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[WIP] Alexandre Chanet

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Alexandre Chanet
Messages : 4
Date d'inscription : 28/05/2019

Nouveau challenger
Alexandre Chanet
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MessageSujet: [WIP] Alexandre Chanet [WIP] Alexandre Chanet EmptyMar 28 Mai 2019 - 13:55


CHANET
ALEXANDRE

Personnage.

[WIP] Alexandre Chanet 100717113450488361
:copyright: Avatar taille 160x320 pixels.


  • Nom : Chanet
  • Prénom : Alexandre
  • Surnom(s) : Alex
  • Âge : 29 ans
  • Nationalité, origine(s) : Français, auvergnat
  • Pouvoir et description : Hippophobie, peur des chevaux
    Alexandre est capable de prendre physiquement des caractéristiques associées aux chevaux.



Description Physique.

Alexandre est un homme grand et massif, dont le rire aussi bruyant que contagieux résonne en écho, laissant un sourire radieux sur ses lèvres fines. Ses yeux couleur noisette pétillent au milieu du fin rectangle de son visage, piqueté de tâches de rousseur et grignoté du brun de sa barbe. Son nez, légèrement retroussé, s’effile vers deux sourcils épais, le droit barré d’une fine et vieille cicatrice. Cette tête bien faite est couronnée d’une longue crinière raide, d’un sombre châtain que strient quelques mèches blondes et rousses. Il remonte souvent ses cheveux en chignons, demi-queues, catogans, ou autres coquetteries maladroites, que d’aucun jugerait inapproprié sur un homme de sa stature. Alexandre n’en a cure et continue de les attacher, malgré ces gestes qu’il ne maîtrise pas encore, lui laissant chaque matin une myriade d’épis et de mèches indomptées, rebiquant et fuyant l’élastique qui tente, en vain, de les retenir.

Autrefois un enfant, puis un adolescent potelé, voire gros, sa tendance à l’embonpoint ne l’a jamais quitté. Sa large charpente abrite un physique robuste et du muscle ferme sous une gangue de gras, qu’il appelle affectueusement « son moelleux ». Sa bonhomie et l’autodérision dont il peut faire preuve sur sa physionomie, masquent difficilement le manque d’assurance qu’ont longtemps couvé ses kilos en trop et les efforts qu’il a dû faire pour les tenir à distance. Ainsi, pour beaucoup, Alexandre a le physique et l’allure d’un bon vivant, d’un gentil géant à l’air affable et à la douce voix de basse. Un timbre grave qui roule dans sa gorge et gonfle dans son poitrail, pour s’échapper de sa bouche sous la forme d’un doux ronron. Si l’homme laisse volontiers les apparences parler pour lui, sa personnalité ne saurait s’y limiter.



Caractère.

D’un caractère avenant et aimable, Alexandre est d’un naturel sensible et d’une grande douceur. Ses gestes sont toujours mesurés, calmes et recèlent une étonnante grâce, pour son gabarit. Ses mains, bien que physiquement plus proches de grosses pattes d’ours, se révèlent adroites et précisent, particulièrement dans son travail de vétérinaire, lorsqu’il apporte des soins aux animaux. Empathique, attentif et observateur, il sait moduler son comportement à l’état émotionnel et aux exigences de son interlocuteur. Sourires et paroles sont ses armes face à l’agression et peu nombreux sont ceux qui peuvent prétendre avoir énervé le jeune homme ou, plus vraisemblablement, à s’en être rendu compte.

En effet ces apparences cachent efficacement une nature un peu plus retorse et bien moins passive que ce qu’il y parait. L’Auvergnat est un homme rancunier et n’est pas non plus étranger au désir de faire passer l’envie à ceux qui y songeraient d’abuser de sa patience. Il ne s’estime pas non plus au-dessus de quelques bassesses pour obtenir la paix dont il estime avoir besoin et n’est pas aussi magnanime que certains pourraient le croire. Sûr de son jugement, il ne laisse que rarement l’occasion à ceux qui ne le convainquent pas rapidement de le faire changer d’avis. Il n’est cependant pas intransigeant et se garde d’être désagréable en partageant systématiquement son opinion, particulièrement quand celle-ci pourrait déplaire, et est tout à fait prêt aux compromis si la situation ne le dérange pas outre mesure.

