• Nom : Takeshi • Prénom : Satoru • Surnom(s) : Pas encore. • Âge : 21 ans • Nationalité, origine(s) : Japonais / Italien • Pouvoir et description : Lors de son enfance, Satoru était atteint d'Agoraphobie. Cette peur a cependant été surmontée et fut remplacée par une autre : celle de la médecine. Cette phobie une fois vaincue en Dreamland permettra au voyageur de créer toutes sortes de substances en rapport avec la médecine comme des médicaments, des drogues ou encore des poisons ... Pas vraiment destructeur ce pouvoir permets cependant à celui qui le possède d'accroître ses capacités grâce à ses propres produits, voir même celles d'un allié. Bien entendu les effets néfastes peuvent être utilisés envers ses adversaires. En gros cette phobie lui offre plusieurs alternatives, plutôt tactiques que puissantes.
Description Physique.
D'un noir de jais qui paralyse autant qu’il effraye, tels des diamants noirs reluisant au soleil, telles sont les prunelles de Satoru .Il y au delà de ce regard quelque chose qui vous montre qu'il est sûr de lui, qu'il vous dévisage pour voir votre force, essayant sans cesse de vous jauger, de vous tester. Lorsque vous croisez son regard, là vous avez saisi, il vous défie déjà, il veut votre peau, arborant cet air qui en énerve plus d'un, ces yeux qui montrent qu'il est sûr de lui. On dit souvent que les yeux reflètent la personnalité non ? Hé bien Satoru en est la preuve vivante, on pourrait quasiment lire dans son esprit juste en le fixant dans les yeux.
Imposant, il l'est assez de par son physique formé pour le combat. Grand, voir immense, il surplombe le monde du haut de son mètre quatre vingt treize, regarde avec amusement les silhouettes ridicules de ses ennemis et alliés. Sa taille a toujours été très pratique dans sa vie de tous les jours, bien qu'il y ait plus imposant que lui, ils sont assez rares. Ses muscles sont, après un entrainement long et intensif, parfaitement bâtis. Des pectoraux et des abdominaux très voyant et d'une dureté d'acier, il s'en vante souvent et s'en sert comme technique d'approche auprès de la gente féminine. Ses bras sont également assez musclés ,même si ils ne sont pas si imposants que ça. On peut quand même deviner qu'un coup venant de ce garçon ne peut causer que du tort et c'est, au plus grand désespoir de ses ennemis, bien le cas !
Le plus souvent de bonne humeur et plaisantin, Satoru laisse transparaitre toutes les émotions qu'il peut ressentir. Lorsqu'il est heureux il le montre clairement en souriant de toutes ses dents ce qui arrive quasiment tout le temps. De même pour toutes les autres émotions que le jeune garçon peut ressentir. Quand il boude il fronce les sourcils et serre ses lèvres comme le ferait un bambin, mais quand il est énervé il prend une expression qui peut faire peur à plus d'un. Heureusement, il prends cette expression seulement lorsqu'il éprouve vraiment de la haine pour quelqu'un, ce qui est assez rare. Il peut aussi arborer une expression de niaiserie totale, lorsqu'il est ébahi par quelque chose. Et cette expression ôte la moindre beauté de son visage.
Satoru possède un visage équilibré, un brin aiguisé au profil avancé. Ce genre de visage qui se lève vers le ciel, plus haut que les nuages. Il ne baisse jamais la tête, la lève tout le temps, fier et sûr de lui. C'est d'ailleurs sûrement cette fierté qui fait toute sa beauté. Son charisme presque palpable y est également pour quelque chose, suintant par tous ses pores. Des narines fendues, taillées dans ce nez plusieurs fois brisés mais ayant gardé sa forme initiale, légèrement retroussé. Et des lèvres, ocre, presque noires qui se confondent avec le mat de sa peau, dorée par cet astre responsable de toute vie. Sa peau n'est pas pour autant rugueuse, elle est restée lisse, comme lorsqu'il était encore un bébé. Ses sourcils sont eux d’un noir de jais, partant sur les côtés et montrant quasiment tout le temps un sentiment de forte détermination ou de joie. Ils complètent le visage du jeune homme.
Corbeaux, noirs sans reflets aucun, ses cheveux sont esquintés, défient les lois de la gravité pour s’évader, s'échapper vers le haut. Ils sont semblables à des flammes, et lorsque le jeune homme s'énerve, l'on a l'impression que ses cheveux dansent tel un feu ardent sur lui. Cela complète totalement cette expression de haine, cette expression terrifiante, cette expression qui a fait fuir bon nombre de personnes il y a longtemps. Lui couvrant souvent le front, ses cheveux sont tout comme lui même des rebelles. Jamais il ne gardera la même coupe plus de deux jours durant, des imprévus la changeront toujours. Malgré que sa capuche cache sa coiffure en pétard la plupart du temps, on peut tout de même en voir l'avant. Et la totalité de sa chevelure est dévoilée lorsqu'il enlève cette fameuse capuche.
Caractère.
