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Et le Zephir se lève - Milo [75%]

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MessageSujet: Et le Zephir se lève - Milo [75%] Et le Zephir se lève - Milo [75%] EmptyMar 30 Sep 2014 - 20:48


Dragacci
Milo

Personnage.

Et le Zephir se lève - Milo [75%] Milo10


    • Nom : Dragacci
    • Prénom : Milo
    • Surnom(s) : Zephir
    • Âge : 35 ans
    • Nationalité, origine(s) : Française (Corse)
    • Pouvoir et description : Manipulateur du Vent.
    Ayant vaincu sa peur de l'Acrophobie, Milo a réussi à devenir un pur manipulateur du vent. Avec de la puissance, il deviendra un dompteur de souffle et, pourra modeler le vent à sa volonté, de la petite brise au Cyclone.



Description Physique.

La première fois que l’on rencontre Milo, il y a de quoi paraitre perplexe. Sa présence ne laisse pas indifférente, pas tant sur le plan attractif, mais sur l’aspect purement émotionnel. C’est un bouleversement des codes établis. Ses cheveux, d’un blanc fantomatique, laisse à penser qu’à force de décoloration, ses racines en ont pris un sacré coup, pourtant il n’en est rien. Si on s’attarde sur son visage, on se rend compte que malgré les marques laissées par la vie, l’homme a su conserver un faciès de sculpture grec. Une mâchoire fine, sur laquelle se greffe une légère barbe bien entretenue. Lorsque l’on croise son regard, on comprend le charme magnétique du trentenaire. Deux iris bleus qui fixent l’horizon avec force et mélancolie. Une chevelure mi-longue, maintenue par différents procédés. Sa musculature, sans rivaliser avec un culturiste, montre qu'il s'entretien. Un héritage de son passé de moine, où la pratique des arts martiaux laissé peu de place à la graisse et laisser aller.    

Dans la vie, il s’habille sobrement pour se rendre au travail, parcourir la ville ou je ne sais quelle activité commune. Souvent de noir, il embelli le tout par une veste en cuir qu’il porte lorsque le temps ne permet pas le t-shirt. Un homme simple, aux gouts simple. Faut dire qu’en tant que videur, il n’a pas le luxe de pouvoir porter de la couleur. Mais tout est différent lors de ses voyages oniriques.

Une fois à Dreamland, sans parler d’extravagance, on voit plusieurs tons de couleur se détacher de ses multiples vêtements. Ses avant-bras sont quasiment toujours bandés et ce, jusqu’aux premières phalanges. Les hauts diffèrent, mais sont toujours encadrés par une veste trois quarts, sans manche et sans attaches. Hérité de ses voyages spirituels, le tissu est indissociable de son physique sculpté par les épreuves.



Caractère.

Se faire une idée du caractère des gens marqués par les souffrances n’est pas chose aisée. En général, les personnages à genoux devant le destin ne s’autorisent pas le luxe de la confidence. Pour évacuer les tensions, Milo s’égare dans la solitude et la méditation. Faire une introspection quotidienne est un crédo qu’il effectue avec rigueur. Déjà d’une, parce qu’il est nécessaire à tout être humain de se remettre en question et de deux, pour bien dissocier le monde réel de celui de Dreamland. Bien marquer la différence entre la réalité et l’onirique, sans que l’un des deux mondes prenne le pas sur l’autre est une obligation pour ne pas sombrer dans la folie.

Une fois passé la barrière de cet introverti, on se rend compte qu’il est réfléchi, calme et le plus souvent, juste dans ses raisonnements. Il sait écouter les autres, sans prendre la parole plus que nécessaire et se sert souvent de la ruse pour se sortir de situations délicates. Dans le monde réel, il arrive à désamorcer des situations potentiellement violentes par son attitude et le choix de ses mots. Très utile en somme, lorsque deux ivrognes vont en venir aux mains pour une histoire de jet de pisse. Les violences gratuites et les abus de pouvoirs le révolte et sont, en quelque sorte son talon d’Achille.

Dans Dreamland, c’est vrai qu’il ne fait pas preuve d’autant de patience, déjà car les combats le rende joyeux et font ressortir son passé de compétiteur. Et puis, le monde des rêves offre tellement de possibilité qu’il serait bête de passer à côté. Ses pouvoirs lui ont apporté un semblant d’espoir et il vit à l’image de ses héros, bravant avec courage les obstacles qui se mettent sur sa route. Toujours en quête d’action, il n’en reste pas moins juste, même si certain sujet ne sont pas abordable, sous peine de subir une colère destructrice. Une seule chose arrive facilement à le faire sortir de ses gonds, et elle se nomme Yatano.



Histoire.


