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Attention végétal (qui rend) joyeux en approche ! [Quête]

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Rodrigue Miles
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MessageSujet: Attention végétal (qui rend) joyeux en approche ! [Quête] Attention végétal (qui rend) joyeux en approche ! [Quête] EmptyJeu 28 Aoû 2014 - 23:37
Cette journée était franchement douce pour cette fin de mois et c'est un jeune adulte blond comme les blés qui revenait chez lui après une dernière journée de cours de compta. Nous nous trouvions dans un petit quartier résidentiel de la banlieue de Paris, là où il louait tranquillement un petit studio, dans un immeuble un peu miteux. Le voisinage n'étant pas des plus clean, il prenait toujours garde à rabattre capuche sur oreilles et de bien visser ses écouteurs. Il y a peu de temps, il n'aurait même pas pu marcher comme ça sans lancer des regards à moitié affolés dans tout les sens, mais maintenant il pouvait se balader, même si il lui arrivait encore de sursauter au moindre bruit. Ah ça, battre sa phobie dans le monde des rêves, c'était vraiment le meilleur des remèdes. C'est pourquoi il releva quand même un peu vivement la tête quand il vit quelque chose bouger dans la ruelle qu'il venait de croiser. Un mec, peut-être trois ou quatre ans de plus que lui s'était approché et avait sorti des petites boulettes vertes.

- T'en veux ? Je te les fais pas cher.

L'étudiant ne s'arrêta même pas. Drogue ? Alcool ? Cigarette ? Très peu pour lui. Au moins il ne visitera jamais Delirium City se disait-il. Bref, il passa le wesh non sans essuyer un chapelet d'injures et se retrouva finalement devant sa demeure. Cinq étages à pieds et un coup d'épaule dans la porte, dilatée par l'humidité ambiante, et il était chez lui. Les courses furent rangées et il attaqua la préparation du repas. Alors ce soir c'était... Omelette aux herbes, parfait ! Au moins, la période d'ultra-angoisse qu'il avait traversé l'avait laissé avec une organisation sans reproches : il avait des plannings pour tout et n'importe quoi, c'était bien pratique. Repas pris, recherches faîtes puis soirée lecture terminée, il était temps de se mettre au lit. Bon, où allait-il atterrir cette fois ? Il avait déjà bien exploré des ... plaines, une steppe avec des pierres bizarres et quelques autres endroits pittoresques. Comment ça atterrir ? Ah oui, Rodrigue est un voyageur : en ayant vaincu sa peur pendant son sommeil, il a pris conscience du monde qui était derrière toute aventure onirique et a même reçu un pouvoir en rapport avec sa phobie passée. Mais bon, vous verrez bien. Car pour le moment, il venait de se retrouver perdu dans une espèce de campagne qui ressemblait à sa Champagne natale, c'est à dire... avec pas grand chose : des champs, des forêt, quelques villages... Après quelques regards autour de lui, il se dirigea vers une espèce de borne kilométrique et s'assit dessus. Elle fit un beuglement de vache au moment où il posa son fessier, mais il n'en eut cure.

- Boooon... Donc les comptes de ce mois-ci...

Ah tiens, que faisait-il ? Vous vous souvenez de cette histoire de pouvoir ? Et bien c'est ça. Non, pas faire de la compta, mais bien de contrôler son état de stress et celui des autres dans une moindre mesure. Comme c'était bien plus simple de réfléchir sans pensée le parasitant, il s'adonnait tout les soirs, en début de rêve, à faire un truc qui le rendait chèvre quand il était éveillé. L'avantage, c'était qu'avec sa bonne mémoire, même si il ne ramenait rien de physique une fois éveillé, il se souvenait de ce qu'il devait reporter. Pratique. Dans un soucis d'exhaustivité (et le temps qu'il finisse ses calculs) voici sa tenue pour la soirée : jean noir, T-shirt noir avec des éclairs verts rouges et jaunes qui se croisent dans tout les sens imprimés dessus, mitaines avec son emblème et baskets décontractées. (Ah tiens, il semblerait qu'il ait fini) L'adolescent se leva et partit vers le village, espérant que quelqu'un pourrait le renseigner sur sa localisation et sur une quelconque activité intéressante... Il arriva dans les rues, héla une habitante avec les oreilles pointues qui tenait un balai et l'agitait devant sa maison, sûrement pour chasser des insectes.