Aujourd'hui, l'aspect social de sa vie est très important pour le jeune homme. Comme précisé plus haut, il était jadis atteint d'Agoraphobie, d'une peur de la foule donc. Jamais il ne pouvait côtoyer plus de deux personnes à la fois sans paniquer. Bien sûr cela vient de quelque chose, on l'abordera plus tard ... Donc, avant, Satoru n'était pas très social, et pour cause, il ne sortait pas beaucoup. Il avait quelques connaissances, mais n'arrivait jamais à franchir le cap de l'amitié, bloqué par sa phobie ... Mais c'est du passé ! Maintenant il veut rattraper le temps perdu ! Se faire des amis, des connaissances et en profiter et le but premier du jeune homme. Bon, il ne peut pas le faire dans la vraie vie pour l'instant, alors il se rabats sur Dream Land.
Quand il est de bonne humeur, c'est à dire quasiment tout le temps, il ne peut s'empêcher de faire sans cesse de l'humour. On ne le comparerait pas à un clown de service non plus, mais dès que l'occasion se présente de sortir une réplique passible de mettre un peu de bonne humeur dans les conversations et de faire rire son entourage, il n'hésite pas. Humour parfois cru, parfois noir mais jamais vraiment blessant. Mais on ne peut pas dire qu'il ne se moque pas pour autant ... Il utilise l'ironie à foison, tournant les gens en dérision. Il provoque d'ailleurs souvent ses ennemis avec ça, beaucoup d'entre eux sont déstabilisés et sous le coup de la colère ne réfléchissent plus. Cela les rends des proies faciles.
Il y a aussi une facette de son caractère que l'on ne peut négliger, même si elle n'est pas toujours présente. Très facilement irascible, il peut être irrité pour des petits détails. Bizarrement, des choses très graves lui passent au dessus de la tête, alors que de petits détails peuvent l'énerver au plus haut point.
Il y a une chose qu'il déteste vraiment et qui peut le mettre dans un état de rage sans précédent : l'intolérance. Pour lui, tous les êtres vivants sont les mêmes, il n'y a pas de "races supérieurs" ou "inférieures". Cela lui vaudra pas mal de litiges d'ailleurs ...
Paradoxalement, même si beaucoup de choses peuvent l'énerver, beaucoup le fascinent aussi. Ceux qui se battent pour leur cause, ceux qui n'ont jamais flanché devant l'adversité, qui malgré tout ce qui leur arrive continuent de suivre la voie qu'ils ont choisis sans jamais s'en égarer. Voila le genre de personne que Satoru admire. Beaucoup de personnes de son entourage vous diront qu'il est généreux et gentil la plupart du temps. Même si parfois son côté "caïd" remonte à la surface. Le vol est également une pratique courante chez lui, ayant été habitué à voler pour survivre lors de son enfance, il a encore gardé cette sale habitude. Mais ce n'est pas un petit voleur de pacotille, il excelle dans la matière. Un vrai petit pickpocket, furtif et rapide, il peut très bien vous voler votre porte feuille alors que vous le regardiez en face, sans même que vous vous en rendiez compte. Rapide et furtif, le vol est l'une des choses dans laquelle il excelle et où il prends beaucoup de plaisir.
Dormir est l'une des choses qui lui fait aimer la vie, à n'importe quel moment, quoiqu'il fasse, où qu'il soit, il aura envie de dormir. Le réveiller alors qu'il n'aura pas eu ses 14 heures de sommeil est un crime sans précédent pour lui. Vu que son corps est plongé dans un profond coma, il est capable de vraiment s'endormir en Dream Land. Il est également doté d'un côté gentleman assez prononcé, mais ça, c'est une autre histoire ...
Histoire.
Prologue.
C'était un 3 septembre que tout débuta, il y a 8 ans de cela dans une petite ville de Sicile. Une journée pluvieuse, les rues étaient désertes. Le seul son que l'on pouvait entendre était celui des gouttes d'eau terminant leur chute sur le sol ou rejoignant directement les flots qui parsemaient la ville, ville trônant sur l'intégralité de l'île. Entre deux bâtiments, dans une petite ruelle sombre, un homme de grande taille entièrement de noir vêtu menaçait de son arme un vieil homme écroulé sur le sol, essayant vainement de reculer le plus possible et plaçant ses deux bras devant son visage comme pour se protéger de son agresseur. Des flots de larmes coulaient de ses yeux pour terminer leur course sur le sol, imitant ainsi les gouttes de pluie tombées du ciel. Le vieil homme suppliait celui qui l'avait en joue de le laisser partir. Il parlait de pouvoir rembourser ses dettes dans les prochaines semaines mais qu'il ne pouvait pas pour le moment, devant dépenser tout son argent durement gagné pour soigner sa fille gravement malade. L'homme qui tenait le pistolet ricana suite à ces mots de désespoir absolu. A chaque fois que le vieil homme implorait le pardon et la bonté de l'homme qui s'apprêtait à le tuer, ce dernier riait de plus en plus fort. Après quelques minutes, le vieil homme compris que sa vie allait s'arrêter en voyant son agresseur armer son canon. Il tenta de faire une dernière prière, mais la bille de plomb était plus rapide que lui. Dans un bruit sourd, camouflé par celui de la pluie tombant toujours plus fort, le vieil homme s'écroula sur le sol, saignant abondamment du torse. L'assassin rangea son arme et en souriant se dirigea vers son domicile où une surprise l'attendait ...
