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8th Night : Lust /!\ rp interdit au moins de 15 ans /!\

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Khildar Blacksilver
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Maraudeur des rêves
Khildar Blacksilver
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MessageSujet: 8th Night : Lust /! rp interdit au moins de 15 ans /! 8th Night : Lust /!\ rp interdit au moins de 15 ans /!\ EmptyDim 9 Jan 2011 - 21:53
La soirée avait été merveilleuse. Le repas délicieux, la conversation distrayante, l’interlocutrice présentait bien des attraits. Il lui avait donné rendez vous dans un restaurant qu’il avait remarqué, en retrait des grands axes. Une des salles se situait au fond du restaurant, séparée par un muret et baignait dans une douce chaleur, les murs aux couleurs chaudes renforçaient cette impression.
Ils avaient dîné, conversant de choses et d’autres. Il n’avait pas pu s’empêcher de lui faire des compliments sur sa tenue, ses yeux verts hypnotisant ou encore son rire. Le repas s’était donc déroulé dans une atmosphère détendue et suave, l’aristocrate déployant force démonstration de séduction pour plaire à la belle demoiselle. Naturellement, il ne passait pas son temps à la harceler à chaque phrase, ils avaient eu des sujets de conversation tout à fait plaisant et intéressant. Mais il ne pouvait s’empêcher de glisser une allusion pour la complimenter.

Après ce dîner exquis, il la raccompagna chez elle et eu l’honneur d’être invité à boire un dernier verre, histoire d’approfondir leur connaissance mutuelle. Ce n’était pas tant par l’alcool que grâce à ses paroles ou ses gestes qu’il parvint à lui voler un baiser. Elle en resta un moment interdite. Puis, après s’être mirer dans les yeux, elle s’avança vers lui et effleura ses lèvres des siennes. Il la prit dans ses maigres bras et la serra contre lui, sentant un désir monter en lui, une sensation grisante.

Le chemin vers la chambre fut rapidement trouvé et les habits ôtés. Ce qu’il se passa ensuite, la décence ne permet pas de le dire, mais ils s’endormirent enlacés et souriant, c’est certain.

_____\/_____

Le décor qui parut à ses yeux ne manqua pas de l’impressionner. Une immense cité composée de buildings à hauteur vertigineuse, un monde incroyable arpentant de larges avenues et des enseignes tape à l’œil proposant des services du vice. Il semblait avoir atterrit dans la ville du vice, dont il n’avait eu qu’un vague écho au cours de ses voyages. Cette cité n’avait rien à envier à Délirium City en matière d’alcool, mais offrait un plus large éventail de distraction. La débauche était un maître mot, le vice un état d’esprit constant. Toutefois, il avait souvenir que ce lieu se situait dans une zone plus avancé que la cité d’alcoolique, du fait de sa dangerosité. En effet, on pouvait y côtoyer l’ensemble de relents de la société, ne venant ici que dans l’unique but de prendre du plaisir. Il y avait aussi ceux qui profitaient de la faiblesse d’esprit des personnes présentes enivrées par l’atmosphère malsaine pour les dépouiller ou pire, les tuer.

Il fallait rester donc sur ses gardes et avant toute chose, Oscar prit connaissance de sa tenue : un pantalon en lin blanc, des chaussures à boucles dorées noires, une chemise blanche en tissu fin, un gilet dans le même textile et de même couleur, ses éternels gants blancs et un haut de forme rouge siégeait sur sa tête. Sa peau était toujours teinte de blanc, comme ses cheveux et ses lèvres. Ses sourcils et sa barbiche étaient de rouge teint, marquant son visage d’éclat vif.
Son papillon argenté avait élu domicile sur le coin de son haut de forme, complétant cette tenue qu’il trouva satisfaisante.

Il se mit donc en quête de distraction
.

Puisqu’il était là, pourquoi ne pas en profiter ?

