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Quête: Le voleur de sucreries (pv. Regis Delacroix)

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Lou Nowak
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MessageSujet: Re: Quête: Le voleur de sucreries (pv. Regis Delacroix) Quête: Le voleur de sucreries (pv. Regis Delacroix) - Page 2 EmptyMar 20 Sep 2016 - 15:03
Il était nuit. Ses pas las arpentaient le pavé de la capitale où se dessinaient les ombres des bâtiments, la fin d'une journée éreintante rythmait son allure nonchalante. Les cours l'avaient occupés tardivement et son esprit, lui, était occupé à concocter une recette pour un gâteau d'anniversaire. Fâcheusement, ce n'était pas n'importe quel anniversaire mais, celui d'une de ses rares amies proches. Un sac à cabas remplis de courses étaient crochetés à ses fins doigts et elle peinait à le transporter dans la ville. Les appartements du campus ne tardaient pas à se dessiner au loin, la toisant de leur grandeur étouffante avant d'avaler son corps frêle de leur présence. Digne d'une épreuve d'Héraclès, les escaliers s'imposaient pour gagner le pallier du second étage, celui où elle logeait, seule, dans son petit nid douillet. Après avoir enfoncé la clé dans la porte, elle dut lutter contre le mécanisme rouillé pour l'ouvrir dans un grincement strident. Elle fut accueillie avec plaisir par l'odeur habituelle du tabac froid et la chaleur tendre des alcôves. Porte fermée, les courses éparpillées sur la table et plusieurs ustensiles sur le plan de travail, elle entamait sa création. Avec l'élégance d'une danseuse dans un ballet, elle parcourait sa cuisine à la recherche de ressources comme d'informations. Cette histoire de gâteau l'obnibulait car, malgré ses aisances culinaires, elle n'avait jamais mitonné d'entremets.
Une ellipse la guidait dans sa cuisine puis, jusqu'à son lit. Les effluves de pâtisseries embaumait les pièces étriquées. Elle s'était affalée sur le matelas usé avant de s'allumer une cigarette. Le bout rougeoyant s'animait à intervalles réguliers en même temps que ses fins doigts portaient le cercueil de tabac à sa bouche. Un long baîllement décrochait sa mâchoire, il était minuit passée et clairement l'heure de se coucher. Le mégot fut écrasé au milieu de ses confrères, empalés dans le cendrier comme dans un cimetière. Gauchement, elle se déshabillait avant d'envoyer ses vêtements voler dans la pièce puis, se glissa dans les draps chaleureux. Un lourd soupir lui échappait, expiant ainsi sa journée de dur labeur. Elle ne cessait de penser à la pâtisserie, torturée par l'hypothèse que son gâteau soit trop sucré, trop fondant, trop écoeurant, un excès de trop, de pensées, elle pouvait presque sentir le goût de la pâte rien que d'y penser. Ce gâteau avait son importance pour son sujet. Ses paupières furent bientôt closes et ses pensées se teintaient d'extraordinaires avant d'être éprises de Dreamland.

Le cauchemar dans une robe sucrée, le croque-mitaine en pain d'épice et des sucres d'orges en guise d'armes : une description de son rêve. Un long frisson parcourut l'échine de Lou quand son pas allégé n'arpentait plus des rues pavés mais, un sol à la texture amorphe et apathique. Ses yeux louchèrent sur chaque structure battie de sucreries et où les individus avaient l'air affreusement appétissant. Au loin, elle vit l'ombre d'un humain, de chaire et d'os, comme elle, qui semblait progresser dans cette ville sans crainte. Après quelques minutes à se convaincre de la lucidité de son rêve, elle fit quelques pas maladroits sur le sol moelleux pour se diriger hasardément au gré des rues. À plusieurs reprises, elle vint se frotter les mains, le visage, pincer ses joues ou encore la peau de son poignet et la douleur, bien que légère, était présente. Elle ne put réprimer ce grand sourire qui étirait ses lèvres et forçait les rides du sourire. Ici, elle se sentait en sécurité, vivante, appaisée et curieusement bienséante. Brusquement, elle se mit à courir jusqu'à en perdre haleine, se perdant dans les rues sucrées de cette cité et ce, jusqu'à arriver dans un quartier plus sombre. Elle avait visité une immense place publique où la densité de population était replète puis, nombreuses rues où la foule la toisait alors qu'elle jouait des coudes et des mains pour en sortir. Une ruelle bien plus sombre et usée lui fit soudainement face.
Essouflée, elle se tenait les mains sur les genoux fléchis, bras tendus, reprenant son souffle devant cette intersection déserte. L'androgyne remarquait seulement son endurance décuplée. Certes, les effets de la course la tiraillait ; ses muscles cuisants ; ses poumons peinant à retrouver souffle ; la sueur perlant le long de sa nuque et pourtant, elle avait parcouru une distance extraordinaire par rapport à ses habitudes.
— « Ce rêve est un peu trop lucide... » souffla t-elle pour elle-même avant de se redresser pour faire gémir ses muscles de quelques étirements.