- Bonjour, vous pouvez m'indiquer où nous nous trouvons ?
- Hihihihi, la belle bleue ! Je suis un papillon de nuiiiit !

La dame essuya un regard mi-blasé mi-effaré. Le contrôleur avait oublié que les situations dans cette réalité étaient le plus souvent ubuesques et qu'il ne fallait pas trop compter sur la coopération de certains des habitants. C'était d'ailleurs étrange, vu que le panneau qui se trouvait juste derrière la maisonette, sur la place du village, indiquait qu'il se trouvait à "Cultiville" aka "la meilleure production de légumes de tout le royaume du doute" et encore en dessous "si vous ne venez ni pour bosser ni pour douter, allez-vous en, on est sérieux" Ce n'était pas forcément du sérieux qui transparaissait des habitants. L'un d'entre eux, en complet veston, regardait le ciel avec une expression proche de la béatitude, et qui l'aurait été si il n'était pas en train de baver sur la statue centrale. La montre à gousset et le petit chapeau affreux avec un point d'interrogation dessus ne laissaient aucun doute : c'était un officiel. Peut-être quelqu'un allait-il pouvoir lui expliquer ce qu'il se passait ici, ou non ? Il s'approcha et se rendit compte que le gars marmonnait des choses... Enfin vous allez voir :

- Et là on mettra des carottes. Bleues. Géantes. Avec des têtes de poney. Et des oreilles de lapin. Ca va être magnifique. Puis on mettra des arbres et on prendra des peignes et puis...

Bon, a priori tout les habitants de ce village étaient totalement barges. Mais c'était plutôt bizarre, pourquoi cet endroit désigné pour son séreux abriterait-il un tel nombre de fous ? Déjà, si il parvenait à faire redescendre ce haut placé... Descendre... Ah peut-être qu'ils étaient juste sous l'emprise d'une substance quelconque, après tout Weed Land ce n'était pas si loin... (il n'avait jamais visité le royaume de l'herbe et s'en garderai bien) Il suffisait donc d'attendre pour que le maire ou le haut placé (?) reprenne ses esprit. Ou alors on pouvait essayer de le faire s'exprimer alors qu'il était encore un peu stone, ça ne coûtait rien d'essayer... Le blond prit quelques secondes pour se concentrer et se focalisa sur le gars bien habillé et sur les traces de saleté sur la statue. Vu l'état mental de sa cible, il ne devrait pas avoir trop de mal à lui insinuer un peu de stress... Les résultats dépassèrent ses espérances : le costumé commença par arrêter de rire, puis se sourire, avant de rapprocher sa tête de la statue, et ce dangereusement... Il finit par exploser en gros sanglots nerveux, oulah...

- Du CALME ! Que se passe t-il ?
- Bouhouhou, la statuuuue ! La statue est toute sale, c'est mauvais pour notre image ! Il faut faire venir les nettoyeurs, vite ! De bons nettoyeurs ! Personne ne nettoie la statue ! C'est si triste, la pauvre statue !
- Là là, regardez, je passe ma manche et... magie ! Y a plus de tâche ! Alors, maintenant, vous pouvez m'expliquer ce qui ne va pas ?
- C'est les nettoyeurs ! Ils viennent plus ! Ils sont méchants, méchants !
- Mais pourquoi j'suis là, moi... ?
- Tout ça c'est à cause de Marie-Jeanne ! Elle a du les retenir, encore une fois !
- Marie-Jeanne ? Une sorcière ? Une folle furieuse ?
- Non non, elle passe juste souvent dans le village en courant puis après on voit et on fait des trucs étranges. Le problème c'est que ça nous met en retard et que parfois y a des problèmes... Tiens d'ailleurs elle devrait plus tarder.
- Euuuuh... Je devrais peut-être y aller en fait.
- Non non, s'il vous plait ! Je ne veux plus voir de poneys ! Emmenez cette chose ailleurs, s'il vous plait !