C’est alors qu’une douce mélodie chanta à ses oreilles. Elle le captiva tellement qu’elle en occulta le reste. Il n’eut plus qu’un désir : trouver l’origine de cette divine mélopée. Il suivit donc un chemin qui le mena à travers des ruelles sombres, sales et peu fréquentées mais aussi des boulevards où se mouvaient toute une populace. Il ne prêtait guère attention à ce qui l’entourait, ne se concentrant que sur la musique. Etonnement, il semblait connaître cet air, mais il ne parvenait pas à savoir où il l’avait déjà entendu. C’était rageant. Toutefois, cela ne le dérangeait pas outre mesure, il était plus obnubilé par la musique en elle-même que son passé. Au fur et à mesure qu’il marchait, la musique s’intensifiait et sa volonté s’estompait. Son corps était parcourut de frissons grisants et un sentiment divin l’envahissait, il le connaissait, il l’avait ressentit avant de s’endormir. Aussi incroyable que cela puisse paraître, ces notes qui venaient lui chatouiller les oreilles lui procuraient du plaisir.

Une voix se fit entendre, enjôleuse, câline et tendre, prononçant d’un ton suave des paroles chaudes. Il se sentait agréablement bien et accéléra le pas pour s’approcher encore plus de cette voix qui décidément l’excitait.
Lorsqu’il arriva dans une cour formée par des immeubles, il ne se rendit même pas compte qu’il était seul et que la luminosité était réduite, sauf en un point : là où se tenait une splendide créature aux longs cheveux châtains, aux formes avantageuses et au visage parfait. Il s’arrêta, reprenant son souffle, la fin du chemin s’étant faite au pas de course.
Elle lui sourit et se détourna de lui pour entrer dans un des immeubles. Il se précipita à sa suite et se vit fermer la porte au nez. Ne voulant pas se laisser faire, son esprit embrumé par la musique qui s’était éteinte à l’instant même où la porte s’était close, il ouvrit ladite porte d’un geste large et rageur. Il pénétra sans réfléchir dans la pénombre qui dominait le couloir dans lequel il s’enfonça avec rapidité.
La porte se referma sur lui avec un claquement sourd. Il ne s’inquiéta pas, ne voulant que cette demoiselle enchanteresse qui l’avait ravi par sa chanson envoûtante.

Ses pas résonnèrent dans le néant dans lequel il venait de se plonger. Il se rendit compte que l’atmosphère était humide et que les parois se rapprochaient au fur et à mesure qu’il avançait. Il ralentit sa course. Il demeura un instant immobile, ne sachant que faire. Il se prit à caresser ses parois afin d’en définir la texture. Elle était douce bien qu’humide, faite d’aspérités. Du bout de ses doigts, il parcourait cette paroi, délicatement.

Soudain, un rire se fit entendre. Il recula sa main et tourna la tête vers ce rire d’enfant. Il ne voyait pas grand-chose, à peine ces vêtements, noyés dans le noir. Il ne savait plus vraiment quoi faire. Il s’était bêtement laissé entraîné à l’intérieur et il hésitait maintenant à revenir en arrière.
Toutefois, il ne le fit pas, se sentait agréablement bien en ce lieu sombre et humide. Il poursuivit donc son chemin, plus lentement cette fois-ci. Le rire n’emplissait plus l’endroit de sa gaieté, seul demeurant le claquement des pas d’Oscar sur le sol.

C’est alors qu’il aperçut une lumière au loin. Un éclat. Il reprit un pas rapide et s’aperçut que les parois se contractaient. Il courut afin d’éviter de finir coincé entre ces cloisons. Il manqua de choir sur le sol glissant, un étrange liquide s’étant répandu. Il y parvint tout de même, non sans mal, les murs au toucher délicat se refermant sur lui
.

*Décidément, on ferme derrière moi …*

Il se redressa, épousseta ses vêtements et essaya de se débarrasser de ce liquide coulant. Il ne réussit qu’à moitié son œuvre et regarda à la ronde pour savoir où il se trouvait. La pièce était circulaire, éclairer en un seul point par une sorte d’excroissance du plafond ; une sphère un peu allongée. Au centre se tenait la créature qui l’avait guidé ici.

