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Présentation de Rémi Sarrieux

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MessageSujet: Présentation de Rémi Sarrieux Présentation de Rémi Sarrieux EmptyDim 14 Aoû 2011 - 0:15

Rémi
Sarrieux


Présentation de Rémi Sarrieux 42946510
© Avatar taille 160x320 pixels.

    Nom : Sarrieux
    Prénom : Rémi
    Surnom(s) : Panthéon, l’artisan de la guerre.
    Âge : 18 ans
    Nationalité, origine(s) : Française
    Pouvoir et description :



Rémi étais atteins d'Asthénophobie, la peur d'être faible. Martyrisé durant toute son enfance par ses camarades, sa phobie s'est développé alors que par leurs exactions, ses camarades lui faisait comprendre encore et encore a quel point il était faible, et sans espoirs. Depuis qu'il a vaincu sa phobie, Rémi a relever la tête, désormais possesseur d'une nouvelle estime de soit, il a décider de changer sa vie, et c'est désormais avec fierté qu'il brandis Égide, le bouclier qu'il a trouvé lorsqu'il a vaincu sa peur.

Égide : Objet magique de rang S : Capacités spéciale :

- Est indestructible. Est lié a Rémi.

- Protection de l'Égide : Capacité passive tout le temps présente : Lorsque que Rémi/Panthéon réalise 4 attaques (normale, techniques, pas forcement d'affilé), la protection de l'Égide apparaît. La prochaine attaque que subira Rémi sera automatiquement bloqué sans faire de dégâts. Une fois cette attaque bloquée, le compteur d'attaques effectuées repart de zéro.

- Zéonia, les voies de la guerre : Lorsque Rémi revêt Égide et se prépare au combat, Panthéon prête son ancien corps a Rémi, Rémi change alors complètement de corps. L'esprit de ce guerrier est toujours présent dans ce bouclier, et la discussion est les conseils peuvent aller bon train.
Lorsque cela se produit, Rémi choisit une des quatre voies de la guerre qui définirons ses capacités, et peux en changer instantanément a n'importe quel moment, même en combat :

Sparta : Ce est la voie de base de Panthéon, qui représente la culture dans laquelle il a vécu. Sous cette forme, Panthéon possède un casque a crête, une cuirasse rouge, un kilt fait de cuir clouté afin de laisser le mouvement des jambes intact, des jambière de protection, des sandales et une cape.
Cette forme est la plus polyvalente, du fait de la présence de la cuirasse, elle permet d'avoir un bon équilibre entre l'attaque, la défense et la mobilité.

Spoiler:

Barbaria : Dans cette voie, Rémi/Panthéon est uniquement vêtu d'un slip rouge et d'un corset décoratif, ainsi que de son casque de toujours. Cette voie délaisse la défense au profil de la capacité d'attaque et la mobilité, si bien que c'est une voie très technique mais que peux se révéler dévastatrice si bien utiliser.

Spoiler:

Persée : Dans cette voie, Rémi/Panthéon se retrouve uniquement vêtu d'une cuirasse par dessus une tunique, ainsi que de son casque. Ce voie offre donc une moins bonne résistance que Sparta, ainsi qu'une attaque moyenne. La particularité de cette voie par contre est que le bouclier deviennent magiquement réfléchissant de la lumière, un bouclier miroir. En utilisant bien son bouclier, Rémi peux réussir a dévier les rayons du soleil pour éblouir ses adversaires, rayons qui seront magiquement intensifié afin que l'éblouissement puisse se faire.

Spoiler:

The Knight : Dans cette voie, Rémi/Panthéon revêt une armure complète. Cette voie augmente donc de beaucoup la résistance de Rémi, mais réduit sa mobilité, tandis que ses capacités d'attaques sont égales a celles de Sparta.

Spoiler:


Description Physique.

(Minimum 5 lignes complètes.)


Caractère.

(Minimum 5 lignes complètes.)


Histoire.