Malgré la qualité amoindrie des bâtiments, tout était toujours batti de sucreries et ceci creusait son ventre mais, elle n'avait guère de quoi à payer. Elle farfouillait dans ses poches à la recherche d'une porte-feuille mais, elle était démunie de toutes affaires personnelles. Un lourd soupir franchi ses naïades. Elle peinait à suivre le tourbillon de ses pensées. Depuis quelques temps, elle avait fait nombreuses recherches sur les rêves lucides mais, dans la totalité des informations trouvées, il était clairement écris que même dans les rêves lucides, la douleur, les efforts, n'importe quelle sensation physique n'était pas ressentie sous peine d'engendrer le réveil. Un borborygme eut l'effet d'un frémissement dans le flot de ses pensées. Ses sensations physiques se manifestaient trop clairement pour que ça ne soit qu'une lucidité de Morphée. Un des éléments qui fut sujet à son attention atténuée par l'onirisme de l'environnement, était l'enseigne en chocolat soutenue par des filets de réglisses qui indiquait une taverne. Partagée entre l'envie d'en franchir les portes malgré la crainte de ne pouvoir payer et celle qui lui rappelait qu'elle rêvait, la demoiselle restait pantoise, devant, pendant un instant. Décisivement, d'un pas assuré, elle fit coulisser la porte de pain d'épice, persuadée que de toute manière, rien ne pouvait lui arriver ici.
Des regards hostiles comme singuliers furent happés par la présence soudaine. La plupart des clients paraissaient délicieux à croquer mais, elle put se rattacher à un semblant de réalité en observant cet homme au comptoir, attablé, un humain de chaire. À son tour, elle se hissa nonchalemment à ses côtés, sur un tabouret alors que ses pieds ne touchaient le sol. La chaleur enveloppait son corps mais, cela n'avait rien de désagréable. Comme partout et encore plus dans cette taverne, une odeur de pâtisserie régnait, comme celle de son appartement. Les yeux rivés sur la carte affichée, elle s'hummectait les lèvres d'envie. Un pain d'épice tenait le comptoir, bedonnant, aux cheveux de réglisses grisonnant et à l'air bouffi. Son allure lui donnait la sympathie de l'androgyne qui le faisait patienter.
— « Une bière-à-papa s'il-vous-plaît. » murmurra t-elle d'une voix étouffée comme par crainte d'être entendue.
— « Je vous serre ça ma petite dame. »

Pour patienter, elle laissait traîner son regard furtif, instable, incapable de s'arrêter à certains éléments tant certains l'intéressaient. Le jeune homme à ses côtés paraissait plus âgé, plus grand, bien batti, elle crevait d'envie de l'aborder mais s'en avérait incapable. Le bruit sonore de la pinte sur le comptoir l'enlevait à sa sémiologie. D'un sourire, elle remerciait le serveur qui - fort heureusement - ne lui réclamait pas encore la somme convenue pour la consommation. Intimidée par l'environnement, elle trempait délicatement ses lèvres dans le liquide sucré pour se remettre de ses états. Le goût était absolu. Le sucre se mariait à merveille avec l'alcool et la substance en bouche était agréable. Ses papilles s'émerveillaient à goûter ceci quand ses pupilles s'émerveillaient à découvrir son environnement.
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Regis Delacroix
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MessageSujet: Re: Quête: Le voleur de sucreries (pv. Regis Delacroix) Quête: Le voleur de sucreries (pv. Regis Delacroix) - Page 2 EmptyMar 20 Sep 2016 - 20:45


J'avais passé la matinée devant l'ordinateur du travail. Un logiciel ouvert, je faisais tourner des pièces pour les emboiter les unes avec les autres afin de constituer les machines de mon entreprise. L'implantation d'une nouvelle installation était intéressante, mais là, j'avais la flemme. Et toutes ses normes de sécurité, cette paperasse!! J'avais ouvert de temps à autre un bloc note pour y écrire ma précédente nuit. Ainsi... Ainsi il y avait trop de ce mot à mon gout! Ainsi quelque chose, ainsi soit-il! Un mot utilisé pour définir un pseudo échec, un manque d'originalité! Ainsi j'étais resté chez moi car j'avais rien à faire. Ainsi je m'étais masturbé faute d'avoir une copine. Ainsi j'avais disparu, sombré dans l'oubli pour ne m'être jamais affirmé! Oui, cette petite affaire me frustrait: je ne voyais pas comment attraper un téléporteur et mener une enquête correctement avec un type qui avait trois fois plus de muscles que de cerveau. Quoique, pour le cerveau, je n'aurai rien parié sur sa taille, de peur de me faire avoir car il ni en avait pas... Bref! Je notais que je devais me rendre dans les quartiers mal famés, trouver un certain bordel pour trouver une certaine prostiscure enfin prostituée. De là, je pourrai peut-être remonter la piste jusqu'à Willy et le Voyageur lanceur d'éclair au chocolat. C'était claire: ce mec j'allais me le faire! J'ignorais encore comment, mais ça viendrait.

