DOE
JOHN

Personnage.

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• Nom : Doe • Prénom : John • Surnom(s) : L'oiseau moqueur. • Âge : On lui donne 23 ans. • Nationalité, origine(s) : Village des hunters, vagabond. • Pouvoir et description :   Manieur de Equinox : Cette magnifique épée aux reflets bleutés se prénomme Equinox car elle est parfaitement équilibré au niveau de la légèreté donc de la vitesse de mouvement (jour) et de la puissance (nuit). John Doe a la capacité à faire basculer cette équilibre et donc de changer la forme et l'utilisation de son arme.

Description Physique.

  John est un jeune homme plutôt séduisant, avec un physique avantageux. En effet il a déjà la chance d’être assez grand, environ un mètre quatre-vingt cinq,  et de posséder un embonpoint aidant (soixante-quinze kilos). Sa musculature en dit long sur ses péripéties. Des pectoraux fermes, des jambes et des bras puissants et des abdominaux saillants et parfaitement droits.

Dans l’ensemble, son visage est plutôt fin malgré ses cernes qui se laissent remarquer facilement. Quand il parle, on comprend que sa voix puissante vient bien du fond de sa gorge, enroué de temps en temps à cause de la fumette. Les sourcils du jeune habitant de Dreamland sont souvent froncés, bonne chance à celui qui osera lui tenir tête lors d’une bataille de regard. Malgré toutes les souffrances que cette créature des rêves a encourues, ses yeux marron ont très rarement laissé échapper des larmes. Par contre un rictus hautin se dessine presque tout le temps sur ses lèvres sombres. Contrairement aux autres créatures des rêves, ses oreilles ne sont pas pointus (explication dans l’histoire). Ses cheveux d’un noir très profond sont mi-longs et se laisse tomber sur le dessus de sa nuque et les côtés de son visage. Plus jeune, il a dû se débrouiller tout seul et avait des difficultés à trouver de quoi se nourrir, c’est pour ça que ses joues sont aussi creuses sans être pour autant squelettiques.

John se ballade encapuchonné, une longue veste blanche descendant jusqu’à ses mollets. Cette veste toujours ouverte laisse apercevoir ses muscles fermes et puissants. Des protections ornent ses bras, depuis le biceps jusqu’à la fin de la pomme de ses mains. Il porte un pantalon noir, avec une ceinture en cuir et d’autres protections parcourent le dessus de son vêtement. Des bottes couvrent ses pieds. John a aussi un collier en forme de croix qui descend entre ses deux pectoraux, il sait que c’est un cadeau mais ne se rappelle plus de qui.

Caractère.

 John a un caractère durement forgé par la dureté de sa vie. Il ne se souvient pas de sa petite enfance, les derniers souvenirs viennent de ses dix ans. C’est un homme dur, ferme et lunatique. Il risque de s’énerver très rapidement pour pas grand-chose. Son ego surdimensionné   lui fait perdre des amis, mais son charisme lui en retrouve aussi facilement. Ce n’est pas John qui va vers les autres. Il faut être fou ou sûr de soit pour l’approcher de toute manière. Si la personne ne lui plaît pas il n’hésitera pas à dégainer Equinox pour régler le « problème ».

Il rêve d’être un voyageur et en revient parfois même à croire qu’il en est un. Il a une certaine fascination pour ses derniers, ils sont sur le devant de la scène à Dreamland, ce n’est pas une créature des rêves qui sera aussi importante que les voyageurs. Les voyageurs les plus impressionnants, à son point de vue, son les voyageurs killers. Ils passent leurs temps à dépasser leurs limites, ils n’ont peur de rien et défende une réputation.

On peut souvent le retrouver à Weed Land, c’est le royaume où le jeune homme va s’approvisionner en matériel illicite. Il ne se rappelle pas avoir été à court de fumette, ce n’est pas qu’il est dépendant, c’est juste qu’il aime ça, pourquoi s’en priver ? Sinon John aime se moquer, de tout et n’a pas peur de dépasser les bornes devant quelqu’un qui est vraiment plus fort que lui. C’est à cause de cela qu’on le surnomme « l’oiseau moqueur ».  Il a une tendance à ne pas penser aux conséquences de ses actes, il réagit dans l’immédiat, ça ne sert à rien de reste trois heures à réfléchir à un plan, a part si quelqu’un le fait pour lui, ça c’est une autre histoire.

Histoire.

