BULKERS
EFFIE

Personnage.

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Nom : Bulkers Prénom : Effie Surnom(s) : “Bahamut”,  “F” (Effe) Âge : 24 ans Nationalité, origine(s) : Nationalité Américaine Pouvoir et description : Machinophobie (peur du métal, des machines) : Effie a gagné le pouvoir de pouvoir transformer son corps en acier : elle transforme ses membres entiers en parties  de machine (ex : ses bras géants en métal). Elle porte en permanence une queue en acier, qu’elle peut maîtriser comme un membre lié à son corps.

Description Physique.

Effie est une jeune femme discrète, qu’on remarque rarement. En revanche, une fois qu’on la voit, on l’oublie très difficilement.

Elle a 22 ans et est très frêle pour son âge, soit 1m63 pour 58kg. Malgré le fait qu’elle soit petite, voire très petite, elle a de longues jambes qu’elle laisse souvent nues. Son corps est mince et bien proportionné, si ce n’est qu’elle n’a pas ou presque pas de poitrine. Elle possède de nombreuses cicatrices dans le dos, comme des lacérations, dues à l’éducation très stricte qu’elle a reçue. Si on ne voyait que son corps, on lui donnerait beaucoup moins que son âge.

Son visage est plutôt fin et d’autant plus beau que sa pâleur laisse ressortir la couleur écarlate de ses yeux. Ils sont en effet très rouges, à tel point qu’ils brilleraient presque dans la nuit. L’origine de cette couleur est inconnue, mais ne vient pas d’un albinisme, comme on pourrait le croire. On peut y lire énormément de choses, même si leur expression par défaut semble être la tristesse. Elle n’a pas l’air triste pour autant, puisque son visage est très expressif et qu’elle est heureuse ou feint l’être ma plupart du temps. Son magnifique sourire est encadré par de fantastiques cheveux blancs et lisses. Ils sont coiffés au carré, et elle rabat une frange devant son front. Ici encore, rien à voir avec un albinisme, puisque les pigments de sa peau sont parfaitement normaux. Elle semble avoir hérité de gênes très particuliers, mais aucun médecin n’a à ce jour pu expliquer ces teintes si particulières dans ses yeux ou ses cheveux.

Elle revêt des tenues relativement normales pour une étudiante, et aime acheter des nouveaux vêtements régulièrement. Elle a tout de même un penchant pour les robes courtes, et les vêtements qui laisseront voir ses jambes. Même si la plupart de ses vêtements cachent son dos, elle n’en a pas honte et n’hésite pas à porter des tenus le laissant apparaître.

Son physique diffère légèrement dans Dreamland. En effet, son dos est intact, et elle n’a pas toutes ces cicatrices qui le marquent dans le monde réel. Elle possède également une queue en acier, générée par son pouvoir de manière automatique. Celle-ci se compose de plusieurs parties métalliques liées les unes aux autres, à la manière d’une chaîne. Elle se termine par un morceau en pointe, plus acéré que les autres, mais incapable de faire de gros dégâts à quoi que ce soit.

Sa tenue vestimentaire est quasiment toujours la même : des bottines noires, montant jusqu’à mi mollet, surmontées de bas noirs également, lui recouvrant les jambes à la mi-cuisse. Elle porte une robe courte noire, qui lui laisse le dos et les bras nus, mais couvre en revanche sa tête, par le biais d’une capuche. Le col de la robe étant très large, il lui masque la bouche ; il est marqué de deux flammes blanches, symbole de la renaissance pour Effie. Il lui arrive également de mettre des gants, noirs également, lorsque ses bras sont encore sous leur forme humaine.

Caractère.

Effie est ce qu’on pourrait appeler une bipolaire. Elle héberge en elle des sentiments tellement différents que leur conflit crée parfois des sautes d’humeur chez elle.
Depuis toute petite, le sentiment dominant chez elle, c’est la peur. Pas la peur des autres, ni même celle du métal, simplement la peur du Monde. Sa mère, la personne qui aurait dû la rassurer et lui montrer que le Monde n’est pas dangereux, lui a inspiré cette crainte en voulant l’en protéger. Elle a empêché sa jeune fille de découvrir ce Monde par elle-même, et lui a inculqué les valeurs morales à coups de fouet. Dès lors, Effie a perdu confiance en elle-même, en ses proches et en tout le monde, en général.