Il s’avança à pas lent, méfiant
.

"Qui es tu donc ?"

"Tu me vexes par cette question, mon Oscarirounet. "

Il s’arrêta d’un coup et ses yeux s’agrandirent. Il n’y avait qu’une seule personne qui prenait la peine de l’appeler ainsi avec un tel sourire sur son visage.

"Je constate que tu me reconnais enfin, mon biquet d’amour."

Il ne pipa mot, ne sachant quoi dire. Il parvint néanmoins à articuler :

"Lu … Luëst ? !"

"Et bien oui, c’est moi, Luëst, ta démonette chérie."

Elle ne bougeait pas, demeurant au centre de cette pièce étrange. L’impression que dégageait cette pièce était inquiétante et intéressante à la fois, piquant la curiosité de l’aristocrate anglais. Cette salle semblait respirer, les parois se mouvant à un rythme lent. La sensation de respiration était renforcée par le son d’un souffle et la brise qui venait caresser le visage stupéfait de l’invocateur démoniaque qui se retrouvait face à l’une de ses invocations.

"Comment est ce possible ?"

"Il se trouve que je me suis libérée après l’affrontement contre les trois créatures du royaume Obscur. C’est pour cela que tu n’as plus eu l’occasion d’entendre ma mélodieuse voix les nuits suivantes. Mais comme cette nuit tu t’es couché dans une ambiance de plaisir, j’ai pu t’attirer jusqu’ici. "

Elle souriait, elle était calme et resplendissante. Il est vrai que cela faisait un certain temps qu’il n’avait pas eu l’occasion de l’invoquer. Sa puissance résidait surtout dans sa capacité à modifier son apparence. Elle était l’idéale pour les missions d’infiltration ou pour détourner l’attention lors d’un combat.
Toutefois, la question n’était pas là présentement. Il se doutait que si elle l’avait attirée ici, ce n’était pas pour parler du bon vieux temps. Il appréhendait la suite de ces retrouvailles qui s’annonçaient sous le signe de la débauche, comme de bien attendu de la part de cette démonette de la luxure
.

"Que veux tu ?"

Demanda t il d’une voix intriguée.

Elle éclata d’un rire cristallin et répondit d’un ton suave
:

"Mais toi voyons ! Je t’ai toujours voulu. Mais pour cela, il va falloir te montrer digne de mon désir. Es tu prêt ?"

Ne lui laissant pas le temps de répondre, une nué de tentacules surgit du sol se précipitèrent vers le démon de Lord qui eut la présence d’esprit de s’écarter d’un pas lest en arrière, laissant ses tentacules percuter violemment le sol pourtant mou.
Il fallait agir vite et bien. Il ferma les yeux et se concentra. Il lui fallait faire le vide en lui afin d’anticiper les mouvements de ces tentacules. A tout hasard, il sortit deux des couteaux volés aux créatures démoniaques tuées avec plaisir au royaume des deux déesses.

Un silence s’imposa, Oscar faisant tout son possible pour trouver un semblant de sérénité. Il inspirait doucement, expirant de même. Il ne voyait rien, ces yeux étant clos, mais aiguisait ses autre sens. Il se déplaça légèrement pour mieux connaître la surface sur laquelle il évoluait. Il pouvait aisément glisser dessus.
Il écouta attentivement et après un instant de pur concentration où il retint son souffle, il parvint à déterminer l’emplacement approximatif des tentacules. Il ne connaissait pas encore leur porté, il fallait donc la déterminer.