Gramatik - Muy Tranquilo

C’est par une nuit sans lune que naquit le jeune Milo Dragacci. La maternité était bondée, presque trop. C’est toute la généalogie Dragacci qui s’était donnée rendez-vous à l’hôpital pour voir le dernier née de la famille. Autant vous dire qu’avec une forte influence méditerranéenne, les liens familiaux sont primordiaux pour les Corses, voir essentiel. Il faut savoir qu’un meeting manqué, du simple baptême à l’enterrement, est considéré comme un manquement à l’honneur et peut entrainer des disputes sur plusieurs générations. Le nouveau née fut baptisé Milo, comme son grand-père. C’est dans la joie et l’euphorie que cette petite merveille est accueillie dans ce monde.

En corse, on dit que les enfants sont « rois », mais il faut le prendre au sens littéral. Peu importe les fautes commises, les accidents ou les larcins, tout est pardonné aux petits morveux, ce qui donne des situations cocasses. Chaque jours depuis sa naissance, Milo a été choyé, béni et aimé. Une enfance agréable, vécu dans l’insouciance et l’enthousiasme. Omis quelques gamineries, sa scolarité se déroule sans encombre et malgré son statut de petit miracle, il se contente d’honoré les valeurs qu’on lui a enseigné. L’honneur en priorité, ne jamais provoquer un combat, mais savoir y répondre, ne jamais au grand jamais battre une femme, lutter contre l’autorité, veiller sur sa famille et sur ses ami et enfin, appliqué la règle des singes de la sagesse, dont telle est la maxime : « Ne rien voir, ne rien entendre et ne rien dire ».

Une fois passé le collège avec des résultats dans la moyenne, le voilà propulsé pour la première fois loin de son foyer, enfin loin, à deux bonnes heures de routes où il découvrit avec stupeur les joies de l’internat. Très vite admis parmi ces semblables, on le caractérise comme un bon élève, gentil en général et surtout, beaucoup plus tolérant que ses pairs. On ne l’entend pas clamer d’insultes ethniques ou sexuelles et sa préoccupation des problèmes lui offre le sobriquet de « Mère Theresa ». Intéressé par la danse depuis son plus jeune âge, il assume avec passion son goût prononcé pour l’art corporel et gagne souvent les faveurs des femmes. S’en suit des années lycées remplis d’amitié et de passions amoureuses, souvent sans « happy end » d’ailleurs.

Le véritable tournant de sa jeunesse sera sans doute son départ à la faculté de Toulouse, le Mirai, renommée Jean Jaures, sans grand succès. Il a pris pour habitude de fumer de l’herbe et le « continent » ne sera pas propice à l’abstinence. En première année de STAPS, comprenez Sport, il commence à enchainer les conneries avec virtuosité. Les cours pratiques le voient exceller, mais tout ce qui touche à la théorie est déserté avec assiduité. Ses fréquentations se dégradent et malgré toute la bonne volonté du monde, sa consommation de cannabis augmente de manière exponentielle. Dans tout ce désordre ambiant, il trouve tout de même un peu de bonheur en la personne d’Amanda, une jeune littéraire fraichement débarquée de Lyon. Leur relation est sulfureuse, brulant d’un feu qui semble infini et le couple se voit proclamé comme « exemple » par leurs collègues. Ah, l’insouciance de la jeunesse… Ce qui va suivre est beaucoup moins réjouissant.

Requiem for a Dream - Main Theme

Il a vingt ans lorsqu’il apprend la nouvelle, Amanda est enceinte… Un choc pour le jeune couple qui l’apprend si tardivement, qu’il est impossible pour lui de ne pas le garder. Cette idée, bien que précoce, ne déplait pas à Milo, pour qui une naissance est toujours bénéfique et reflet de miracle, mais Amanda voit ce signe du destin d’un autre œil. Sans finance, sans avenir puisque les études ne sont pas terminées et sans proches dans la région, la négativité l’emporte sur le reste et c’est l’explosion. La grossesse de sa femme est un souvenir difficile où la mesure est dictée par le conflit, les disputes incessantes, les crises de paranoïas et la descente aux enfers. Son addiction prend le dessus et lorsque la vie à la maison devient insupportable, Milo s’isole et s’enferme dans un monde où tout est « vert », loin de la réalité et des problèmes. Mais le temps joue contre lui et Amanda n’a pas fini d’être pleine de surprise.

Malgré le ressentiment, le jeune homme n’a pas l’intention de partir et continue de prendre soin de la belle qui ne l’est plus tellement et neuf mois plus tard, arrive enfin la bénédiction. La famille proche de chaque camp a fait le déplacement pour voir le bébé. Un fils nommé Carlu sous l’insistance du géniteur. Deux semaines passent et le premier drame de sa vie révèle sa cruauté. Amanda a foutu le camp, loin de la ville, de son amant et de son fils. Sous le coup du « Baby Blues », elle a cédé à la panique et a fui le cauchemar. A vingt ans, seul et déjà plein de responsabilité, Milo tiens bon. Forcé par le destin, il rentre sur son île natale, maudissant la lâcheté de son ex-compagne.