Le principe de l'échange équivalent, pour chaque naissance il faut une mort et pour chaque mort il faut une naissance. Voila un principe dont peu de gens croient en la véracité. Pourtant, ce 3 septembre au soir, ce principe allait être prouvé. Au moment même où le vieil homme perdit la vie, au moment où il s'écroula sur le sol en éclaboussant les environs par de la pluie mêlée à du sang, une nouvelle lueur apparut une centaine de mètres plus loin. Dans une chaumière à quelques rues du lieu de meurtre, dans les quartiers pauvres de la ville, un hurlement résonnait dans la chambre principale, un enfant venait de naître. Dans un flot de sang, une jeune fille semblant être infirmière de par sa tenue prit le nouveau né dans ses mains. L'infirmière était en train de nettoyer tout le bazar qu'avait fais l'accouchement et le bébé était sur le torse de sa mère, ils se fixaient tout deux dans le blanc des yeux pendant de longues minutes.
"
Tu t'appellera Satoru mon enfant ..."
C'était dans une atmosphère plutôt douce que le bébé fut baptisé. Le léger gémissement qu'il émis de sa petite bouche montrait qu'il appréciait ce nom, même si il n'avait bien entendu pas compris .Avoir entendu une voix si chaude, si conviviale lui parler était sûrement la chose qui lui avait fait plaisir, qui l'avait, pour la première fois de sa vie, rendu heureux ... On reconnaissait également les origines japonaises de la mère de par ce prénom. Puis, dans un énorme bruit de fracas, la porte s'ouvrit en claquant. Une grande silhouette pour le moins menaçante marchait lentement vers le lit de la jeune mère. De grosses gouttes dégoulinaient de son long manteau noir et laissaient une longue trainée d'eau derrière lui. L'infirmière ne pu s'empêcher de le fixer, tant il était imposant. Il s'approcha d'elle et lui mis une énorme baffe en revers de sa main gauche, couverte par un gant de cuir noir. L'infirmière qui était encore jeune et qui avait un physique assez frêle valdingua à quelques mètres.
"Dégage ! Ou j'te bute toi aussi ... "
Sans demander son reste, la jeune demoiselle se rua vers la sortie, ne prenant même pas la peine de récupérer son matériel. Elle avait reçu un énorme choc émotionnel, la façon dont l'homme avait prononcé ces mots montrait qu'il n'hésiterais pas une seule seconde à exécuter ses menaces. Vous l'avez sûrement déjà compris, l'homme qui venait de maltraiter la jeune infirmière est le même que l'assassin d'auparavant. Il s'approcha lentement de la femme qui tenait son bébé fort contre elle, comme si elle avait peur qu'on le lui vole. Il jeta un regard rapide sur le minuscule corps et pesta quelques mots.
"Encore un déchet ..."
Puis il soupira fortement, à la vue de cet enfant, de son propre enfant. Il se trouvait effectivement que cet homme était le père ... Un homme sans coeur qui ne ressens aucune émotion, qui pourrait rester de marbre à la naissance de son premier enfant ? Un démon, et cet homme illustrait à merveille la définition de ce mot ...
Suite à cette naissance, huit longues années passèrent. Satoru vivait la plupart du temps avec sa mère, elle était aimante et tendre avec son fils qu'elle chouchoutait beaucoup. Son père quant à lui était plutôt froid, en particulier avec sa chair et son sang ... Il le considérait d'ailleurs plus comme un gêneur que comme celui qui perpétrait son nom. Satoru d'ailleurs ne portait même pas le nom de son père. Ce dernier refusait catégoriquement de le léguer à ce qu'il considérait comme un gêneur. Satoru héritait donc du doux nom de Takeshi, provenant de sa mère. Pour entretenir ce petit, beaucoup d'argent sortait de son portefeuille ce qui avait le don de bien énerver le paternel ... Après tout, cet argent servant à nourrir ce bambin aurait pu être utilisé aux jeux, ou bien dans autre chose de bien plus intéressant ... Tout du moins, c'était ce que pensait le père.
Chapitre premier
Un jour cependant, tout changea du tout au tout. La famille avait emménagée à Venise, et ce jour là, c'était le jour du carnaval. C'était une belle fin de soirée, le soleil se couchait et éclairait de ses derniers rayons la surface de l'île, la chaleur que l'astre envoyait pendant la journée était encore là, l'on entendait la musique du festival à des kilomètres à la ronde ... Bref, tout le monde était heureux. Satoru aussi, il avait 8 ans, et à cet âge, lorsqu'il y a du bruit et de la foule, on est content ! Il sortit alors avec sa mère, afin qu'ils profitent eux aussi de ce temps de fête. Ils dansaient, mangeaient, c'était vraiment une bonne soirée, et la fête s’éternisait pendant la nuit.