En dehors de la colère, Alexandre ne se prive pas d’exprimer ouvertement tous les sentiments qui le traversent. Optimiste, joyeux et joueur, c’est une personne tactile et câline, qui peut parfois avoir un peu de mal à comprendre la pudeur des autres. Il n’hésite pas non plus à montrer lorsqu’il est ému ou effrayé, certain pourrait même le qualifier de craintif, car il sursaute facilement et s’angoisse rapidement lorsqu’une situation difficile s’annonce. Pourtant, sensible ne veut pas dire sensiblerie. Si son empathie lui permet de compatir sincèrement aux joies et aux douleurs d’autrui, la pitié ne paralyse pas ses actions et le doux géant serait bien capable de briser la nuque d’un oisillon, s’il estimait qu’il agissait dans l’intérêt de tous et, en l’occurrence, celui de l’animal.



Histoire.

Dernier-né d’une famille aimante de cinq, Alexandre eut une enfance heureuse et équilibrée. Entouré de ses parents médecins, d’une demi-sœur bien plus âgée, d’une “grande” sœur dont il a toujours été très proche, de deux chats, d’un chien et d’une ribambelle d’insectes élevés amoureusement par son paternel, les notions de malheur ou de tristesse semblaient aussi lointaines qu’abstraites. Quand il y repense, le seul point noir de cette période c’était la fascination de sa famille pour les chevaux et l’équitation. Le club le plus proche était un passage obligatoire, au moins une fois par semaine et un vrai calvaire pour l’enfant.

Pourtant, Alexandre adorait les animaux, tous les animaux. Contrairement à ses sœurs, il n’avait peur d’aucune bestiole, d’aucune créature, qu’elle rampe, vole, nage ou court. D’où qu’elles viennent, quelles qu’elles soient, le garçon vouait à chaque organisme vivant une fascination touchante ; tous à l’exception des chevaux. Il n’avait pourtant jamais eu de mauvaise expérience avec un équidé, pas de chute, pas de ruade, pas de hennissement brusque, pas de pied écrasé sous un sabot, ni de blague équine d’aucune sorte. Personne ne comprenait pourquoi, pas même le premier concerné, mais la vue d’un cheval déclenchait chez lui tous les signes d’une crise d’angoisse et plus sa famille insistait, pires elles étaient. Très vite, cela ne fit plus rire personne et il fut décidé de le laisser tranquille. Après tout, ils vivaient à Clermont-Ferrand, à une époque où la compagnie des chevaux était tout à fait accessoire.

Les choses se sont gâtés à l’entrée au collège. Alexandre avait toujours été un enfant rond, voire gros et plutôt petit de taille. Une apparence replète qu’accompagnait une attitude calme et réservé que les pré-adolescents n’ont pas tardé à prendre pour de la faiblesse. Pas tous, loin de là, mais quelques teignes ont suffi pour commencer, en engageant d’autres avec eux, décourageant les plus aimables et éloignant les rares amis que le garçon avait pu se faire en début de sixième. Dès lors, ce n’étaient pas tant les saillies ricaneuses de ses camarades qui le blessaient, que l’isolation croissante : quand Alexandre parvenait à intégrer momentanément un groupe, ce n’était jamais pour longtemps. Il finissait par en être chassé ou par partir de lui-même pour éviter de l’être.

