Haut
Bas
Le deal à ne pas rater :
Aliexpress : codes promo valables sur tout le site
Voir le deal

Partagez

le sang qui souille la nuit (pv: valentin)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
avatar

Invité
Invité

MessageSujet: le sang qui souille la nuit (pv: valentin) le sang qui souille la nuit (pv: valentin) EmptyMer 20 Oct 2010 - 21:16
Je me relevais tant bien que mal. Je ne savais pas où j'étais et ma dernière vision de ma mère n'aidait pas à me ressaisir. Je ne pouvais être que dans un rêve, comment sinon aurais je pu voir ma mère, morte depuis plus de dix ans... Ou encore me retrouver dans ce lieu étrange, un énorme désert avec des pierres étrange qui prenait des formes très diverses. Chaque pierre portait des inscriptions, sur la pierre la plus proche de moi était écris « est ce bien un rêve », sur une autre « quel est cet endroit », « y a t'il quelqu'un dans les parages », « est ce que ma mère est vivante finalement », comment ce fait il que la vue du sang ne me fasse pas plus d'effet »...

Mes propres interrogations semblaient s'inscrire au fur et à mesure sur le décor... Je n'étais de toute évidence pas dans le monde réel... En même temps je ne me voyais pas être en train de rêver, je ne saurais pas comment l'expliquer mais je me sentais vivant, parfaitement normal, et ce n'était pas le plus bizarre. Le plus étrange c'est que ce lieu ne m'effraye pas le moins du monde, j'étais heureux de trouver quelque chose qui me sorte de la grisaille de mon quotidien, de ma vie citadine et de mon travail à la bibliothèque. J'étais heureux, mais au vu des inscriptions alentours, mon cerveau était en pleine effervescence. Ce n'etait pas très grave, et je pense qu'il était normal que je me posais toute ces questions, en revanche une chose que je n'arrivais vraiment pas à m'expliquer était cette intense douleur que je ressentais à travers tout mon corps, comme si mon cœur allait explosé, et je le sentais dans ma poitrine comme s'il avais voulu s'échapper hors de moi. Très désagréable sensation s'il en est.

J'étais seul, du moins je le croyais, mais je vis bien vite arriver deux personnes, je ne pense pas qu'elle m'ai vu, mais elle vont dans ma direction. Ils étaient un peu loin et j'ai du mal à bien voir, mais pourtant, j'ai l'impression qu'il ne sont pas normaux eux aussi. En même temps, je ne sais pas où je suis, mais l'endroit lui même me semble bizarre.
Au fur et à mesure qu'ils se rapprochent je vois de plus en plus clair... ils sont habillé d'une façon étrange, à la fois décontracté et totalement exotique... Je serais cependant incapable d'en parler plus précisément, la mode et moi...
De toute façon un autre détails m'apparait à présent, et il est autrement plus préoccupant. Sur leur front les deux individus avait de toute petite corne qui poussaient.
Je me suis alors dis que j'étais mort pour de bon, et que je me retrouvé en enfer... pendant pas très longtemps, mais un vieux reste de catéchisme... ma mère était très croyante.
Je préféré me cacher, ces gens la ne me disais rien. Je décidai donc de les observer. Mais un détails m'avait échappé. Et au même moment l'un des deux dit:

_ regarde les inscriptions... Il y a quelqu'un ici.
_ MONTRE TOI...

je me suis exécuté et suis allez vers les deux personnages, même si le ton de la demande me déplaisais un peu.

_ Je suis là.

Je sortais de ma cachette, mais je me tenais sur mes gardes... Et je comptais bien ne plus refaire la même erreur. Par contre eux n'y faisaient plus attention aussi quand je vis sur la pierre derrière eux
« un voyageur taché de sang que fait il ici, » « dois je le tuer ? »
je ne cherchais même pas à m'expliquer, je me mis en garde et à vrai dire j'avais visiblement choisi la meilleure options car au même moments l'un d'eux me fonça dessus son poing droit armé et prêt à attaquer.
Je n'avais jamais vu quelqu'un d'aussi rapide il avait franchis la distance nous séparant en un clin d'œil, même au dojo je ne voyais pas quelqu'un d'aussi rapide. C'était impensable...
Enfin, il chargeait comme un bœuf, tout dans la force rien dans la technique. Je parais le coup sans trop de difficulté et tout en amenant son élan contre lui même, en déviant son poing, je lui assenais un contre bien placé et sa figure s'empala proprement sur ma main gauche. Il était visiblement sonné, et je me risquais un coup d'œil sur l'autre.
Il avait complètement disparu.