Cette nuit aurait pu rester comme un bon souvenir dans la mémoire du jeune garçon, si seulement un évènement n'était pas venu tout gâcher ... La foule devenait de plus en plus dense, de plus en plus de personnes s’agglutinaient dans les rues. Satoru ne s'en souciait pas, il tenait fermement la main de sa mère. Il la tenait oui, jusqu’à se faire bousculer et la lâcher, pour ne plus jamais la retrouver ... Il courait, il hurlait à s'en déchirer les cordes vocales, rien n'y changeait : il était perdu. Il peinait à se glisser entre les corps dansant de la foule, il se faisait bousculer, voltigeait souvent sur le sol. Beaucoup de femmes ressemblaient à sa mère de dos, mais finalement rien ... Il appelait à l'aide, ses cris cachés par la musique, ses pleurs camouflés par les discussions, ses vas et vient couverts par la foule, ses lamentations étouffées par les feux d'artifices ... Ça n'avait plus de fin, il était perdu, ne savait même pas où il allait, et ce fut comme ça toute la nuit ... Tous les visages dans lesquels il cherchait du réconfort étaient cachés par des masques, il ne reconnaissait personne, il n'avait même plus l'impression d'être entourés d'êtres humains ...Cela aurait été si simple de s'extraire de cette foule, mais l'idée de perdre sa mère dans cette mer humaine le terrifiait trop pour ça. Il n'eut de répit qu'à l'aube, lorsque le soleil se leva pour éclairer le monde de ses rayons chauds et lumineux, la foule se dissipa, chacun rentra chez soi, ignorant ce jeune enfant, couché sur le sol, épuisé, les habits immaculés de poussière, des perles salées coulant continuellement sur ses joues trempées ... Cela faisait peine à voir c'est sûr, quiconque l'aurait vu lui serait venu en aide, mais personne ne l'avait vu, tous trop occupés, personne ne regardant plus bas que leurs genoux.
Au bout du rouleau, encore terrorisé, il puisa au fond de lui une force quasi surhumaine pour se lever et se traîner jusqu'à chez lui. Arrivé là bas, il n'y avait plus personne, ni de mère l'attendant les bras ouverts, ni même de père lui jetant un regard de mort. Il attendit là, toute la journée, assit sur le palier, mais rien ne changea. Il avait beau attendre, il restait seul, personne pour lui ouvrir. Tout cela était la faute de cette foule, c'était elle qui lui avait volée sa mère ... Il commençait petit à petit à rendre cette foule responsable de la disparition de sa mère. Bien sûr, la vérité est tout autre, en vérité, sa mère après avoir perdu son enfant est retournée à l'appartement afin de l'attendre, mais le père avait vu une occasion trop belle et quitta le pays, emmenant avec lui sa femme. Laisser cet enfant derrière lui l'arrangeait plus qu'autre chose. Il avait d'ailleurs fait croire à son épouse que leur fils avait perdu la vie, afin de la manipuler à sa guise.
Depuis ce jour, Satoru devait vivre par ses propres moyens, au début il errait simplement sans but, puis il apprit à voler pour survivre, à se battre pour se défendre. Il ne se déplaçait que dans ls ruelles vides et sombres, évitant les boulevards pleins. Il se déplaçait également assez souvent sur les toits, là bas au moins il était sûr de rester seul. Un an et demie plus tard, il fut repéré par une vieille femme qui l’hébergea. Il grandit alors avec elle, il vécut à partir de ce jour là "normalement", mis à part l'agoraphobie qu'il a contractée depuis ...
Chapitre second
Aujourd'hui, Satoru a 21 ans. Treize ans après la séparation avec sa mère, il a réussi à oublier cela. Ayant suivi des cours pas correspondance, il a obtenu un niveau Bac et travaille pour un site internet, gagnant modestement sa vie. La vieille dame qui l'a sauvée de la rue est morte quelques années auparavant. Il ne quitte que rarement son domicile, uniquement en cas de nécessité. Sa vie il la passe majoritairement sur son ordinateur, où il peut entretenir une vie sociale "normale" sans croiser de vraies personnes, toujours atteint par sa phobie.
Un jour cependant, sa vie tranquille basculera littéralement. Recevant un colis, contenant une bague et une lettre. Cette lettre la voici :
"Ces écrits accompagneront mon testament, mon seul souhait sera qu'elle ainsi que mon anneau seront transmis à mon fils, Takeshi Satoru. Si tu lis ça mon fils, c'est que je suis déjà morte. Ces treize dernières années auront été les pires de ma vie. Loin de toi depuis cette fameuse nuit, je ne peut m'arrêter de repenser à toi. Je me demande ce que tu es devenu, sûrement un beau jeune homme. Ton père m'a enlevé et m'a fait croire que tu a trouvé la mort il y a bien longtemps. Je suis persuadée que c'est faux, voilà pourquoi je t'écris aujourd’hui. Je n'ai jamais eu l'occasion de te retrouver, ton père travaillant pour la Mafia, Dieu seul sait ce dont il aurait été capable si je t'avais retrouvé. Alors pour notre bien à tous les deux, j'ai préféré attendre, et seulement te communiquer ceci, afin que tu connaisse la vérité. Quoi que tu fasse, tant que tu le fais avec conviction, je serais fière de toi. Cette bague que tu a reçu était l'une des choses les plus importante à mes yeux, je te la lègue, par cet anneau je veillerais sur toi pour toujours.
