QUINZEL
CAMILLE

Personnage.

© Avatar taille 160x320 pixels.

• Nom : Quinzel • Prénom :Camille • Surnom(s) : Aucun • Âge :21 ans • Nationalité, origine(s) :France, Rennes. • Pouvoir et description : Lance des illusions un peu salace et sexy.

Description Physique.

Si on avait demandé aux jeunes filles qui avaient croisés Camille de le décrire, elles n'auraient pas trop sût quoi dire : Un garçon frêle aux les cheveux blonds. Et puis plus rien. Parce qu'il ne restait pas longtemps devant elles. Il se retournait, se cachait, partait en courant.

Ces deux amis n'auraient pas hésité à dire que c'était un beau gosse. Un de ceux qui plait à tout le monde. Un peu trop maigre, un peu trop grand. Bien trop timide. Mais sans ça, il aurait pu avoir quelques jolies filles. Que c'était un garçon qu'on voyait de loin, que quand il sortait du métro et qu'il les cherchait, il levait d'abord la tête pour regardé le ciel, puis baissait les yeux vers les autres, cherchant, à droite, à gauche, droit devant lui, les yeux grands ouverts, perdus dans le vide, perdus dans la foule. C'était toujours eux qui grâce à de grands signe de mains s’annonçaient. Et que lui de loin, leur rendait un discret signe de tête, ne serrant jamais la main, ni à eux ni à personne. Et, dans cette foule de gens, il marchait d'un pas rapide, les yeux fichés au sol, ne levant les yeux seulement quand il était sure de ne pas apercevoir un créature du sexe opposé. Mais Camille ne leur aurait jamais laissé dire ça, encore moins en public.

Si son père devait le décrire il aurait dit que c'était un jeune homme vif, beau et gentil. D'un jolie blond, de grands yeux bleus, d'une peau claire, des traits fins. Le portrait craché de sa mère. Mais cela faisait longtemps qu'il ne l'avait pas vue toujours à trainé avec ses copains. Et Nat, qu'est ce qu'elle en aurait pensé de son fils ? Elle n'aurait rien dit et en saisissant le menton de son fils, elle aurait embrassé le bout de son nez et  puis le regardant droit dans les yeux et souriant de toutes ses dents elle aurait signé de l'index, de l'auriculaire et du pouce vers lui, mimant de ses lèvres muettes un tendre « je t'aime ».  Elle aurait aimé écouter la voix douce de son fils, ce timbre timide aux notes sucrées, un sorbet myrtille. Elle aurait adoré cette façon qu'il avait de sourire, cette petite fossette sur sa joue droite quand le bonheur illuminait son visage.

Et pour lui, ce n'était qu'un mec. Ni beau, ni laid. 1M97, 75Kg. Pas franchement un athlète. Mais c'est comme ça qu'il était.  Il lui avait fallut longtemps pour l'accepter. Le lui d'avant, celui qui n'étais pas encore un voyageur, qui passait encore ses nuits à penser à toutes ses femmes, à tout ces corps, lui, il n'était rien. Un être vulgaire, dans un corps trop vaste. Une chose si petite, si ratatinée, qu'au fonds, il n'y avait pas de place pour autre chose que pour cette peur. Son visage ne faisait que lui rappeler pourquoi il été si effrayé. Ses traits fins, cette petit bouche aux lèvres roses, ses yeux trop grand ouverts, se cou long et fin. Ce regardant dans un miroir, c'est la pâleur de sa peau qui le marquait et puis se torse, mince... maigre.  
En un mot, il était fin. Et même si cela n'avait pas changé, il l'acceptait maintenant. Il c'était enfin rencontré. Maintenant, le matin en se brossant les dents il passait un temps fou à s'observer, sous tout les angles. Ne se lassant pas de ce qu'il avait découvert. Un corps vivant !

A Dreamland, c'était différent. Là bas, c'est en femme qu'il se réveillait. Une fille petite, pas plus d'un mètre soixante, toute aussi fine que le jeune homme, quarante kilo à peine. Les même yeux, le même nez et les mêmes petites lèvres. De très long cheveux blonds et bouclés tombant sur ses hanches. Camille était une très jolie fille.

Caractère.