Le regard sincère du pauvre hère lui fit remarquer que ce dernier semblait être de nouveau sobre. Quelques habitants se pressaient sur la place, la plupart en courant le vite possible. Des hurlements se faisaient déjà entendre au loin, avec un bruit sourd en prime, comme une calèche lancée sur des pavés. Rodrigue se retourna pour voir que son interlocuteur s'était caché derrière le socle de la statue. Le bruit se rapprochait et le jeune contrôleur s'interrogeait sur ses options face à un ennemi... Il n'aimait ou plutôt, ne savait pas combattre. Et il n'avait pas d'idée immédiate sur une possible utilisation offensive de son pouvoir... Tout du moins il ne paniquait et ne paniquerait pas, et c'était déjà un grand plus. Il parait que le self-control est très important en arts martiaux. Mais bon ça lui faisait une belle jambe pour le coup. La cavalcade était maintenant toute proche et il se mit en garde, sans trop y croire. Puis elle arriva.

Marie-Jeanne. C'était en fait une immense plante. Facilement deux mètres de haut, outch... La créature était composée d'une longue tige, tout en finesse, tout au bout se trouvant une tête de monstre végétal de film d'horreur avec dents, bave (sève ?) et tout le tralala, plus bas deux "branches" parcourues par des feuilles géantes de... ah d'accord, de cannabis, ça expliquait mieux le pourquoi de ses effets sur les gens. Elle était plantée dans un pot en terre cuite marron, qui était percé en six point, laissant passer ses... racines, enfin "pieds". Elle se déplaçait comme une araignée et agitait ses feuilles au dessus des passants, qui redevenaient subitement joyeux et un peu (beaucoup) camés. Ca sentait le roussi... L'être vert remarqua notre pauvre contrôleur qui leva un sourcil, pas stressé pour deux sous, mais qui se demandait quand même ce qui allait lui arriver... Avec une vitesse fulgurante, la plante fut sur lui et commença à agiter ses appendices.


- D'un côté, je suis content que mes allergies n'aient pas été transmises à Dreamland, je serais pas dans la panade sinon...

Marie-Jeanne eut un mouvement de recul puis poussa un grognement-hurlement-rugissement de plante... euh en gros un espèce de cri de rage, hein, et balança ses branches en avant, avec la ferme attention de fouetter cet énergumène qui résistait à la toute puissance de l'appel de la fumette. Rodrigue avait eu le temps de le voir venir et s'était brusquement reculé, faisant une roulade en arrière. Il allait devoir trouver très vite un moyen de contrer et d'au moins mettre hors combat cette folle, sinon il allait finir en steak tartare pour plante carnivore. Il avait senti comme une pression sur son esprit, une volonté autre que la sienne lui enjoignant de laisser ses soucis de côté de manière extrêmement convaincante... Mais comme il pouvait tranquillement dégager toute forme de soucis lui-même, il avait tout bonnement ignoré ces attaques mentales qui avaient glissé sur la protection que son pouvoir formait. Encore un peu et il aurait connu la sensation d'être stone. L'idée de se laisser faire le tenta une seconde avant qu'il avise le gars au chapeau, en train de se rouler par terre en criant des noms d'animaux. Ok, il était à nouveau vacciné contre la fumette...

Bon, je ne sais pas si je peux avoir un effet sur les plantes, mais pour le coup c'est un peu ma seule chance...

Theme Song - Dancer in the Street

Alors que MJ, le petit surnom qu'il avait trouvé, balançait ses lianes en arrière pour prendre de l'élan et tenter de le mordre, il concentra d'une manière fulgurante son pouvoir sur sa main, placée devant lui suivant le signal "stop" en visant la plante pour l'effet. Le résultat fut plus mitigé qu'avant, elle se braqua seulement une demi-seconde sur ses racines avant se reprendre sa charge, mais le moment d'hésitation suffit au le blond pour se jeter sur le côté, esquivant encore une fois. Comprenant que les attaques frontales ne marcheraient pas, le plant de cannabis géant commença à balancer ses branches sur son adversaire. Il n'avait pas trop de temps pour penser... A vu de nez, la longueur de ces armes improvisées ne pourraient pas atteindre... Il s'intéressa pour la première fois à la statue... C'était un... cochon géant, dressé sur ses pattes arrières avec une pomme dans la bouche. D'accord, du bon goût, rien à dire. Une douleur cuisante le saisit tout d'un coup : une liane s'était en effet abattue sur sa cuisse gauche, lui faisant un mal de chien. Chassant ses appréhensions à propos de sa jambe, il prit appui sur son pied droit et monta sur la statue en un temps record.

