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[16+] L'infamie est affaire qui marche - Lou Nowak

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Lou Nowak
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Lou Nowak
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MessageSujet: [16+] L'infamie est affaire qui marche - Lou Nowak [16+] L'infamie est affaire qui marche - Lou Nowak  EmptyVen 16 Sep 2016 - 22:25


Nowak
Lou

Personnage.

[16+] L'infamie est affaire qui marche - Lou Nowak  1474056312-ilovethisshit2
© AaronGriffinArt


  • Nom : Nowak
  • Prénom : Lou
  • Surnom(s) : Loulou
  • Âge : 21 ans
  • Nationalité, origine(s) : Française
  • Pouvoir et description : Érotophobie - Lou dispose du pouvoir de se changer en homme à sa volonté. Au début, elle pourrait simplement changer son physique de manière superficielle, perdre ses attributs féminins et disposer de ceux masculins (étant dû qu'elle est déjà de nature assez androgyne) puis ensuite, potentiellement se transformer en homme/femme charmant(e) qui dégagerait une aura... candide ou aphrodisiaque ? Une aura qui permettrait de séduire (relativement) n'importe qui ou de changer de morphologie au point d'obtenir un corps de culturiste donc une force assez imposante (relativement aux capacités humaines, bien entendu).



Description Physique.

L'androgynie est un substitut de protection. Une caparace qui protège son corps des assauts incessants des compliments scrutateurs. Un espoir vain qui lui offre de croire que cultiver un côté masculin écrase toute grâce, tout charme, tout ce qui pourrait éveiller l'exaltation chez autrui. Fâcheusement, sa disgrâce casse ses espérances car ses gestes gauches, quand le bout de ses appendices tremblent sous la gêne, lui donne cette abscisse éffarouchée mais, aveuglément séductrice. Encore faut-il apprécier les joues teintées de carmin sous un embarras naissant à la moindre situation qui défie ses planifications, les dents blanches qui contrastent avec la lippe rosée qu'elles pincent sous le poids de la nervosité ou encore, les doigts fins qui se perdent, se retrouvent, s'attirent convulsivement quand on a l'audace de l'interpeller. La demoiselle est la personnification de la timidité, paquetée de manies gestuelles qui notifient de ses mésaises dans des situations pourtant anodines pour n'importe quel individu lambda. Les mains fourragées dans les poches de son denim, les écouteurs aux creux des esgourdes et le front collé aux vitres du bus derrière lesquelles les paysages défilent, elle fait partie des effacés, des recroquevillés, de ceux qui ont la peau terne, les traits tirés et le regard éteint.

Un petit bout de femme d'un mètre soixante-cinq tout au plus. Une silhouette fine, élancée, aux jambes galbées et bras élégants. Légerté dans ses pas, ses mollets sont maigres et ses pieds petits. Quand il s'agit de fuir, elle est adroite, agile et féline mais, peu endurante à la course. Le creux de son bas-ventre est précieusement tracé par l'absence de graisse sur ce corps frêle et chétif. Ses hanches n'en mènent pas larges et son buste est taillé sous la lettre V. Un ventre plat et peu de poitrine, un bonnet B, tout au plus, qui tient au chaud, aux creux des mains. Des seins lisses, presque laiteux et surmontés d'une teinte chocolat qui nuancent sa peau. La nature ne l'a jamais gâté de ce côté-ci mais, elle l'en remercie. Une peau d'un naturel pâle et parsemée de naevis, notamment un regroupement sur le flanc droit. Ceux qui la tueront d'un cancer qu'elle pâme haut et fort à ses rares heures où elle se montre avenante ou sociable. L'ascension perdure avec des épaules carrées et un cou nu. Il offre un visage oval qui a échappé à l'épidémie de naevis. Une mâchoire prononcée qui cache une dentition parfaite secret de punitions en cas de manquement à la règle du soir : se brosser les dents. Ses lèvres pulpeuses et douces attirent les regards en premier car elles brisent l'harmonie de son androgynie. Elle en complexe. Un nez fin les domine, légèrement retroussé et rouge la plupart du temps, pas l'alcool, l'embarras ! Il soutient le cadre en plastique de ses lunettes avec lesquelles elle force l'intellect. Elles protègent des prunelles d'un bleu aéré aux lueurs éteintes dans la solitude mais, vives auprès de ceux qu'elle apprécie. Ses sourcils bruns sont broussailleux et elle peine à les entretenir, tant par mauvaise habitude que pour garder un air négligé, inconsciemment. Un front massif surmonte le tout mais, caché derrière des mèches bleutées et rebelles issues d'une coloration. Leurs couleurs se nuancent selon la lumière ; tantôt claires ; tantôt foncées. Sous ses mèches, son crâne, presque rasé, tondu pour une coupe courte avec la couleur initiale de sa chevelure : châtain foncé. Pour terminer d'encadrer ce visage, ses oreilles, petites et pourvues de plugs noirs, percées donc.

