Lutherbin
Diego

Personnage.

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• Nom : Lutherbin • Prénom : Diego • Surnom(s) : Prospect, Mister Tea, Diego le Barjot • Âge : 20 • Nationalité, origine(s) : Européenne • Pouvoir et description : Une sorte de psychopathophobie (la peur d'être fou) Il y aura plusieurs stade à mon pouvoir, que j'expliquerais lorsque que je les maîtriserais. Pour le moment, je peux juste donner a une partie de mon corps, comme mon bras, ou mes jambes, un brin de folie. Je contôle plus ou moins le membre, mais disons qu'il devient un peu plus fort et rapide que la normal. C'est comme un petit bonus de vitesse, ou de puissance. D'ailleurs, la partie de mon corps contaminé devient d'une couloir très noir. Je peux aussi laisser la folie envahir mon esprit, mais ça, je ne le contrôle pas et il me faut une très forte colère pour l'activer, et généralement... C'pas bon pour celui en face... Ou pour moi, ça dépend, assez traître comme pouvoir.

Description Physique.

C'est le genre de mec qui prend soin de lui, sans trop prendre soin de lui. Contradictoire ? Meu nan !
Il se sculpte un corps qui sert, avec du muscle et du gras ! Un ventre de bière avec des abdos ! Quoi pas possible ? Et bien si, lui il y arrive. C'est sur, c'est pas le mec de Never Back Down, tout pleins de testostérone, qui va s'entraîner pour foutre une branlée a des jeunes bourgeois perdus dans leur vie. Ca veut pas dire qu'il est mou du corps.

ENFIN BREF !
Du visage, yeux bleux, visage fin, quelques petites taches de rousseurs sous les yeux, un p'tit bouc généralement sur le menton, de temps en temps, souvent une clope au bec, ou une bière a la main. Après, pour le reste, il a deux bras, deux jambes, une quequette, des poils au pattes et un chouilla entre ses deux pec'.
Ha, modification corporelle ! Un piercing a l'oreille gauche, un tatouage sur l'épaule droite, mais ça, je ne le décris pas, a vous de le découvrir

Style vestimentaire, et bien... ça va du ample au moulant. Il aime bien être torse poil, mettre des sarouels courts, ou longs d'ailleurs, ainsi que de temps en temps des pantalons coupes longues. Les couleurs, ben.... ça dépend aussi, mais pas du trop flashy pour le bas !
Le haut, T-shirt sans manche, marcel, avec manches, manches longues, couleurs unies ou avec des saletés écrit dessus, vive l'humeur vestimentaire hein !
Par contre, jamais les mêmes chaussettes ! A ça non, pas moyen de trouver la bonne paire ! et côté caleçon, soit des caleçons shorts, soit de temps en temps des boxers. Classe hein ?

Ha, puis un chapeau aussi, avec deux plumes dans le lacet frontal de cuir. Chapeau de feutre beige, d'ailleurs. Et dont le cuir a déteint sur le feutre, due au pluie qu'il se prend sur la tête
(Minimum 15 lignes complètes.)

Caractère.

Gentil, le mec posé, mais qu'il faut pas emmerder. C'est pas forcement qu'il va taper sur la gueule, non, juste qu'il peut avoir du répondant, et puis, si il faut en venir au poings, il va pas se retenir, que ce soit pour se faire démonter, ou démonter. Après, la colère lui grimpe vite au cerveau, et il est beaucoup moins cool que d'habitude, même pas du tout cool.
Histoire de vous donner une idée, et d'alimenter le cliché, c'est un fumeur de joint, un baba cool rebelle qui refait la société, assis dans son jardin !
Après, allez pas penser que c'est un mou du bulbe, non non. Il sait ce qu'il veut, et se donne les moyens... Enfin, quand il le faut!
Un peu grande gueule, ouais, c'est pas faux. Et puis évidemment, il aime les filles, donc, j'vous laisse imaginer son comportement, yep, dragueur posé. Quoique la plupart du temps, ça lui arrive de venir, de dire "s'lut, t'es méga belle ! Adios" et pop, il part.