A la mort de sa mère, Effie a pu découvrir le Monde tel qu’il était vraiment, et toute sa peur s’est transformée en haine d’abord, contre sa mère, pour lui avoir menti sur l’extérieur et avoir détruit son enfance ; puis cette haine s’apaisa peu à peu, pour ne devenir qu’une rancœur, et presque une reconnaissance. En effet, elle avait été maltraitée, mais le résultat était là, à 12 ans seulement, elle parlait 6 langues vivantes, connaissait les bases des mathématiques quantiques et pouvait battre à l’escrime ou au polo quasiment n’importe qui.

Elle a eu l’occasion de découvrir le monde à travers ses yeux d’adolescente, et a développé une personnalité complètement opposée à celle que sa mère aurait voulu qu’elle devienne. Elle est aujourd’hui quelqu’un de joyeux par nature, qui adore rire et rencontrer de nouvelles personnes, toujours à la recherche de nouvelles expériences. Elle sait bien se comporter en présence de l’autorité, comme on le lui a appris, mais éprouve un malin plaisir à contester celle-ci discrètement, et jamais directement.

Elle n’a pas eu l’occasion de se faire énormément d’amis, même une fois sa mère morte, puisqu’elle devait s’occuper de son père et n’a jamais eu de temps à consacrer aux rencontres. Pourtant, ses rares amies l’ont toujours trouvé très fidèle et de bonne compagnie. Elle a un très fort esprit de groupe, et est toujours disponible pour les autres. Elle compte sur sa nouvelle vie en France pour se lier d’amitié avec de nouvelles personnes.

Côté cœur, Effie n’a jamais connu l’amour. Elle a cru plusieurs fois, mais n’en sont restés que les douloureux souvenirs de rupture, et ceux plus doux des moments sous la couette avec ses amants.

Sans pour autant être schizophrène, Effie passe de l’une de ses personnalités à l’autre, parfois en fonction des évènements, parfois sans raison. Il est possible par exemple de la voir parfaitement normale en train de faire son lit, et de revenir plus tard et de découvrir sa chambre sens dessus dessous, sous prétexte qu’elle a entendu une chanson qu’elle n’aimait pas à la radio.

Sur Dreamland, Effie laisse libre cours à toute sa violence, sa haine et tout ce qu’elle refoule. Elle utilise ses compétences de Morpheuse associées à une boxe hybride, et ne laisse personne lui marcher sur les pieds.  Elle est brutale, impulsive, susceptible, agressive et presque cruelle. Elle reste Effie, bien sûr, mais Dreamland est pour elle un défouloir, un endroit où expulser toute cette part d’elle qui ne demande qu’à exploser.

Histoire.

Chapitre 1 – Les Bulkers ou la fortune sourit toujours aux gens honnêtes

Au cours du XIXe siècle, le Major Bulkers, ancien militaire Australien, décide de migrer aux Etats Unis, car il sent que ce nouveau pays est une vraie mine d’Or. Il s’installe avec sa famille sur la côte Est, et ouvre une entreprise de rails de chemin de fer. L’expansion du territoire nécessitant énormément de nouvelles voies, en particulier lors de la construction de la première ligne transcontinentale, reliant la côte Est à la côte Ouest. L’entreprise fructifie, et la famille s’enrichit de plus en plus. Bientôt un nouveau business apparaît : l’usinage de pièces automobiles. De fil en aiguille, en choisissant les bons coups aux bons moments, les Bulkers atteignirent le prestigieux top 10 des plus grosses fortunes américaines.

En 1943, alors que l’Europe est en train de dépérir, Clint Bulkers, fils ainé du Major Bulkers, profite de la mort de son père et décide d’arrêter toutes les productions et de se concentrer sur une seule : la production de munitions. Les affaires s’envolent alors que l’armée se prépare à aider l’Europe, et Clint, lègue l’entreprise familiale à son jeune frère, Burt.