De la cruauté humaine


« On compare souvent la société humaine a une fourmilière. Mais ce n'est pas ca. Nous somme bien pire. Nous somme cruels. »

Rémi Sarrieux

____________________

« Non, arrêtez ! Ça fait mal ! Arrêtez ! »

Dans un coin de la cours de récréation, par terre au milieu de trois autres enfant, en train de me prendre des coups, c'est la que j'étais. Chétif, timide, peureux et peux combatif, la simple aura que je dégageais devait avoir suffit a faire comprendre a tout le monde que si ils s'amusaient a m'humilier, je ne riposterais pas.
Au début, peu de gamins se moquaient de moi et me brutalisaient, les autres avaient généralement trop pitié pour faire quelque chose. Puis, avec le temps, les autres ont compris que je ne valaient rien, et finalement, tout le monde a fini par prendre goût a me ridiculiser. Les enfants sont des êtres cruels, sans capacités a pensé très loin aux conséquence de leur actes. Quand le premier lance une pierre et qu'il n'y a pas de conséquence grave, les autres suivent généralement très vite. Et la cible, ce fut moi.
Et de fil en aiguille, ca ne faisait qu'empirer. Car bien sur les enseignant finissaient par intervenir, et grondaient ceux qui s'en prenaient a moi, mais de cette façon, je passais pour le chouchou, et de la, la situation empirait encore plus. J'aurais aimé avoir une stature plus imposante, plus de force afin de pouvoir les contrer et me faire respecter, uniquement pour que tout ceci cesse, uniquement pour ca. Mais ca n'étais pas pour moi.
Je ne pu compter que sur peu d'amis durant ces années, mais ils m'aidèrent vraiment. Ils finirent par prendre ma défense face a mes bourreaux, et ainsi, je pu gagner ma liberté. Du moins pour un temps. En effet, mes amis pouvaient me défendre quand ils étaient la, c'est a dire a l'école. Mais bien vite, je fut confronter a un autre problème : le racket, et ce en dehors de l'enceinte de l'école.
Bien vite, les gamins qui m'en voulaient, frustrés de ne plus pouvoir se défouler sur moi dans l'école, apprirent le chemin que je prenais pour rentrer chez moi. Il n'était pas très long, mais cela suffisait. Et la terreur recommença, mais en bien pire.

Le racket est véritablement une situation traumatisante pour un enfant. Harcelé jusque sur mon chemin du retour, j'étais terrorisé, et harcelé. Mon argent fut principalement la cible de mes agresseur, car c'était facile a prendre, a utiliser, et surtout, on ne s'étonnait pas ou peu de son absence. Et bien sur, on ne pouvait rien dire. Pas le moins du monde. Car on connaissait les promesses de souffrance encore plus grande si jamais on parlait.
Puis, vint un moment ou un de mes agresseur fit une erreur que je paya encore plus cher. Il me frappa au visage avec une force trop grande, si bien qu'une marque apparente y fut laissé.
Ce fut ce qui alerta mes parents. Cela faisait déjà un bout de temps qu'il me voyait rentré apeuré chaque soir a la maison, mais, par soucis de ne pas avoir de représailles, je leur disais juste que j' avais peur le soir tout seul, ce qui faisait rire mon père, qui me disait qu'il n'y avait rien de dangereux, et qu'il fallait que je surmonte cette peur tout seul pour devenir un homme, c'est pourquoi il ne venait pas me chercher. Mais cette fois ci, je ne put leur cacher. Il comprirent rapidement que j'étais victime de racket, et grâce a l'aide d'un policier, purent faire arrêter mes agresseurs. Mais ce n'étaient que des enfants d'à peine dix ans, ils furent réprimandés par la police et relâche sitôt, ce n'étaient pas, a leur yeux, des criminels.
Et ce n'est que deux jours après cet incident que je payai mon erreur. Ils me retrouvèrent sur le chemin, et me passèrent a tabac, en évitant soigneusement le visage mais en me ruant de coups autre part, me promettant la mort si jamais je reparlais. Et ce coups ci, vu que mes vêtements cachaient les bleus, rien ne pouvaient alerté mes parents. Pas même mon attitude, puisque désormais, je me forçais a rentrer joyeux afin de ne pas attirer le soupçon.
Et c'est ainsi que cela continua, sans que mes amis ni même ma famille ne fut mise au courant. Puis vint la fin de l'école, et le début du collège.