_ Et merde...

Sans trop savoir pourquoi je m'éloignai de celui qui était Ko, et j'esquivai par la même occasion un coup en direction de ma nuque, de justesse et un pur coup de chance. Comment ce faisait il que les habitant d'ici soient aussi rapide.
Je n'avait jamais été aussi content de tout la sueur versé dans les salles de sport, malgré leur mouvements, je distinguai vraiment chacun de leur coup.
Je les voyaient, les anticipaient, les esquivaient, et les contraient. Assez vite, le sens du combat s'inversa et se fut lui qui resta sur la défensive, bien vite je lui imposait mon rythme et il se pris un bon coup sur le menton. Le coup était bien appuyé, mon coup avait profité de vraiment tout mon poids. Le choc a du bien secouer son cerveau, il eu les jambes coupées, je le voyais qui tremblais, cherchant à reprendre son équilibre. Je ne lui laissait aucun répis, je pivotais sur mon pied, et lui balança ma jambe gauche en plein sur la mâchoire, il décolla un peu.

Le combat c'est quelque chose de très beau, je trouve, car on donne tout ce qu'on a, les sensations dans un combats sont plus intenses que jamais. C'est une chose de parler d'un combat, c'est une autre chose de le vivre. Moi je suis toujours un peu euphorique après un combat, je me mis à sourire, satisfait de moi... trop satisfait de moi en fait, j'avais baissé ma garde,
Mon premier adversaire avait récupéré et il m'attrapa fermement, m'empêchant de bouger, il devait savoir qu'il n'avait pas beaucoup de chance tout seul car il hurla vite

_ VAS Y, TUE LE!!!

Mais c'est pas vrai, ils sont increvables les gens de ce monde je me disais. Trop tard, l'autre aussi c'était levé et il fonçai sur moi. Quelque chose jaillit de sa main, des lames je crois, de toute façon je ne comptais pas rester ici pour m'en assurer.
Le tout dans cette situation étais de garder son calme et d'éviter les mouvements inutiles, facile à dire, un peu plus difficiles à faire, enfin...
Je réussis à projeter la sangsue qui m'entravait, mais trop tard l'autre arrivais.
Le coup me frôla mais il me toucha le cou, et trancha ma carotide.
Le sang, mon sang coula, et je m'écroulai...
Mon sang coula il se rependait doucement autour de moi, je commençais à avoir froid
tout était étrange, mes bourreaux s'éloignait doucement, tout était floue... mais je ne voulais pas mourir.
Chose curieuse je ne mourrai pas, je ne fis rien, un simple moments d'absence où je fermis les yeux, et quand je les rouvraient, le sang avait disparu, la chaleur revins. Et je me relevai indemne,
silencieusement.
Mes deux bourreaux n'étaient pas très loin.

Je ne savais pas par quel miracle j'étais encore vivant mais je comptait bien leur faire payer ma mort. Je courrais silencieusement, je rattrapais vite la distance qui nous séparait et comme une ombre je vins me placer juste derrière l'un des deux. Il n'y même pas le temps de me remarquer... des mains expertes tournait autour de son cou et en un mouvement sec,rapide et précis, le tua. Son corps sans vie retomba mollement sur le sol comme le mien quelque instant auparavant.
Mon regard était à présent plonger sur mon vrai meurtrier, celui qui m'avait donné le coup final.
Je ne fis que murmurer

_ Deuxième round.

Et l'assaut recommença, et cette fois ci, il attaqua directement avec sa drôle de lame, qui sortait de son avant bras. Le combat ne s'éternisa pas, en deux coup il fut mit à terre et je lui cracha au visage,

_ Tu ne peux pas me tuer.

