BAEKELAND
JAKOB

Personnage.

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• Nom : Baekeland • Prénom : Jakob • Surnom(s) : L'Encrier • Âge : Vingt deux ans • Nationalité, origine(s) : Français, d'origine hollandaise • Pouvoir et description : Peur des poulpes. Du type morpheur, Jakob est capable de se faire pousser des tentacules sur n'importe quelle partie de son corps ou encore de cracher un épais nuage de fumée noir, etc… Peur premièrement primaire de l'animal, mais renforcé avec les légendes, à son apogée le poulpe laissera place à un bien plus monstrueux kraken ! Mais pour l'instant c'est jet de fumée et fuite au programme ! (Est-ce que son mentor céphalopode peut lui avoir confié un objet?)

Description Physique.

Courir. Courir. Plus vite. Encore. Jusqu'à sentir mon sang bouillonner dans mes veines. Jusqu'à ce que mes jambes soit aussi lourde que l'acier. Et alors, alors il faudra courir plus vite encore. Jusqu'à cette ligne, droit devant. Soixante mètres. Et mon souffle rauque est presque étouffer par celui exalté qui me brûle le cou. Quarante mètres. Et le bruit des pas qui résonne à mes oreilles se rapproche un peu encore. Vingt mètres. Je dois être plus rapide. Plus rapide que je ne l'étais hier. Que je ne l'étais il y a une heure. Plus rapide qu'au dernier tournant ! … …

- J’suis un tigre de compet’ ! Wouhou !

Jakob termina son cri de victoire en s'écroulant sur la piste bleue du stade. Sa crinière orangée encadrait son sourire ravi et ses deux yeux aux reflets zircon illuminaient son faciès. Ses lèvres et son nez très fins lui donnaient quelques traits royaux qui incarnaient parfaitement le comportement totalement assuré du coureur. Après quelques minutes de plénitude où plus rien n'importait, il se décida enfin à se relever, encore un peu pantelant sur ses jambes fatiguées. Tout en finesse, son corps était sculpté et élancé, l'on pouvait notamment distinguer les muscles saillants de ses jambes marqués par le collant court qu'il portait.

Il se dirigea tranquillement et gaiement vers les vestiaires, et à chaque balancement, son débardeur dévoilait le petit tatouage noir situé derrière son épaule gauche. On voyait clairement s'enrouler en de minces spirales les tentacules tourbillonnants d’un petit poulpe.

Quelques sifflotements plus loin, il entra dans la pièce. En ressorti. Short large. Sandale de plage. Tee-shirt, sweat à capuche et casque audio. Style décontracté, voir insouciant, toujours très coloré, il se dirigea vers ceux qui lui faisaient signe de la main de sa démarche maintenant lente et détendue. Show time…

Description Physique.

- ‘Qui est Jakob ? C’est pour le journal du lycée n’est-ce pas ?’ fit Rémi en dévoilant un sourire de carnassier. Il reprit, ‘Je le connais depuis tout petit vous savez, ce mec est un vrai froussard ! Hé, il n’y a pas à chercher bien loin pour savoir pourquoi il court aussi vite. Je le vois encore démarrer comme une torpille aux premiers signes de problèmes ! De nous deux j’étais le plus téméraire, ajouta-t-il en faisant un clin d’œil à l’intervieweuse. Mais je ne peux pas lui en vouloir, c’était moi qui l’entrainais dans ces enfantillages ; excursions en pleine nuit, épreuves de courage, oui des enfantillages... Ça ne se déroulait jamais comme prévu d’ailleurs. Par sa faute bien sûr ! Je n’ai jamais vu quelqu’un d’aussi maladroit ! Etait-il poisseux à toujours déclencher un boxon pas possible ou chanceux de toujours s’en sortir, je ne sais pas. La discrétion et la rapidité, non ce n’était pas inné chez lui ; c’est un peu grâce à moi s’il en est à ce niveau-là aujourd’hui quand j’y pense ! Oui, oui, le sujet j’y reviens. J’ai dit froussard oui, je ne le retire pas mais uniquement quand il était seul à prendre le risque. Il n’a jamais hésité à faire diversion pour me sauver la mise. Une sorte de courage dans la fuite si on veut. Une détermination pure, ça se voit dans son regard. J’ai dit froussard pas lâche, quand je suis avec lui, je me sens… comme intouchable. Pas en sécurité, ça non, mais, j’ai confiance en lui, c’est une chose plutôt étrange. Comment ça je ne parle que de moi là ? Tout est lié voyons ! Oui, oui Jakob, et bien quoi. Un sourire gêné presque niet incrusté sur son visage voilà ce qui le représente le mieux ! Il prend tout à la légère pour ensuite se prendre tout en pleine gueule !  Il n’est pas idiot pour autant, je le connais depuis tout pe… hein ? Ah oui je l’ai déjà dit, et bien, il nous arrive de discuter plus sérieusement. Il a une vision bien à lui des choses, hmm. La justice, le bien, le mal, le trop, le pas assez, le… enfin tout ça il le conçoit différemment que la plupart. Il m’a rallié à certaines de ses idées d’ailleurs, il est plutôt convaincant quand, oh vous devez déjà y aller ? J’ai une chance de vous revoir ? demanda-t-il en lâchant son plus beau sourire de séducteur … ... Vie injuste !