Il tint bon grâce à sa famille et au groupe de théâtre qu’il fréquentait depuis qu’il savait lire. Auprès d’eux il jouait quelques pièces dans les salles de la ville, des classiques et des originales. Il commença à écrire, pour lui et pour sa troupe. Dans les coulisses il pouvait être une bulle de bonne humeur fébrile, qui faisait de ses angoisses des sketchs improvisés qui calmaient celles de ses camarades. Aussi stressé soit-il avant de monter sur scène, tremblotant sur les marches qui menaient aux planches, une fois sous les projecteurs ses épaules se déliaient et son visage se détendait. Il n’était pas spécialement bon acteur, mais ce qui manquait à son jeu, il le rattrapait par une excellente mémoire des textes et une certaine capacité d’improvisation.

Son isolation au collège se poursuivit au lycée. Sa situation scolaire avait entamé son amour-propre et sa confiance en lui ce qui ne l’aidait pas à se faire des amis, mais les agressions s’étaient amenuisées. Sa famille s’inquiétait, d’autant plus que la charge de travail grandissante ne lui permettait plus de participer, autant qu’il l’aurait voulu, au groupe de théâtre. Mais ses résultats scolaires s’avérèrent payants et lui permirent d’avoir ce qu’il voulait : une place à la Sorbonne, à Paris, dans une formation qui préparait spécifiquement au concours vétérinaire. Si jamais il échouait, il pourrait continuer sa licence et poursuivre sur un master en écologie, en éthologie ou dans un quelconque domaine qu’il aurait pu apprendre à aimer pendant ces deux premières années.

Entre temps, le petit garçon potelé était devenu un homme aussi grand que large. S’il avait souhaité s’éloigner de Clermont-Ferrand c’était aussi pour être perçu en tant qu’homme et plus comme un petit gros faiblard. Il voulait tenter de repartir du bon pied, dans un endroit neuf, où personne ne le connaissait. Au pire, il pourrait se noyer dans le travail, sans cette ambiance lycéenne et scolaire, qui le fatiguait physiquement et émotionnellement. Pendant deux ans il s’appliqua, prit une vingtaine de kilos et encore plus de cours, développa des insomnies, des troubles de l’angoisse et passa, enfin, le concours, pour être finalement accepté à l’école vétérinaire de la capitale.

Fier et heureux, Alexandre eut un sentiment particulièrement libératoire en entamant la suite de ses études. Certes, il était épuisé, plus gras qu’il ne l’avait jamais été et avait l’allure d’un revenant, mais tel était le cas de tous ses nouveaux camarades. Parmi eux il rencontra très vite une jeune femme, Anna, avec qui il devint ami, colocataire, amant, puis fiancé. La présence de ce premier amour le changea comme jamais il n’avait jamais changé auparavant. Elle le poussa à la suivre pour son jogging matinal, à s’investir dans les associations de défense des animaux qu’elle fréquentait, à adopter un régime végétarien, puis vegan, à changer de garde-robe. Avec elle, il perdit cinquante kilos et autant de complexes. Sa vie sociale et affective se bâtissait autour d’Anna et il s’en accommodait très bien, jusqu’à ce qu’elle commence à aborder la suite de leur relation, leur mariage et leur famille. Il ne voulait pas la perdre, il ne pouvait pas la perdre, mais quelque chose au fond de lui était terrorisé par ses questions de plus en plus fréquentes et la difficulté à demeurer évasif à leurs propos. Ce qu’elle demandait était pourtant parfaitement raisonnable et il ne comprenait pas qu’il hésite autant à lui dire oui. Il l’aimait, après tout. Ce fut dans ce contexte troublé que les insomnies et les cauchemars qui avaient émaillé son adolescence reprirent.



Post Rp.