Il tenta sa chance quand même, je ne bougeai pas, je n'essayais même pas de me défendre, j'étais trop curieux de savoir comment j'avais fais ça... je voulais me mettre en danger. Un coup particulièrement violent de mon adversaire me déchira littéralement le corps, une large coupure me parcourais le torse, une large ligne rouge qui me fit mal, tellement mal...
je m'écroulai à nouveau, pour la seconde fois cette nuit... et là je compris.
Mon sang se répandais de nouveau, mais parce que je le voulais bien, je pouvais le contrôler, le stopper, faire en sorte qu'il puisse réintégrer sa place c'est à dire mon corps. Et c'est ce qu'il fis...
Sans que j'ai à bouger, mon sang revins en moi, sa chaleur remonta en moi, et je me sentais vivre de nouveau...
j'avais du mourir deux fois pour m'en rendre compte, c'est beaucoup trop... Je me pose maintenant plein de question au sujet de ce pouvoirs, mais pour l'instant une seule chose m'importe

Visiblement la vue de son ami mort fut un grand choc pour lui, puisque malgré la proximité il ne m'avait pas entendus me relever.
Comprenant de mieux en mieux le pouvoir que j'avais dans ce monde, je fis couler mon sang le long d'un de mes bras, ce n'était pas dur j'étais couverts de plaies. J'avais l'impression que je pouvais avoir un peu plus de sang, et vu la quantité qui coulait maintenant le long de mon bras je devais être aussi capable de produire plus de sang qu'un être normal.
Mon sang recouvrit mes doigts, et formèrent comme je le voulais une armes, en lieu et places de mes ongles se tenaient de véritable griffes, acérées et resplendissante. Je m'approchais sans bruit dans son dos, et dès que je fus suffisamment près.

_ Ne pleure pas ton amis, tu vas bientôt le rejoindre.

Avant qu'il n'aie le temps de se retourner, mes griffes s'enfoncèrent dans son dos, déchirant ces organes. Je sus qu'il eu mal au hurlement qu'il poussa.

_ C'est pas vrai... t'es... im...immortel ?
_ pour toi je serais juste la faucheuse. Vous avez essayer de me tuer sans la moindre raison, vous méritez votre chatiment, car vous étes dangereux, et mainteant expie tes fautes

Tout en parlant du sang coula vers mon autre bras, et forma une lame. D'un geste je le décapita. Sa tête roula par terre. Tandis que son corps était retenus par mes griffes.
Je restais un moment comme ça, sans vraiment savoir quoi faire. Et puis la fatigue me submergea m'obligeant à rentrer tout ce sang qui constitué mes armes, le rentrer en moi , ce qu'il fit.
Au final le seul sang que j'avais sur moi était le sang de mes ennemis... Je ne connaissais même pas leur noms... Ma chemise autrefois blanche, étais maintenant bien rouge... c'était affreux. Je me tournai vers les rochers et pouvait y lire
« suis je un monstre ? », « quel est cet endroit ? »

j'étais fatigué...
Revenir en haut Aller en bas
AuteurMessage
avatar

Invité
Invité

MessageSujet: Re: le sang qui souille la nuit (pv: valentin) le sang qui souille la nuit (pv: valentin) EmptySam 23 Oct 2010 - 19:16
Que penser de soit même lorsque la veille on laisse deux voyageurs mourir devant ses yeux et qu’on élimine un enfant incapable de contrôler son pouvoir ? C’est ce que je m’étais demandé tout au long de cette longue journée qui succédait celle de la mort du patriarche de notre prison, ce compagnon de cellule respecté de tous de par sa sagesse et sa gentillesse. Je ne parvenais pas à faire mon deuil car au plus profond de mon être je sentais que j’avais besoin de lui, j’avais besoin que l’on m’écoute et il était le seul à le faire avec dextérité, même si souvent je pouvais l’ennuyer avec mes histoires. Mettez vous à la place d’un adulte qui parle à un enfant de bas âge… si vous y parvenez vous pourriez surement comprendre ce que je pense qu’il ressentait en m’écoutant, certes certaines personnes pourraient toujours annoncer certains faits attendrissant en évoquant cet exemple, mais l’exemple concret de cette situation était pour moi l’agacement qu’il pouvait ressentir.

