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Wandsworth Unit

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Ed Free
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Ed Free
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MessageSujet: Wandsworth Unit Wandsworth Unit EmptyDim 23 Nov 2014 - 20:13
WANDSWORTH UNIT




On sait peu de chose sur le groupe qui se fait appeler Wandsworth Unit, pour l’instant ils n’ont été aperçus que dans la zone 1, souvent non loin du métro, et on ne leur connait aucun signe distinctif sinon qu’ils se surnomment par des numéros et que leurs officiers ont une sorte d’uniforme qui n’est pas sans rappeler celui de certaines forces de police du monde réel. Pourtant ils ne cherchent pas à faire régner l’ordre et certains de leurs membres se retrouvent souvent mêlés à des combats improvisés pour des raisons parfois obscures ou futiles.

Objectif : Il semblerait que le chef de ce groupe de voyageur ai dans l’idée d’en faire une sorte d’armée de mercenaire. Certains dirigeants de royaumes mineurs de Dreamland se seraient vu offrir leurs services, contre rémunération bien entendu.

Effectifs : Leur nombre est estimé à une quinzaine de voyageurs dont un tiers semble être des officiers. Mais même les officiers ne sont pas connus, aucun des membres du groupe n’est dans Dreamland depuis plus d’un an excepté son chef. Le voyageur le plus célèbre de ce groupe est probablement le taré surnommé Psycho mais il ne semble pas toujours agir pour le compte du groupe.

Recrutement : Ils ont tendance à avoir un gros turn-over de nouvelles recrues inexpérimentées à la mortalité très élevée. Pourtant ils ne semblent pas ouverts à tous les voyageurs, la façon dont ils recrutent est un mystère.



Brownswick
Walter

PNJ.

Wandsworth Unit 8uYHDdb


  • Nom :  
  • Prénom :  Walter
  • Surnom(s) : Brownswick
  • Âge :  44 Ans
  • Nationalité, origine(s) : Anglaise
  • Occupation : Inconnue
  • Phobie :  La peur de décevoir son père l’a transformé en manieur de pistolets.
  • Description :  Manieur d’un artefact rang A qui est composé de deux pistolets jumeaux avec lesquels il est très précis et très rapide. Rien à voir avec les pistolets du monde réel, les munitions de ces armes dépendent de ses sentiments. S’il est en colère, ce seront des sortes de coups de poings un peu explosifs qui atteindront ses victimes.  S’il a peur, il tirera une sorte de gaz qui le dissimulera à la vue de ses adversaires. S’il est contrarié, des sortes de fléchettes anesthésiantes. Il n’est pas toujours maître de ses émotions ce qui fait qu’il ne prévoit pas toujours quel type de munition il va avoir.
  • Rang : 6
  • Classement : Ligue M  - 1436




Description Physique.

Brun, les tempes un peu dégarnies, quelques mèches blanches dans les cheveux, c’est un homme d’une quarantaine d’année à l’apparence assez quelconque. De taille et de poids moyen, sa silhouette n’attire pas le regard, à une époque il a été athlétique mais le manque d’efforts au quotidien a commencé à faire qu’il s’est empâté. Dans le monde réel comme dans Dreamland, il est en général vêtu d’un costard gris ou bleu prêt à porter. Ses yeux sont un peu petits pour son visage, lui donnant un air un peu espiègle, son nez et sa bouche sont assez quelconques. On pressent cependant que ce n’est pas un visage habitué à sourire, lorsque, à de rares occasions, il se laisser aller à dévoiler ses dents blanches, ça lui donne un air un peu dérangé, un peu malsain.


Caractère.

Dans le monde réel c’est quelqu’un d’assez blasé, pas grand-chose ne l’étonne, pas grand-chose ne l’atteint. Il est un peu comme tous ces gens qui préfèrent contourner une vieille dame qui vient de tomber plutôt que de l’aider à se relever. Il a un peu perdu espoir, il ne rêve de rien, il n’espère rien, il se contente de ce qu’il a en se disant que chercher à avoir mieux c’est prendre le risque d’échouer. Il n’est pas très intéressant, du coup il a peu d’ami qu’il voit rarement, mais la solitude ne le dérange pas plus que ça, il s’y est habitué.
Dans Dreamland il se montre un peu plus exubérant, il a soif de pouvoir et de richesse, il tente tout ce qu’il n’ose pas dans le monde réel et y évacue toute ses frustrations. Il prend un malin plaisir à s’en prendre à plus faible que lui, que ce soit physiquement ou mentalement. Il est prêt à tout pour augmenter sa puissance dans le monde onirique et il est bien décidé à devenir un voyageur qui compte.