Heureusement que mon pouvoir me permet d'aussi me stresser un bon coup pour que j'aille plus vite. L'adrénaline, il n'y a que ça de vrai...

La plante en pot, visiblement excédée que sa proie lui échappe à nouveau s'élança contre la statue. C'était parfaitement ce qu'attendait le contrôleur. D'un autre côté, elle aurait pu se barrer et lui aussi ensuite, mais il faut avouer que se battre à Dreamland avait quelque chose d'épique, il regretta de ne pas l'avoir fait avant... Quoique non en fait, vu les dangers, pas la peine de chercher la baston. Surtout avec toutes les brutes qui devaient se traîner des pouvoirs ultra-offensifs. En attendant, la créature tentait d'atteindre sa position avec ses lianes, mais il était bien trop haut et heureusement. Changeant de tactique, elle commença à escalader le cochon de lait. Pile ce qu'il fallait. Le blond prit le temps d'ajuster sa visée, puis il sauta du haut de son perchoir, mettant un bon coup de pompe (droite toujours) dans la face de mocheté de la créature et se réceptionna sur le pot de terre cuite. Il planta immédiatement son pied gauche dans la terre meuble jusqu'à la cheville, avec une grimace de douleur. La bestiole, visiblement peu encline à le laisser là tenta de le croquer en se baissant très vite. Ni une, ni deux, il dégagea sa jambe de la terre et s'élança en utilisant son bras pour pivoter, tourna autour de la tige et sauta dans la boucle que le cou formait. En tirant un peu, Marie-Jeanne se retrouva coincée. Une bonne partie de ses branches étaient prise dans le noeud, l'empêchant de fouetter de manière efficace. Après quelques tentatives de démêlage qui n'eurent pour effet que de l'emmêler encore plus, elle grogna de manière bien plus sourde qu'avant et commença à remuer l'objet dans lequel elle était plantée.

J'devrais voir si ça existe comme discipline olympique, le rodéo végétal...

Tout à ses pensées, le blond se hâta d'agripper une boucle dans chaque main, car notre ami le monstre était bien décidé à le faire lâcher prise. La plante avait en effet décidé de courir à toute berzingue à travers la place. Rodrigue savait gérer le stress, mais pas la nausée, et il commençait déjà à devenir aussi vert que son point d'accroche... Il fallait en finir, avant qu'il ne soit balancé puis piétiné et mangé. Bon stop stop, on se calme, on reprend le contrôle... Biiiien... Tiens en parlant de contrôle... Une bonne idée ! Il prit la boucle la plus à droite et tira vivement dessus. Marie-Jeanne partit dans une embardée digne d'un film d'action et se rétablit sur ses pattes, difficilement. Qu'à cela ne tienne, repartie de plus belle, elle se fit encore agripper violemment. Ayant maintenant tout du taureau en furie, il ne lui serait pas venu à l'idée de freiner, et c'était pas plus mal, ça facilitait les choses. Voulant conserver sa vitesse et se débarrasser de son parasite dans le virage, elle se pencha du plus qu'elle pouvait, faisant du trois racine plutôt que du six. Une chance inespéré pour Rodrigue, qui s'empara d'un des appendices qui n'étaient plus en contact avec le sol, tout en se penchant et en tirant dans le sens opposé afin que la bête ne se débatte pas. Profitant du retour de l'équilibre, il passa le bout de la patte dans une des boucles avant de tirer à nouveau afin de provoquer une nouvelle poussée de vitesse, et ainsi de suite. Quand elle fut réduite à trois membres encore fonctionnels, Marie-Jeanne commença à se douter de quelque chose et chercha à ralentir.

- Oh non, ma jolie !