Pour parfaire l'androgynie : le style vestimentaire. Elle apprécie les jeans et pantalons surplantés de chemises ou de t-shirt larges dans lesquels peut nager à son aise sa poitrine. Elle n'affectionne pas particulièrement les ornements et ne cherche pas à s'offrir une allure coquette, sauf dans les cas particuliers.



Caractère.

N'importe quel être humain doté des facultés minimes de socialisation pratique une manipulation inconsciente : il s'adapte à l'individu qui lui fait face, celui avec lequel il converse de paroles ou d'une simple attention. Elle n'échappe pas à cette règle malgré ses difficultés à se sociabiliser. Au milieu des inconnus, dans une foule massive, étouffante, la cohue cauchemardesque qu'est la ville, elle est fantôme. Un regard instable et furtif qui ne peut se focaliser sur quelqu'un de crainte d'attirer l'attention. Un cervelet en constante réfléxion qui analyse le moindre de ses mouvements afin de quantifier de l'embarras dans la situation créée. Des lèvres qui se muent en société pour ne pas déblatérer que de bafouillages futiles et incompréhensibles. Des joues dont la teinte se nuance de rouge à la moindre ébauche de gêne. Pourtant, elle n'est pas associable.Tactiturne, elle a l'ouïe fine, l'oreille attentive mais la lippe scellée à sa superieure. Elle préfère écouter que parler bien qu'elle apprécie donner des conseils et aider. Elle s'intéresse à autrui et notamment à la sémiologie. L'analyse sociale comme gestuelle, est un jeu auquel elle se prête pour pallier l'ennui de ses attentes : dans les transports en commun, devant les salles d'examen, chez le médecin... La foule ne l'effraie pas mais elle n'aime pas sa compagnie régulière. Au fil des années, elle a appris à tarir ses secrets, ses mésaises, ses problèmes et ce, pour ne plus être qu'une ombre sur les murs des bâtiments. Cette capacité à s'effacer est issue de son éducation. De celle qu'Il, lui a donné. Qu'Il lui a donné avec cette amertume propre à sa solitude.

Dans la société, certains brillent pas leurs atypismes et ils sont de ceux, qui brisent l'habitude de Lou. Il lui arrive de s'ouvrir aux autres qui constituent son environnement, de parler et de se lier avec eux mais, cela nécessite une confiance sans faille. Sous son coeur émaillé d'apparences, se cache un être aux besoins sociaux, tactiles et oratoire. Elle reste douée de paroles comme d'émotions et de sentiments. La compagnie d'autrui lui plaît quand la gêne est dissipée. Elle devient l'insouciante, l'irréfléchie, l'optimiste et souvent, la possessive. Il l'a apprivoisé, Il l'a volé, Il l'a violé, des souvenirs acerbes qui engendrent sa nature possessive de crainte, qu'un nouvel être aimé lui soit arraché. Une bribe de son histoire qui vient entâcher la plus joyeuse des descriptions. Elle est tactile quand la timidité est bravée, la gêne descendue à coup de confiance. Elle est sentimentale mais, ne crois pas au romantisme. Un idéal plausible qu'est celui de la femme forte et fumeuse dont les ordres fusent dans une fictionnelle fornication animent ses fantasmes et chimères ; son type d'individu ; son prince charmant des temps modernes.