L'après-midi, en ayant marre du bureau, j'étais allé à l'atelier pour préparer quelques supports métalliques. Après avoir découpé de la ferraille, l'avoir ébavuré, je me disais que cette odeur d'acier: un peu piquante, désagréable au premier égard, m'étais si agréable. Je soudais ensuite mes morceaux pour les tenir entre eux. Les pointant d'abord pour vérifier mes mesures et les soudant ensuite. Pareil, l'odeur de l'acier qui fond, l'émanation du gaz du poste à souder, le bruit de crépitement... J'aimais tout cela, j'aimais être dans cet atelier à bricoler. J'en avais oublié Dreamland et ce royaume sucré.

Le soir, me faisant un rapide repas tout en me posant devant une série télé, je réfléchissais à moitié à ma nuit. J'allais donc retrouvé Servaas pour chercher une pute dans un bordel situé dans un quartier chaud... Autant chercher une aiguille dans une botte de foin. Ainsi j'étais prêt à abandonner comme dirait l'autre. Mais ce n'était pas mon genre, obstiné comme je l'étais, une semaine pour y arriver ne me faisait pas peur. Plus, là ça serait surement du vice... Enfin on verra. Terminant le paquet de dragibus, je m'envoyais un grand verre d'eau avant de me mettre au lit. Le royaume du sucre...


------------

J'ouvrais lentement les yeux, sachant déjà où je me trouvais à cause de l'odeur écœurante du sucre. De nouveau les pieds sur des pavés en bonbons, je regardais les maisons en pains d'épices et les toits en sucre glace. J'avais dis une chasse pouvant aller jusqu'à une semaine? Nan, peut-être pas. Tout ce sucre risquait de me filer un excès de diabète bien plus tôt que ça. Glissant machinalement ma main dans mes cheveux mi-longs, je tentais de me repérer, faisant tourner les rouages de mon intellect pour me remémorer la nuit précédente. Je reconnaissais cette échoppe, ce type en marshmallow aussi. Je fis alors quasiment demi-tour pour prendre la rue en sens inverse afin de la remonter jusqu'au bar qui était plus loin. Passant devant les magasins fermés, voyant leurs propriétaires la mine dépité, au bord du gouffre même, j'en avais presque pitié.

Habillé d'un débardeur gris, des bracelets multicolores aux poignets, des boucles d'oreilles avec un trèfle et un carreau de l'autre. J'avais également un pantalon large et noir, des baskets ordinaires aux pieds pour une fois. Je m'étais arrêté devant la vitre du bar pour m'observer, voir si une fois de plus, j'avais cet aspect de clown. Et oui c'était le cas. Mais un clown un peu plus sinistre que d'accoutumée. J'avais également une étoile sur la joue et une larme sur l'autre de dessiné. J'entrais finalement dans le bar, ne me préoccupant pas un instant des regards des occupants: qu'est-ce que j'en avais à foutre de toute façon? Ces types devaient déjà m'être reconnaissants, j'avais sauvé une fois leur obèse maire d'un enlèvement orchestré par son fils. Bon ok, je n'avais pas fais grand chose hormis patauger un peu dans la boue et me griffer les mollets dans les ronces, mais quand même! Et là, j'essayais quand même de retrouver les recettes de ces attardés pour relancer leurs commerces. Si ça c'était pas la preuve que j'étais un mec bien! Bon... Il y avait normalement une récompense à la clé et tout travail mérite salaire. Et personne n'était supposé savoir qu'à la base ça m'avait fait chier de me retrouver embarquer là dedans.

Je m'installais au comptoir, fixant le serveur en pain d'épice. Je lui commandais une bièrobeur, j'avais lu ça dans Harry Potter et ça semblait super bon. Me doutant qu'ils en avaient, je voulais goutter. Et je ne m'étais pas trompé! J'en profitais pour poser quelques questions.

"Vous avez pas vu mon compagnon de la nuit précédente? Grand costaud, cheveux longs, petit bouc.
-Si il était là il ni a pas longtemps puis il a disparu. Surement un réveil intempestif.
-Et merde..."