Histoire.

Fils d’un policier de Scotland yard assez célèbre, Walter n’a qu’une envie depuis qu’il est né, celle de marcher dans les pas de son père. Lorsqu’il était enfant et qu’il jouait avec les autres bambins, c’était toujours lui le gendarme, il refusait catégoriquement d’être le voleur. Il n’avait pas non plus envie de jouer au cowboy, tout ce qui l’intéressait c’était d’imiter son père et de s’imaginer ses aventures.  Pour qu’il travaille bien à l’école, il avait suffi de lui dire que seuls les bons élèves avaient une chance d’entrer à l’école de police.  Une fois adolescent, son père lui rappela que s’il fréquentait les mauvaises personnes il risquait de s’attirer des ennuis et en conséquence le jeune homme se coupa un peu de ses camarades, continuant sa scolarité solitaire, mais irréprochable.
Les choses commencèrent à se gâter pour le jeune Walter lorsqu’il voulut entrer à l’école d’officiers de la police. Il ne suffisait plus d’être studieux, il fallait se donner à fond pour réussir ce concours  et il lui fallut trois tentatives pour y parvenir. Trois ans gâchés pendant lesquels l’estime que lui portait son père ne cessa de décroitre. Mais une fois accepté dans cette école, les choses ne devinrent pas plus faciles, bien au contraire. Le jeune Walter peinait dans toutes les matières et lorsque les matières physique comme l’endurance où le tir au pistolet commencèrent à augmenter en coefficient. Il n’était pas spécialement nul ou maladroit, mais il était trop moyen dans ces matières pour réussir, même avec l’entrainement exceptionnel qu’il s’imposait, à rattraper le niveau de ses camarades de promotion.
Les examens annuels ne firent que confirmer sa moyenne et, devant se rendre à l’évidence qu’il louperait l’examen final, il dut arrêter cette école. Il entra dans l’école de police classique où il termina ses classes avec facilité cette fois, mais sans obtenir la reconnaissance paternelle tant espérée. La tête pleine de l’espoir de gravir les échelons pour devenir inspecteur comme son père ou chef de service, il se mit donc à arpenter les rues, en bon policier Londonien. Cependant il y avait une chose à laquelle ni ses études, ni son enfance, ne l’avaient préparés, c’était la réalité de la rue. Il n’avait jamais participé à une bagarre, il n’avait jamais approché la drogue, il n’avait jamais vu d’alcoolique et il ne connaissait que les théories sur les crimes. Il ne supporta pas ce quotidien bien longtemps et à la première occasion il se précipita sur un poste derrière un bureau. A partir de ce moment il coupa tout lien avec son père, ne voulant plus lire la déception dans son regard.





Dilun
Sélène

PNJ.

Wandsworth Unit QUSYvEU


  • Nom :  
  • Prénom :  Sélène
  • Surnom(s) : Dilun
  • Âge :  34 Ans
  • Nationalité, origine(s) : Anglaise
  • Occupation : Inconnue
  • Phobie :  Peur de devenir folle
  • Description :  C’est une invocatrice de camisole, lorsqu’elle touche quelqu’un, elle est capable d’invoquer ce vêtement de force, contraignant les gens victime de son pouvoir. La solidité de la camisole dépend du temps qu’elle met à la former, ainsi que de la durée du contact avec l’individu.
  • Rang : 5
  • Classement : Ligue M  - 4922




Description Physique.

Grande femme aux courbes alléchantes, elle sait se faire respecter. Une démarche légèrement ondulante, fière, reflétant abusivement un égo démesuré, elle s’aime et ça lui va. De beaux cheveux bruns coupés dans un carré assez plongeant qui rehausse la finesse de son cou et son port de tête gracieux. Un visage au teint clair qu’elle maîtrise à la perfection. Le moindre regard est calculé, ses sourires sont calibrés au centimètre prêt. Tout n’est qu’une histoire de gueule, pour elle quand on sait ce vendre, le reste n’est plus que formalité. Aimant les lingeries légères, qui ne défonce pas la peau, vous pouvez toujours imaginez le plus mignon des strings, mais ça restera un délire dreamlandesque.


Caractère.