De manière plus générale, Lou est étourdie, ailleurs, ses pensées voilent son regard absent. Elle se berce d'illusions dans un monde fantasque et ce, souvent. Ainsi, elle apprécie grandement Dreamland. Pourtant, elle est d'un naturel craintif mais, l'onirisme a su la séduire. Garnie d'amertume concernant l'espèce humaine, elle peine à pardonner leurs péchés et n'hésiterait pas à les châtier. Souvent, avant de s'endormir, au chaud, dans la tiédeur des draps, elle a ce fantasme étrange : celui de tuer. Dostoïevski pense que ce fantasme se répend à tous les malheureux et elle n'en n'est pas effrayée. Ses idées sont arrêtées et elle se berce d'espoir utopistes et amers. Pourtant, son ouverture d'esprit est telle qu'elle accueille les théories d'autrui mais, n'en ferait pas sa Bible. Une véritable intellectuelle passionnée par les sciences sociales comme la psychologie ou la sociologie. Les adultes mais, l'être humain de manière plus générale, fut très tôt, un sujet d'étude passionnant à ses prunelles enfantines. Elle apprécie la lecture et affectionne corréler des faits sociaux avec la psychologie humaine.



Histoire.

À chaque tour suffit sa reine.

Il eut une époque où elle était reine. Chaque souhait s'exécutait d'une supplique de l'enfant agaçante qui distendait les vêtements de sa mère jusqu'à entendre réponse. Lou était fille unique, vivait seule avec sa génitrice à la capitale Française, d'un père disparu et traité comme une râclure par la famille. Disparition volontaire, abandon mais, qui n'était pas pour déranger l'enfant. Elle bénéficiait de l'attention complète de sa mère. Dans un appartement à la décoration fanée, aux pièces étriquées où les hiver étaient polaires à cause d'une mauvaise isolation et les été étouffants car seuls les toits surplombeaient le plafond, elle vécut les plus heureuses années de sa vie. Il n'était pas rare qu'elle avale les escaliers de grands pas avides pour gagner la loge de la concierge. Elle s'appelait Clothilde, une bonne femme bedonnante aux joues rondes et au grand sourire. Lou l'aimait bien. Elle lui contait ses histoires, ses amours et ses emmerdes. — « Les hommes sont tous les mêmes ma petite ! Ne t'y accroche jamais, ils te briseront le coeur avant de le jeter en pâture à la vie, affamée de ton malheur ! » minaudait-elle tout en préparant une de ces fameuses recettes. Les pupilles illuminées d'une lueur curieuse, elle l'écoutait, sagement assise, en humant les effluves de roti mêlées à celle de la purée. Naïvement elle hochait la tête. Elle notifiait son écoute. À cette époque, elle n'avait conscience de la véracité de ses dires.
La graisse crépitait dans le plat signifiant l'heure de son départ. Il lui fallait regagner le pallier du troisième et ce fut à pas blasés qu'elle entamait son ascension. Un sourire s'esquissait sur ses lèvres à l'instant même où elle franchit la lourde porte en bois pour découvrir sa mère dans la cuisine. Recroquevillée dans les pans de la longue jupe en quelques mouvements, elle enlaçait une de ses cuisses avant de relever son regard enfantin. — « Maman, j'aimerai manger une omelette, maman. » couina t-elle en blotissant son visage dans l'étoffe comme pour s'y cacher.
— « Bien entendu ma puce, bien entendu. » souffla t-elle comme seule réponse alors que sa main épousait la chevelure - à cette époque longue et étincelante -, du rejeton. Elle aimait sa mère, elle aimait Clothilde, elle aimait cet appartement, cette vie, l'ivresse de la puissance d'enfant unique et ne désirait rien d'autre.

Une belle histoire d'amour.