Histoire.

Jakob Baekeland est né de l’union d’un père marin et d’une mère vétérinaire, une nuit
d’automne non loin du grand large. Il grandit dans une petite maison en bois, entouré de ses deux parents aimant tout deux passionné. Son père, homme de la mer, l’emmenait le plus souvent possible à ses côtés sur les flots, et à son tour Jakob grandit en homme de la mer. A cette époque, peut-être passa-t-il plus de temps sur le voilier de son père que sur la terre ferme. Tout était référence au monde aquatique pour lui, et sa chambre se remplit de petits aquariums qui le fascinaient. Son locataire préféré était Dwight, son petit crabe violoniste. Il n’avait encore que sept ans quand son père lui conta la légende du kraken. Le récit qu’il en fit, fit pâlir en un instant le visage de Jakob. « Je suis là Jakob, je te promet que les krakens ne te feront aucun mal ». Son père, son héros. Pour ne rien arranger à ce milieu dans lequel il baignait (haha…) depuis tout petit, sa mère, vétérinaire de métier, travaillait dans le grand aquarium de La Rochelle. Ce qu’il y vit le changea … à jamais ! Une espèce de ballon gonflable orné de huit serpentins surgit de l’ombre et dévora sous ses yeux grands ouverts, un crabe… «  L-le… le kraken !! » hurla-t-il en désignant la chose, incapable de s’enfuir devant ce terrible spectacle. Le poulpe mesurait trente-cinq centimètres. Depuis ce jour-là Dwight eut droit à un tour de garde.

Mais comme s’il était injuste qu’une enfance puisse être si tendre, un drame arriva. D’une
sortie quotidienne, banal, sur le grand bleu, son père, un jour, ne revint pas. Il connaissait les risques, les dangers. C’était pour eux qu’il levait les voiles. Ce fut une étrange tristesse qui s’installa chez Jakob. Profonde qui le fit souvent pleurer pendant des heures, mais qui ne l’empêchait pas de vivre. Ce fut plus dur pour sa mère. Ils déménagèrent, quittant le littoral pour Montpellier. Troquèrent l’eau contre la terre. Jakob avait dix ans, il changea de mode de vie, d’école, de vie. Il rencontra Rémi, un jeune de son âge, qui facilita le retour du sourire. Il se mit à courir. Courir pour s’enfuir, courir pour gagner, courir pour courir. Il est plus facile d’avancer quand on a quelque chose à soi, unique et privilégié. « Il faut des jambes solides pour s’accrocher au bateau en pleine tempête, Jakob », il revoyait son père. Une promesse qu’il s’était fait à lui-même. Plus tard, lui aussi retournerait braver les tempêtes. A chaque course, au bout de chaque ligne droite il était là, lui souriant. Courir pour se rapprocher de son père. Ne pas se renfermer sur le passé, et s’aider de celui-ci pour briller intérieurement, il l’avait fait. Il continuerait à le faire.

Aujourd’hui il a vingt-deux ans, est en école de vétérinaire dans le but de devenir zoologue et je suis en manque d’inspiration. Dwight se fait vieux.

Poste Rp.

Cela faisait cinq nuits maintenant que son repos était attaqué par un mal qu’il n’avait eu cesse de combattre éveillé. Il s’en souvenait à chaque fois mieux que la nuit précédente, son cauchemar le rattrapant toujours un peu plus, envahissant son réel. Réveil en sursaut et respiration précipitée agrémenté de sueurs froides pourrissaient désormais son quotidien matinal. … Cela faisait cinq nuits maintenant.