Donc Servaas s'était réveillé et je n'avais plus qu'à l'attendre pour poursuivre l'enquête. Quoi? Y aller seul? Et c'est moi qui vais soulever les mecs, coller des claques et les menacer tout en posant des questions? M'avez bien regardé? Genre je vais me salir les mains? Comme qui dirait: b*tch please! J'allais donc patienter le temps qu'il s'endorme et se pointe. J'aurai même une excuse pour lui en vouloir, le faire culpabiliser et l'exploiter d'avantage! Fourbe moi? Si peu! Le serveur m'apporta finalement ma bièrobeur, je le remerciais et bu un longue gorgée. C'était incroyable chaud mais dans le sens revigorant: ça réchauffait tout mon corps sans pour autant me brûler la gorge ou la langue. Un gout de beurre, de gras quoi mélangé subtilement à celui de la bière. Par contre, c'était vachement sucré mais bizarrement: pas écœurant. Finalement, il était pas si pourrit que ça ce royaume pensais-je en affichant un sourire un peu idiot.

Cela faisait une bonne demi-heure que je patientais au comptoir. J'avais vidé trois pintes de ce liquide ambré et sucré sans pour autant me sentir ivre. Dans mes souvenirs, Harry et ses potes, des adolescents pouvaient en boire alors qu'ils n'avaient pas le droit à l'alcool dans les bars. De là, j'en concluais que s'il y avait de l'alcool, c'était en faible quantité. Je notais alors la présence d'un étranger à coté de moi. Quoique... Une étrangère en faite. Déjà au timbre de sa voix timide quand elle commanda sa boisson. Puis à sa coupe de cheveux: courtes et bleu coloré, mais une mèche retombant sur le visage. La coupe typique de la goudou pensais-je sans en dire mot. Après, qu'elle marche à voile ou à vapeur, cela ne la regardait qu'elle, moi tant qu'on me laisse regarder... Je veux dire qu'on me laisse tranquille! Bref passons. Elle portait des lunettes, les oreilles percés et une allure de mec. Franchement, si elle n'avait pas parlé, j'en serai resté à: c'est un mec, point barre. En jetant un regard en coin, je notais que ses lèvres étaient celles d'une femme, trop pulpeuse pour un mec. Ou alors un mec trop efféminé. C'était peut-être un mec un peu androgyne? Me souvenais d'un pote, avec qui j'avais passé ma dernière année de cours, il avait le visage fin, les cheveux longs, il faisait plus fille que certaines filles de la classe. Et pire encore: il avait un succès auprès des filles qui était incroyable au point que cela en devient un crime. Donc, mon collègue de table, ouais appelons le ou la ainsi pour pas s'emmerder, me lançait des regards en coin et semblait hésiter à me parler. A un moment, j'ai bien cru que l'individu le ferait mais il se ravisa pour boire sa bière à papa. Putain quelle idée de génie, une bière avec la consistance de la barbe à papa! Si j'arrivais à fabriquer la machine capable de faire ça dans le monde réel, je déposerai le brevet pour devenir riche en quelques mois! Je tournais alors lentement sur ma chaise pour observer cet androgyne en affichant un sourire que je voulais poli, ou aimable, ou du mec sympa. Enfin un truc qui met en confiance malgré mon look de clown psychopathe à tendance meurtrière. Pourquoi du gris et nu noir franchement? Un peu de couleur m'aurait filé un aspect plus sympa, plus abordable et surtout moins... Louche? Donc, le pain de service aux épices avait dit ma petite dame, c'était donc une nana? Pouvait-on faire confiance au jugement d'une sucrerie? Je n'en savais rien et en fait, je m'en moquais... Un peu.

"J'ai un truc sur le visage?"

Ok, niveau social et gentillesse ainsi que tact, je me posais telle une grosse mouche à merde sur une bouse encore fumante. Bien joué Regis, tu viens de briser la glace avec monsieur-dame comme un chef! Après, j'avais toujours des dessins sur les joues, donc ça pouvait passer pour une blague, je tentais de faire mine que c'était le cas. Mais en même temps, tous les regards en coin que l'androgyne m'avait lancé, à un moment, faut bien s'attendre à une réaction de la cible de ces regards non?

"Bref passons! J'ai eu une journée de merde et la nuit précédente était pour le moins frustrante! Déjà venu plusieurs fois au royaume du sucre ou c'est un dépucelage?"