Cependant, la manufacture d’armes et de munitions n’est pas appréciée par tous, et une vingtaine d’années plus tard, en 1967, un attentat contre l’usine de Los Angeles blessera à mort Burt et sa femme. Il lègue son usine, et toute la fortune de la famille à leur très jeune fille de 2 ans, Ashley, qui devra attendre ses 21 ans avant de pouvoir prendre une quelconque décision. En attendant, le pouvoir décisionnel revint à Charles, l’ex-majordome de son père, qui fut également chargé d’élever la petite orpheline. Cet anglais avait bien connu Burt, et savait qu’il aurait tout donné pour sa fille. Il profita de l’occasion pour dépenser une grosse partie de la Fortune des Bulkers dans une affaire de confiserie, sous les yeux d’Ashley, impuissante devant cet homme qu’elle voyait détruire les rêves de son père. Elle ne réalisait pas qu’il faisait ça pour elle …

Chapitre 2 – Une mère indigne

Le jour de ses 21 ans, à la surprise générale, Ashley demande à Charles de l’épouser. Celui-ci croyant que la jeune femme s’est éprise de lui, acceptera, à son plus grand malheur. Par le biais du contrat de mariage, Ashley reprit le contrôle de sa fortune, ainsi que celui de l’entreprise. Elle l’accusa de l’avoir violée à maintes reprises pendant son enfance, et gagna tous ses procès. Elle obtint qu’on enferme Charles chez elle, dans une cellule capitonnée, derrière un mur en verre. Elle le savait, son mari était à sa merci, et elle lui restreignit également l’accès à leur argent. En lui faisant un chantage, elle obtint de lui un enfant, Effie. Ashley décida que sa fille ne sortirait jamais de chez eux, et qu’elle ne verrait jamais son père qu’à travers une vitre. Elle éduqua la jeune fille à leur domicile et lui empêcha de sortir du parc familial où se situait la maison.

Les seules personnes qu’Effie pouvait voir étaient sa mère, ses professeurs particuliers et son père, cloitré dans sa chambre, vieillissant à vue d’œil de jour en jour. Tous les soirs, après ses leçons d’escrime, elle passait deux longues heures devant la vitre qui donnait sur sa chambre, discutant avec lui de tout et de rien, de ce que sa mère leur infligeait, à tous les deux, de la pluie, du beau temps, de l’extérieur, ils élaboraient des plans fictifs pour s’échapper tous les deux, jouaient aux échecs ou encore se racontaient des histoires. Mais celui-ci était de plus en plus faible, et bientôt il ne pourrait même plus se déplacer seul …

Un soir, après une heure à imaginer Mme Bulkers se noyer, Charles se mit à tousser extrêmement fort et à cracher du sang. Il s’essuya les coins de la bouche, regarda  tristement Effie et lui dit :

- Elle a réussi, elle m’a tué, cette sorcière. Je ne la laisserais pas te faire la même chose … Je t’aime ma Chérie, et je ne veux pas qu’elle t’enlève à moi. Elle ne te fera plus de mal, plus jamais.

Effie ne comprit pas ce qu’il avait voulu dire, jusqu’au lendemain matin. Son père avait utilisé ses dernières forces pour étrangler Ashley. Il n’était plus qu’un légume, prostré sur le cadavre de sa mère. Et il riait à gorge déployée. Quand il vit sa fille s’approcher de lui, il se tût, lui sourit et tenta de bouger, sans succès. Il était épuisé, et avait réellement puisé dans ses ultimes ressources pour « libérer » sa fille.

Chapitre 3 – Un père infirme

Pendant 7 longues années, Effie ne s’occupa plus que de son père. Non pas parce qu’il le lui demandait, mais simplement parce qu’il en avait besoin, et qu’il avait tout donné pour elle. Alors elle donnait tout pour lui, pour le remercier. Il n’avait que 55 ans mais en paraissait 75. Il se recroquevillait, toussait régulièrement du sang et parfois même perdait la mémoire. Effie lui faisait à manger, lui donnait à manger, le couchait, le lavait, le changeait, et lui administrait des soins. Elle restait toute la journée à son chevet. Toute sa vie était dévouée à son père, et elle fut seule à s’en occuper jusqu’à sa mort, quelques semaines avant ses 17 ans.

C’était un soir comme les autres, si ce n’est qu’on venait de livrer le nouvel incubateur pour son père, et qu’Effie venait de l’installer. Cette grosse machine devait l’aider à respirer et à réguler son rythme cardiaque, et permettre à Effie de dormir plus convenablement, sans se soucier de la santé de son père pendant la nuit. Elle n’avait jamais beaucoup aimé les machines, et leur faisait très peu confiance, mais elle avait terriblement besoin de sommeil, et avait décidé d’acheter ce système sophistiqué pour pouvoir enfin dormir correctement.