Il fixait son lit d’un air de défiance, comme s‘il était la cause de ses hantises. Un duel de regard entre deux pupilles colorés et un matelas trop dur ou pas assez mou, dont l’issue se voulait la garantie d’un sommeil tranquille. L’affrontement se voulait légendaire, la continuité d’une lutte éternelle opposant le bien contre le mal, incarné en cette soirée hivernal de janvier par un frêle hominidé tout pantelant contre un aguerri bloc de mousse qui ne comptait plus ses victoires d’une nuit. Eternelle mais inéquitable, car comme il le savait, le mal triomphait toujours. Dès lors qu’il commença à s’imaginer boxant le matelas dans un ring malheureusement trop petit ou pas assez grand, la victoire lui échappa inexorablement. Les paupières devenaient lourdes, la conscience faisait rideau, et un ultime bâillement incontrôlé retentissait silencieusement avant que tout se mette à sombrer. Toutefois, il dirigea sa dernière pensé vers le livre sagement posé sur la petite commode en bois ; paraissait-il que même si l’on savait que tout était perdu , il fallait essayer de gagner…
…
Etait-ce l’image des nomades nuages qui se reflétait sur l’étendue bleue où bien naviguais-je en plein ciel ? L’étrave du navire fendait la mer paisible sans troubler sa surface, ne laissant aucune trace de son passage éphémère.  Le pont, chauffé par les rayons d’un soleil estival, brillait d’un éclat doré qui semblait entouré l’embarcation d’un halo protecteur. Perché sur la figure de proue, le vent caressait mon visage de son empreinte grisante, apportant les effluves salés des écumes ivoires imprégner mon être. J’étais seul à bord du galion immortel à parcourir les plaines saphirs, fleuris des nébuleux bouquets blancs. Je fermais les yeux et, j’étais invincible. Ploc. Ploc. Deux  perles bleues roulèrent sur mon visage. Un fin rideau de pluie venait-il dessiné un demi-cercle chromatique parfait dans l’horizon ? Ploc. Ploc. J’ouvre les yeux. Cela, ou bien un orage tropical déchainant tempêtes et vagues colossales… L’étendue bleue se met à bouger, elle se transforme, évolue en une contorsion fluide qui se percute, se choque et se brise. Le ciel utopique, lui, se mêle de fureur, libère une colère incompréhensible sur les flots incontrôlable. Peut-on s’opposer à cette symphonie naturelle qui monte crescendo jusqu’à éclater ? S’opposer non, alors accompagnons-là ! J’empoigne le gouvernail ruisselant, maître du voyage. Glissons sur les pentes, gravissons les murs et chevauchons le courroux des mers en furie. Toujours plus vite ! La prudence n’est plus de mise, il faut doubler d’effort, il faut prouver sa valeur, égaler le vacarme des dieux marins. Le vent ne caresse plus, il fouette, griffe, mords. Puis, il n’est soudain plus le seul à rugir. Un cri de démence monte des abysses oubliés, loin, loin dans les profondeurs du monde. Ploc. Ploc. Deux perles de sueurs glissent sur mon front. Est-ce le gouvernail qui se prend de tremblements incontrôlés ou mes mains suintantes d’une peur froide ?  Je n’ai pas peur des tempêtes mais de ce qui s’y cache. Une gerbe d’eau monte jusqu’au grand mat avant de s’écraser sur le pont principal. Oh. Ce n’est pas un caprice des flots. Il est là. Le tentacule incarnate ressert son emprise, le bois crépite, craque, vole en éclat. Ses neuf autres compagnes jaillissent des eaux sombres. Mes jambes faillent, je tombe à genoux sur le bois gonflé, déformé. Un par un, les espars tombent, disparaissent entrainé par les puissants appendices du monstre. Un Kraken. Ploc. Ploc. Deux perles lacrymales mouillent mes traits figés d’épouvante. Tout est perdu. Per… Il y a une suite à cette phrase, non ? Souviens-toi, Jakob, souviens-toi !  Les tentacules rampent, s’infiltrent dans la soute, envahissent la cahute et… approchent du gouvernail. Elles sont là pour moi. Il est là pour moi. Il… Il… faut essayer de gagner ? C’est ça, oui, Je m’en souviens ! Parait-il que même si l’on sait que tout est perdu, il faut essayer de gagner ! Je dois lutter. Lutter pour lutter sans espoir de vaincre mais avec toute la rage qu’il est coutume d’avoir. « Kr-Kraken ! Finissons-en ! » Rugis-je, ma crinière rousse dansant dans la folie ambiante. Un tentacule sort des décombres de la cabine et s’enroule autour de moi. Je mords, griffe, frappe,  tente de me soustraire à son emprise. J’essaye de prouver que je suis en vie. La prise se desserre mais une autre m’emprisonne la jambe. La pression est insoutenable, j’ai juste le temps de prendre une grande bouffé d’air avant de franchir la surface défiguré de la mer. Je le vois en entier maintenant. Est-il gigantesquement grand ou moi ridiculement petit ? L’écart est immense, et alors ? Je n’abandonnerais pas. Je n’abandonnerais plus. Je me saisis de mon collier de coquillage, agrippe le plus coupant et lacère sa peau. Aucune coupures, aucun signe de blessures, et alors ? Je le fais, car je dois le faire. Je n’ai presque plus d’air, la pression commence à me compresser la tête mais soudain le tentacule se contracte et me lance violemment. Tout va si vite. Je passe pour la deuxième fois à travers un mur d’eau et atterrit sur une pierre froide mais douce. On dirait une grotte. Parcourant le sol grenu, les stalagmites et les stalactites se croisent sans jamais se toucher, troublant la perception du haut et du bas. Le prédateur n’a pas disparu pour autant. Déplaçant une immense vague d’eau, il surgit de l’immense lac enfouit, bec en avant, tentacules fièrement dressés. Je n’ai… « Approche Kraken ! Je n’ai plus peur !! ». Clap. Clap. Clap. Il y a quelqu’un  derrière moi. Le Kraken reste immobile. Je me retourne, et je le vois, sur son siège de corail que j’imagine trône. Humanoïde mais pas humain, un sirène-poulpe majestueux, royal. Son apparence de vieillard n’est pas trompeuse ;  je regarde ses yeux et j’y vois briller un millier de vie. Il m’applaudit en esquissant un sourire bienveillant, amusé.  Je rêve ou le Kraken vient de me faire un clin d’œil ?! Heu... Je viens de dire : « je rêve » ?...