Il a son avis sur tout, et il n'hésite généralement pas a le dire. Il ne mâche pas non plus ses mots. Tiens, il peut être aussi feignant... Et contradictoire ! Sans déc' ! Et il n'aime pas ne pas avoir le derniers mots !

Un truc qui le fait kiffer a fond, c'est les voyages. Ouaip, c'est un vagabond dans l'âme, pas super fun de rester emprisonner trop longtemps au même endroit. Et puis, si il pouvait se trouver une petite poupée qui le suivrait dans son camion, que du bonheur ça !
Et puis le thé. IL kiff le thé !
(Minimum 15 lignes complètes.)

Histoire.

Une famille avec des parents, ouais, des p'tits frangins aussi, même des p'tites frangines ! Et oui, issus d'une famille nombreuse, il n'a jamais eu de moment a lui tout seul, toujours entouré par ses frères, ses soeurs, a les surveiller sans pouvoir pour autant s'amuser lui-même.
Puis vient le jour ou les parents se séparent. Le moment difficile de l'enfance, qui en bouleversent plus d'un, et Diego ne fut pas l'exception. Habitant tout d'abord chez sa mère, qui était la figure de douceur comme dans toutes familles. Puis vint le moment ou elle fut déborder par tous ses enfants dont elle devait s'occuper toute seule. Son père, évidemment, les aidait comme il pouvait, mais l'absence de la figure paternelle, qui n’apparaît que toute les quinzaines n'était pas suffisant pour laisser la pauvre mère respirer. Etant déjà âgé de 16 ans, il prit la décision, pour le bien de sa mère, de déménager chez son père.
Il s'installa donc chez son père, continuant sa vie d’adolescent, essayant de lâcher un peu du leste a sa mère, ce qui en fait, n'arrangea pas du tout les choses sans le soutien du plus grand. La pauvre, de constitution faible, finit par lâcher prise maintes fois. Le nombre de fois ou il dut rentrer, lui est son père, pour essayer de redresser sa mère.
Alors que Diego ne vivait que seul avec son père, quelques uns des plus grands durent aller habiter chez le paternel aussi. Une émigration obligatoire pour laisser respirer la mère. La famille fut diviser en deux. Et malgrès tout l'amour que Diego pouvait porter a celle-ce, il n'en pouvait plus. Est-ce qu'il pourrait se retrouver a un moment seul ? Il avait maintenant 18 ans, et les études supérieures commençait tout juste... Pour tous, sauf pour lui. Il s'exila dans un petit appartement, ou il dut se trouver rapidement un petit job pour survivre, ses parents ne roulant pas sur l'or, et ne pouvant le financer aisément. Le contact avec la famille se rompit petit à petit, toujours de plus en plus distant.
Il se créa ainsi sa vie, à se faire des petits jobs, se retrouvant a vivre en communauté, au milieu des champs, apprenant des choses de la vies sous un autre angle. Il se créa sa personnalité de vagabond, se déplaçant la ou il pouvait survivre grâce a un travail généralement peu payé. Mais qu'importait pour lui l'argent, il ne voulait pas vivre sur l'or, juste de quoi se nourrir, c'était largement ce qui lui suffisait, et débrouillard, avec ça, c'est la bonne recette !
Il se retrouva plusieurs fois dans différent pays, Ecosse, Thaïland, Chine, Irlande, Angleterre, Italie. Il y'a toujours moyen de se faire comprendre, et l'apprentissage de la langue pour lui n'était pas un gros problème. Il est loin d'être multilingue, juste qu'il sait se faire comprendre.

L'explication de ma phobie : Toute simple, le contrôle de mon corps et de mon esprit sont les choses que j'ai de plus précieuses au monde. Ouais, je sais, étrange, en sachant que j'me fume des pétards, et que j'picole pas mal. Sachez seulement une chose, jamais je ne vais trop loin. Nan, sinon, l'effet est immédiat. Crise de panique, vomissement, j'deviens malade, horrible. Et c'est pas cool a vivre, ni a voir d'ailleurs. Ouais, j'me suis bourré la gueule, ouais j'me suis défoncé totale. Justement, je connais, et j'avoue que je joue avec le feu. Seulement, j'ai toujours le contrôle sur moi-même. Et j'ai souvent cette sensation d'aller trop loin, qui peut apparaître alors que je m’apprête juste a prendre ma 1ere bière.
Plus concrètement, il s'avère qu'un jour, j'ai eu une discussion avec ma mère, qui a finit par avouer; après avoir reçus deux membres de la familles, dont l'homme avait des sautes d'humeurs très instables; que les hommes de son côtés de la famille, avait tous un syndrome génétique qui apparaissait vers la quarantaines et qui entraînait un trouble du comportement incontrôlable, des excès de colère. Voila principalement d'ou vient la "phobie" de devenir fou.
(Minimum 25 lignes complètes.)