La scène se déroulait au Palais de Justice. Elle avait sept ans. On ne lui avait pas indiqué la raison de leur présence en ce lieu. Il y avait cet inconnu au collier sectionné d'une balafre, aux prunelles brunes et à la chevelure épatée, qui, planté comme une pelle avec un sourire niais, semblait les attendre. Elle fut poussée devant lui par des mouvements intimidés de sa mère puis l'ordre claqua comme une menace : — « Embrasse ton père. »
Et Lou : — « Non. » Elle fut saisis d'une claque qui meurtrie sa joue d'une bavure rougeâtre. Ce fut sa première et pourtant, elle ne cillait pas. Cet homme n'était pas son père, tant par fierté car il les avait abandonné et qu'il était hors-de-question qu'elle retourne sa veste, que parce qu'elle ne voulait pas de cet homme, chez elle. Devant ses yeux jacassiers, ses parents s'embrassèrent à pleine bouche quand les nombreuses insultes proférées au sujet de son père, de la bouche de sa mère, résonnaient en écho dans sa tête d'enfant.
Ils étaient rentrés à trois dans le petit appartement et, il furent une famille.

— « Et mes parents sont divorcés » gémissait une camarade de classe larmoyante dans la cour de récréation pour finir l'histoire lamentable de la vie conjugale de ses parents. La compassion se lisait sur beaucoup de visages mais, pas sur celui de Lou.
— « Les miens aussi. Mais malheureusement, ils ne le sont pas restés. » murmura t-elle d'un ton éteint. Autour d'elle, les mines enfantines étaient partagés entre rires et terreurs, beaucoup n'y croyaient pas.

Un fieffé stratège.

Il était nuit. La pénombre baignait le salon dans une atmosphère sombre et effrayante. Les ombres des ornements dansaient sur les murs, animées par la lueur d'une bougie posée sur la table basse. Engoncée dans un cosy, au côté de son dit père, l'enfant portait un livre d'algèbre sur les cuisses. Ses yeux éveillés malgré l'heure tardive, déchiffrait chaque formule avec un sérieux inusuel. Elle n'avait aucune envie d'adresser la moindre attention à son géniteur, elle préfèrait se plonger dans les études. Depuis maintenant trois années, ils cohabitaient, 1099 jours exactement en incluant les années bissextiles. Lou comptait.
— « C'est  encore un de nos moments prévilégiés que tu gâches en étudiant. Tu as des notes suffisantes, pourquoi continues-tu à réviser ainsi ? » questionna t-il de manière réthorique. Il savait. Elle savait. Depuis son arrivée, la vie à la maison était une guerre sans merci où elle s'échappait de ses griffes par tous les moyens. L'école devenait son paradis et les devoirs, une trève. « Ta mère est sortie ce soir pour que nous bénéficions de ce moment et tu n'ouvres pas la bouche, comme d'habitude. » soupirait-il, exaspéré. Il reprit : « Tu sais, je fais au mieux pour vous. Je t'ai déjà expliqué pourquoi je vous ai abandonné, pourquoi je suis revenue. J'ai tenté de me racheter, je t'ai fait plaisir et je t'ai même acheté un piano. Tu en rêvais et il me fut difficile d'en convaincre ta mère. »
Ce fut au tour de l'enfant de soupirer. Elle ferma son livre dans un claquement sonore avant de le poser sur la table-basse, blasée. Il était parti pour l'armée et revenue car il l'aimait, sa femme. Elle n'y coyait pas. Il lui avait offert un piano mais, plus réfléchie que les adultes, l'enfant y touchait sans jamais le remercier. Mâture pour son âge, elle ne comprenait pas les choses, les adultes. Un à un, ils avaient retourné leurs vestes pour accueillir à bras ouverts, le retour du père, du salaud, du fourbe, de tous ses mots dont certains n'avaient pas encore de signification.
— « Je n'aime pas te parler. » lâchait-elle finalement pour briser le silence morne qui s'était confortablement installé sur le divan, à leurs côtés. Seuls les bruits de la nuit perturbaient ce tableau.
— « Bien. Dans ce cas-là, je te parlerai. Ta mère m'a dis que tu appréciais lire. Elle a une éducation plus fermée que la mienne. Je suis plus libertaire, je dirais. À l'armée, j'ai pu lire. Je peux te parler de tout. De Freud, de Flaubert et son éducation sentimentale. Elle te sera utile puis.... » puis il continuait. À ce moment précis, elle ne comprit le sens de son rapprochement entre l'oeuvre littéraire et la suite des évènements. Affaiblie par ces belles paroles, elle lui accordait son écoute et ce fut sa plus grande erreur.