N'oublie pas que je t'aime et que je t'ai toujours aimé...
Sakura Takeshi"
Lorsqu'il termina se lire cette lettre, il eut directement un malaise, sa vie aurait donc été basée sur un mensonge ? Il perdit l'équilibre, trébucha, et traversa la fenêtre. Inconscient, il tomba des trois étages où se trouvait son appartement pour atterrir directement sur la tête. Il fut transféré à l’hôpital et plongé dans le coma. Combien de temps il restera comme ça ? Personne ne le sait, ce sommeil factice le plongera cependant dans un modne dont il ne soupçonnait même pas l'existence ...
Poste Rp.
La douleur ... Encore une fois il souffrait, impuissant face à cette torture incessante que subissait son corps. Pourquoi ne pouvait il rien faire ? Ce sommeil factice l'empêchait de se défaire de ses liens, de hurler sa douleur. La définition même d'un coma n'était elle pas de plonger la victime dans un sommeil profond, l'empêchant ainsi de souffrir ? Alors pourquoi lui pouvait il tout ressentir, pourquoi ne pouvait il rien faire, pourquoi ces incompétents de médecins ne voyaient ils rien ?! Les innombrables piqûres lui déchirant la peau, les ponctions lombaires inutiles et pratiquées à foison sans même appliquer un quelconque anesthésiant, les dizaines et dizaines de drogues et autres produits douteux qu'on lui injectait sans une once de morphine pour calmer le jeu. Toute cette accumulation le rendait fou, tous ses sens étant actifs, mais ses muscles ne répondant pas à ses ordres. Oh bien sûr il a essayé, et cela maintes fois d'ouvrir les yeux, de bouger ses bras ou ses jambes, mais rien, pas même la plus faible contraction d'un muscle. Ses perfusions plantées un peu partout sur son corps lui injectaient continuellement des liquides tous différents les uns des autres. Ils garantissaient sûrement sa survie, mais cela n'empêchait que de sentir des flots de drogues inconnues envahir ses artères était plutôt douloureux et inconfortable surtout lorsque c'est de façon continue ...
Récapitulons pour ceux qui n'ont pas tout suivi. Satoru est actuellement plongé dans le coma suite à une violente chute de plusieurs étages de haut. Sa survie étant loin d'être certaine il fut donc plongé dans le coma. Pendant ses premiers jours il était dans un sommeil complet, apparaissant donc dans le monde onirique que nous connaissons tous et devenant un voyageur. Son Agoraphobie étant vaincue il commença à arpenter le monde des rêves, vivant des aventures plus farfelues les unes des autres et rencontrant plusieurs personnes que nous citerons rapidement : Ed Free, Dazh Dalreight, Sweety Shallay, Saylen Johns ou encore Simon Steele et Jann Ascel. Des rencontres qui lui valurent quelques combats intéressants où il put déchaîner son pouvoir nouvellement acquis. Son sommeil étant quasiment constant il restait la plupart du temps en Dreamland, ne faisant que de brèves apparitions dans le monde réel. Ces réveils prenaient l'aspect énoncé plus haut : il ressentait tout ce qu'on lui faisait sans pouvoir rien faire contre. Qu'existe-t-il de pire que l'impuissance ? Cette question tournait dans la tête de notre héros au fur et à mesure de ses réveils, cherchant vainement quelque chose de pire pour relativiser. Chaque pic de douleur qu'il ressentait le ramenait cependant sur Terre. Au début, ces réveils ne duraient jamais plus de cinq minutes, minutes qui semblaient cependant être des heures. Puis au fur et à mesure des jours, ils s'allongeaient. Jusqu'à atteindre le nombre de quatre heures. Quatre longues heures de souffrances intenses, une douleur tellement forte qu'il lui arrivait souvent d’espérer mourir et en finir avec tout cela. Lorsqu'il était dans le monde des rêves, où il pouvait vraiment vivre à l'instar du monde réel, il redoutait son réveil. Ne sachant jamais quand il pourrait quitter ce monde subitement. Oui, le monde réel était devenu sa hantise.