Quand on veut quelque chose, on doit se battre pour l’avoir. Principe de base assez simple, c’est sans complexes qu’elle agira démesurément si la situation lui semble ingérable. Un compliment sur son déhanché travaillé à la salle de gym, un sourire polis accompagné d’une brève et subtile révérence. Un commentaire sur sa tenue légère, un bon petit majeur levé en l’air avec un clin d’œil dont vous vous souviendrez. Sportive et compétitrice qualifié, elle adore se jeter dans des histoires. Eprouver ses limites, affronter les forts en aidant les faibles, plus que tout il lui faut du défis. Alimenter cette vie ennuyeuse en péripéties fumeuses est un besoin instinctif dont elle ne démord pas. Capable du pire comme du meilleur, c’est sans peine qu’elle refuse de s’attacher aux autres. Hommes comme femmes, ne l’ont jamais comprise. Comment le pouvaient-ils ? Adepte des crises d’hystéries, c’est haut et fort qu’elle s’exprime quand l’envie s’en fait sentir. Rare sont les fois où elle garde des choses pour elle, craignant l’overdose, c’est en s’exprimant sans limites qu’elle passe pour quelqu’un de sociable et chaleureux. Hypocrite, franche, chiante et adorable elle s’aime et vous devriez l’aimer aussi !


Histoire.

Sélène n’est pas partie avec des cartes gagnantes dans la vie, sa mère a toujours été quelqu’un de fragile mentalement. Enfant timide, puis adolescente brimée, elle finit par devenir une adulte minée de complexes et de manque d’assurance. Elle finit néanmoins par trouver un beau jeune homme qui prit le temps de faire sa connaissance et de l’aimer. Ils se marièrent rapidement et eurent leur premier enfant dans la foulée. Malheureusement les insécurités de la jeune femme eurent tôt fait de la pousser vers des comportements détestable. Jalouse, dépressive, suspicieuse, elle fit vivre un enfer à son mari, pourtant patient, qui finit par la quitter, sans se retourner. Même si elle était très jeune à l’époque, la malheureuse Sélène se souvient encore des terribles crises d’hystérie de sa mère qui perdait parfois tout contrôle. Elle ne se souvient pas de son père mais ne lui tient pas rigueur de son abandon, le malheureux avait essayé mais personnes n’aurait pu supporter sa mère à cette époque. Malgré tout ce qu’elle avait fait pour le provoquer, le divorce eut raison de la stabilité mentale de sa mère qui craqua totalement. La jeune mère sombra dans une profonde dépression, ponctuée de crises d’hystérie incontrôlables et finit par tenter de se suicider. Ce fût la malheureuse Sélène âgée alors d’une demi-douzaine d’années qui trouva sa mère allongée dans une baignoire emplie de sang. Traumatisée, mais malgré elle préparée à ce genre de découverte, la gamine eu la présence d’esprit d’appeler sa grand-mère qui fit intervenir les secours, juste à temps. La dépressive fût internée suite à sa tentative et elle ne ressortit jamais de l’institut psychiatrique dans lequel elle est toujours.
La jeune Sélène reçut donc l’éducation un peu strict mais bien plus saine de sa Grand-mère, une femme dure mais aimante qui fit ce qu’elle put pour faire oublier à l’enfant tout ce qu’elle avait vécu. Mais il y a des blessures qu’on ne guérit pas…





Monroe
Wade

PNJ.

Wandsworth Unit RTqE3vn


  • Nom : Monroe
  • Prénom : Wayne
  • Surnom(s) : Il aime se faire appeler Chef ou Boss
  • Âge : 56 ans
  • Nationalité, origine(s) : Anglais d’origine écossaise
  • Occupation : Inconnue
  • Phobie : Wayne a peur de perdre sa plus grande fierté physique, la force et les muscles de ses bras.
  • Description : Cette peur s’est transformée en bras qui deviennent  disproportionnellement grands et musclés lorsqu’il le désire. Personne ne peut rivaliser avec lui au bras de fer et gare à ses coups de poing, même les rochers n’y résistent pas.
  • Rang : 4
  • Classement : Ligue M  - 3858




Description Physique.