Derrière la porte.

Jusque-là, il était plutôt discret. Ce n'est qu'ensuite, de l'autre côté, dans la chambre conjuguale de dix pas de longs, pourvue d'un lit double et d'une commode, qu'il se laissa aller. Il était tout entier dans son bonheur et y entraînait l'enfant. Il la couvrait de flatteries qui l'empourpraient et de mots imagés qui fronçaient son nez. Il progressait dans la gloire et Lou, dans l'humilité.
— « Maintenant que nous sommes plus proches, il est de mon devoir de m'occuper de ton éducation de femme. » attestait-il. Ce fut ses derniers mots avant le drame. Elle n'émit pas un mot, comme à son habitude en sa présence. Assise sur le lit, ses frêles petites jambes furent écartées de force et sa culotte baissée. Ce fut un brasier qui brûlait tant dans l'intimité de ses ressentis, que dans son intimité physique. Les larmes roulaient sur ses joues mais, elle ne s'abaissait pas à éructer autre chose que des grognements, des râles et des sanglots. Pas un mot et il en fut mieux ainsi, selon son père.

Cet évènement fut réitéré. Encore et encore. Il fit parti d'une routine, d'un de leurs moments prévilégiés quand, le mercredi après-midi, l'enfant n'avait pas école et le père, ne travaillait pas. Parfois, elle aurait voulu se cacher mais, il n'y avait pas où. Il ne traîna pas à la découvrir, recroquevillée dans le placard de l'entrée.
— « On joue à cache-cache ? Allez sors, tu es prise. Ou tu veux que j'entre aussi ? » menaça t-il. Les jambes flageolantes, la tête baissée, elle sortit, effrayée.
À coup de boutoir, il avait abattu ses défenses et sa capacité à survivre à sa présence par le mutisme. Avec les mots, il avait abattu sa personnalité extravertie et optimiste. Après avoir fini son affaire, la laissant endolorie, ébréchée par le corps étranger, il prenait toujours soin de couvrir ses arrières.
— « Si tu en parles, on ne te croirait pas. Freud l'a dit. C'est la faute de l'enfant. Personne ne croit les enfants. Et si ta mère le sait, elle se jettera par la fenêtre. »
Elle ne pleurait plus. Muette, elle prit la direction de sa chambre et se réfugia sous la couette. Ses mots s'entrechoquaient dans son esprit ému. L'ancienne Lou fut morte et enterrée ce jour-ci. Elle ne se confira plus, peinera à accorder confiance et cherchera toujours à se faire petite pour ne pas attirer les ennuis et ne pas en parler car, on ne peut pas, en parler.

Papa et rêveries.

Elle grandit, comme tout enfant. Dans l'adolscence, au collège, elle fuyait ses camarades et cherchait la solitude, de crainte de confesser au hasard d'une conversation et de subir l'humiliation des moqueries. On ne la croirait pas, elle le savait pertinemment. D'autant plus, qu'il avait cessé son éducation de femme sous les suppliques de sa mère. Elle avait ouïe la conversation, derrière la porte, celle des limbes, de l'Enfer. Il risquait de se faire prendre car Lou, discutait beaucoup avec Clothilde. Elle fut peinée que sa mère, malgré sa conscience, ne fit rien pour l'aider. Elle fut peinée qu'elle ne se soit pas jetée par la fenêtre. Elle fut peinée de ne pas avoir réussi à en parler à la concierge malgré leur proximité. Ce jour-là, elle était six pieds sous terre, éteinte d'un cancer.