Cette fois-ci, le ton et la forme y étaient. Quoique la blague un peu de mauvais gout, j'en conçois surtout sans savoir si c'était un mec ou une nana. Si c'était un mec, il prendrait ça à la rigolade. Si c'était une nana... Mon dieu faite que ce n'est pas un cul serré qui va se sentir outrer pour si peu... Et si c'était une satanée féminazi? Vu le look... Merde, je venais de lancer un débat stérile et barbant avec une putain de féministe qui allait me rabattre qu'il y a plus que le sexe masculin et féminin, qu'il y a une multitude de genres et... Si c'était le cas, j'invoquerai la puissance du "ta gueule" et je me casserai quitte à devoir attendre Servaas dehors.
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Lou Nowak
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MessageSujet: Re: Quête: Le voleur de sucreries (pv. Regis Delacroix) Quête: Le voleur de sucreries (pv. Regis Delacroix) - Page 2 EmptyLun 3 Oct 2016 - 0:37
Ce protagoniste était curieux. Un truc trappu qui prit aux tripes. L'androgyne peinait à lui accorder un regard stable. Son estomac se retournait quand elle croisait son regard. Elle s'accrochait aux autres éléments oniriques à la recherche d'explications. Explications qui ne pouvaient qu'être issues de ses lèvres étirées en un air fourbe, presque malicieux. Ses paupières se plissaient comme si pouvait en découler des informations. Elle analysait tout chez lui ; de ses mèches rouquines jusqu'à son teint pâle, sa peau de son. Ce fut quand elle corrélait ses vêtements colorés et ses tatouages à un désir d'attirer l'attention, qu'il ouvrit la bouche. Le son de sa voix vint perturber l'analyse et elle osa timidement relever les pupilles vers son interlocuteur. Ses joues s'empourprèrent, elle les sentit s'embraser, se teinter de carmin, humour ou colère ? Une étoile, une larme, un visage aux émotions falcifiées par les dessins, oui, il avait quelque chose sur son minoi de faux-clown. La gorge nouée, incapable d'y répondre, elle sentit son palais sec et ses cordes vocales aigres. Ses lèvres remuèrent mais aucun son n'en sortit. Apparemment, ce ne fut en rien une problématique pour lui, qui relançait la discussion avec toujours plus de ferveur. Cette fois-ci, le ton était aimable, l'expression fleurie et le langage familier. Impossible de rougir encore plus mais pourtant, elle sentit la gêne se décupler. Dépucelage... il avait fallu que cela soit ce mot. Un long frisson parcourut son échine. Elle avait guéri de cette phobie mais, le vocabulaire persistait à provoquer ses mésaises.
Le courage se cherchait dans l'alcool ou la drogue. Aujourd'hui, ce serait dans les sucreries. Les doigts sur la anse de sa pinte et le verre au bord de la lippe, elle appréciait le liquide épais qui hydratait sa gorge. Dans un bruit sonore, elle reposait fermement sa coupe sur le comptoir avant de plonger ses iris dans les siens, d'un air décidé. L'aplomb mêlé à la curiosité, elle était prête à parler avec témérité. Une lueur d'excitation se lisait en elle. Elle n'avait jamais adressé la parole à personne dans, ce dit royaume et que rarement dans ses rêves lucides. En vérité, qu'à une seule personne, celui qui l'avait tant sauvé que terrorisé. Elle effaçait ses brefs souvenirs pour retater sa réalité chimérique. Elle n'arrivait guère à définir le terme de royaume.
— « Vous avez en effet quelque chose sur votre visage. Une larme et une étoile, pourquoi ? Je suppose que vous avez tenté une approche par l'humour ? Je ne suis pas spécialement douée pour... comprendre ce genres de choses. » avoua t-elle avant de glisser une main dans sa nuque pour la masser nerveusement.