Après avoir vérifié que son père allait bien, Effie alla se coucher, pour sa première nuit complète depuis très longtemps. Malheureusement, un énorme fracas métallique la réveilla en sursaut. Elle se rua vers la chambre de son père, d’où lui avait semblé venir le bruit. Elle découvrit que la machine s’était refermée sur son père, qui n’était plus qu’un amas de chair broyé et transpercé de toute part par des morceaux de structure métallique, par des tuyaux ou des câbles. Effie, horrifiée, ne put émettre le moindre son, et s’assit sur le sol. Elle pleura sans bruit pendant deux jours et deux nuits, puis se releva enfin, pour commencer à nettoyer la chambre. Elle n’exprimait rien, ni dégout, ni peur, ni tristesse. Son visage, si beau auparavant, était figé, inerte. Elle récupéra les morceaux de son père, et démonta la machine, sans dire un mot, sans verser une larme. Elle enterra le tout dans le parc familial, non-loin de la tombe de sa mère.

Chapitre 4 – Rattrapage de leçon de vie

Effie fit le choix de vivre toute seule, car elle avait appris à être très autonome. Pendant un an, elle ne sortit pas de chez elle, se faisant livrer tout ce dont elle avait besoin, mais un jour elle se décida. Pour la première fois en 18 ans, elle allait découvrir l’au-dehors. Elle se rendit dans un commerce, et mit en application les cours de relations sociales que sa mère lui avait donnés. En très peu de temps, quelques semaines à peine, elle était comme un poisson dans l’eau à l’extérieur, et on aurait pu jurer voir une jeune femme normale, équilibrée, et en aucun cas torturée par tout ce qu’Effie avait vécu.

Elle passa deux ans à ne plus rien faire d’autre que « rattraper » la vie qu’elle avait loupée. Elle prit des cours de boxe, pour combler le fait que l’escrime était un sport quelque peu huppé. Elle prit goût à ses sorties, et commença à faire la fête, à se faire des amis, puis des amants. Elle gouta à l’alcool, aux drogues, au sexe, sans jamais en abuser.

Elle se décida à déménager quand la vue du manoir familial et des tombes de ses parents devint trop pesante. Sous les conseils d’une amie, elle choisit une formation de commerce en France, dans une école privée. En effet, elle n’avait pas de dossier scolaire, et du débourser une somme titanesque pour trouver une école qui l’acceptait. Grâce à Internet, elle avait déniché un appartement en collocation, et devait s’y rendre dans quelques mois.

Post Rp.

Chapitre 5 – Cauchemars mécaniques

Depuis la mort de son père, Effie était terrorisée à l’idée d’utiliser une machine. Pas un ordinateur ou une cafetière, non, une grosse machine, pleine de câbles et de bras métalliques. Elle n’avait plus aucune confiance en la technologie et ne pouvait pas se faire à l’idée qu’elle pouvait perdre le contrôle sur un amas d’acier. Elle en rêvait toutes les nuits, toujours le même rêve …

Effie marchait dans une vaste plaine verdoyante, sous un ciel azuré. L’odeur rassurante de la nature en fleur emplissait l’air et elle était aux anges. Puis elle trébuchait sur quelque chose. Depuis le temps, elle le savait, c’était un petit cube de métal, qui dépassait du sol. Elle se relevait, et voyait la terre trembler. Elle fuyait en courant, mais la terre s’ouvrait devant elle et en surgissaient d’énormes structures en acier, des rouages et des câbles, qui se regroupaient, s’amassaient, pour prendre la forme de rochers, d’arbres, de bâtiments, et même de personnes. Elle continuait à courir à travers ce monde robotique en perpétuelle évolution, mais finissait par s’empaler une jambe sur une poutrelle qui dépassait du sol.

À ce moment, tous les engrenages, les circuits et les plaques métalliques se concentraient à toute vitesse en un point, et prenaient la forme d’un colossal titan d’acier, un robot d’une trentaine de mètres, qui s’approchait d’Effie au fur et à mesure de sa formation, en lui parlant d’une voix profonde et terrifiante, tandis qu’elle se débattait :

- Ha ha ha, pauvre petite, tu es seule, ici, et personne ne pourra te venir en aide, tu sais ? Tu finiras par te rendre à l’évidence, tu ne peux rien contre nous. Nous sommes partout, nous sommes tout. Il t’est impossible de faire sans nous, nous sommes le monde, à présent. Rends-toi à l’évidence, nous pouvons créer la vie …

Une des mains du robot s’ouvrait pour laisser apparaître un nouveau-né, dormant paisiblement au milieu de fils électriques fendant l’air et d’engrenages s’écrasant furieusement les uns contre les autres.