« - Serge, c’est comment le monde réel ?
- Tu sais, c’est un peu comme ici, il y a des points positifs et des points négatifs, mais là bas les gens n’ont pas de pouvoir
- Roh c’est vraiment nul alors !
- Non, c’est juste différent. »
Les voyageurs avaient établi un campement proche de Weed Land où ils avaient trouvé un jeune enfant des rêves. Il était affamé, assoiffé, fatigué. Les voyageurs ont eu la bonté de lui offrir un repas et malgré sa fatigue l’enfant écoutait les histoires de ses sauveurs. L’idée de vivre dans deux mondes totalement différents le fascinait. Il ne cessait pas de poser des questions en tout genre sur la vie de là bas. Les voyageurs lui répondaient avec plaisir et ça se voyait. La créature des rêves n’avait jamais vécu un moment aussi agréable. C’était la première fois que des voyageurs l’avait recueillit.

« - Je t’ai pas demandé je crois mais comment tu t’appel petit ?
- Je ne sais pas… Je ne me souviens pas de mon nom, de toute façon personne de m’a jamais appelé.
- Tu ressembles vraiment à un humain, enfin à part les oreilles, on pourrait t’appeler John Doe !  
- John Doe, John Doe, pourquoi John Doe ? »
- D'où je viens c'est le nom qu'on donne aux inconnus, quand ils ne sont pas identifiés. Et puis, ça te va bien aussi.

Les voyageurs lui avaient offert un repas, à boire et un nom.  Peu de temps après, une odeur commençait à se faire sentir.  Une odeur très forte, un peu sucré. C’était l’odeur d’un joint qu’on cramait. Weed Land était beaucoup trop loin pour que ça sente jusqu’ici. C’est alors que John Doe aperçut une silhouette. Il avertit ses nouveaux amis. Une lumière commençait à envahir ses yeux, si bien qu’elle l’aveugla. Sa vision revint assez vite et il pût voir un homme assez grand, très maigre avec une épée bleu très clair à la main et un joint à la bouche. Cette homme avança lentement, sourire jusqu’aux oreilles. Un des voyageurs se leva subitement et se tourna vers John :

« - FUIS ! »

Une fois sa phrase terminée, une épée lui transperça l’abdomen lui laissant échapper un dernier râle. Les autres voyageurs se préparèrent au combat. Mais le combat n’eut pas lieu, enfin on ne peut pas qualifier ça de combat. C’était juste un massacre. L’homme les avaient transpercé un à un. John Doe n’avait pas fuis. Il était resté à regarder la scène. Il ne pleurait pas. Il n’était pas triste. Il n’avait que 10 ans. Il examinait l’homme, il avait un manteau blanc qui descendait jusqu'à ses pieds. Une fine moustache et un rictus bien prononcé. L’homme avançait, souriait toujours en essuyant son épée et s’adressa à l’enfant :

« - Tu m’en veut ?
- …
- REPOND QUAND JE TE PARLE !
- Non.
- T’a pas envie de me tuer ?
- Non.
- Je viens de tuer tes amis pou….
- Ce n’était pas mes amis.
- Alors c’était quoi ?
- C’était des voyageurs, je ne suis pas de la même espèce. Je les écoutais parce qu’ils m’ont donné à manger.
- J’aime beaucoup ta franchise pet…
- Vous êtes un voyageur ?
- Oui, un voyageur killer plus précisément, et je suis venu pour toi, calmes toi, pas pour te tuer mais pour te donner ça. C’est une épée, elle s’appelle Equinox.
- Pourquoi ?
- Equinox c’est l’équilibr….
- Je m’en fous, j’ai dit pourquoi vous me donnez ça à moi ?
- Tu n’a pas besoin de savoir, mais il faut que tu saches une dernière chose, tu es un voyageur killer!

L’homme dégaina l’épée et frappa sur la tête de John avec le pommeau, assez fort pour qu’il s’évanouisse et qu’il perde la mémoire. A son réveil il avait un mal de crâne incommensurable et une épée. Des cadavres jonchaient le sol, il se rappelait juste d’une odeur en particulier et d’une voix qui disait « Tu es un voyageur killer ». Il se rappelait aussi de son nom, John Doe et de celui de son épée Equinox. Il en déduit qu’il avait tué les voyageurs avec son épée. Quand il se rappelait de l’odeur, un sentiment apaisant envahissait son esprit.

