres dans la face, les pieds à un mètre au dessus su sol. Autour de moi, le halo s'évapore subitement, et je tombe. Je me réceptionne (bon, je trébuche sur ma jambe et me rattrape au mur, mais c'est presque pareil), et frotte mon visage contusionné.

"Aïe ... Comment est-ce que j'ai fait ?"

Le halo a accompagné mon mouvement, ou exécuté ma volonté, quelque chose de ce genre ? Aucune idée. Je pourrai me poser la question plus en détail, mais le dehors m'appelle, et si j'aimes prendre mon temps, je préfères ne pas m'attarder sur de telles considérations. D'une manière ou d'une autre, j'ai fait un saut de cabri avec une aura qui louvoyait autour de moi. Comment ? En voulant bondir en avant ? Huuumm ... Possible.

"En tout cas, c'est peut-être ma porte de sortie"

Prudende, prudence. Pas envie de me fracturer le crane sur la roche, voyons d'abord mes autres possiblités. Grimper ? Trop haut, et puis je suis tout sauf un alpiniste. Attendre ? Mais attendre quoi, une hypothétique aide, un changement aussi brutal que radical dans la configuration des lieux ? La situation est déjà suffisamment étrange, autant ne pas la souhaiter plus encore. Reste donc la solution casse-cou ...

"Je n'aimes pas avoir à prendre des risques ..."

Mes paroles résonnent longtemps, comme pour en accentuer le poids sur ma détermination. Je ne vais quand-même pas rester au fonds d'un stupide puits à ne rien faire !

"Allez ! Quitte à prendre des risques, autant les prendre avec panache. On se redresse, on met de cotés ses peurs inutiles et on se concentre !"

Je ferme mes yeux, ouvre les bras, et inspire un grand coup. J'expire, ouvre les yeux, et je sens (et vois), l'aura jaillir hors de moi, m'envelopper tout entier. Je m'accroupis, et donnes une violente détente à la verticale.
A nouveau, au lieu de décoller d'un mètre grand maximum, je file sur une hauteur invraisemblable (bon, j'exagère, 6 mètres grand maximum). L'aura se dissipe d'un coup, et je commence à tomber !

"Merde !!"

Je me concentres avec l'énergie du désespoir, serres les abdominaux, plie la jambe gauche, donne un violent coup vers le bas, la tête tourné vers le haut.
Ma chute ralentit brusquement, freinée par mon aura. Je rejettes les épaules en arrière, bande ma volonté et... je monte ! D'abord à peine, puis de plus en plus vite, jusqu'à ce l'air siffle dans mes oreilles, dans une chute inversée qui fais voler mes cheveux et tressauter mon bouc.

"Putain, je bouge comme dans DBZ!"

Je gueule comme un gosse excité; mes cris résonnent au dessus et en dessous de moi, emplissent l'espace du puits de ténèbres que je perce, encore et encore. Attentif à rester en ascension, je regarde les pierres au dessus de moi, interminablement. L'impression de puissance que j'éprouve est grisante; comme si j'était l'être absolu d'un rêve sans fin. Toute mon attention est fixée sur mon corps, qui fille ou ma volonté se tend, porté par le halo qui jette des reflets mouvants sur les parois qui défilent. C'est ... plus que génial, il n'y a pas d'adjectifs assez fort qui me viennent. C'est ... c'est ... Parfait. Mes yeux s'humidifient, autant à cause de l'air que de l'émotion (autant, vraiment ?).
La sortie se profile enfin. Ivre de bonheur et vibrant d'adrénaline, je monte encore, bascule les reins, me retrouve face à un ciel aux couleurs improbables, aux nuages fous et magnifiques. Le souffle coupé, je me relâche, et mon aura se dissipe subitement, et je m'étale sur le sol à coté du puits.

"Aïe ..."

Les reins ( formule polie pour l'arrière-train, hum) en compote, je me redresse précautionneusement; je m'accroupis lentement, et me dévisse le cou pour regarder tout autour de moi.
"Oufti ..." (typiquement walon, se serait "Putain ..." pour un français du sud)

Une steppe caillouteuse s'étend à perte de vue autour de moi, piquetée de nombreux rochers.
Je regarde le plus proche

"Wouat ?!"

et je vois , inscrit dessus, un splendide "Oufti" bleu. Subitement, l'inscription se trouble et, à la place, dans un rouge vermillon, "C'est quoi ce bordel ?!!".

"Je délire, ou je rêve ?"

"Aucun des deux, stupide voyageur !"

Je me retournes et ...

'à suivre'

( le to be continued est proscrit, nous sommes francophones, enfin !)

Autres.

• Aime : Son pouvoir à Dreamland, les armes blanches, la bonne bouffe, lire, son pc, être tranquille
• N'aime pas : Les fastfoods, les groupes de voyageurs, le bruit, les chiens
• Particularités, autres : Voyageur solo
• Niveau d'étude hors de Dreamland : licence de psychologie


• Comment avez-vous découvert le forum ? Google, honte à moi ...
• Première impression : Génial, franchement sympathique, des modos/admins aux petits oignons, des Rps fouillés et intéressant ...
• Pour les DC (double compte) ou TC (triple compte), qui a donné son accord ?
• Avez-vous lu les règles et les respecterez-vous ? Oui, elles sont pertinentes et méritent d'être suivi (et puis je suis un fervent adepte du chocolat)
• Code de validation : L'Homme Fontaine valide.