Poste Rp.

(Ce post nous montrera votre niveau RP, il portera sur le moment où vous avez vaincu votre peur ou, si vous avez vraiment aucune idée, sur un passage de votre vie, mais il a intérêt à être intéressant ...)
Je n'ais jamais vraiment eu de mal a contrôler mes rêves. Enfin, évidemment, cette maîtrise vient avec le temps. Quand j'étais enfant, c'était souvent que je faisais des cauchemars récurant, toujours avec cette incapacité de pouvoir contrôler mon corps, ma vue qui se brouillait, mes gestes qui devenait lent... Ce besoin de courir aussi vite que possible, sans pour autant arriver a décoller ces pieds du sol.
Mais la maturité m'avais gagné, et la plupart de mes simples cauchemars sans importances devenait facile a déjouer.
Pourtant, un nouveau type de rêve venait de faire place, ou une créature des plus difformes, sans consistance ni réelle apparence me menaçais, se transformant en personne qui j'aimais le plus au monde. Tout cela apparaissait si vrai... La douleur que je ressentais quand cette créature qui ressemblait a mes amis... A ma famille, venait m'insulter, me frapper, sans que je puisse rien y faire. La panique qui me faisais vibrer l'estomac au point de me rendre nauséeux, cette peur, toujours grandissante, au fond de mes entrailles, qui finissait par me paralyser a tel point que je ne pouvais même pas fermer les yeux, et mon esprit qui se troublait de plus en plus, qui divaguait, lançant devant mes yeux, par flash, des images ou je voyais mon assaillant déchiqueté, réduit en bouillis, dans une rage incontrôlable. Et cela faisait des nuits que ça duré. Comment arrêter ce calvaire ? Je n'en dormais plus la nuit. Marre de toujours me réveiller, trempé dans mes draps, les larmes au yeux. J'aurai jamais pensé que je serais phobique a ce point... Je n'avais même jamais réalisé que j'étais phobique. Ouais, j'aime pas me bourrer la gueule, ni me défoncer complètement la gueule a n'en plus rien bouger parce que ça me plaît pas... Mais de la a en faire des rêves.
Certaine fois, je me retrouve avec mon corps tout inversé. Je veux aller a droite, alors je vais à gauche. Mais merde ! Ecoute moi ! Tu es MON corps ! C'est MOI qui te contrôle... Personne d'autre ! L'insomnie me gagnait tranquillement, comme un rêve éveillé. Mais bon, j'ai jamais été trop bon pour me taper des nuits blanches, et c'est souvent que je tombe écroulé dans mon lit. Mais cette chose est toujours la, a rire, se moquer de mon incapacité a ne pouvoir me mouvoir correctement, a faire grimper cette crainte en moi.
Mais CETTE nuit la... je vais lui botter le cul. J'ai plus 5 ans... Je ne pleure plus pour ce genre de chose, je suis un homme merde... Et j'aime dormir ! Alors on va pas venir, toutes ces nuits, m'empêcher de m'éclater dans le pays des songes !

Je me prépare, comme d'hab'. Je me roule un petit joint, je me prend une petite bière. Peut être que c'est juste mon cerveau qui me joue des tours... Maintenant que je suis prêt, elle ne seras plus la, cette chose.
Je ferme les yeux, et m'endors rapidement dans un arôme de weed et de houblon.