Aidé par sa famille, il se rachète une conduite, oublie ses addictions et se plonge dans le travail… Manuel. Devenu menuisier, il enchaine les heures pour gâter son fils et devenir un père aimant. Chose qui lui réussit pendant deux ans. Tout est alors au paroxysme du bonheur pour le jeune homme. Certes, il n’a pas le boulot dont il rêvait, mais Carlu est en bonne santé et a déjà fait ses premiers pas. Son sourire lui suffit. Il a pris l’habitude de faire de longue balade à vélo, le petit derrière lui, parcourant les routes de montagnes avec acharnement, dévoilant aux yeux de l’enfant la beauté des paysages qui s’offre aux yeux du monde. Mais de nouveau, le destin joue contre lui.

Durant une énième chevauché, le duo fils-père s’est arrêté en bord de route sur les flancs d’une falaise dans le sud de la Corse. Alors qu’il tient son fils dans ses bras, lui montrant les îles qui se dessine à l’horizon, il entend les crissements nerveux de pneus sur l’asphalte, quelque chose ne va pas. Il a juste le temps de tourner la tête pour voir foncer sur eux une voiture en pleine échappée. Le choc n’est dans sa mémoire que vague et flou. Néanmoins, ce qui suit est toujours clair et limpide aujourd’hui. Il voit son fils lui échapper des mains, fauché par la puissance mécanique, la beauté du ciel bleu alors que son corps est projeté dans les airs et l’apesanteur intemporelle… Puis vient ce sentiment d’effroi et d’impuissance qui l’envahit avec rage et férocité lorsque son regard se porte sur le vide en dessous de lui et le destin fataliste qui l’attend. Il entend des cris, tourne les yeux vers la petite chose fragile qui vient s’échouer sur les rochers et c’est un hurlement de détresse qui s’échappe de son corps. Ensuite, c’est le trou noir, le néant…

Six mois de coma ont suivi la chute et son réveil se fait dans la douleur. Tout est blanc autour de lui, rythmé par le seul tintement d’une machine infernal qui le relie à la vie. D’abord dans les vapes, son premier réflexe sera de demander, de hurler serait plus juste où se trouve son fils et la nouvelle tombe comme un coup de massue, Carlu est mort ! Il a alors 22 ans.

Le Dernier Samouraï - A Way of Life

La suite est trouble, durement touché, Milo va mettre plusieurs mois avant de pouvoir marcher normalement. Il est ce qu’on appelle un miraculé, pourtant dans son esprit, il n’entend pas la chose de la même manière. Il a tout perdu et s’il n’y avait pas eu sa famille pour le soutenir, il se serait probablement ôté la vie. Une fois sur pied, il ne put supporter la routine du quotidien et c’est avec stupeur que ses parents ont découvert un beau matin une lettre de leur fils disant qu’il partait pour l’inconnu, essayer de comprendre le sens de la vie. N’étant pas polyglotte, sans argent et le morale au plus bas, les mois qui ont suivi ont été très difficiles à vivre. Il parcourait les kilomètres aussi vite qu’il le pu à travers les chemins où le vent le portait. Parfois il travaillait, en tant que serveur, éboueur où comme simple cireur de chaussure et parfois non. Dur est la vie du pèlerin en quête de spiritualité. Il avait pris dès le départ le chemin de l’est et avait parcouru nombre de plaines et de montagne. L’Italie, la Grèce, le Moyen-Orient où il eut le déplaisir de partager la misère du monde. Quand il en avait l’occasion, il envoyait des lettres à sa famille pour les tenir au courant de son épopée. Il ne se sentait bien qu’en présence d’âmes brisées où il pouvait trouver du réconfort et en donner.

Son périple trouva sa fin onze années plus tard. Il n’y a pas eu une seule nuit où les cauchemars ne l’envahissaient pas, le tirant d’un sommeil difficile, toujours en sueur et paniqué. Il revivait la chute, la perte de son fils et le noir qui suivait toujours l’impact. Pourtant parfois, juste avant d’atteindre le sol avec violence, il pouvait apercevoir un petit garçon blondinet qui se tenait debout, non loin des rochers, le regardant tomber. Il pouvait entrevoir ce garçon durant une semaine et plus du tout pendant un mois et bizarrement, plus les années passés, plus le garçon grandissait. Il se pensait hanté par un fils mort trop jeune et faillit devenir fou à plusieurs reprises, ramené à la réalité par l’horreur des choses qu’il pouvait voir lors de ses voyages. Le Tibet fut sa destination finale et plus précisément, ses hauteurs. Les nombreux temples jaillissant sur les flancs lui inspiraient de la sérénité et il décida qu’il était temps de s’établir quelque part. C’est donc ainsi, mal rasé, sale au possible, les membres gelés par le vent glacé de l’Himalaya et amaigris qu’il se présenta à l’une des portes des Monastères.