«  Bienvenue en ma modeste cité oublié d’Octopolis, jeune voyageur ! Le temps où le dernier de tes congénères à pénétrer dans mon antre remonte à bien des âges… En ces temps-là, je faisais encore parti du conseil des Sept Mers Oniriques et j’étais craint de tous. Mais allez savoir ce qui s’est passé de votre côté, dit-il en haussant la voix, plus personne n’a peur du Kraken, ni de ses petits frères et sœurs !  Personne…  à part toi » Son ton brusque se radoucit, et ses yeux semblaient voir plus loin, au-delà de l’amas rocheux qui nous entourait.

L’homme poulpe vient de me parler. Je n’ai pas tout compris mais tout cela me semb… IL PARLE ! Réveil toi Jakob ! Réveil toi ! Un seul moyen, une bonne droite devrait suffire !
***
« Hé ! T’es pas un peu taré toi ? Qu’est-ce qui t’as pris de faire ça ? »

D’où vient cette voix ? Ah oui, je me souviens, étrange cauchemar s’il en est. Je peux enfin rouvrir les yeux tranquillement ! … … AAAH ! L’HOMME POULPE !

***

«  Il s’est encore évanouit... J’ai connu, jadis, des voyageurs plus téméraires, jeune homme. Allez debout ! Venez contemplez Dreamland ! La première nuit, on ne l’oublie jamais. Ho, Ho ! »

Ok. La chose est toujours là, j’ai mal à la tête et… et j’arrive à penser et à réfléchir en plein… rêve ? C’est ça, un rêve. Dreamland ?

« Hé, dis-moi Poulpy  Dreamland c’est quoi ? Une maladie mentale ? T’es qui toi ?

«  Ho, Ho ! On accepte la chose alors ! Dreamland, contré des rêves, c’est là où tu te rends chaque nuit. Mais celle-ci est différente, tu as vaincu ta peur irrationnelle de mon peuple tentaculaire ! Du statut de simple rêveur, tu deviens alors voyageur, Ho, Ho ! Tu prends conscience de ce monde ; ta force est ta peur, et ta peur est ta force. Quant à moi jeune Jakob Baekeland, je suis Okto Dix, ancien conseiller du grand Seigneur Cauchemar des mollusques… Mais je me vois plutôt comme un Roi des Rêves ! Cet endroit n’est-il pas magnifique ?!

Il rigole le vioque, y’a cinq cailloux qui se battent en duel dans sa grotte d’ermite! Tout cela est tellement étrange que… c’est forcément vrai !

« Un seigneur ? » répétais-je la bouche grande ouverte. « Seigneur Dix, vous voulez dire qu’il y a un monde, là, dehors ? Repris-je en montrant du doigt un horizon incertain caché par des kilomètres de de pression aqueuse.

« Ho, Ho ! Déjà une envie de voyager n’est-il pas ? Il est encore trop tôt.

« Hein ? Ne fais pas ton radin mec ! … Enfin je veux dire : pourquoi est-ce trop tôt, Okto ?

«  Ce monde est plus dangereux que le tiens petit homme, et il n’est pas dit que je perdrais mon unique voyageur en le laissant courir un risque encore trop grand pour lui !