Mon collège était situé non loin de mon ancienne école primaire. D'abord heureux d'en avoir fini avec les classes primaires, je me rendis compte que bien que l'établissement ait changé, les enfants restèrent les mêmes. Le seul points positifs de ce changement étaient que mes anciens agresseurs partirent dans d'autres établissement que le miens, et que je pu en finirent avec le racket. Mais ce fut le seul, car bientôt, la situation recommença, mais en légèrement différente. A l'école primaire, lorsque les enfants n'en aimaient pas un autre, il le frappaient généralement, mais au collège, c'était différent. C'était plus... subtile. Le violence physique y étaient bien plus moindre, mais une nouvelle violence faisait son apparition : la violence morale. La tête de turcs de la classe. Cahiers détruit, sac volé et caché dans des endroits inaccessible, brimades, moqueries, exclusion de la vie sociale, tout cela fut mon lot, mais aussi et toujours les violences physiques qui bien que moins fréquentes, gagnèrent en intensité. Écrasé, humilié, c'est ainsi que je passai les années du collège, jusqu'à la troisième. C'est a ce moment la qu'il arriva. Un enfant qui venait de changer de collège, et intégrer celui-ci. Je devais sûrement être dans un collège de cons finis, car le seul faite qu'il soit nouveau lui valu a lui aussi des brimades. Pour la première fois, je n'étais plus le seul a subir cela, il y en avait un autre qui partageait ma misère. Et c'est pour cette raison que nous devinrent rapidement amis. Tout deux petits et chétif, lui binoclard avec des lunettes comme des fonds de bouteille, moi boutonneux comme une calculette, nous faisons la paire.

Supporter l'écrasante violence morale fut bien plus facile a deux. En pouvant nous entraider, nous soutenir, nous nous apportions mutuellement un bâton sur lequel nous reposer. J'appris rapidement qu'Alex, c'était son nom, avait changé de collège car ses parents avaient appris sa situation, similaire a la mienne, et avaient décidé de déménager et s'installer dans ma ville. J'appris aussi qu'il habitait non très loin de chez moi, ce qui nous permettait de faire la majeure partie du chemin ensemble. Après des années de galères, les choses semblaient finalement s'améliorer petits a petits.
J'appris a mieux connaître Alex, ainsi que ses parents et sa famille, et réciproquement, bref nous devînmes de très bon amis. Toujours la risée du collège et de notre classe, et cible des brimades, je devais au moins noter que l'aspect racket avait disparu.
Et c'est ainsi que l'année de troisième se passa, et finalement, le collège laissa la place au lycée. Élève plutôt bon tout les deux, vu que c'étaient notre seul moyens d'expression et de réconfort, Alex et moi intégrâmes une seconde générale, et pour notre plus grande joie, dans le même lycée, et dans la même classe !
Avec la venu du lycée, les choses changent. Les enfants murissent, mais certains restent autant sans conscience. La reste de violence physique qui était associé au collège disparut, mais dans l'unique but de faire place au lieu ou règne sans doute la plus grande violence morale, les jugement les plus facile et les rejets les plus fort dont est capable l'humanité : un lycée.
Une nouvelle fois, il ne nous fallu pas longtemps a Alex et moi pour nous faire rejeter par les autres et devenir la risée de la classe, et puis rapidement du lycée. Mais une chose était sur avec un tel établissement scolaire : il brassait beaucoup plus de jeunes. Si bien que nous ne restâmes pas longtemps que tout les deux. Rapidement, nous devînmes amis avec Bertrand, lui aussi rejeté a cause de son physique rond, car nous nous ressemblions et nous nous comprenions. Rejeté par les autres, nous avions perdu fois en l'humanité mais nous n'en avions que faire. Nous étions satisfait de notre sort, brimé mais libre des entraves des autres, seul mais au final toujours a trois, voguant de toute voile vers l'avenir dans notre bateau qui nous semblait indestructible, tandis que le reste des autres s'entretuait pour réussir a tenir sur leur minuscule radeau de la méduse fait de beauté physique, préjugés et cool attitude. Nous étions content, et nous nous permettions même d'à notre tour critiquer ceux enchainer dans leur caverne. Ces premières semaines de lycée furent comme une libération pour moi. Mais cela ne devait durer qu'un temps.