Sombre et calme, l’écurie se déroule devant moi. Fait-il nuit ? Difficile à dire : il n’y a ni fenêtre, ni ouverture, seul un enchaînement de box de part et d’autre d’un couloir central en terre battue. Les lieux semblent vides. Derrière les portes qui ferment les alcôves, l’obscurité couve quelques sons discrets, des souffles chauds de bêtes endormis, le bruissement d’un pelage ou le claquement d’un sabot, mais je ne vois rien. Je déglutis, l’angoisse serre ma poitrine. Je reconnais les lieux sans les connaître, l’odeur de fumier et de sueur, le bois des murs, les accessoires accrochés. Je voudrais fuir, rentrer chez moi, mais tout ce que j’arrive à faire c’est me tenir immobile, au centre du couloir, le plus loin possible des box les plus proches. Je veux partir.

Les secondes, puis les minutes s’égrènent. Je ne bouge pas. Rien ne se produit. J’entends mon cœur qui s’apaise, puis un « clop » au fond du couloir. Je me tétanise, je sens mon dos trempé qui se fige dans ma sueur glacée. L’étau de peur est tel que ma respiration devient difficile, sifflante. J’ai envie de vomir.

Le bruit de sabot, régulier et calme, s’approche. Une silhouette sombre se dessine, haute, élégante, racée. Le poil brille d’un bleu sombre qui vient d’une lumière que je ne vois pas. La robe est belle, collée à des flancs musclés, des jambes longues et robustes. Le crin est peigné, mat et masque le regard de l’étalon qui avance. Je reconnais la forme et l’attitude d’un pur-sang, alors qu’il s’arrête à deux mètres de moi. Je voudrais mourir.

Il ne bouge plus, tape le sol d’un sabot avant, renâcle, mais n’avance pas d’avantage. Une longe pend de son licol. J’halète, mes épaules se soulèvent et retombent lourdement, par saccades. La scène me rappelle diffusément quelque chose : l’étable, le cheval, la longe qui attend d’être saisie, mais je ne parvins pas à me rappeler quoi. Je sens mon corps trempé, suant à grosses gouttes et pourtant je tremble de froid. Je voudrais que ce putain de canasson bouge, qu’il fasse quelque chose, qu’il rue, qu’il se montre menaçant ; qu’il me donne enfin une bonne raison de prendre mes jambes à mon cou. Mais non, il se fout de moi en me toisant, les deux oreilles rabattues sur le crâne dans une expression qui signifie « Tu me touches et je brise ton crâne d’un coup de sabot » et pourtant il ne fait pas un geste. Je veux mourir.

Apex predator, espèce dominante, mon cul oui : face à ce monstre de muscle et de puissance, je ne peux ni fuir, ni combattre et je ne songe même pas à le faire. Je suis paralysé, incapable de remuer le moindre muscle. C’est ridicule, mon cerveau est en ébullition et pourtant je n’arrive pas à réagir. Je sens le souffle régulier de ses naseaux sur mon torse. J’agonise à l’intérieur.

Je suis prisonnier de mon propre corps et de sa psychose. J’ai envie de me maudire, de pleurer ou de faire toute autre chose parfaitement inutile. Je ne manque pas d’idée pour rendre la situation encore plus misérable, mais aucune qui me permettrait d’avancer. C’est comme si ma tête refusait d’y penser. Pourtant, je fixe la longe qui pend et, doucement, mes doigts viennent l’effleurer. Je retiens mon souffle.

Ma main se referme lentement, très lentement, millimètre par millimètre sur cette corde de survie. Mes yeux ne lâchent pas ceux de l’équidé. Je le sens s’agiter, il retrousse les lèvres et ses membres antérieurs s’agitent. Je lâche le filin, mais il ne se calme pas. La panique me reprend et, sans y penser je m’accroche à la longe et m’y suspend de tout mon poids. J’ai les yeux fermés mais je me sens soulevé du sol alors qu’il rue, haut. Je sens ses jambes frôler mes épaules, les sabots passer près de mon visage et, dans ma tête, j’implore ma mère et toutes les divinités de ce monde pour que cela cesse. Je me sens partir, tout en tenant bon. Mes pieds touchent à nouveau terre, mon souffle et le sien se calme, se synchronise. J’ouvre enfin les yeux. Ses oreilles sont en avant, il est attentif mais calme. Sans y penser, ma main vient flatter son encolure et je me réveille.