Il glissa doucement vers Luëst, avançant de quelques centimètres. C’est alors qu’il sentit une contraction dans le sol, un mouvement brusque dans l’air. Il fit un grand pas sur le côté, se baissant et entendit siffler l’air au dessus de sa tête. Continuant dans sa lancée, il glissa en avant et perçut un autre mouvement à sa droite.
Prenant appui sur son pied gauche, il s’élança vers le tentacule qu’il devinait, n’ayant toujours pas rouvert les yeux, et s’abattit au dernier moment au sol, l’élan lui permettant de glisser sur la surface humide.
Effectuant une roulade pour finir par se redresser, il se baissa immédiatement après, courbant le dos et sentit une vive douleur au niveau de sa colonne vertébrale, un tentacule venant de le percuter. Il n’avait pas été assez rapide et se retrouver propulsé au sol. Il ouvrit les yeux et roula sur le côté afin d’éviter un autre de ces membres digne des plus belles pieuvres. Le choc de l’attaque raté se répercuta dans le sol, le faisant vibrer.
Ne tenant pas à demeurer couché au sol, Oscar se redressa à nouveau et s’aperçut qu’un nouveau tentacule balayait l’air horizontalement dans sa direction. Il sauta par-dessus et atterrit sur ses deux pieds qu’il dut derechef déplacé de leur position afin d’esquiver la pointe de deux autres tentacules. Il recula, esquiva, dansant presque pour éviter de rencontrer ces membres vigoureux qui l’assaillaient de toutes parts.

Il fut à nouveau éloigné du centre de la salle. Toutefois, il connaissait maintenant la portée des tentacules et avait pu confirmer une de ses hypothèses : l’emplacement des tentacules était fixe. Il en avait dénombré sept en tout. Repartis équitablement autour de Luëst qui le regardait, souriante, se moquant presque de l’infortune de son ancien maître qui endurait cela pour l’obtenir à nouveau. Il garda néanmoins son calme, sachant pertinemment que le perdrait ne pouvait que l’amener à faire des erreurs fatales.
Son dos le faisait un peu souffrir mais il supportait la douleur
.

"Alors ? Ne tiens tu pas autant que cela à moi, mon cher Oscar ?"

L’apostropha t elle sur un ton moqueur.

Il ne répondit pas et augmenta la poigne de ses mains autour des couteaux. Il avait perdu son haut de forme rouge au cours du premier échange avec ces tentacules et il le voyait trôner non loin de la démonette. La papillon était toujours perché sur le couvre chef, ne se souciant guère de son entourage.
Il se concentra à nouveau et attendit. Le vide l’envahit. Il se doutait que les tentacules obéissaient à la volonté de Luëst seulement dans cette étrange salle. Elles se mouvaient au gré des envies ressenties par la démonette moqueuse. Il fallait donc la perturber afin de profiter du moment d’inattention pour s’élancer vers elle et la prendre.

C’est pourquoi il ne prononça pas de paroles, installant un silence quasi insoutenable. La tension montait, c’était certain. Elle devait chercher la raison de cette inaction et de ce silence. Elle qui l’avait connu certes tourmenté, mais bavard au possible sur divers sujets, plus ou moins intéressant.

A l’instant où il perçut une légère distraction dans l’esprit de la démonette, il lui lança
:

"Je suis amoureux."

La seule phrase qui pouvait décemment troubler cette démonette qui s’était attachée à lui. Elle lui avait bien fait sentir qu’elle était à la fois jalouse et reconnaissante auprès de Julie, le premier amour d’Oscar. Grâce à elle, Luëst avait pu se lier avec l’aristocrate anglais, mais à cause d’elle, le Lord n’avait de pensées que pour cette fille de domestique.
Naturellement, elle avait été en joie en apprenant sa mort mais ne l’exprima pas en voyant la mine défaite et la Folie qui émanait de son maître. Jamais ils n’évoquèrent Julie. Aucun démon ne s’était risqué à aborder ce sujet épineux. Ils savaient la détresse que subissait leur maître. Par respect plus par crainte, le passé tourmenté d’Oscar n’était pas un sujet de discussion entre eux.