De l'humaine terreur qu'est la phobie :


« S'il y a bien une chose que m'a apprise Panthéon, c'est que la peur est un sentiments humain. Les animaux n'ont pas peur, il ne réagissent que par instinct quand ce dernier leur dicte qu'une situation est dangereuse. Il n'y a que les humains qui peuvent avoir peur d'une situation qui n'est pas encore présente, il n'y a qu'eux qui peuvent être terroriser pour une chose qui n'existe pas. Sachez insuffler la peur dans le cœur de votre ennemi, et vous aurez la plus puissante des armes. »

Rémi sarrieux

____________________

Le drame survint un soir, non loin du lycée, tandis qu'Alex et moi faisions le chemin du retour pour rentrer chez nous. Bertrand n'habitait très près du lycée, il devait prendre un bus pour rentrer chez lui, ce qui faisait que comme a l'époque du lycée, Alex et moi rentrions ensemble. Nous étions sur donc sur le chemin du retour, sur un passage qui coupait a travers un parc lorsqu'une silhouette sombre se planta devant nous. C'était un jeune, une racaille au style vestimentaires caractéristique qui se tenait devant nous. Et je savais pertinemment ce qui allait se passer.

« Wesh ! Sortez votre flouz, filez le moi ! »

Sans chercher a comprendre, j'obtempérais car je savais que l'argent valait moins que des coups, et, d'un signe de tête, incitait Alex a en faire de même. Je sortis mon porte feuille, et sortit mon argent. Dans le même temps, Alex fit de même. Mais d'un geste maladroit, il fit tomber sa console dernière génération de son sac, ce qui d'un coup attisa la lueur de convoitise dans les yeux de la racailles.


« Wesh file moi ca aussi ! »

Voyant qu'Alex avait ramasser sa console et s'y agrippait, la racaille réitéra ses propos :

« File la moi j'te dis ! Donne la moi ! »
« Non ! » gémit Alex en retour. « C'est ma grand-mère qui me l'a offerte, et elle est très malade ! Je veux la garder ! Je veux la garder ! »
« Donne la moi j'te dis ! »

Alors la racaille sortit un couteau; De toute ma précédente vie, ce fut le moment qui me terrifia le plus. Face a la lame froide qui luisait sous l'éclat de la lune déjà haute, je restai paralyser, ne pouvant absolument rien faire.

« Donne la moi j'te dis ! Donne ! »
« Non ! Je veux pas ! »

La racaille tenta alors de lui arracher des mains, mais Alex persistait a s'y agripper. Il s'y agrippa de toute ses forces, la racaille tira de toutes ses forces. Et puis, Alex perdit l'équilibre. La racaille tenta alors une nouvelle fois de lui arracher la console, mais fut surpris par la chute d'Alex qui s'effondra sur lui. Quand la racaille se releva, Alex avait son couteau planté dans le ventre. Terrifié, le wesh détalla a toute allure sans demander son reste, tandis que moi, toujours assis par terre, paralyser, ne pouvais rien faire. Seul un long cri plaintif et terrifié sortit de ma bouche, avant que je m'évanouisse a mon tour.
Quand je me réveillai, j'étais assis, adossé a un camion avec un couverture sur les épaules, entouré de pompiers. Une ambulance était la aussi, et je compris tout de suite pour qui elle était.


« Alex va bien !?! » fut la première chose que je dis quand je pu ouvrir la bouche.