Dans la taverne, ils étaient seuls humains de chaire et d'os ou de pensées, s'il s'avérait que ce n'était qu'un rêve défait. Malgré l'onirisme de l'environnement, ses élucubrations affirmant que tout ce qu'elle ferait ici n'aurait d'impacte sur sa vie, elle était incapable de se plier à cette logique. Le manque de conséquences devraient entraîner l'inconscience mais, elle restait réfléchie, intimidée et pleine de mésaises.
— « Je me fais dépuceler apparemment. Je ne suis jamais arrivée dans un tel 'royaume' mais, qu'appelez-vous royaume ? On est dans mon rêve non ? Et vous êtes une sorte de PnJ ? Comme dans les jeux vidéos ? Puis, sans vouloir vous offenser, vous avez l'air tout droit sorti de l'univers chimérique, onirique ou vidéo-ludique !  » déclama t-elle avec un rire nerveux.
Effarouchée, elle vint se cacher derrière sa pinte, celle-ci englobant son nez, ses joues, une bonne partie de son fin visage quand elle avalait quelques gorgées. Son cerveau était embrumé par une ébauche d'ivresse qui effaçait ses dernières consciences. Elle se sentait étrangement sensible à l'alcool et pourtant, elle se délectait d'une liqueur chimérique. Ses doigts tapotaient le bois du comptoir alors qu'elle observait d'un regard absent son interlocuteur. L'oreille tendue, elle était attentive, soucieuse mais, craintive.
— « Avec une once de sérieux... que faites-vous dans cette taverne ? Dans ce royaume ? Vous n'êtes pas une délicieuse petite pâtisserie à croquer donc je ne comprends pas la raison de votre pésence ici ? Un voyage ? J'ai ouïe dire que vous attendiez quelqu'un ? Et pourquoi m'adresser la parole surtout ! C'est curieux. » lança t-elle, accusant presque le jeune homme de lui tenir la discussion.
Désamparée, elle cherchait simplement des réponses à ses imcompréhensions. Hors, les tavernes, chefs lieux de la socialisation, des échanges, des ivresses, des tristesses comme de l'allégresse. En soi, le carrefour des informations, des questions, l'endroit idéal pour avoir ses réponses.
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MessageSujet: Re: Quête: Le voleur de sucreries (pv. Regis Delacroix) Quête: Le voleur de sucreries (pv. Regis Delacroix) - Page 2 EmptySam 8 Oct 2016 - 15:08


L'androgyne n'osa pas répondre de suite et préféra commencer par boire une longue gorgée de sa bière-barre à papa. J'adorais quand même le principe de cette boisson! Elle ou il, finit par ouvrir la bouche et au timbre de sa voix, c'était bien une femme. Restait donc à voir si c'était la féministe que je pensais, la goudou anti-mec que je soupçonnais, le garçon manqué que ça semblait être. Ou juste une fille un peu bizarre qui a des gouts tout aussi bizarre. Elle disait donc que oui, j'avais quelque chose sur le visage: une goutte et une étoile. Ce maquillage onirique étrange... Pourquoi? Moi-même je l'ignorais. Peut-être un effet secondaire de mon jeu de cartes? Une sorte de marque disant que cet artefact était à moi? Je n'en savais rien et tant que le jeu serait en ma possession, je ne pourrai pas dire si c'était le cas. Sauf si une nuit les marques n'apparaissaient pas. Reste qu'elle s'excusait presque pour son manque d'humour en supposant que j'en avais fais pour lui adresser la parole.

Elle enchaina en disant qu'elle était ici pour la première fois. Sa façon de le dire, reprenant mes mots, avait quelque chose d'amusant. Entendre une fille sortir: je me fais dépuceler" avait un tant soit peu quelque chose de perturbant. J'avais presque l'impression que c'était un sous entendu pour faire des avances, mais d'un autre coté, c'était moi qui avait lancé le sujet. Aucun doute possible, il ni avait pas de sens caché là dessous. Elle poursuivit avec pas mal de question, ne comprenant pas le terme de royaume, disant qu'elle était dans son rêve et que j'étais donc le fruit de son imagination. Alors déjà poulette, si tout ceci est un rêve: TU es le fruit de mon imagination. Tout ceci sortirait de ma tête et je serai la seule personne réelle ici. Reste que j'en déduisais facilement que c'était une néophyte de Dreamland, qu'elle devait en être à sa première ou seconde nuit en tant que Voyageuse. Devais-je lui expliquer où on était? Sachant que moi même, j'émettais encore l'hypothèse que tout ceci était le fruit de mon inconscient? Après, ses compliments, disant que je sortais tout droit d'un jeu vidéo ou d'un film, ne changeaient pas le fait que je la trouvais bizarre. Mais cette petite était douée pour charmer les gens. Étant un grand consommateur de jeux, de séries télévisées et de films, qu'on dise que j'en sors me faisais plaisir. Surtout que je ne cherchais pas à me donner un air particulier, Dreamland s'en chargeait pour moi.

Son rire nerveux, sa façon de se cacher derrière son verre, montraient son manque de confiance, son malaise suite à notre conversation. Mais pour quelqu'un de gênée ou timide, elle se débrouillait bien: elle parlait presque trop en fait.

"Et bien cet endroit est un royaume onirique. Créé par tes pensées ou les miennes ou par nous deux. On est surement pas les deux seuls à rêver de sucreries je suppose. J'ai l'air sinon d'être un PnJ? Tu crois que je vais te refiler la quête du Graal en sucre d'orge pour t'occuper pour la nuit? J'eus alors une idée. Quoique, je pourrai cela dit."