« Un peu insignifiant, un peu lent, sans intérêt. Je feins chaque jour que Dieu fait d'accepter ma faiblesse.
Je ne me dévoile que dans mon art, on ne connait pas mon visage. Vous ne pouvez que deviner qui je suis, d'où je viens, ce que je fais d'autre.
On ne me connait pas, je ne suis rien.  Seulement ces couleurs que vous voyez sur mes toiles, ces formes sur mes croquis. Je ne suis qu'une feuille volante et vous n'apprendrez jamais qui je suis.
Devinez seulement, devinez !
Camille Quinzel, personne, rien. Vierge de sens, vierge d'image, vierge. Je suis seulement vierge. VIDE !
Tu comprends ce que je veux dire...
T'en as de la chance, parce que là je raconte seulement n'importe quoi. (Rire grinçant).  »

Interview de Camille Quinzel donné par téléphone au magazine ART(S).

« Je me souviens d'un jour où je devais rejoindre des amis, c'était difficile je ne pouvait pas détaché mes yeux du sol. C'est comme ça que je marchais quand je sortais, courbé, penché, ne regardant que mes pieds. Maintenant je suis droit uniquement devant une toile, un pinceau à la main. Devant mon bureau je suis encore en boule, affalé sur les planches du bureau. C'est ça... Etre moi. Un peu des deux à la fois. Droit comme un I, puis un S, avec ses courbes, sa beauté, sa sublime splendeur, sa supériorité scintillante... »

Interview de Camille Quinzel donné par téléphone aux étudiants des Beaux-Arts de Montpellier.

« Camille est super. Très fidèle, adorable, toujours à l’écoute. Son défaut ? Bah... Camille ne sort jamais, ne fait pas la fête, est vite maussade. Dommage, parce que c'est vraiment une personne extraordinaire »

Devinez un être à travers son art. Sujet de mémoire d'un étudiant. propos recueilli de Dox, ami proche de l'artiste.

« Bah franchement, je sais pas trop ? Je ne serais pas vous dire. J'ai beau aduler cette artiste, je ne la connais pas du tout. Je vais à toutes les expositions, j'écoute toute les émissions, je cherche des info tout le temps et je n'en ai aucune idée. Comment je l'imagine ? Elle doit être très belle, très douce... Sombre parfois. Elle doit avoir des phases. Ca se ressent dans son œuvre. Gentille, drôle... Pleine d'humour j'en suis sure. Timide maladive... Pour tout vous dire... A chaque fois que j'entend sa voix... Je ne peux que me dire que je suis tombé amoureux d'elle depuis longtemps déjà... J'ai l'impression de l'avoir toujours aimée... »

Devinez un être à travers son art. Sujet de mémoire d'un étudiant. Inconditionnel de Camille Quinzel.

Histoire.

« Hein Maman moi aussi je serai belle comme toi quand je serai grand ? » Demande le petit Camille, quatre ans et demi. Sa Maman le regarde et rit en silence. Elle lui répond en signant de ses jolies mains « Tu es déjà très beau mon cœur. »
Déjà tout petit Camille comprend le langage des signes. Avant le divorce de Maman et Papa, ils lui ont tout appris. Maman est très fière de lui. C'est un garçon si avancé pour son âge. Et pourtant, il a entendu les cris de son père, il a vu les mains de sa mère s'affoler. Il a compris leurs larmes. Oui, c'était un garçon avancé.
Sa Maman se lève de son lit, s'étire, l'embrasse sur le bout du nez puis va s'assoir devant son miroir et pose une couche de rouge à lèvre vermillon. Ils ont passé la journée au lit, à regarder la télévision, à lire des histoires et à jouer à la coiffeuse. Parce que Maman a les plus beau cheveux du monde, si long, si blond qu'ils ont l'air d'étoile filante.
La Maman de Camille, Rowena, est une femme magnifique, une poupée qui a refusé de vieillir.
Rowena embrasse la joue de son fils laissant une empreinte nette de ses petites lèvres rondes. On sonne à la porte. Papa ! La jeune mère s'empare du sac à dos de son fils de son doudou violet en forme de lapon et va ouvrir la porte. Devant elle, c'est un homme très grand, très brun, le visage froid qui déclare d'une voix grave et monocorde : « Rowena... » Mais quand il aperçoit son fils juste derrière la jeune femme, son visage s'illumine, ce n'est plus le même homme.
-Tu viens mon grand ? Dit il, accroupi, les bras ouverts.
Camille courant vers son Papa, attrape son doudou par les oreilles et se blotti dans les bras du jeune homme. Ils se retourne pour dire au revoir à sa Maman, et quand Papa le porte dans ses bras il réclame un bisou de Maman. Enfin, Papa prend le sac à dos, et direction la voiture.