Ce jour là, il se promenait tranquillement dans une plaine de Dreamland dont il ne connaissait pas la localisation. Il était inconscient de ce qui l'attendait cette nuit là. Puis, subitement il commença à disparaître. Son corps perdait peu à peu de sa consistance, il l'avait compris : il se réveillait. Il aurait donné n'importe quoi pour que ça s'arrête, pour qu'il puisse rester dans le monde des rêves juste quelque minutes de plus. La peur prenait peu à peu le contrôle de son âme, s'amplifiant au fur et à mesure des secondes. Son estomac se tordait dans tous les sens, mais il ne pouvait rien y faire, c'était le début de son impuissance ... Il était de retour dans son lit d'hopital. Comment s'en était il rendu compte ? Trois raisons simples. Premièrement il sentait le drap rugueux sous ses mains, il entendait l'éléctrocardiogramme faire son bruit habituel et pour finir sa vision était voilée de noir, bien entendu il avait les yeux fermés ... Les premières secondes de son réveil sont toujours les meilleures, son corps venant de se réveiller ne ressent pas encore la douleur. Satoru ne profita cependant de ces quelques secondes de repos non, il les passait à craindre l'arrivée de sa torture continuelle, cette fois pour plusieurs heures ... Et c'était reparti pour un tour, au final il s'y était habitué, bien qu'il en souffrait toujours autant qu'au premier jour. Après quelques heures, quelque chose changea, il ne ressentait plus rien. Il entendait des gens autour de lui mais aucune parole distincte, sûrement les médecins habituels venus lui faire une ponction ou une connerie du genre. Mais c'était assez bizarre ... Ils lui avait retiré ses perfusions, ce qui était une première. Enfin, Satoru profita cette fois de ce calme et s'apaisa. Cette paix fut cependant rapidement détruite par une douleur surpassant toutes les précédentes. La même sensation qu'une épée lui transperçant la jambe se fit sentir, une aiguille plus grosse et plus longue que d'habitude venait d'entrer de force dans l'une de ses artères pour y déverser un autre produit. Ce dernier eut un effet rapide, l'intégralité des muscles du jeune homme se crispèrent, ses veines gonflaient et formaient des reliefs sur sa peau. Il souffrait au moins le double d'avant, qu'est ce qu'ils lui avait injectés ?! Quoi qu'il en soit l'effet escompté n'était pas le bon. En panique l'un des docteur écarta les paupières du jeune homme, sa pupille gigotait dans tous les sens, sans que lui même ne lui en donne l'ordre. Le produit qu'ils venaient de lui injecter rendait son corps littéralemnt fou ! Un poison ? Possible. Le médecin réagit cependant assez rapidement et injecta une dose respectable de morphine dans l'organisme de notre héros. Ce dernier tomba alors dans les vapes, complètement libéré de sa douleur.
Il rouvrit les yeux. Il fut immédiatement aveuglé par une lumière étonnamment puissante et placée juste au dessus de son visage. Reprenant ses esprits il tourna ses yeux un peu partout autour de lui, tous les murs étaient d'un blanc pur et uni. Il tenta de bouger mais il était attaché par des cordes à un lit d’hôpital. Il ne prit que quelques secondes à comprendre qu'il se trouvait à nouveau à Dreamland. Il ne connaissait cependant pas cet endroit. Il n'avait pas le temps de se poser plus de questions qu'une dizaine de personne en blouses blanches s'approchèrent de lui.
" Hé il s'passe quoi là ? Je compr ... Aïe ! Bordel qu'est ce que vous foutez ?! "
Il n'eut pas le temps de terminer sa phrase que les individus le piquèrent de toutes parts à l'aide de seringues, lui injectant on ne sait pas trop quoi. Il avait beau se débattre, il ne pouvait rien faire, ses liens étant trop serrés. Les personnes autour de lui ne dévoilaient pas leur visage, caché par un masque blanchâtre. Ils étaient de plus en plus, jusqu'à être une cinquantaine de pseudos médecins à lui enfoncer des tiges métalliques de toutes parts. La douleur devenait insupportable, jusqu'à ce que Satoru cesse de se débattre. Il avait abandonné. Il n'avait pas perdu ses forces non, il en avais juste marre. Pourquoi la médecine le suivait elle partout ? Même à l'endroit où il pouvait vivre comme il l'entendait ? Il abandonna simplement afin d'en terminer rapidement.
Puis une pensée vint lui chambouler l'esprit. Il avait des projets en Dreamland, de grands projets, il comptait devenir l'une des icônes de ce monde, il voulait que son nom apparaisse sur toutes les lèvres, il était en quête de gloire et d'aventure et surtout : il avait une vengeance à accomplir. Son père était celui qui lui avait gâché la vie, il voulait le poursuivre en Dreamland et se venger. Toutes ces pensées lui redonnèrent de la motivation, la haine prenait le dessus sur tous ses sentiments, ils ne ressentait même plus les piques s'enfoncer dans sa chair, il n'avait plus qu'une seule idée : tous les lyncher. C'est alors en hurlant qu'il canalisa toutes ses forces dans ses bras, tirant sur ses cordes comme un forcené. Au bout de quelques secondes ses efforts furent récompensés et il fut libéré, se levant il se mit à frapper dans tous les sens ses assaillants. Les coups partaient de toutes parts et le grand nombre d'ennemis facilitait le tout : il n'avait même pas besoin de viser pour toucher quelqu'un, frapper au hasard suffisait. Les corps inertes de ses ennemis s'entassaient sur le sol pendant qu'il frappait sans cesse. Pour les terminer il empoigna le lit sur lequel il était, le leva et l'envoya valser sur ceux qui le malmenaient auparavant. Sa haine le rendait d'autant plus fort, accroissant toutes ses facultés. Il ne restait plus que quelques irréductibles encore conscients, pauvres fous que Satoru se fit une joie d'achever d'un bon coup de pied dans la nuque.