« Dis surtout que  sans moi tu risques de t’ennuyer encore quelques centaines d’années…

Il me lance un regard noir et reprend sans faire de commentaire : «  Cette nuit touche à son terme, reviens ici demain et je te donnerais un cadeau inestimable jeune Jakob! Alors seulement, mon Kraken te guidera à la surface en échange de ta promesse de … venir me voir de temps en temps… Nous ferons de grandes choses ensemble ! »

De grandes choses… Ensemble ? Ce vieux crouton m’a convaincu, il se lance des grands airs mais je suis sûr que je vais bien m’entendre avec lui ! Un seigneur déchu et son unique représentant, ça me plait !

«  Oui, seign…

Roi des rêves hein…

«  Oui mon Roi ! »

Autres.

(La première partie de cette section concerne votre personnage, et pas vous IRL)
• Aime : Dire des citations, se plaindre, courir.
• N'aime pas : Les catastrophes qui le poursuivent où qu'il aille !
• Particularités, autres : A dreamland, ses yeux changent de couleur selon son humeur.
• Niveau d'étude hors de Dreamland : 3éme année d'école véto.


• Comment avez-vous découvert le forum ? J'ai taper RPG, j'ai taper Dreamland, j'ai trouver RPG Dreamland ! o/
• Première impression : *Q*
• Pour les DC (double compte) ou TC (triple compte), qui a donné son accord ? /
• Code de validation : Validé

J'espère que je ne 'pique' le pouvoir à personne? Je crois que j'ai terminé

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Bienvenue !

Alors.. Y'a pas de soucis, je ne crois pas que l'on ait un autre voyageur phobique des poulpes. Mais je te pardonne vu que ton perso à des origines hollandaises ^^

Pour le pouvoir, bah, il ne me pose pas de problème.
Tu détailleras tout cela dans ta future fiche technique, avec les PC et tout, c'est expliqué dans le règlement bien entendu.

Pour le code, ce n'est effectivement pas ça.
Le premier mot en fait partie, mais pas la phrase que tu as faite suivre.
Courage ^^

Sinon, une fois avec le code, je validerais bien morpheur rang 2.

.

Merci Lithium ! (Me fais penser à Nirvana!)

Héhé, la Hollande, ses vastes prairies, son accueil, sa gastronomie, ses Krakens... Tout un patrimoine !

Il me semble que le code est plus approprié maintenant ^^

(Comme à Evanescence, la batterie, l'élément chimique..
Bref ^^)

(Un très beau pays que sont les Pays-Bas.
J'ai mangé pas plus tard qu'hier des bitterballen avec ma Oma et Opa.
Mais on s'en fout aussi..)

Donc pour en revenir à notre fiche, il manque seulement un mot au code maintenant
Bientôt fini ! *rire légèrement sadique*

Je commence à voir des crochets partout ! ^^

Et bien si ce n'est toujours pas ça j'accepte les coups de bâton !

Tout est bon pour moi ^^
Cependant, Jaky, voici le lien d'un Invocateur de Mollusque (vi, ici : https://dreamland.forums-actifs.net/t1418-matthieu-furt ) dont tu peux lire une partie du post RP pour t'inspirer, sachant qu'il a déjà commencé à créer un Royaume des Mollusques dont tu fais évidemment partie (les poulpes étant des mollusques ^^).
ce qu'on peut faire, sinon, c'est que la ville dont tu parles n'est qu'une partie du Royaume des Mollusques, et cette ville a son propre roi qui n'est pas forcément le Roi de tout le Royaume (qui serait une sorte de Chthulu).
T'en dirais quoi ?

Je te donnerai ton rang après ^^

Si tu veux dire que le Chthulu c'est le Roi de tout le royaume des mollusques et que mon piètre 'roi' poulpesque n'a qu'une petite ville toute moisi... ça me va parfaitement ! ^^

[J'ai lu le post rp, Matthieu a t-il décrit le Royaume dans d'autre post ?]

J'aime beaucoup la fiche en tout cas ^^

J'hésite perso entre rang 2 et rang 3, et j'invite un autre admin à vérifier.

Bienvenue à toi voyageur poulpesque !

Suite à un vocabulaire relevé, à un phrasé excellent (et ne manquant pas d'air) et à un post rp amusant, je valide rang 3, morpheur.
Certes l'histoire n'est pas très développée (tu l'avoue toi-même, quelle audace !) mais le style est présent.

Voici mon jugement !

Merci à vous deux !

Ca me fait très beaucoup plaisir ^^

Je m'attèle donc à former une fiche technique digne de ce nom ! o/