Camille, sept ans, est chez sa Maman. Elle le laisse tout seul ce soi en lui expliquant qu'il est un grand garçon et qu'il doit seulement dormir profondément, qu'au moindre problème il doit composer le numéro de la voisine chez qui elle passe la soirée et que dans ce cas, elle arriverait tout de suite. Il ne doit pas avoir peur de le faire, parce que même les grands garçons ont besoin de leur Maman.
Là, tout seul, après avoir essayé de s'endormir, sans succès, il se lève et va s'assoir devant le miroir de Maman, là où il y à tout plein de belles choses qui brillent et qui sentent bons. Il y a le maquillage de Maman, les bijoux de Maman, toutes ces choses qu'il adore. Portant le tube de rouge préféré de Maman à ses lèvres il tremble un peu, le résultat final n'est vraiment pas terrible. Mais comment fait elle pour être si impeccable ?
Il ajoute du fard doré sur ses paupières, ça ne brille pas beaucoup... Il en rajoute. Ensuite il prend beaucoup de temps à choisir les bijoux, il veut les plus beaux, les plus gros, les plus étincelants Il décide de porter tout les bracelet, c'est un peu lourd mail il est fière du résultat. Lapin, son doudou, assis sur le lit, le regarde en approuvant. Son doudou est de très bon conseille.
Maintenant qu'il est paré d'un long collier de perle en nacre et  de deux jolies bagues brillantes, il va faire une surprise à Maman et ses copines.
Il sort pieds nus de la maison jusque chez la voisine, les rues sont calmes, il n'a pas peur, c'est un grand garçon !
Il entre sans frapper chez Claire, il sait que c'est mal poli, mais elle est gentille Claire, elle comprendra qu'il veut faire une surprise à sa Maman.
Pourtant , quand il entre, les deux dames adossées dans le couloir, il ne les connait pas. Elles sont un peu grosses et sentent la sueur. En plus, elles ne sont pas beaucoup habillées. Quand elles lui parlent d'une voix grave, il les ignore et continu son chemin à la recherche de visages connus. Mais toutes les dames et tous les monsieurs qu'il voit, il ne les connait pas. Un monsieur déguisé en dame, comme lui, lui caresse la tête en rigolant.
Claire et Maman ne sont nul part.
Soudain, derrière lui il entend hurler : ROWENA !
Même avec tout ce maquillage il reconnaît bien Claire.
-Mais qu'est ce que tu fait ici mon petit ? S'écrit Claire en ouvrant grand les yeux.
-Elles est où Maman ?
-Ta mère arrive Camille... Tu ne devrais pas entrer sans sonner, ce n'est pas bien, tu le sais ça pourtant ?
-Mais je voulais faire une surprise à Maman ! Dit il en regardant partout autour de lui.
C'est étrange ici, il ne reconnaît presque plus la maison de Claire. D'habitude il y a toujours de la musique et elle est toujours toute seule avec son chat Plonplon, et elle lui offre toujours du jus d'orange ou un verre de lait. Là, il a beaucoup de monde et presque pas de bruit, quelques rire et des gémissement qu'il ne comprend pas. En plus, il à soif et aimerais bien un grand verre de lait et un cookie. Et puis toujours pas de traces de Maman.
-C'est gentil mais tu aurais dû rester chez toi Camille.
C'est à ce moment précis que Maman débarque toute décoiffée, pourtant en partant elle avec un chignon impeccable dans lequel il avait même glissé une petite fleure rose qui pousse sur le balcon, elle n'y est plus.
Elle est toute rouge Maman, et ses grands yeux bleus sont remplis de larme. Elle prend Camille dans ses bras et le serre très très fort. Il sent que ce n'est vraiment pas bien ce qu'il a fait, mail il ne comprend pas très bien pourquoi. Il voulait seulement lui faire une surprise !