Une mains se posa sur mon épaule pour me calmer, et on me raconta l'histoire.
C'était un voisin qui, entendant mon cri, appela la police et les pompiers après avoir constaté l'état d'Alex. Fort heureusement pour ce dernier, le couteau était par miracle passé a coté de tout organe important, si bien que sa vie n'était pas en danger. Puis, rapidement après les pompiers, ce fut un policier qui me demanda de raconter ce qui s'était passé. Sous ses directives, je lui raconta tout, toute la scène, et lui fit la description de notre agresseur. Ce qui me fit aussi me remémorer avec effroi l'intégralité du drame.
Dans la vie, c'est fou comment certaine chose peuvent être a retardement, comme quelque chose qui ne fait pas mal sur le coups, mais qui vous tuerais de douleur quelques temps après.
Lorsque je fut ramené a la maison par mes parents, je vomis deux fois. Je n'en pouvais plus. J'étais terrifié. J'avais peur de moi, j'avais peur de ma faiblesse, j'avais peur du monde extérieur, j'avais peur d'être faible, et comme je l'étais, j'étais terrifié a l'idée qu'une situation semblable m'arrive de nouveau. C'est a cause de ce drame que j'ai développé ma phobie, la phobie d'être faible, d'être brimé, agressé, et peut être finir avec un couteau dans le ventre moi aussi.
Physiquement terrifié, je ne fut pas en mesure d'aller a l'école pendant trois jours, et ce ne fut finalement que pousser dehors dans la voiture par mon père en me disant que c'était pour mon bien, qu'il fallait que je surmonte ca, que je fut finalement reconduit au lycée. Ce n'est que maintenant d'ailleurs, que je comprend a quel point il avait raison. Mais a cette époque la, je le prenais comme une trahison, un véritable suicide, pire, une amené a l'abattoir.
Alex ne reviens jamais dans le lycée. Je le revis juste une fois, pour qu'il m'annonce que ses parents, suite au drame, avaient décidé de déménage et d'aller s'installer dans une région plus tranquille. Il ne m'en voulait pas, en fait non, il n'aurait même pas compris pourquoi j'aurais pu avoir peur qu'il m'en veuille, puisque lui aussi c'était évanouit. Ce fut la première fois de ma vie non enfant que je pleurai alors que ne me tapais pas.

C'est ainsi que je vécu le reste du temps avec ma phobie. Ayant négocié ferme avec mes parents, j'obtins la promesse de venir me faire chercher devant le lycée chaque soirs et de m'y faire accompagner le matin. Mes parents comprirent rapidement ma peur, et je fus envoyer chez un psychiatre spécialisé dans les jeunes. Les résultats étaient clair, on me diagnostiqua réellement comme étant atteins d'Asthénophobie. Et d'après le psychiatre, ce n'était pas soignable. Il fallait juste attendre que ca parte tout seul. C'est d'ailleurs grâce a ce résultat donné par un médecin que je pu obtenir le droit cité plus haut.
Et l'année passa, rien de mon coté ne disparu, même avec l'aide de mon pote Bertrand. J'étais toujours terrorisé par n'importe quelle situation qui me mettais en face de ma propre faiblesse, et je dois avouer que rien que dans un lycée, il y en avait beaucoup. Mais je ne pu qu'endurer et me résigner a mon sort.
J'intégrai assez facilement la classe de première scientifique options sciences de l'ingénieur, et avec la nouvelle année, arriva deux ados dans notre genre a Bertrand et a moi, deux nouveaux, et ils ne nous fallu pas longtemps pour les inviter a se joindre a nous. Quelque part en moi, quelque chose espérait aussi que où qu'il puisse se trouver, Alex se ferait accepter lui aussi. C'est ainsi que nous avons formé le groupe de quatre amis qui dura jusqu'à la fin du lycée.
L'année de première se fini ainsi sans encombre ni même incident notoires, fort de notre groupe, nous étions la risée mais relativement en sécurité. De même que le début de la terminale, qui j'intégrai comme suite normale a mon cursus. Et c'est a ce moment la que ma vie changea du tout au tout.

Car c'est a ce moment la que je vaincu ma phobie.


De la force d'une nouvelle vie


« L'être humain est véritablement étrange. Il est capable de s'enfermer tout seul dans un mensonge crée par son esprit, de croire a des choses qui n'existe pas. Cela peux réellement détruire sa vie. Mais aussi rapidement que le mensonge peut être mis en place dans l'esprit, il peux se volatiliser d'un coups, offrant alors les joies d'une nouvelle vie. L'être humain est vraiment un animal étrange. »