Il n'eut pas le temps de faire autre chose qu'un énergumène pénétra dans la chambre. Il était vétu d'une longue robe de médecin noire et son visage était masqué également, d'une toute autre manière que ceux qui semblaient être ses sbires cependant. Il tenait une énorme seringue dans la main droite. Il devait facilement faire deux mètres, voir plus, son physique en imposait c'était clair (visualisez le médecin dans Assassin's Creed). Il se tenait sans parler devant la porte. Puis c'est en un éclair qu'il se lança vers notre héros, parcourant les cinq mètres les séparant en une demie seconde, inutile de préciser que sa vitesse était hors normes. Il envoya son poing percuter le ventre de notre héros, lui coupant ainsi le souffle. Ce dernier se cambrant après ce coup se vit asséner un coup de pied latéral d'une vitesse et d'une force énorme sur le visage, l'envoyant valser contre le mur de la chambre. Satoru venant de se faire pas mal défoncer décida de contre attaquer, se relevant il se lança sur son assaillant. Arrivé à son niveau il fit un pas de côté et se retrouva à la gauche de son adversaire, dans son point mort. Il en profita alors pour envoyer un puissant coup de coude directement percuter la tempe de sa cible. Ce dernier bougea de quelques centimètres, mais rien de spécialement conséquent. Devant l'échec de son attaque Satoru enchaîna directement en se lançant dans les airs et envoyant un coup de pied dans la nuque de l'autre. Même réaction, l'assaut marchait à merveille mais aucun signe de douleur ou quoi que ce soit d'autre de la part de l’intéressé. Ce dernier se retourna alors et planta la longue seringue qu'il portait directement dans le bras gauche de notre héros, y injectant du curare pur. Pour ceux qui n'y connaissent rien, le curare est un poison naturel paralysant les êtres vivants. La réaction fut immédiate, le bras de Satoru s'engourdissait petit à petit jusqu'à ce qu'il ne ressente plus rien venant de ce dernier. L'inconnu se mit alors à prononcer ses premiers mots.
" La médecine a été faite pour aider les gens, mais elle peut également servir en combat, sache le. Si tu ne te défait pas de moi dans les prochaines minutes, ton corps entier sera paralysé et je me ferais une joie d'utiliser ton corps pour former des nouveaux médecins. "
Satoru comprit qu'il n'avait pas tout le temps qu'il lui fallait, et avec un bras en moins la tâche serait d'autant plus ardue. Il pensa alors à son pouvoir et se concentra afin de faire apparaître un clone de lui. Rien. Il se concentra de plus belle, autant qu'il le pouvait. Rien ne se passa. Aurait il perdu ses pouvoirs ? Quelle connerie, à un moment pareil ! Il ne lui restait pas grand chose comme alternatives. Dans un geste désespéré il mit un coup de boule au docteur en face de lui, dans le but de pouvoir s'éloigner. Il s'éloigna et percuta l'une des tables de nuit, celles typiques des hôpitaux. Dans la panique, il ouvrit le tiroir et plusieurs seringues s'offraient à lui. Sur l'une était marqué "Morphine", sur une autre "Adrénaline" et sur les autres des noms scientifiques qu'il ne reconnaissait pas. Il s'empara des deux dont il connaissait le nom et s'apprêta à se les injecter, repensant aux mots de son adversaire. Si il utilisait ces seringues ses capacités seraient accrues et il ne ressentirait pas la douleur, ce qui l'aiderait pas mal pour combattre. Cependant, au moment où la seringue rencontra la peau, il se stoppa net. Une peur bleue prit le contrôle de toute son âme. Il savait très bien qu'il lui fallait se faire cette injection pour survivre mais son corps refusait de bouger. C'est à ce moment là qu'il prit conscience qu'il était atteint d'une nouvelle phobie : celle des produits médicaux. Toutes ces souffrances endurées dans le monde réel pendant ses réveils l'avaient traumatisé, et son corps ne voulait plus subir cela. C'est alors avec toute la volonté du monde qu'il réussit enfin à enfoncer les seringues dans sa chair pour y verser le contenu. Il avait peur de souffrir, mais bizarrement tout se passa bien. Son coeur commençait à battre la chamade, alimentant ses muscles en hémoglobine, son souffle s'accélérait, ses muscles se tendaient au point qu'il tremblait. L'adrénaline avait fait son effet ... Il se lança alors vers son adversaire, ses capacités physiques décuplées. Arrivé à son niveau il l'enchaîna de coups de poings au visage : uppercut, crochet tout y passait. Sa force ayant considérablement augmentée, l'effet de ses coups avait fait de même. Ainsi le colosse qui auparavant ne ressentait rien semblait tout de même en prendre plein la gueule à ce moment. Il se décida alors à contre attaquer en envoyant son poing en plein milieu du visage de notre héros. Ce dernier ressentit à peine ce coup, sûrement grâce à la morphine ... Il ne pouvait se reposer sur ses lauriers cependant, l'autre main du docteur tenant la seringue se dirigeant droit vers le torse de Satoru. Si cet assaut réussissait, notre héros perdrait sûrement la vie, si son coeur ou ses poumons venaient à être paralysé ce serait irrémédiable. En un éclair il envoya donc son bras valide stopper celui du docteur, puis avec force il le tordit forçant la victime à lâcher son arme. Avant que la seringue ne percute le sol, Satoru la rattrapa et tournoya sur son pied droit, se retrouvant sur le côté du docteur à nouveau. Cette fois il empoigna la seringue de toutes ses forces et l'enfonça directement dans la nuque. Le docteur eu un gémissement de douleur après cela. Satoru ne se stoppa par et attrapa le visage masqué de son adversaire de sa main valide, le tirant de toutes ses forces et l'envoyant valser par la fenêtre de la chambre, brisant la vitre dans un énorme fracas.