A douze ans, Camille ne voit plus trop sa mère. Depuis ses sept ans quelque chose le bloque. Il la surveille depuis quelques mois et tout les jeudis, ainsi qu'un samedi sur deux, elle va chez la voisine et ne ressort que le lendemain matin.
Il est décidé et va aller voir. On est samedi et c'est le jour  où le plus de gens rentre dans la petite maison de Claire. Son père pense qu'il est chez Dox, un de ces meilleurs amis. Mais il est devant chez Claire, habillé d'un tee-shirt trop large et d'un pantalon usé aux genoux. Il est déjà très grand pour son âge et en cachant son visage il sait très bien qu'il entrera facilement, à sept ans il avait bien réussi.
Il souffle une grand coup, se passe une main dans les cheveux et traverse la rue, il est à quelques pas de la porte, hésite... Puis rentre !
La porte à peine franchie une femme se jette sur lui :
-C'est donc toi qu'on attend mon chou ?
-Pardon mais...
-Ta soirée est toute organisée... C'est le grand soir !
Il ne peut rien dire, on lui coupe la parole. Bouche bée, il ne se débat pas et se laisse allée de main en main, on le touche, on le caresse. Son tee-shirt est part terre, il à chaud, voudrait partir, mais on le tiens, et lui, étourdi, ne dis rien.
Avant d'attendre le salon, un autre jeune homme, pas beaucoup plus vieux que lui entre à son tour.
Silence dans l'assemblée. Camille en profite pour se defaire de l'emprise de ces gens et de courir. Où ? Il ne sait pas trop. Comme il y a  cinq ans, il est venu voir sa mère, mais là encore pas de trace d'elle. Il l'a vu entrer pourtant !
Il entre dans une pièce au hasard, ferme la porte à clé et s'assoit contre la porte sans allumé la lumière. Il ne sait pas combien de temps ça à durer, depuis combien de temps ces femmes le touchaient. Il est à moitié nu, il se sent sale.
Soudain, il entend un bruit, d'un bond il allume la lumière.
Au milieu de la pièce une femme nue.
De long cheveux blonds semblables à des milliers d'étoiles filantes.
De grands yeux bleus et une petite bouche ronde au teint vermillon.
Attachée sur un lit, muette, elle ne dit rien.
Il l'a trouvée.
Elle comprend tout de suite que ce n'est pas lui qui devait venir le voir.
Les mains liées, elle ne peut pas s'exprimer.
Il a douze ans et sait déjà qu'il ne pourra plus jamais regarder une femme sans penser à ça. A sa mère attachée nue sur un lit, à ses femmes, immondes êtres de luxure, qui ont touchés son corps.
Aujourd'hui, en y repensant il ne se souvient plus d'après. Comment est il  rentré chez son père, à t'il parlé à sa mère ?
Il se souvient seulement des cauchemars qui l'ont hanté cette nuit là, et toutes les nuits qui ont suivis.

Ensuite Camille à grandi, ses résultats scolaire, plutôt bons, sont devenu catastrophiques. Il n’assistait plus aux cours donnés par des femmes. Son père à très vite pris la décision que l'école se ferrait à la maison.
A seize ans, il est partit vivre à Montpellier avec son père et sa nouvelle amie. La relation avec celle-ci était tellement horrible qu'Arthur, son père, décida de lui acheter un appartement pour lui tout seul. Place de la Comédie, Camille vivait reclus dans un appartement trop grand pour lui.
Deux ans plus tard, Dox et Ronan, s’installèrent à Montpellier  pour leurs études de droit.
C'était ses seuls contacts avec le monde extérieur. Camille ne sortait pas, ne lisait pas, ne regardait pas de film et ne jouait jamais aux jeux vidéos. Il passait sa vie à peindre où à dessiner. Ses œuvres avaient été exposées de nombreuses fois dans des galeries grâce à ses amis, mais il ne c'était jamais montré aux vernissages.  Il avait un talent certains et son absence commençait à faire parler de lui, qui était il ? D'où venait il ? Il avait donné quelques interview mais personne ne savait vraiment qui il était.Reclus, il ne vivait qu'à travers son art. Et les quelques fois où il sortait, il ne lâchait pas le sol des yeux.

Post Rp.