C’est en étant perdus dans mes pensée sans personne à qui dévoiler mes plus sincère sentiments et doutes cachaient au plus profond de mon être que j’eu moisis dans ma cellule étant sortie simplement pour prendre mon repas et pour aller aux toilettes. Chaque minutes passante étaient accompagné d’un nouveau doute… faisais-je les bons choix ? Etais-je du bon côté ? Comment allait se dérouler ma prochaine nuit ? Allais-je devoir tuer à nouveau ? Ou peut être rencontrerais-je quelqu’un avec qui partager chaque nuit avec un pouvoir surpassant toutes imaginations et provenant des plus profondes entrailles de Dreamland ?... C’est avec toutes ces énigmes que je fermais les yeux afin de pénétrer dans le fabuleux monde et onirique qu’est Dreamland qui n’a de fabuleux que ce qu’on veut bien voir. Cette fois je pénétrais dans un lieu qui m’était inconnue… un lieu totalement blanc où régnait en maître tout en tas de rochers assez étrange dans lesquels semblait être gravées des inscriptions.

Des mots d’amour ? Etais-je dans un monde où vont les rêveurs satisfait amoureusement ? J’avais pensé à cette explication car un certain monde dans lequel vont les rêveurs frustrés sexuellement vont chaque nuit avait été mentionné dans le dernier numéro du Dreamag, mais je fus rapidement repris à l’ordre lorsque sur ces pierres s’inscrivaient mes propres pensées. Au fur et mesure mes pensés se gravaient dans la pierre et dans l’ordre, de plus les interrogations que je m’étais dressé durant la journée se présentaient elles aussi à moi… qu’étais ce monde et pourquoi toutes mes pensées s’étaient retranscrites sur ces dalles d’un blanc éclatant ?

Mes énigmes allaient bientôt être résolues par l’apparition d’un être d’une taille assez médiocre (du moins plus petit que moi), d’une couleur de peau bleu et d’une tête en forme de point d’interrogation… je pouvais avoir toutes les questions possibles une chose était sure je ne pouvais pas me demander si cet être était un habitant de Dreamland… ça j’en étais absolument certain !!! Impossible pour un rêveur ou un voyageur d’avoir cette apparence, sauf ci ce dernier est un morpheur de type interrogatoire… encore une fois mon dernier doute s’inscrivit sur un rocher, cette fois ci en face de moi. MAIS MERDE C’ETAIT PAS UNE QUESTION !!! Ce royaume semblait ne rien laisser passer… absolument rien. Bref le petit être lu ma première question…


« Des mots d’amour ? Euh non pas exactement, c’est plutôt toutes questions que tu pose qui sont retranscrite ici… un monde pour les satisfaits amoureusement ? Tu te crois à Sboob Land ? Ici tu es dans le royaume des doutes. Mais étrangement tu ne semble pas être à ta première nuit ici, j’en suis même certain !! Tu parvins à faire parler de toi dans le Dreamag et ce n’est pas rien, de plus hier tu as décroché la Jackpot, deux objets magiques d’une puissance considérable. Pas mal du tout pour un débutant. Bon que veux tu savoir ? Si tu fais les bons choix ? Ca il n’y a que toi pour… C’est quoi ce foutoir ?!? »

Le petit être partie dans une direction depuis laquelle ont avait nettement put entendre des cris de douleurs et d’après l’intonation de ce cris ça ne devait pas être la joie. Je me mis en route afin de le suivre juste après que sa question s’inscrivit sur une des pierres… « C’est quoi ce foutoir ?!? », apparemment il n’y avait pas que les voyageurs qui était affecté par ses gros cailloux. Une fois arrivée à destination nous purent voir deux être de Dreamland de couleurs différente, un bleu foncé et un rouge, partir dans une direction laissant le cadavre de ce qui semblait être un voyageur, puisque les rêveurs ne peuvent pas mourir dans ce monde onirique et que la cadavre avais une parfaite apparence humaine.