C'était terminé ... S'approchant de ce qu'il restait de la fenêtre, Satoru constata qu'il était à une dizaine d'étages du sol, son adversaire devait avoir eu son compte ... Se laissant tomber sur le lit, il se reposa de ce combat pour le moins éprouvant et inattendu. Quelle fut sa surprise cependant, lorsqu'en levant les yeux il aperçut celui qu'il venait de balancer par la fenêtre à l'encadrement de la porte. Se levant en un éclair, il serra les poings en guise de mise en garde.
" Même si j'ai perdu l'usage d'un de mes bras j'peut encore te défoncer comme j'lai fais avant enfoiré ! "
S'avançant lentement vers Satoru, le docteur ne montra pas une once d'inquiétude, voir même d'hostilité. Il ne semblait pas vouloir se battre. Son arme n'était même plus dégainée. Il s'adossa contre un mur et plaça ses mains le long de son corps, comme pour indiquer qu'il ne prévoyait rien.
" Calme toi petit. Tu a passé mon test avec succès, tu possède les qualités nécessaires afin d'hériter de mon pouvoir. Je sais que tu es déjà un voyageur, mais ta nouvelle phobie de la médecine a pris le dessus sur l'autre, la faisant par conséquent disparaître. Tu es désormais un contrôleur sous mes ordres, moi seigneur de la médecine. Ce royaume deviendra ton nouveau chez toi et tu y sera toujours bienvenue. Pour ton nouveau pouvoir, viens je te l'expliquerais là dehors ... "
Se levant et sortant de la chambre, le docteur demandait implicitement à son nouveau disciple de le suivre, ce qu'il s'empressa de faire. Un nouveau pouvoir ? Intéréssant, lui qui était en quête de pouvoir, cela l'arrangeait bien. Son pouvoir précédent étant uniquement basé sur le corps à corps l'ennuyait de toutes manières, cela n'aurait pas pu tomber mieux ...
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• Aime : Boire, se battre, foutre le bordel. • N'aime pas : La solitude • Particularités, autres : Toujours avec sa capuche sur la tête. • Niveau d'étude hors de Dreamland : Niveau BAC • Comment avez-vous découvert le forum ? : Je cherchais un forum sur Dreamland après avoir commencé le manga, après quelques recherches je suis tombé ici. • Première impression : J'aime bien. • Code de validation : Validé par Dox'
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Vlad Siegfrey Voyageur Expérimenté
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Sujet: Re: La fin de la solitude ... Dim 28 Nov 2010 - 18:53
Bienvenue parmi nous sur Dreamland RPG
Bon courage pour ta fiche de présentation et préviens nous dès que tu l'aura terminée !
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Takeshi Satoru Voyageur Expérimenté
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Sujet: Re: La fin de la solitude ... Dim 28 Nov 2010 - 20:24
Voilà je pense que c'est bon. J'attends vos jugements !
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Nodox Pebbles Voyageur Expérimenté
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Sujet: Re: La fin de la solitude ... Dim 28 Nov 2010 - 21:59
Validé rang 3, sans rien d'autre à dire
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Vlad Siegfrey Voyageur Expérimenté
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Sujet: Re: La fin de la solitude ... Dim 28 Nov 2010 - 22:58
Du Rang 3 pur et dur ! je valide donc également cette fiche et Dox va pouvoir prendre du plaisir a te mettre ton rang et ta couleur !
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Trouble Voyageur Expérimenté
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Sujet: Re: La fin de la solitude ... Lun 29 Nov 2010 - 9:29
Rang 3! J'adore ton pouvoir!
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Takeshi Satoru Voyageur Expérimenté
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Sujet: Re: La fin de la solitude ... Dim 13 Fév 2011 - 17:01
Edition terminée, à vous le staff !
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Cain Sloph Maraudeur des rêves
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Sujet: Re: La fin de la solitude ... Dim 13 Fév 2011 - 19:03
Validé ^^
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Nodox Pebbles Voyageur Expérimenté
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Sujet: Re: La fin de la solitude ... Dim 13 Fév 2011 - 19:22