- Et la reprendre.

Le robot fermait sa main brusquement, broyant l’enfant au passage.

- Mais tu sais déjà tout ça, n’est-ce pas ? Nous t’avons pris ton père, souviens-toi !

Effie pleurait de toutes ses forces, elle ouvrait la bouche pour hurler, mais aucun son ne parvenait.

- Tu es impuissante, face à la Machine. Et je vais te le prouver, dès à présent.

Le monstre levait sa paume au-dessus d’Effie, poussait un rire diabolique et l’abattait avec vigueur sur la pauvre jeune fille, prostrée et se noyant dans ses pleurs. Elle se réveillait à ce moment-là.

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Mais pas ce soir. Le monstre était surpris, il n’avait pas touché le sol avec sa main … Il se pencha, afin de voir ce qui avait bloqué son coup. Il découvrit avec stupeur sa cible, le poing en l’air, qui le regardait dans les yeux. Il put lire dans ce regard plus de haine et de rage qu’il n’en avait jamais vues auparavant, et retira immédiatement sa main.

- Vous … ne … m’êtes pas … supérieures ! Vous n’êtes rien d’autre … que des tas de ferraille ! Vous n’êtes rien ! VOUS N’ÊTES RIEN !!

Effie arracha sa jambe à la poutrelle métallique, mais elle ne saignait pas.

- VOUS NE POUVEZ PAS ME TUER ! VOUS EN ÊTES INCAPABLES !!
- Hé hé hé, tu te décides enfin à nous combattre, petite insolente. Tu ne réalises pas que nous avons tout pouvoir sur toi ? Nous avons tué ton père, rappelle-toi !
- VOUS N'AVEZ … Vous …

Les yeux de la jeune fille se troublèrent, et une larme coula le long de sa joue. Elle tomba à genoux, et aussitôt des fils sortirent du sol pour s’enrouler autour de ses jambes.

- Tu es faible, tu aurais dû te laisser faire la première fois, idiote. Ne vois-tu pas que nous sommes les maîtres, ici, et que t…
- VOUS N’ÊTES RIEEN ! AAAAAAH !!

Effie se releva violemment et courut vers le géant de fer. Elle pleurait toujours, mais de rage, cette fois.

- MON PÈRE N’EST PAS MORT PAR VOTRE FAUTE ! IL A ÉTÉ EMPOISONNÉ PAR MA MÈRE !! VOUS N’ÊTES QU’UNE VULGAIRE MACHINE, ET JE VAIS VOUS DÉBRANCHER !!

Elle grattait aux pieds du géant, repoussait les assauts de câbles et de morceaux de métal pendant que le géant riait et se moquait d’elle, tout en intensifiant ses assauts. Bientôt, il tenait Effie les bras d’Effie et les maintenait immobiles, tandisqu’elle continuait de retirer des morceaux de métal du sol avec ses dents. Elle finit par retirer un dernier rouage, et découvrir une minuscule prise de courant, branchée dans le sol. Elle tomba dessus et attrapa le fil entre ses mâchoires. D’un violent coup sec de la tête, elle l’arracha du sol …

Elle avait vaincu sa peur (au cas où vous n’aviez pas compris).

Autres.

(La première partie de cette section concerne votre personnage, et pas vous IRL)
• Aime : Le noir, la boxe, son père, les chats, les jeux vidéo, le Français, faire la fête !!
• N'aime pas : Le rose, l’escrime, sa mère, les chiens, le vélo, les Anglais, les machines.
• Particularités, autres : Effie est bipolaire, et elle a besoin de séduire pour se redonner confiance en elle lorsque ça va mal. Ses cicatrices ne sont pas présentes sur Dreamland, puisque dans sa vie rêvée, elle n’a jamais été éduquée par sa mère.
• Niveau d'étude hors de Dreamland : Equivalent maîtrise en Arts  et Techniques Aristocratiques, niveau Master en Escrime, niveau Licence en Sciences et Techniques, parle 6 langues couramment (Anglais, Français, Espagnol, Chinois, Russe et Hollandais).


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• Première impression : Non mais qu’est ce que c’est que cette question ? Ben bonne, je suppose, sinon je serais pas resté ^^ Bon accueil, et tout et tout.
• Pour les DC (double compte) ou TC (triple compte), qui a donné son accord ? /
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Lithium Elfensen a écrit:

Il faut que tu attendes un second avis qui embrasse ou contredise le mien ^^