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Quelques années plus tard, John vagabondait avec un paradoxe en tête. C’était un voyageur killer mais il avait des oreilles de créatures de rêve. Ce n’était pas normal, de plus il ne se souvenait pas de sa vie réel. Alors une seule pensées venait embrumer son esprit : « Et si je n’étais pas un voyageur » Il avait raison, il avait vécu cinq ans avec un mensonge en tête, il l’avait compris mais ne l’acceptait pas, dans un élan de rage il se trancha le dessus de ses deux oreilles. Il restait de marbre face à la douleur. Rien d’autres n’avaient d’importance, il ressemblait désormais à un voyageur.

 C’est ainsi qu’une idée lui vint en tête. Il n’était pas né voyageur, mais il pouvait le devenir. Il doit bien exister un moyen à Dreamland de devenir voyageur non ? C’est le monde où tout est possible à ce qu’il paraît. Il lui fallait un modèle. Il ne se rappelle plus de comment il avait eu l’épée. Le seul souvenir qui lui restait c’était une silhouette noire et une odeur très forte. Une odeur que l’on trouve à Weed Land. Armé d’Equinox il partit alors en direction de ce royaume. Il prit vite goût à la drogue qu’on peut trouver là bas. Si bien qu’il avait pillé un gentil cultivateur. Vous savez, ce genre de cultivateur avec des locks qui passe son temps à regarder l’herbe pousser en fumant son joint (désolé pour le stéréotype). Enfin bref, John lui demanda dans un premier temps gentiment si il y aurait moyen de pouvoir avoir un bon pochon pour tenir assez longtemps. Les yeux du petits rasta commençait à s’allumer bien que très faiblement quand il entendit le mot « gratuit ». Il ne lâchera pas un pochon aussi facilement, John l’avait compris, un coup d’épée suffit à mettre un terme à la « négociation ». Il vola ensuite un manteau noir dans un stand pas loin du royaume pour augmenté sa ressemblance avec le seul voyageur killer qu’il avait rencontré. Il devenait la silhouette blanche à l’odeur de cannabis. Il était sans cœur, il avait des oreilles d’humains. C’était devenu un voyageur killer. Il n’hésitera pas à tuer le premier qui osera dire le contraire.
 

Post Rp.

  Le sentiment d’apaisement était rare dans l’esprit de John. Il s’avère que cette nuit là il était au rendez-vous, le pseudo-voyageur essuyait la sueur sur son front ainsi que le sang sur la lame d’Equinox, ou peut être le contraire, peut importe… Il marchait joint au bec dans une contrée dont le nom importait peu. Il laissait derrière lui les cadavres de deux ou trois voyageurs qui aurait dû être moins hautains à son égard. Le but y était, John avançait dans sa quête, encore des voyageurs éliminés, un pas de plus vers son statut de voyageur killer. La solitude ne lui dérangeait pas, seul il n’avait pas besoin d’échanger des paroles inutiles, il devait se contenter d’admirer les ruines qui s’offraient à son regard. Des immenses colonnes de pierres taillées semblaient servir d’entrée. L’intérieur était un peu sombre mais sentait le calme à plein nez. Il faisait frais et un courant d’air venait lui caresser les cheveux. C’était le climat parfait pour la bataille qui s’offrait à lui. Une sorte de golem était assoupi au fond de la salle. John n’avait aucun prétexte pour aller se battre contre cette créature mais il fallait bien entretenir Equinox. La créature des rêves marchait doucement et tirait une dernière latte sur son cône avant de le jeter en direction du monstre. Ce dernier n’attendit pas une seconde de plus pour se réveiller. 