Elle enchaina de questions, apparemment avide de réponse. Comme la plupart des nouveaux ici, je me souviens m'être pas mal questionné aussi. Questions que je me posais encore régulièrement. Tout ceci semblait trop vrai pour être une chimère, mais, je n'avais aucune preuve de sa véracité. Donc elle me demandait ce que je faisais ici, que j'attendais apparemment quelqu'un, et pourquoi? Que je n'étais pas fais de sucre comme les autres créatures alors pourquoi? Et enfin: qu'est-ce que je lui voulais? Ok, là ça faisait beaucoup. Trop suspicieuse la petite, un poil parano et limite chiante à trop poser de questions. Pouvait pas simplement me demander où on était, pourquoi ça semblait si réel? L'envie de me tirer sans rien répondre me traversa l'esprit. Après tout, jouer les mentors avec une jeune Voyageuse ne m'apporterait rien. Elle ignorait surement avoir un pouvoir, ne saurait donc pas l'appliquer de façon utile ou alors ça sera un bon coup de chance. D'ailleurs, quelle pouvait être sa phobie?

"Ouais, j'attendais quelqu'un. Mais apparemment, il ne viendra pas ou il sera très en retard. Hors j'ai pas toute la nuit pour l'attendre. Ma présence ici? Et bien on m'a engagé, contre mon gré au départ pour aider ces habitants en pains d'épices et cela en est devenu personnel. Pas que je me targue de vouloir sauver la veuve et l'orphelin, juste que celui qui cause des soucis, m'a également joué un sale tour. Le souvenir des éclairs aux chocolats qui volaient sur moi me revinrent en tête. T'avoir parlé, c'était pour passer le temps. J'espérais voir mon associé revenir rapidement et je ne te pensais pas aussi paumée que tu l'es."

Je bu une longue gorgée de ma bière, laissant le suspens monter pour la demoiselle. Normalement, je devais avoir attiré son attention. Quoique, c'était déjà le cas je crois. Je pouvais, pour attendre et m'amuser, lui expliquer un peu où on était. Gagner sa confiance ne devrait pas être si compliqué que ça. Après, ce à quoi elle pourrait me servir, restait encore à définir. Pour le moment, avoir un larbin pouvant servir de chaire à canons, ne serait pas si mal. Et si j'arrivais à lui expliquer un peu tout en lui laissant l'illusion que c'est un rêve, qu'elle ne risquait rien? Non... Si elle agissait ensuite de façon suicidaire, je n'y gagnerai rien. Dieu que cela est compliqué de jouer les bons samaritains. Poussant un soupire, je reposais mon verre pour l'observer de nouveau.

"La nuit précédente ou quelques jours plus tôt. Tu as fais un cauchemar? Dans lequel tu as réussi à t'en sortir et vaincu ta peur je suppose? Et maintenant, tu te retrouve ici, à te demander pourquoi tout semble si réel et comment cela peut-être possible? Je marquais une pause, afin d'ajouter un peu d'intrigue à tout ceci. Si je me trompe, dis le moi et on arrête cette discussion. Inutile que je poursuive si tu crois être le personnage principal d'un vulgaire songe dont tu es la propriétaire. Enfin, la vérité pourra sembler étrange, donc veux-tu vraiment l'entendre ou reste dans l'ignorance et l'innocence? Je levais alors la main, pointant un doigt pour signaler une dernière chose. OU alors! En tout bon PnJ de ton imaginaire, je me contente de distribuer ta quête onirique pour la nuit afin de t'occuper l'esprit sans avoir une multitude de questions à te poser! A toi de voir, trois choix s'offrent à toi très chère!"