Rémi Sarrieux

____________________

Je ne peux décrire dans leur intégralité les sentiments et le bonheur qui me traversa lorsque pour la première fois de ma vie, je m'ouvris au monde sans peur. Ce fut tel une nouvelle naissance, une éclosion, sortir de sa chrysalide. Le monde autour de moi chatoyait de couleurs que je n'avais jamais vu, le vent me caressait désormais les joue la ou avant il ne me les fouettaient uniquement, le soleil semblait briller pour la première fois, et ce groupe de gens, la bas, ne semblais plus vouloir me tuer. Et le mieux dans tout ca, c'est que je savais que j'étais faible. J'avais a peine un corps d'adolescent chétif. Bien que d'une taille moyenne, j'étais très fin. J'étais capable de m'énoncer cela sans trembler de peur. Et j'avais pris une décision. Depuis que j'avais rencontrer Panthéon, j'avais acquis un modèle, un but a atteindre. Désormais, je voulais devenir plus fort. Afin de l'égaler. De changer ma vie.
Mes parents, sommes toutes très relativiste, acclamèrent ce changement par un bref « Enfin ! » pour mon père, et un « Je suis content pour toi chéri ! » de ma mère, mais ils furent tout deux d'accord que cela allait grandement faciliter leur vie que de ne plus a m'avoir a m'accompagner au lycée chaque matin.
Dès le lendemain, je refit le chemin tout seul. Mon estomac ne pu se retenir de se nouer quand même une dernière fois lorsque je passai sur les lieux de notre ancienne agression, mais je réussis a surmonter l'épreuve. Et j'arrivai devant l'entrée du lycée. Je venais de finir mes premiers pas. Mes second furent de m'inscrire dans un club de karate, où je débutai les cours le soir même, et dans une salle de musculation. Aussi bizarre que celui puisse paraître, je me révélai assez doué pour ces deux sports. Rapidement, mon corps montra les premiers signes de changement, se raffermi au même rythme que ma confiance en moi. J'avais changé. Final de mon changement, un jour, une brute de mon lycée tenta de me pousser dans une de ses brimades sur ma personne. Tel que je l'avais appris, en karate dans la vie réelle et en pankrasion a Dreamland, sous la tutelle de Panthéon et des autres, je lui attrapai sa main tout en suivant son mouvement, puis la tordis violemment. Il chuta par terre dans la seconde, ne pouvant aller contre les mécanismes de son corps. Puis je lui délivrai un coups de poing en plein dans la mâchoire, profitant du fait que sa tête soit retenu par le sol derrière, assez puissant pour lui faire sauter deux dents. Et la scène s'était déroulé devant tout le monde, vu que l'on était en plein hall. Bien que je l'avais complètement relâché après mon coups de poings, un surveillant vint rapidement me séparer de mon adversaire tandis que ce dernier gisait par terre, complètement sonné. Après passage dans le bureau du directeur, et vu le motif de self-défense, j'écopais au final de bien peu, a peine un jour d'exclusion du lycée pour violence. Même chez moi, on fut plus surpris qu'énervé, et mon père parut même enchanté de la situation.
Mais le plus important, c'était que j'avais désormais gagner le respect de mon lycée, et mon groupe d'amis et moi ne furent plus jamais la cible de remarque.

Panthéon, j'ai fait le premier pas vers toi.



Poste Rp.

(Ce post nous montrera votre niveau RP, il portera sur le moment où vous avez vaincu votre peur ou, si vous avez vraiment aucune idée, sur un passage de votre vie, mais il a intérêt à être intéressant ...)


Autres.

Aime :
N'aime pas :
Particularités, autres :
Niveau d'étude hors de Dreamland :
Comment avez-vous découvert le forum ?
Première impression :
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Trouble
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MessageSujet: Re: Présentation de Rémi Sarrieux Présentation de Rémi Sarrieux EmptyDim 14 Aoû 2011 - 12:00
salut Rémi! bonne chance pour ton DLC! Petite précision: j'ai rien contre les inspirations diverses et variées, mais League of Legend, Seriously?
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MessageSujet: Re: Présentation de Rémi Sarrieux Présentation de Rémi Sarrieux EmptyJeu 18 Aoû 2011 - 11:51
Y a pas à dire, j'adore les prez de Rémi XD

Peu importe l'inspi ! Vivement la suite !
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