Un brouillard est la, dans mes yeux... Floutant ma vision. ce n'est pas cette nuit encore je pourrais dormir tranquillement. Alors que je m'avance tranquillement, je me sens lourd, et déjà fatigué. Je vois de moins en moins... Ou peut être que ça ne change pas non. Une petite crainte s’empare de mon estomac, mais qu'importe, je décide de l'ignorer.
Je sens des présences autours de moi. Je sais bien que cette chose est la, entrain de me regarder. Finalement, le brouillage visuelle se lève enfin. J'arrive a bien voir, pour de bon. Secouant ma tête un instant, je me retourne. La chose est la, juste en face de moi. Tombant sur le cul, j'ouvre grand la bouche et pousse un cris aiguë dignes des plus blondes filles de la Terre ! La sueur me coule sur le front, alors que je me relève et m'apprête a courir. Comme d'habitude, a ma plus grande crainte, mes jambes se font lourdes, mon corps se fait lent. Pourquoi je ne peux pas courir normalement ! Je le fais tout les jours ! Mais la, je buug !
Rassemblant le peu de courage qui fait encore battre me coeur, je m'arrête et me retourne, la peur panique au ventre, tout tremblotant sans pouvoir m'arrêter. La créature est la, une grande bouche sur son difforme de corps noirâtre souriant de toutes dents. A quoi bon me parler, elle me terrorise déjà assez... Serrant mes poings aussi fort que je peux, me mordant la lèvre jusqu'au sang, larme au yeux, sueur dégoulinant le long de mon front, la BETE est la. Et vient enfin le moment le plus redouté, le moment ou tout m'échappe, ou je ne contrôle plus rien, ni même le battement de mes paupières, ni même ma respiration.
La "chose" devant entame sa métamorphose, toujours souriante de son unique bouche. Voila qu'apparaît mon ex.

"Pourquoi elle ? Ce n'est pas comme si elle m'était chère maintenant... Enfin... Un peu, mais c'est finit, pourquoi cette grogniasse ?! Libère moi et je te pète la tronche ! J'te fais bouffer tes dents !.... De quoi ? Mais pourquoi ça ? Pourquoi je me met a penser comme ça, moi ?"

Ma vu change, le monde se déforme, alors que mon ex s'approche tranquillement de moi, immobile, narquoise. Elle me tourne autours, rigole, me susurre dans l'oreille des moqueries, vexantes, s'amuse a me pincer. Des folies imprègnent mon esprit, des larmes coule, je vois ma familles morte, moi complètement a côté de la plaque, attaché, drogué au médocs, entouré d'un univers blanc, des gros gars qui me tiennes, un rapport médicale clamant ma démence.

"Tu aime ce que tu vois...?" La voix de mon ex, Laetitia, qui résonne dans mon crâne alors que mes yeux ne me montre que les images de mon esprits.
"Tu vois, t'es pas bien toi non plus, dans ta tête. Ta mère, elle t'as ratée a ta naissance, t'es pas finis en haut, t'as un grin. C'est tout ce que tu mérite, c'est la chaise. Tu te rappelle, le CPE de ton collège ? Il avait dit que tu devais être interné ! La discussion avec ta mère... Sur les hommes du côtés de sa famille ? Vers la quarantaines, ils pètent les plombs.... toi, ça seras plus tôt, toi, ça seras plus grave ! Non, pas que de simple petits troubles du comportement, toi, tu seras timbré... Et ça viendras n'importe quand ! Avec tes futurs enfants... Tu va déborder !"

Ma colère grimpe rapidement en moi, me faisant de plus en plus paniquer. Elle envahit mon crâne, elle envahit mon corps, les images que j'aperçois se font de plus en plus violentes. Des enfants apparaissent, les miens, enfin, les futurs miens, apeurés par leur propre père qui se met a les battre. A battre sa femme. La panique folle s'empare de moi, je m'écroule par terre pendant que Laetitia continue de me tourner autours, avant de reprendre enfin sa forme de monstre sans forme devant moi, la grande bouche blanche toujours souriante d'un air moqueur, accusateur, chuchotant :

"C'est finit avec lui, il va encore se réveiller. Ça devient si facile avec lui... Même l'attaquer physiquement, ça devient lassant."

Deux petits yeux apparaissent sur cette masse, un complètement a gauche au dessus de sa bouche, et l'autre complètement vers le bas.