Elle fut troublée, donc. Elle relâcha son attention un bref instant, donnant le temps nécessaire à Oscar d’agir avec diligence. Il s’élança vers le centre de la salle, courut le plus rapidement qu’il pouvait, n’utilisant que la pointe de ses pieds pour avancer toujours plus vite. Il tenait encore les deux couteaux dans ses mains et fonçait comme un seul homme (ce qu’il était) vers cette démonette qui venait de se rendre compte de sa brusque venue vers elle.
Elle eut beau faire, les tentacules ne parvenaient pas à toucher l’aristocrate qui les sentait venir. Du moins, pour le moment.

Le choc violent entre la pointe d’un tentacule et le sol se répercuta sur la course de l’invocateur démoniaque qui se vit déstabilisé et s’étaler lamentablement par terre. Toutefois, sa course lui avait donné l’élan suffisant pour poursuivre son avancée par une magistrale glissade. Un tentacule manqua de peu sa jambe, une autre faillit lui arracher le bras.
Alors qu’il sentit sa vitesse de glissement se réduire, il se ramassa sur lui-même pour user de l’impulsion de ses jambes afin de sauter littéralement sur Luëst en criant
:

"Yaahaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !!!"

Puis de se prendre un tentacule dans le ventre, lui coupant ainsi le souffle. Sa précipitation avait détourné son attention et il n’avait point pu voir ce membre s’abattre sur lui. Alors qu’il risquait à nouveau de se voir renvoyé au loin, il s’agrippa au tentacule en plantant ses deux couteaux au plus profond de la chair. Le membre réagit à cette intrusion importune et se mit à s’agiter en tous sens, obligeant Oscar a effectué un rodéo des plus dangereux sur un tentacule excité et bien décidé à le faire choir.
Il s’agrippa du mieux qu’il pouvait, gardant enfoncé ses couteaux. Il fallait qu’il tienne et trouver un moyen de quitter cette position aussi inconfortable que risquée. La nausée ne lui montait pas encore à la gorge, mais si les mouvements saccadés de ce membre perduraient, il se verrait dans l’obligation de se délester d’une partie de son estomac par la voie orale. Ce à quoi il ne tenait pas plus que cela.

C’est alors qu’un tentacule décida de se joindre à la partie pour venir aider son compère de se débarrasser du parasite que représentait ce voyageur. Voyant venir le coup et l’écrasement de son pauvre corps, Oscar sauta prestement de sa monture énervée et vint à la rencontre du sol à partir d’une hauteur peu recommandable pour un atterrissage en douceur.
Le claquement que produisit le choc entre les deux tentacules résonnèrent dans la pièce et fut complété par le son mat du choc entre Oscar et le sol.

Ne désirant pas finir écraser par ces masses, il fit tout son possible pour se remettre sur ses deux jambes et se mettre à courir comme un dératé vers le centre de la pièce, là où se tenait SA démonette. Ses yeux exprimant toute son envie d’arriver jusqu’à elle, ses traits se déformaient son désir et il cria
:

"Tu es à MOI !"

Elle afficha une mine surprise puis ravit et écarta les bras comme pour l’accueillir.

Leur étreinte fut fusionnelle. Il la désirait en cet instant d’une telle ardeur, qu’il lui semblait que son cœur s’enflammait. Il n’avait plus qu’elle à l’esprit. Elle le hantait.
Il avait subi cette traversé juste pour l’avoir à nouveau, exprimant ainsi tout son désir de la posséder à nouveau.
Le test pour déterminer sa valeur et pour savoir si elle pouvait à nouveau se lier à lui s’achevait. Il avait fait preuve d’un grand désir et la serrait avec tant de force qu’elle pouvait entendre battre leur cœur.

Toutefois, ce n’était pas tout à fait fini. Il lui fallait montrer qu’il pouvait la satisfaire, du moins, faire preuve de débauche afin d’être digne d’elle
.

Après tout, n’était elle pas une démonette de la luxure ?

Spoiler:

______/\______


Lorsqu’il se réveilla, il se rendit compte qu’il restait des traces de son rêve. Il sourit et déposa un tendre baiser sur le front de Sandra. La nuit avait été agréable en tous points, sa démonette lui étant revenu.
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