Âgé de 33 ans, il est introduit comme moine. Il mène une vie avec un semblant de sérénité ; on ne lui demande rien, il passe ses journées entre le travail d’entretiens du temple, la pratique des arts martiaux et la méditation. Pourtant ses nuits sont toujours très agitée et il se réveil alors que la lune est encore haute, rongé par la culpabilité et le remord. Finalement, après deux ans passés au temple, Milo verra la nuit la plus importante de sa vie arrivée. Suite à une longue discussion avec le grand moine, il vaincra sa peur du vide et pourra trouver la paix… Et surtout Dreamland ! Le monde onirique est pour lui comme une seconde chance, un salut quasi divin pour un homme brisé. Yatano est aussi responsable de son rétablissement psychique. Il faut dire qu’avec un caractère comme celui-là, leur escapade dreamlandesque sont rocambolesque et pleine de surprise.

Milo a aujourd'hui trente-cinq ans et après avoir fait ses adieux au temple, il est revenu à la maison pour saluer sa famille et reprendre le cours de sa vie. Il a appris avec enthousiasme l’entrée de neveux et nièces au sein de la généalogie et a même trouvé un métier, Videur dans une boite Bastiaise. Après avoir répondu aux questions de son entourage, il a trouvé le temps de leur annoncer que les femmes n’étaient plus sa priorité. Entre moine urbain et ainé de famille se trouve aujourd'hui la place de notre héros au grand cœur. La suite s’annonce pleine d’espoir.




Post Rp.

(Ce post nous montrera votre niveau RP, il portera sur le moment où vous avez vaincu votre peur ou, si vous avez vraiment aucune idée, sur un passage de votre vie, mais il a intérêt à être intéressant ...)


Autres.

(La première partie de cette section concerne votre personnage, et pas vous IRL)
Aime : Yatano, la solitude, l'intelligence, la ruse, les pizzas, Dragon Ball Z, la danse et Dreamland.
N'aime pas : Les abrutis, le mépris, la violence gratuite, sa femme, le film Dragon Ball et les légumes.
Particularités, autres : //
Niveau d'étude hors de Dreamland : Bac ES


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Avez-vous lu les règles et les respecterez-vous ? Oui
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Lithium Elfensen
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MessageSujet: Re: Et le Zephir se lève - Milo [75%] Et le Zephir se lève - Milo [75%] EmptyMer 1 Oct 2014 - 10:04
Alors, bienvenue sur forum !
Le code est bon et je le valide.

Tiens-nous au courant de l'avancée de ta fiche et bon courage pour celle-ci !
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MessageSujet: Re: Et le Zephir se lève - Milo [75%] Et le Zephir se lève - Milo [75%] EmptyDim 12 Oct 2014 - 15:23
Je n'ai actuellement plus de PC en raison d'une panne. Je devrais le récupérer mardi si tout va bien.
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Lithium Elfensen
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MessageSujet: Re: Et le Zephir se lève - Milo [75%] Et le Zephir se lève - Milo [75%] EmptyDim 12 Oct 2014 - 18:33
Merci de prévenir, courage !
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Lithium Elfensen
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MessageSujet: Re: Et le Zephir se lève - Milo [75%] Et le Zephir se lève - Milo [75%] EmptyVen 31 Oct 2014 - 15:33
Coucou, pc de retour ?
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MessageSujet: Re: Et le Zephir se lève - Milo [75%] Et le Zephir se lève - Milo [75%] EmptyMar 4 Nov 2014 - 0:09
    J'ai rajouté l'histoire la semaine dernière, mais finalement, je suis désolé, je ne vais pas pouvoir rester.

    Je suis en fac, plein de nouvelle résolution et je n'aurais pas assez de temps à consacrer au forum pour faire quelques chose de correct et de régulier... J'en suis blasé, mais je préfère renoncer.

    Je vous souhaite le meilleur et peut-être à une prochaine fois.
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Nodox Pebbles
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MessageSujet: Re: Et le Zephir se lève - Milo [75%] Et le Zephir se lève - Milo [75%] EmptyMar 4 Nov 2014 - 9:21
D'accord pas de soucis. Bonne continuation à toi et bonne chance dans tes études !

Prez classée !
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MessageSujet: Re: Et le Zephir se lève - Milo [75%] Et le Zephir se lève - Milo [75%] Empty
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Et le Zephir se lève - Milo [75%]

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