Wayne est légèrement plus petit que la moyenne masculine de son pays, il est, par contre, au-dessus de la moyenne au niveau du poids. Comme la plupart des hommes, lorsqu’ils dépassent un certain âge, il a une belle bouée autour du ventre, héritée des trop nombreuses pintes consommées au long de sa vie. Par contre, au niveau des épaules, du cou et des bras, il a conservé ses muscles d’antan ce qui lui donne un peu un air de taureau. Même si ils ont conservés leurs brun d’antan, ses cheveux ont entamé, il y a déjà quelques années, une retraite vers l’arrière de son crâne. Ainsi exposé, son visage bourru, sans aucune délicatesse, lui donne l’air d’un alcoolique notoire même si ce n’est qu’en partie vrai.
Dans Dreamland il porte la tenue des officiers du Wandsworth Unit.


Caractère.

Il ne s’agit pas d’un homme avenant, il est assez refermé sur lui-même et ne s’ouvrira jamais à un inconnu. Il est souvent mal-luné, du genre à vous bousculer dans la rue sans s’excuser et sans aucun remord. Il est assez égoïste et fait bien souvent passer son confort personnel avant tout autre considération. Avec ses mais il se force à être le centre de l’attention, quitte à rapidement devenir lourd, mais il lui arrive d’être assez drôle même si ses registres de prédilection sont l’humour raciste et cochon.


Histoire.

Fils d’un chaudronnier employé par une des plus grandes distilleries d’Ecosse et d’une femme au foyer, Wayne est l’ainé d’une fratrie de trois garçons. Bagarreur et mauvais élève il n’eut pas une scolarité exemplaire, même les corrections de son père n’y changèrent rien. A 16 ans il était à la tête d’une bande de loubards locaux, allant de mauvais coups en petits larcins. Malgré plusieurs aller-retour en garde à vue et en prison, il ne pouvait pas s’en empêcher, il avait ça dans le sang, il fallait qu’il montre qu’il était plus courageux que les autres. Il fallait qu’il prouve que lui n’avait pas peur d’aller braquer une supérette ou d’aller se battre contre un type du village d’à côté qui l’avait insulté.

A 19 ans, il du cependant mettre les voiles, lors d’une nouvelle bagarre, il avait un peu trop cogné sur un type et l’avait collé dans le coma. Les forces de police avaient conclu à une sorte d’accident dû à un mauvais coup. Mais les amis et la famille de sa victime ne l’entendait pas de cette oreille, ils étaient persuadés que Wayne l’avait fait volontairement et organisèrent une véritable chasse à l’homme. Le jeune homme se rendit alors compte que ses soi-disant amis lui tournaient le dos plutôt que de l’aider dans ce moment difficile. Au lieu de lui offrir leur soutient, ils ne vinrent pas au rendez-vous qu’il avait fixé pour aller affronter les gens à ses trousses. Puis, lorsqu’en désespoir de cause, il voulut se faire oublier un peu, aucun ne lui ouvrit sa porte pour l’héberger chez lui. Ne voulant pas mettre sa famille en danger en rentrant chez lui, Wayne décida de tout plaquer pour aller tenter sa chance à Londres.

Malheureusement ce n’était pas comme dans les films, on ne devenait pas miraculeusement riche simplement en emménageant dans une grande ville. Pendant des années il alla de petits boulots minables et période de chômage. Il connut l’alcoolisme et la drogue mais eu à chaque fois juste assez de volonté pour ne pas plonger complètement. Il finit par trouver un boulot barbant mais qui lui permettait de payer les factures, petit à petit au fil des années et des démissions de ses collègues il finit par prendre du galon. Désormais perché, il comptait bien faire tirer jusqu’à la retraite sans trop forcer.





Sherpod
Alex

PNJ.

Wandsworth Unit KjXctZH


  • Nom : Sherpod
  • Prénom : Alex
  • Surnom(s) : Psycho
  • Âge : Inconnu/dur à estimer
  • Nationalité, origine(s) : Anglais
  • Occupation : Inconnue
  • Phobie : Peur des médicaments
  • Description : Lorsqu’il a vaincu sa peur, il a acquis le pouvoir de générer des substances psychotrope. Cela se manifeste par la production de gaz, celui qu’il utilise le plus facilement est un décontractant musculaire qui réduit considérablement le tonus musculaire lorsqu’on le respire. On lui connait aussi un gaz euphorisant qui rend ses victimes tellement hilare qu’elles ont du mal à se maîtriser ou un autre gaz, hallucinogène celui-là. Et il ne suffit pas de retenir son souffle, il a aussi une sorte de liquide visqueux qui suinte sur son corps, en contact avec la peau cette substance est un anesthésiant puissant. Il est capable de projeter des gouttes de ce liquide à haute vitesse.
  • Rang : 7
  • Classement : Ligue M  - 958




Description Physique.