  Le golem était constitué de chair, ses muscles était à l’air libre, il n’avait pas de peau. Ses bras et ses pieds étaient énormes par rapport au reste de son corps, il devait faire environ deux fois la taille de John. La créature n’était pas intelligente, ni très forte. John le savait, il était venu ici pour se détendre, il allait donc faire durer le combat. Le golem agrippa deux pierres qu’il envoya en même temps en direction de notre héro. Il en esquiva une et se contenta de briser l’autre en deux avec Equinox. Le golem fondit en direction de John en brandissant ses poings, débile. Le bretteur ne fit qu’un pas sur le côté pour que le monstre aille s’écraser contre le mur. Etant donné que les deux combattants se trouvaient dans une salle en ruine, le mur s’écroula laissant une ouverture sur le monde extérieur. C’était au tour de John d’attaquer, il fonça en direction de son adversaire, fit un saut pour se retrouver en face de sa poitrine et mit un léger coup d’épée à l’horizontal, juste pour que le monstre s’énerve plus. Ce fut très efficace, ce dernier tenta un assortiment de coup en direction de John. Droite, esquivée, gauche, esquivée. Encore droite, ah non finalement c’était gauche et en plein dans l’abdomen du manieur. Le rictus de John s’accentua. Il fallait rendre ce coup. Il donna donc un coup en pointe en direction du genou. Il retira l’épée et du sang giclait par terre. Le golem s’énerva encore plus, il tapa ses poings plusieurs fois comme si il voulait dire « eh, imagine y a ta tête entre les deux ». C’est ainsi qu’il attaqua John qui eu la mauvaise idée d’utiliser son épée en guise de miroir pour aveugler l’ennemi. Pourquoi mauvais idée ? Car derrière John se trouvait le pilier central de la salle que le golem se fit une joie d’exploser en pensant que c’était son adversaire. Le bilan maintenant c’était que le golem importait peu, il fallait courir pour sauver sa peau. Les pierres tombait devant et derrière John, il devait accélérer, sauter, esquiver et tout ça avec la délicieuse mélodie des hurlements conçu par le cadavre ambulant qui se trouvait déjà enfouit sous une dizaine de pierres. Il fit enfin le dernier saut de sa course folle et atterrit dehors. Il se retourna pour admirer le triste décor de la ruine. Il entendit un dernier gémissement de son adversaire. Il était fini. Fuck ! Le combat avait été médiocre, John n’a pas pu utiliser tout son potentiel, il voulait qu’il dure plus longtemps. Il marcha dans une direction inconnue, s’adossa à un arbre et commença à rouler le matériel de Weed Land. 


  Il tira une latte sur son chef-d’œuvre et commença à se détendre de la tension qui l’avait envahit. Dreamland c’est stressant, même pour un voyageur killer. John se forgeait une carapace de mec dur, sans peur et sans limites, mais au fond il été quand même terrifié et une question revenait toujours.


« -Est-ce que je suis à la hauteur ? »


  Est-ce qu’il était à la hauteur ? Peut être qu’il faut naître voyageur killer, peut être qu’on le devient pas. Peut être qu’il n’en a pas du tout l’étoffe. Déjà il n’était même pas un voyageur, mais des fois il faut savoir se mentir à soit même pour ressentir un peu de bonheur. Pendant cette réflexion il se surprit plusieurs fois en train de caresser le dessus de ses oreilles. Il touchait la cicatrice résultant de son automutilation. Il finit sa séance de fumette et remit sa capuche sur la tête. Il se leva lentement et marcha, l’épée tenu par sa main droite trainait sur le sol. Il fixait le chemin qu’il parcourait, il ne levait pas la tête. Les pensées étaient trop lourdes pour être soulevé de toute façon. John était torturé, il ne pouvait pas savoir si ce qu’il faisait était bien ou pas. Si ça en valait vraiment la peine. C’était peut être la meilleur idée de sa vie de devenir voyageur killer, ou peut être que cette idée allait juste l’enfoncer dans le mensonge. Mais s’il ne devenait pas voyageur killer, il resterait simple créature de Dreamland. Hors de question. Ce n’était pas pour lui, il les méprisait et ne voulait surtout rester une simple créature, il ne pouvait pas se faire à l’idée qu’il a été créé via l’imagination d’un rêveur. Il voulait être maître de son passé, de son présent et de son futur. 

Autres.

(La première partie de cette section concerne votre personnage, et pas vous IRL)
• Aime : Fumer, boire, nuire aux autres. Surtout fumer.
• N'aime pas : Les créatures des rêves, les gens forts, et les gens faibles.
• Particularités, autres : Reconnaissable par son collier.
• Niveau d'étude hors de Dreamland : Il se dit travailler dans le bâtiment, ou en tant que serveur, ou étudier la médecine, l'histoire de sa pseudo vie réelle change selon les personnes à qui il s'adresse.


• Comment avez-vous découvert le forum ? Google. Je cherchais un forum dreamland tout simplement.
• Première impression : Bien présenté et il a l'air actif.
• Pour les DC (double compte) ou TC (triple compte), qui a donné son accord ? Un seul compte.
• Avez-vous lu les règles et les respecterez-vous ? Bien sûr.
• Code de validation :

Citation :

John a un caractère durement forgé par la dureté de sa vie.