"Tu sais qui je suis ? Je suis l'image même de cette maladie qui te ronge le crâne. Je suis ta folie que tu refoule et dont tu ne fais qu'essayer d'oublier ! Mais je suis la, je suis devant toi, et plus tu auras peur de moi, et plus je deviendrais incontrôlable, plus je prendrais du pouvoir sur ton corps ! Niahahaahha ! regarde moi ! Je suis toi actuellement !"

Se transformant, elle se met a m’imiter, tout en me déformant, ma tête devient ma jambes, alors que mes yeux deviennent mes doigts, mon nez devient ma bouche, plus rien ne devient cohérent.
Levant ma tête, je la regarde, fixant mes yeux sur sa bouche, anéantis, la morve coulant de mon nez... ou de ma bouche. Plus rien n'est pareil, plus rien ne le seras jamais maintenant. C'est juste finis.

"T'ES QU'UN PUTAIN DE CAUCHEMARS !"

Lançant mon poings, ou mon pieds, ou ma tête, ou bien mon nez ! J'en sais rien, me lançant juste dans la masse difforme du miroir de mon corps, hurlant dans ma tête ou dans l'air

"ÇA ME FAIT CHIER ! SI TU ES MOI, ALORS FINISSONS EN MAINTENANT, DEVIENS MOI, MAIS QUE ÇA S’ARRÊTE !"

Mon corps se déchire, mon esprit s'efface, des fissures apparaissent sur mon corps, une lumière blanche apparaît, m'innonde..... Puis POF ! Me voila sur pieds, sans aucune peur, ni sueur dans une plaine pleine de couleurs, de pitits papillons, de sons ravissant, de senteurs exquise.

"Beuh.... C'quoi ça..?"

je lève mon poings, regarde ma main, me touche partout. Tout est à sa place. Je vois correctement, j'entend, je pense normalement.
Et d'ailleurs, je vois une énorme seringue de taille humaine s'approcher de moi, courte sur pattes, avec de petits bras tenant une machine de carte bancaire, de gros yeux sur son corps.

"Tiens ! Un rêveur a pris ses médicaments aujourd'hui ! Bienvenue a Dreamland !"

Arquant les sourcils, penchant la tête, je regarde cette drôle de chose s'approcher de moi, et me piquer rapidement le bras avec son enooorme aiguille, aspirant un liquide noir de mon corps.

"AIE ! Mais putain ! Casse toi de la !"

Lançant mon pieds dans sa direction, la seringue s'écarte rapidement, sautillant sur place, la machine CB laissant sortir un son mécanique, avant de cracher en toussant une petite feuille rectangulaire toute blanche dans ma direction.
Me frottant le bras qui venait d'être piqué, et tout en avançant vers la seringue pour lui faire passer l'envie de me piquer en guise de bonjour, j'attrape la petite carte, m'arrête sur place, et lis a voix haute.

"Bienvenue a DreamLand, vous êtes maintenant un voyageur, veuillez lire les informations au dos de la carte !
Cordialement, le service d'Hospitalopolis."

Je relève la tête, sans rien comprendre, pour voir la seringue partir vers d'autre lieux étrange. Je regarde autours de moi rapidement, pour m'apercevoir que je ne suis pas seul, entouré de personnes humaines ou non, difformes ou pas, sautiller et vaquer a des occupations des plus étranges tels que parler a ses doigts, lécher ses pieds, ou tenter de faire un château avec des bouts d'herbe.

"Heu.... Ouais..."

Je retourne la carte, pour voir l'encre apparaître au fur est a mesure que mes yeux lisent le texte qui se montre sur le papier blanc.
Et c'est ainsi que je suis devenu voyageur, ouaip !

Autres.

• Aime : Des millions de choses ! La nature, les voyages, les filles, le sports, la fumette, la buvette, les soirées, les amis, la vie quoi.
• N'aime pas : Heu.... Les.... Bonnes questions ! Les méchants ?
• Particularités, autres : S’éclate a se balader dans Dreamland !
• Niveau d'étude hors de Dreamland : Le BAC, et quelques années a la FAC, mais rien de plus.
• Comment avez-vous découvert le forum ? Google est mon amis !
• Première impression : Il a l'air très fidèle a l'univers J'aime
• Pour les DC (double compte) ou TC (triple compte), qui a donné son accord ?
• Code de validation : Validé