Ce qui est sûr, c’est que Psycho ne passe pas inaperçu, un homme au physique d’athlète, son torse nu et musclé couvert de cicatrices et de tatouages difficilement identifiables. Pour ce qui est de son visage, personne ne le connait, il porte ne permanence un masque à gaz nouvelle génération qui ne laisse voir que l’éclat malsain de ses yeux qu’on devine vert. Les motifs peints en rouge sur ce masque rappellent un peu certains de ces tatouages mais ils restent abstraits. Il porte en général un pantalon militaire et des bottes de combat, il n’est pas rare qu’il porte des gants pour éviter de contaminer quelqu’un par mégarde.


Caractère.

Bien des psychiatres se sont cassé les dents à mettre des mots sur le caractère d’Alex dans le monde réel, Psychopathe, Bipolaire, Schizophrène, Sociopathe, Autiste, mais en réalité il s’agit probablement d’un mélange de tout ça. C’est un individu extrêmement difficile à cerner, il est capable de passer du rire aux larmes en une fraction de seconde. De plaisanter avec quelqu’un puis d’avoir envie de le tuer quelques secondes plus tard. Même si il cherche à le dissimuler sous son comportement exubérant et imprévisible, il sait quand même faire preuve d’assez d’intelligence pour ne pas se mettre en danger ou pour manipuler son entourage.


Histoire.

Fils d’une mère adolescente, âgée de seulement 16 ans lorsqu’elle l’a eu, Alex n’a jamais eu de réel foyer. Reniée par ses parents à cause de sa grossesse et de sa volonté de garder l’enfant, sa mère tomba dans l’alcool et la drogue avant même que l’enfant ne soit venu au monde. C’est pourtant d’un bébé en parfaite santé physique qu’elle accoucha quelques jours avant ses 17 ans, dans un dispensaire gratuit d’un quartier pauvre. La gamine paumée trimballa le bambin derrière elle, allant de centre d’accueils, en petits boulots qu’elle ne parvenait pas à garder. Elle finit par abandonner ou par oublier son enfant de trois ans dans une crack-house délabrée ou il faillit mourir de faim et de soif. Seul la pitié des camés les moins déchirés lui permit de survivre jusqu’à ce qu’il trouve la force de quitter cet enfer à la recherche de sa mère. Il finit par tomber sur un officier de police qui le confia aux services sociaux.

C’est durant cette période, trimballé de famille d’accueil en famille d’accueil que le peu de santé mentale qu’il lui restait vola en éclat. Toutes les familles n’était pas mauvaises, loin de là, mais il ne parvenait pas à s’attacher, il ne savait pas comment il devait se comporter. Invariablement il poussait ses hôtes dans leurs retranchements pour voir s’ils allaient craquer et l’abandonner et à chaque fois ils craquaient. Que ce soit en le tabassant jusqu’à l’inconscience ou en demandant à ce que ce démon soit confié à une autre famille.

La seule constante dans sa misérable existence était les psychiatres et leurs foutus médicaments, il fût traité par tous les moyens chimique connus, mais aucun n’eut l’effet escompter. Certains d’entre eux avaient le mérite de l’abrutir suffisamment pour qu’il cesse de se torturer l’esprit mais d’autres étaient de véritables supplices, lui vrillant la tête ou l’estomac. Il en vint à développer une aversion incontrôlable pour tout ce qui se rapprochait d’un médicament. Il entrait dans des véritables crises de folie des que quelqu’un voulait lui faire  une piqure ou avaler une gélule.

Arrivé à l’âge adulte il continua d’être baladé d’asile en prison-asile.





Shaunt
Robert

PNJ.

Wandsworth Unit C4zkPsJ


  • Nom : Shaunt
  • Prénom : Robert
  • Surnom(s) : L’illusionniste  
  • Âge : 24 ans
  • Nationalité, origine(s) : Anglais
  • Occupation : Inconnue
  • Phobie : Peur de ne plus arriver à faire de magie (prestidigitation/illusionnisme).
  • Description : En devenant voyageur Robert est devenu capable de réaliser des illusions plus vraie que natures, disparitions, séparations en deux,  etc… Ses tours lui servent généralement de défense mais par exemple il peut enfermer son adversaire dans une boite et le transpercer d’épées, si ce dernier ne devine pas qu’il s’agit d’une illusion il peut tout de même ressentir la douleur voir en mourir pour les plus faibles d’esprit.
  • Rang : 4
  • Classement : Ligue B  - 148




Description Physique.