J'affichais un sourire amusé et sympathique. Finalement, jouer le mentor, le mec qui explique tout, c'était amusant. J'allais aussi pouvoir jouer le PnJ qui propose une quête à la joueuse débutante et la lancer sur la recherche de mon voleur de recette et le fils du maire. Cela ne serait pas forcément productif, mais ça aura le mérite d'être amusant.
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Lou Nowak
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MessageSujet: Re: Quête: Le voleur de sucreries (pv. Regis Delacroix) Quête: Le voleur de sucreries (pv. Regis Delacroix) - Page 2 EmptySam 29 Oct 2016 - 23:56
Engoncée dans sur le tabouret, doublement accoudée au comptoir, les mains jointes et le menton y trônant, elle l'observait d'un oeil intrigué. Ses paroles étaient noyées par ses pensées, il ne répondait jamais clairement, entamant par le sarcasme pour terminer par le doute. Elle oscillait nerveusement les sourcils en le toisant, notifiant de son incompréhension de ses réponses qui laissait à penser qu'il n'avait rien d'un personnage-non-joueur. La plénitude des sens l'enveloppait peu à peu, l'ébauche d'ivresse surplantant son conscient quand elle avalait les dernières gorgées de sa boisson avant de lécher les amas de sucre récalcitrants sur le bord du verre. La discussion était ponctuée de longs silences durant lesquels il semblait bercé de ses élucubrations pendant que l'androgyne était assaillie de controverses quant à cette fréquentation. Elle associait les temps de réfléxion à une manipulation, crainte approchant de la paranoïa d'être utilisée comme un jouet dans ce monde dont elle ne connaissait les limites. Quels intérêts découlaient de cette discussion en sa faveur ? Quelques connaissances dont elle devrait tester la véracité plus tard ? Il lui paraissait de plus en plus aberrant d'avoir osé adresser la parole à ce pseudo-clown tout droit sorti des délires d'un coulrophobe. Civilités de rigueur, elle restait campée sur sa chaise jusqu'à la conclusion de cette discussion. Décisivement, il reprit la parole pour énoncer ses occupations de la nuitée non sans mentionner que dans sa personnalité non-machinéenne, il n'avait pas la stature d'un héros. Lou aurait presque eu l'envie de lui reprocher, ses lèvres se crispant en un rictus dément mais, aucun son ne s'éludait. Après tout, il lui était difficile de faire d'un reproche l'envie de vivre sans soucis. Une philosophie qu'elle glanait par tous les moyens quitte à baisser les yeux devant une scène de violence. Son corps frêle ne lui permettait guère de tenter de sauver la veuve et l'orphelin et ses démons la hantaient, bien que maintenant lui offrant une arme méconnue. Ses joues s'empouprèrent quand il énonçait son désarroi au sujet de la réalité onirique dans laquelle elle évoluait. Le regard instable, elle oscillait entre son verre vide et l'homme-viennoiserie dont les bras en pain d'épice peinaient à nettoyer les pintes. Une boule de gêne commençait à naître au creux de ses entrailles comme un poids sur sa poitrine alors qu'elle s'efforçait de respirer calmement, les doigts agités de spasmes intimidés, il ne pensait certainement pas à mal.
Après une énième gorgée de l'épaisse crème dorée, le clown reprit la parole sous l'oreille soucieuse de son interlocutrice dont les pupilles trahissait une lueur fascinée. Brusquement, il relatait sa vie, son cauchemar, sa peur effacée comme s'il poursuivait ses songes comme un croque-mitaine ou partageait le même destin féérique. Instinctivement, elle hochait lentement la tête pour affirmer ses dires, plongée dans un mutisme et bientôt une immobilité totale. Il lui était nécessaire de réfléchir et prendre une décision rapide. Être humain lambda ou personnage-non-joueur de ses songes ? Ses paroles ponctuées de réfléxions qui changeaient du tout au tout au fur et à mesure du dialogue conjecturaient une intelligence purement humaine et non artificielle. Du bout des doigts, elle tapotait son menton, la tête basculée en arrière et la mine réfléchie. Pourtant, son choix était tout fait. Elle désirait en savoir plus et sa seule source était ce jeune homme.
— « En effet. J'ai eu, il y a quelques temps, un rêve lucide dans lequel je vainquais mes démons. Et maintenant, je ne comprends pas pourquoi l'univers de mes rêves est tellement... lucide oui. Et ce n'est pas pour autant un rêve lucide car dans ce genre de rêve on contrôle totalement notre environnement et ce n'est guère le cas en cemoment. Donc, je vous crois Monsieur Le Clown. Est-il possible de connaître votre nom ? » questionna t-elle avec un amable sourire presque chaleureux alors que sa main fut tendue. Une main à serrer couplée à une esquisse qui haussait ses faussettes. « Donc vous allez me donner une quête à accomplir à vos côtés c'est ça ? Pour remplacer votre ami absent ? Et.... aurais-je un intérêt ? Une récompense à la clé ? »

Sous peu, ils auraient certainement à quitter le lieu d'ivresse et l'androgyne n'avait toujours aucune idée des potentiels moyens de paiement de la taverne. Qu'importait, elle se concentrait sur la discussion et la suite des évènements, vive d'esprit, du regard, les appendices claquant le bois du comptoir avec une furieuse envie de découvrir les origines de cet univers chimérique. Discrètement, elle se hissa jusqu'à l'oreille de l'interlocuteur pour murmurer quelques questions en laissant un demi-mètre entre eux-deux pour ne pas accentuer la situation embarrassante.
— « D'ailleurs, hum... il faut payer pour... cette boisson ? Car, je n'ai aucune idée des moyens de paiment alors peut-être pourrais-tu me dépaner ? » questionna t-elle les joues colorées de plusieurs nuances rougeâtre.
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Quête: Le voleur de sucreries (pv. Regis Delacroix)

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