Concentrant pour la dernière fois son pouvoir (il l'espérait) il se rendit extrêmement menaçant pour la plante, tout en lui appuyant bien fort sur l'arrière du crâne. Ni une ni deux, avec un beuglement plaintif qui commençait à se perdre dans les aigus, l'adversaire se précipita à toute allure dans une direction au hasard, s'emmêla les pieds restants entre eux et commença à partir en roulé boulé. Rodrigue s'était éjecté à temps pour éviter d'être pris dans le mouvement et était retombé sur le plancher de vaches, à bout de souffle et à moitié effondré par terre. Son jean était plein de sang, mais a priori la douleur venait surtout du coup de fouet, et la blessure ne semblait pas très profonde. Au moins une bonne nouvelle. Quant à Marie-Jeanne, elle avait terminé sa course en se prenant un mur, puis un pot de fleur qui était tombé d'un balcon plus haut pile sur sa tête. Un comble. Tout du moins était-elle dans les vapes, c'était ce qui comptait. En boitillant un peu, le contrôleur s'approcha et, conscient qu'il risquait de devoir réitérer l'exploit si elle se réveillait trop vite, il s'empara des pattes restantes et commença à tresser le tout. Quelques minutes plus tard, la bestiole ne pouvait plus bouger une feuille, tellement emmêlée autour de son pot qu'elle ne ressemblait plus à rien... Elle revint dans les minutes qui suivirent à elle et commença à rugir de rage. Rodrigue avait eu le temps de reprendre son souffle et se campa devant la bête domptée, qui crachait et sifflait de frustration.

- Ouais bon, calme ta joie. Je verrai ce que je fais de toi si tu libères les gens de ton emprise. Si tu ne le fais pas... mhhh... je pense que je ferai un feu de joie, tu dois être parfaite pour ça. Bon, je ne respirerai pas la fumée, bien sûr...

Cette fois-ci, pas besoin d'utiliser un stress artificiel. Au mot "feu" Marie-Jeanne commença à essayer de se tordre dans tout les sens en "gémissant" et agita finalement deux petites feuilles libres. On entendit alors quelques râles, et beaucoup de jurons, signe que les habitants avaient repris leurs esprits. Le gugusse en costume s'approcha de la scène, clopin-clopant, une liane ayant du l'atteindre pendant le combat.

- Ah la sale bête... Vous pourriez l'emmener loin d'ici aussi s'il vous plait ?
- Et pis quoi encore ? Personne n'a été foutu de répondre à ma question qui était : ON EST OU BORDEL ? Et vous voulez que je fasse vos poubelles en plus ?
- Roh, pas la peine de crier... On est à Cultiville, une bourgade frontalière entre le Royaume des doutes et Weed Land, là d'où vient cette... chose. On fait office de tampon, les rêveurs qui hésitent à fumer débarquent ici.
- Mais j'ai jamais eu envie de fumer, moi !
- Hmmm... A votre haleine vous avez mangé une omelette aux herbes, ça marche aussi pour venir ici... Quoiqu'il en soit, merci beaucoup d'avoir secouru notre village ! Voici l'insigne du mérite vert et
- Mais j'en ai rien à faire ! Réglez vos problèmes vous même, surtout concernant cette ... chose ! Pas question que je reste près d'elle une seconde de

*DRIIIING*

Le blond se redressa, peu sûr de ce qu'il venait de se passer... Il avait pris la médaille du gars tout en faisant des grands gestes et s'était réveillé. Bah, après tout, une nuit d'action de temps-en-temps ça ne faisait pas de mal... Bon après, il n'était pas près de retourner là-bas, plante ou pas, combat ou pas, fête du cochon ou pas, non mais oh, quoi ! Bon, maintenant qu'il avait pesté contre ses aventures Dreamlandiennes, il se décida enfin à se lever, et commença à préparer son petit déjeuner tout en reportant ses résultats de comptabilité de la nuit dans ses cahiers. Alors qu'il reposait le cacao, il avisa son flacon de basilic. Avec une grimace de dégoût il le prit, le mit à la poubelle et continua comme si de rien n'était. L'omelette aux herbes ? Plus JAMAIS !
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