La tête d’interrogation que j’accompagnai semblait être totalement apeurée, je le voyais sangloter et je sentais l’épée cauchemar réagir à cette peur sous son ruban la débarrassant de son insupportable poids. Comment deux être de Dreamland pouvaient se débarrasser d’un voyageur en laissant une marre de sang de cette superficie pouvaient repartir sans que rien ne se soit passé ? Etaient-ils sous l’ordre du maître ? Le petit être bleu lut mes interrogations sur une pierre juste à côtés et je pouvais voir à sa tête sanglotant qu’il se posait la question « Le maître ??? »… je voulus descendre de la corniche qui nous donnait une formidable vue, cependant mon envie fut stoppé par le réveil du voyageur… plus aucune trace de sang… il se dirigea vers un des être et lui brisa la nuque, gardant au chaud une mort bien plus atroce au second. Je ne compris pas comment, mais il forma deux armes contendantes d’un rouge éclatant et transperça celui qui l’avait tué… c’est devant cette scène d’horreur que l’excitation bouillonna en moi… cet homme allai être une pièce maitresse dans la nouvelle ascension du maître et la rien que d’y pensé affichai un sourire de satisfaction sur mon visage.

L’être insignifiant à mes côtés ne comprenait pas l’origine de ma satisfaction et j’avais la solution pour lui faire comprendre. J’usais de mon pouvoir afin d’animer en lui une vision des plus cauchemardesque, la vision d’un Dreamland plongé sous les ténèbres avec le maître dirigeant les moindres faits et gestes des voyageurs et habitants des rêves, un monde où les rêves ne seraient que pure inventions, un monde dans lequel les conventions des rêveurs pour devenir voyageur serait une chose rare… un monde plongeai dans l’oublie, tellement horrible que plus aucun être ne voudrais s’y rendre au risque de ne plus jamais s’endormir… mon monde et celui du maître. Le petit bleu me fixa avec effrois jusqu’à ce que ses yeux se retournent et qu’il tombe des une inconscience totale. Je vis alors sa dernière question s’inscrire sur un rocher qui lui faisait de l’ombre… « Qui es tu ? »


« Je suis le voyageur cauchemar… »

Même s’il ne put m’attendre je lui avais répondu avec mon calme habituelle avant de descendre de la corniche afin de m’avancer vers ce nouveau voyageur recouvert de sang de ses victimes et marchant sur du sang qui semblait remonter son corps pour se reloger dans son origine. Tout en degageant une forte énergie malfaisante, qui semblait faire réagir l'épée cauchemar, je m'adressai à ce nouveau voyageur.

« Bienvenu à Dreamland… quelle est ton nom ? »
Revenir en haut Aller en bas
AuteurMessage
avatar

Invité
Invité

MessageSujet: Re: le sang qui souille la nuit (pv: valentin) le sang qui souille la nuit (pv: valentin) EmptySam 23 Oct 2010 - 23:18
Tuer quelqu'un est un acte terrible... Vraiment... Quand on tue quelqu'un, on ne met pas seulement fin à une existence, on met fin à ces chances de rédemption, et tout ce qu'il aurait pu devenir ou faire.
Bien sur, j'ai fait au cours de ma vie un certain nombres de choses, dont je ne suis pas fier, et dont je ne pourrais parler sans une intense envie de changer mes actions passés. Ce qui est fait est fait, n'en parlons plus...
Mais je n'aurais jamais cru être capable de tuer deux être aussi facilement. Je veux dire d'être capable d'ôter sciemment une vie, et éprouver aussi peu de chose, je ne ressentais strictement rien. Ni peine, ni honte, aucune satisfaction particulière... rien, un peu comme un automate aurais accomplis une action, sans vraiment y réfléchir, sans y éprouver bonheur, ou lassitude.

Je réfléchissais encore à ma conduite, qui me paraissait si inhumaine lorsque quelqu'un approcha. C'était quelqu'un qui semblait avoir sensiblement mon âge. Mais comment dire... à sa façon il semblait être au moins aussi usé que moi.
Il s'avançait tranquillement dans un élégant costume noir, qu'on aurait dit fait sur mesure, un grand sourire au lèvres... le sourire aurait pu être celui d'un ange, de quelqu'un aimant la vie... mais il y avait un peu trop d'hémoglobine au alentours pour sourire comme si de rien était.

Je n'avais pas besoin de me retourné au alentours pour me douter que les pierres affichait des choses du style, « qui est il », « si c'est un ami des autres gars, pourquoi ne m'a t'il pas déjà attaquer », ou « dois je me préparer à un autre combat ».
Je dois avouer que si l'idée de tuer quelqu'un me semble horrible sur le fond, tout en me laissant indifférent sur la forme... l'idée de me battre contre cet être qui semblait être véritablement d'un autre niveau, me semblait... comment dire... une idée... délectable.