Histoire, Fin.

Depuis ce rêve, j’ai beaucoup changé, et je ne parle pas uniquement de la double vie que je mène maintenant entre le monde réel et celui des songes. J’ai fini par rompre mes fiançailles avec Anna. J’y ai perdu une compagne chère et des amis. J’y ai gagné l’inquiétude encombrante de ma famille et des quelques personnes qui ont continué à m’adresser la parole malgré tout. Personne n’a compris une décision que moi-même je ne sais pas trop comment m’expliquer, en dehors de « Vous savez, découvrir un autre monde, ça change vos perspectives d’avenir. », raison qui m’amènerait en Hôpital Psychiatrique, si je la disais à haute voix.

Du même coup, j’ai quitté mon travail dans la clinique vétérinaire parisienne que je fréquentais depuis mes études et j’ai candidaté à un poste dans une ferme urbaine à Marseille. C’est de l’autre côté du pays, dans une région que je ne connais que via la télé et les escales à la gare, mais j’ai besoin d’échapper aux conséquences de mes choix. Je sais que ce n’est pas très « noble » ni très responsable, mais les questions auxquelles je ne sais pas répondre et les silences qui disent tout, je ne les supporte plus. J’ajoute en plus que ce projet a tout ce dont je pourrais rêver : ils essayent de développer de nouvelles méthodes d’élevage et d’agriculture en « collaboration » avec les autres espèces animales. C’est une étrange manière de le formuler, mais l’idée m’a tout de suite conquise et j’ai fait mes valises pour emménager dans une chambre à la bastide, avec d’autres membres de l’association qui gère la ferme.

Dans le train qui m’amène là-bas, j’angoisse et je me dis que, peut-être, je ferais mieux de dormir pour faire passer la peur.



Autres.

(La première partie de cette section concerne votre personnage, et pas vous IRL)
Aime : Les animaux, le fromage, son travail, les gens
N'aime pas : La brutalité, l’insensibilité, les régimes
Particularités, autres : Porte des lunettes de lecture quand il travaille sur un ordinateur ou quand il lit longtemps
Niveau d'étude hors de Dreamland : Bac +8, 2 ans de préparation, 5 ans en école vétérinaire et 1 an de spécialisation


Comment avez-vous découvert le forum ? Y a longtemps
Première impression : Le dormeur doit se réveiller
Pour les DC (double compte) ou TC (triple compte), qui a donné son accord ? Lithium !
Avez-vous lu les règles et les respecterez-vous ? Oui et oui
Code de validation :
[/i][/i]
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AuteurMessage
Lithium Elfensen
Surnom : L'Ambidextre
Messages : 2709
Date d'inscription : 03/09/2010
Age du personnage : 31

Arpenteur des cauchemars
Lithium Elfensen
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MessageSujet: Re: [WIP] Alexandre Chanet [WIP] Alexandre Chanet EmptyJeu 30 Mai 2019 - 23:10
Une très jolie fiche bien écrite comme je les aime.
Je serais d'avis d'un morpheur rang 3 !
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https://berliefanny.wixsite.com/illustratrice
AuteurMessage
Riku Kaisuki
Surnom : The Death Voice
Messages : 607
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Arpenteur des rêves
Riku Kaisuki
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MessageSujet: Re: [WIP] Alexandre Chanet [WIP] Alexandre Chanet EmptySam 1 Juin 2019 - 10:44
Bien, j'ai lu également, et je rejoins l'avis de ma collègue, rien à redire, les descriptions et le récit sont vraiment plaisants à lire.

Je ne te fais pas attendre plus longtemps, tu es officiellement VALIDEE !

Tu seras donc Morpheur de rang 3 !
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[WIP] Alexandre Chanet

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