Robert n’a jamais eu de soucis avec les filles, même si il est assez féminin, son visage fin est d’une grande beauté. Le genre de traits peu-virils qu’on peut voir sur les mannequins masculins, ses yeux noisette légèrement bridés et son nez aquilin renforce ce côté délicat. Il porte ses cheveux bruns assez longs avec un effet décoiffé travaillé pendant de longues minutes chaque matin.  Il est assez fin mais pas assez grand pour correspondre aux normes des canons de beauté de la mode masculine. Dans Dreamland il voyage affublé de deux accessoires bizarres, un chapeau haut-de forme dans lequel une plume a été fiché et une cape qui a un jour été noire mais qui depuis a bien vécu, la couleur est passée et elle est rapiécée à de nombreux endroits. La cape, le chapeau, son cou et ses doigts sont tous couverts de breloque tape à l’œil. Il y a de tout et n’importe quoi, du plaqué or, du plaqué argent, de fausses pierres, bref, il n’est pas difficile de deviner qu’il aime le tape à l’œil.


Caractère.

C’est un jeune homme facile à vivre, il est presque toujours souriant et de bonne humeur, il est assez ouvert et sait écouter. Il sait aussi animer une soirée, il aime être le centre de l’attention mais il évite d’être « lourd » il arrive à savoir quand s’arrêter, même si généralement il pousse volontairement le bouchon un peu plus loin. Il est assez taquin et apprécie les gens avec qui il peut disputer des joutes verbales intéressantes. C’est un séducteur, il aime se sentir désiré, peu importe par qui, en conséquence il déteste les personnes qui l’ignorent. Il aime avoir un coup d’avance, réussir un tour que la personne en face de lui ne comprend pas.


Histoire.

Fils de deux cadres londoniens, Robert fût confié dès sa plus tendre enfance au soin d’une nourrice, c’était une femme bien, dans la plus pure tradition des nourrices anglaise. Son enfance fût donc tout à fait paisible, entouré d’enfants qui appartenaient au même milieu que lui. Même s’il souffrait d’un manque d’amour chronique de la part de ses parents qui avaient fait cet enfant un peu comme un signe un accord commercial pour signer une alliance économique,  il n’en montrait rien. Il grandit donc à peu près normalement, c’était un gamin normal un peu espiègle, qui aimait faire tourner sa nourrice en bourrique. Tout partit en vrille lors de son entrée au collège, quand ses parents jugèrent qu’il pouvait désormais se débrouiller seul et congédièrent la gouvernante. Le sentiment d’abandon du jeune homme le poussa à faire toute sorte de bêtise pour attirer l’attention de ses parents. Il commença accumuler les mauvaises notes  et les mauvais comportements à l’école. A 14 ans il fumait déjà comme un pompier et était bien connu du commissariat du quartier pour divers vols à l’étalage. Ses parents ne savaient pas quoi faire et ils se lassèrent vite de le punir et de l’enguirlandé, ils se bornèrent alors à le sortir de prison lorsqu’il y allait. Cela dura un moment comme ça, jusqu’à ce qu’il retrouve sa valise devant la porte et les serrures de l’appartement familial changées. Le message était clair et il ne fût que peu affecté par ce nouvel abandon qu’il voyait venir depuis des années.
Il fut donc adopté par la rue et se mit à vivre de ses petits larcins jusqu’à ce qu’il rencontre un magicien de rue qui accepta de lui apprendre quelques tours pour qu’il puisse s’en servir pour se faire un peu d’argent. Il se révéla un élève consciencieux et appliqué, il était très doué pour ça, les cartes volaient entre ses doigts, les balles disparaissaient dans sa manche à une vitesse folle, il dépassa rapidement son maître et commença à créer ses propres tours, mélange d’illusion et de prestidigitation. Cependant, il trouvait qu’il n’était pas reconnu à sa juste valeur et en avait marre de vivre dans la rue alors que son talent aurait dû lui ouvrir les portes des plus belles salles. Il se mit alors à utiliser ses dons pour voler les passants et les commerçants, mais même en étant très doué il finissait toujours par se faire attraper et passer quelques mois à l’ombre. Peut-être qu’avec Dreamland il trouverait une échappatoire à sa frustration du monde réel.



By Corey Cole
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