Je m'inquiète un peu pour ma santé mentale, je crois vraiment qu'un défaut à communiquer avec les autres, et à refouler mes émotions, ont fait de moi quelqu'un d'instable, enclin à la violence. Mais passons.

A bien y regarder, certains être de ce monde était particulièrement identifiable, étant d'un aspect assez inhumains, pas que cela me dérange vraiment, mais j'essayais de voir une anomalie chez le nouveau venus, pas la moindre, il n'avait même pas les oreille plus pointus comme ça avait été le cas chez les autres. C'était quelqu'un que j'aurais pu parfaitement croiser dans le monde normal. Pourtant, il se dégageai de lui un sentiment bizarre de fureur, de tristesse... Difficile à expliquer, mais qui s'annonçait passionnant sur le plan humain.

Ne décelant aucune hostilité de la part du nouveau venus, je répondais tout aussi calmement.

_ Ainsi cet endroit s'appelle Dreamland... Intéressant, vraiment très intéressant.... Je m'appelle Alexander. Mais avant de ce lancer plus en avant dans des présentations courtoise et autre civilités, j'aimerais que tu répondes à quelque questions si tu le veux bien. Qu'est ce que c'est Dreamland ? Pourquoi j'ai atterris ici, et pourquoi mon sang obéi à mes désirs ? Pourquoi ces deux personnes m'ont attaqué sans la moindre raisons ? Qui êtes vous et pourquoi ne semblez vous pas plus choqué que ça par tout ce sang, ce sont là des choses courante ici ?

Tout en parlant j'avais laisser un peu de sang couler sur l'un de mes bras, ceci pour illustrer cette capacité à contrôler mon sang, mais aussi pour réagir de manière plus rapide en cas d'attaque. Il semble bien que mon sang doit être sortis pour se transformer en arme.
A présent tout dépendait des choix de mon interlocuteur.
Revenir en haut Aller en bas
AuteurMessage
avatar

Invité
Invité

MessageSujet: Re: le sang qui souille la nuit (pv: valentin) le sang qui souille la nuit (pv: valentin) EmptyDim 31 Oct 2010 - 13:48
L’homme semblait être de nature plutôt diplomate, du moins avec moi car avec ces pauvres êtres des rêves il avait plutôt été… violent si je pouvais le décrire comme ça. Bref ne présentant aucune hostilité il accepta de me parler en marmonnant quelques mots, confirmant ce que je venais de lui dire. Suite à cela il se présenta sous le prénom d’Alexander, un nom pas très commun en France, du moins pour les pures souches, en effet ce nom avait quelques connotations britanniques apportant à cette personne un certain charme. C’était désormais l’heure des questions qu’il me posa après m’avoir demandé l’autorisation, bien entendu j’acceptai sans poser la moindre résistance, d’ailleurs mon esprit était tellement ouvert à cet homme que j’avais anticipé ses questions.

« Qu’est ce que Dreamland ? Et bien… n’étant pas ici depuis bien longtemps je ne peux pas entrer dans une explication formelle, mais il me semble qu’il s’agit d’un monde onirique composé d’un nombre presque infini de royaume, du fait que chaque royaume représente un désir ou une peur chez certain, où certain rêveur parvienne à combattre leurs peurs et en faire leurs armes. On appel ces rêveurs ‘‘voyageur’’, j’en suis moi-même un et tout comme toi j’ignore pourquoi j’ai atterrie dans ce royaume. Cependant je ne suis pas complètement ignare et je sais pourquoi ton sang t’obéit selon ta volonté… tu es devenu un voyageur contrôleur de sang. »

En lui annonçant ce qu’il voulait savoir j’accentuais mes mots leurs donnant une intonation mystérieuse et emplie d’une volonté de m’approprier ce pouvoir, du moins le faire intégrer mon équipe qui n’étais formé que de moi pour le moment. Un pouvoir d’une telle puissance allait sans aucun doute être extrêmement utile pour la quête du pouvoir et des ténèbres que le seigneur du royaume obscur m’avait attribué… cependant il ne m’avait pas précisé si j’avais le droit ou non de proposer à d’autres voyageurs de le servir sans son approbation, mais un pouvoir tel que le contrôle du sang était tout bonnement bon à prendre. Mes yeux ouvert ne m’empêchait d’imaginer ce que nous pourrions faire s’il s’autorisait de me suivre, j’en frémissais presque d’excitation.