Autour de lui des corps, nus, glissant les un sur les autres tel un nid de vipère.
Des femmes, sœur de Lilith la séductrice, atroce succube, l'appelant au plaisir charnel.
Elles l'appellent, susurrent son nom, laissent sortir leurs langues fourchus.
Humide, elles se frottent, se glissent, s’immiscent.
-Camille, disent-elles en choeur. Tu es un beau jeune homme Camille...
Elles se touchent les unes les autres, jouent avec leurs courbes.
C'est leurs seins, vulgaires, devant ses yeux.
C'est leurs hanches, lascives, frôlant son corps.
C'est leurs bouches, lubriques, embrassant son torse.
C'est leurs fesses, obscènes, contre son ventre.
C'est elles, ces femmes, ces satyres, jouant avec lui.
Il essaye de se défaire de ces bras qui l'agrippent, il se recule, s'avance, tente de s'éloigner. Mais elles sont toujours là, riant aux éclats.
-Lâchez moi ! Laissez moi tranquille !
D'un même geste elle porte une main à leurs bouches pour ricaner.
-Pauvre petit Camille, dit on a gauche.
-Pauvre petite chose fragile, dit on à droite.
-On est là pour te faire du bien.
-Tout est organisé.
-C'est ta soirée mon grand.
A côté de lui, il reconnaît Claire, la voisine, complètement nue, se versant du lait sur la poitrine, qui répète inlassablement :
Tu veux un verre de lait, tu veux un verre de lait, tu veux un verre de lait...
Les autres femmes le regarde, silencieuses. Puis d'un même rire se jette sur lui, un sourire carnassier et un regard pervers sur le visage.
-Mais qu'est ce qu'il t'arrive Camille ?
-Tu cherches ta Maman ?
-Elle arrive tout de suite...
-Elle ne va plus tarder.
Recroquevillé sur lui même Camille ne réagissait plus, il se balançait d'avant en arrière.
-Mais laissez moi tranquille, putain... Qu'est ce que j'ai fait ? Je veux juste être tranquille... tout seul. Allez vous en.
Elles le léchaient, passaient leurs doigts sur lui en riant. Mais avant qu'une d'elle l'embrasse, il se releva d'un coup.
Il venait de comprendre.
-Je ne suis pas à vous !
Une première vague de rire.
-Maintenant vous allez me laisser tranquille. Vous ne m’intéressez pas.
D'autres rires, moins fort cette fois.
Camille, debout, prenait conscience de son corps.
Ses cheveux commençait à pousser et trainait sur les corps des vipères.
L'hystérie des succubes semblait se calmer, elles assistaient bouche bée à la transformation de Camille.
Pendant qu'il perdait quelques centimètres il sentait des seins lui pousser.
Il touchait son corps du bout de ses doigts, appréciait ses caresses. Quand il frôla son entre jambe, il n'y avait plus ce qu'il connaissait. C'était une femme. Une vraie.
Une poitrine énorme, des hanches graciles, un charme fou. Il se sentait vivre, il se sentait là. Son visage n'avait presque pas changé, c'était la même petite bouche, les mêmes pommettes hautes.
Et d'une voix aigus et douce qu'il ne reconnaissait pas il déclara :
-Alors les filles, jalouses ?
Les filles hurlèrent et disparurent.
Heureux, seule dans cette pièce la nouvelle Camille éclata de rire. Elle était belle, désirable, elle était enfin elle et allait en mettre plein les yeux.
Juste devant elle une porte apparue, ouverte.
-Camille... Viens par la ma belle, déclara une voix suave.
Roulant des hanches, légèrement paniquée, mais heureuse pour la première fois depuis longtemps elle avança vers la voix, et devant elle c'était la plus belle femme qui n'avait jamais existé.
-Bienvenue chez toi chérie.
-Où suis-je ? Je ne rêve pas n'est ce pas ?
-Bien joué poulette, tu voyages ?
-Pardon... Je... Quoi ?
-Tu es dans le monde des rêves, tu peux t'y déplacer comme tu le désire. Tu es une voyageuse.
Camille éclata de rire.
-Tu rigoles j'espère ?
-Comment expliques-tu que tu n'es plus peur de moi ? Tu as vaincu ta peur, tes cauchemars n'existe plus, tu aimes les femmes... Tu aimes être une femme... Maintenant va, Camille, découvre le monde, répand la luxure dans Dreamland. Envoie les chez moi... Ici, à Luxuria.

Autres.

(La première partie de cette section concerne votre personnage, et pas vous IRL)
• Aime : Les cookies, le lait, l'odeur de la peinture, la solitude.
• N'aime pas : Les femmes, la copine de son père, sortir, le sexe.
• Particularités, autres : Aucun
• Niveau d'étude hors de Dreamland :Bac L.


• Comment avez-vous découvert le forum ? Alan Kesey
• Première impression :Toujours sympa
• Pour les DC (double compte) ou TC (triple compte), qui a donné son accord ?
• Avez-vous lu les règles et les respecterez-vousoui ?
• Code de validation : Validey