Je voulus alors lui proposer de me suivre avant qu’il se mette à reprendre la parole en me demandant des explications sur l’agression de ces deux cadavres qui baignaient dans leurs propres sangs. Je le regardais alors avec une grande confiance dans l’explication qui s’était forgé dans ma tête, il n’y avait absolument aucun doute, j’avais raison… ces êtres s’étaient tout simplement jeté sur en ayant vu son corps recouvert de son sang. Cette vue avait animé une vision de l’avenir du nouveau contrôleur de sang qui n’était que meurtre et violence apportant, sans qu’il s’en rende compte, un grand soutien dans la conquête de Dreamland que le maître s’était attribué. Ils avaient lus en lui un roman d’effroi et avaient vus un future assassin qui plongerais ce fabuleux monde onirique qu’est Dreamland, dans un univers de cauchemar que je désirais tellement voir… nos destins étaient liés… nous devions unir nos force dans un but commun. Je lui exposai donc la réponse à sa question avant de lui proposer de me suivre en suivant un but qu’il ignorait encore, mais dont il ne prendrais pas longtemps à prendre conscience et à accepter.

Suite à cela vint sa quatrième et dernière question… le sujet de cette interrogation allait sans aucun doute lui révéler sa véritable nature et ainsi lui faire conscience de son but plus tôt que prévu.


-Qui êtes vous et pourquoi ne semblez vous pas plus choqué que ça par tout ce sang, ce sont là des choses courante ici ?-

J’apaisai alors l’excitation qui était monté en moi en imaginant notre future dans ce monde de rêve qui allait devenir cauchemar et lui répondit avec autant de franchise que précédemment.

« Je suis le voyageur cauchemar Raadlichinsky Valentin, mais appel moi Raad. Choqué par le sang ? Pas tellement, ça devient une habitude chaque nuit et je sens qu’avec toi je vais encore plus m’habituer à ce fluide qui permet à tout être vivant de vivre, marcher, courir… je t’explique, ou devrai-je plutôt te montrer pour éviter un monologue à endormir un philosophe. »

Je fermai les yeux et pénétrai dans l’esprit de ce fameux Alexander, cherchant au plus profond de lui la source de son pouvoir afin de me l’attribuer et imiter son pouvoir. Après quelques seconde je parvins à retrouver sa peur du sang et m’entailla le bras qui me fi couler le sang le long de celui-ci… je tentais alors de visualiser une arme blanche qui commençait à prendre forme grâce au sang qui s’échappait de la plaie que je m’étais effectué. Une sorte de fossile prit alors forme sur le côté de mon bras… je fixais le blood controler et lui expliqua tut de même.

« Tout comme toi je suis un voyageur, mais ne te fis pas aux apparences car je n’ais pas le même pouvoir que toi… je suis capable d’imiter n’importe quel pouvoir provenant d’un voyageur, mais mes facultés ne se limite pas à ça. Je suis capable d’animer en n’importe qui une vision cauchemardesque. Cependant je ne ferais pas de démonstration au risque de te faire perdre connaissance, mais tu peux voir une être à la tête en forme de point d’interrogation en haut de cette corniche qui git et bave dans un état second. C’est ce dont je suis capable de faire. Maintenant que tu me connais un peu mieux… accepte tu de m’accompagné et d’intégrer les ‘‘Heartless’’ ? »
Revenir en haut Aller en bas
AuteurMessage

Contenu sponsorisé


MessageSujet: Re: le sang qui souille la nuit (pv: valentin) le sang qui souille la nuit (pv: valentin) Empty
Revenir en haut Aller en bas

le sang qui souille la nuit (pv: valentin)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» Oh nuit, belle nuit !
» Glace et sang [Solo]
» (Disponible) Glace et sang [Solo]
» Un petit bain de sang, ça vous tente?
» Une première nuit mouvementée

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Dreamland RPG :: Dreamland :: Zone 1 :: Royaume des Doutes-