Dans son lit, la couette établie comme une tente maintenue par des peluches en guise de perches, recroquevillée contre son oreiller, elle pensait. Nonobstant les dégats de son éducation de femme, son cervelet résistait, il était son dernier atout, l'ultime, le parfait, elle préférait vendre son corps que celui-ci, qui l'aidait à survivre, vivre, elle préférait avoir été abusé qu'avoir retourné sa veste, comme les autres, pour l'accueillir. Ses pensées voilaient son regard, elle fermait les yeux et imaginait des scènes familiales avec un autre papa. Un doux, un gentil, celui qui ne l'aurait pas abandonné et qui jamais, ne l'aurait abusé ainsi. Quand les filles jouaient à la poupée, Lou jouait avec les papas. Elle survécue.

Vertige de la Nature Humaine.

Au Jardin des Plantes, il était interdit au public de donner de la nourriture aux animaux.
— « Vous savez pourquoi ? » questionna le professeur alors que la classe visitait le dit lieux.
Les élèves firent tous non de la tête.
— « C'est car des gens leurs jettent des boulettes de viande avec des morceaux de lames de rasoirs. » À ce moment-ci, tout s'illuminait, une révélation. La Nature humaine ne méritait pas respect, jamais. Lou était pleine d'amertume concernant cette nature. Elle respecterait la vie animale, minérale, florale mais, plus jamais, humaine.

Androgynie.

— « Qu'est-ce que tu cherches à faire, coiffée comme ça ? » questionnait son père quand il la toisait d'un regard dur.
L'adolescente avait la moitié du crâne rasé, l'autre assez courte. Elle était vêtue d'un jean large et d'un t-shirt qui l'était tout autant. La lueur de défi qu'elle lui réservait, était éteinte depuis longtemps. Ses yeux gagnaient soudainement le sol pour regarder ses baskets comme les septième merveilles du monde.
— « Ton visage est toujours aussi charmant, tu sais. » dit t-il, d'un ton neutre.
Un long frisson parourut son échine, hérissant les poils de sa nuque et animant sa peau de la chaire volatile. Un haut-le-coeur semblait remonter ses tripes. D'un geste brusque, elle fit demi-tour et partit dans sa chambre pour réprimer ses mésaises. Elle avait l'impression d'être opressée par les regards dès qu'un jeune homme posait les yeux sur elle. Elle avait ce besoin de ne plus être attirante, d'être négligée, de ne pas susciter l'attrait, jamais.

Le départ.

Lou avait dix-huit ans. Elle cumulait un travail d'étudiant comme ripeur et une bi-licence en sociologie-psychologie. Les deux étaient difficiles à assumer mais, son intellecte, son assiduité, lui permettait d'en parvenir à bout. Ce soir-là, elle faisait ses valises. Son travail et quelques économies, la bourse, lui permettaient de louer un petit studio étudiant dans un campus quelconque. Sa mère, alarmée par son départ, oscillait entre la cuisine et la chambre, inquiète.
— « Tu ne peux pas partir comme ça ! » hurlait-elle dans la maison. Son visage était pâle, ses traits fatigués et ses yeux pochés. La demoiselle, n'avait aucune pitié.
— « Tu vas avoir la preuve que j'en suis capable. »
— « Pourquoi tu me fais ça ? » couina t-elle entre deux sanglots, les larmes roulant  sur ses joues.
— « Je ne peux plus vivre avec vous, dans cette atmosphère étouffante, dans les non-dits, dans le manque de confiance. J'aurais aimé que tu m'aides... que tu fasses quelque chose... quand il m'a... tu le sais bon sang ! Tu ne m'as pas aidé, tu n'as rien fait, alors je ne t'aiderais pas ! » hurla t-elle finalement, à son tour avant de fermer sa valise dans un cliquetis sonore.

Quelques minutes plus tard, ses pas avides avalaient les escaliers. Elle y croisa son père et dans son regard, elle lisait qu'il savait. Aucun mot ne fut émis, aucun son et elle fut dehors. La pluie caressait son visage et noyait ses pleurs. L'air frais fit virevolter ses mèches rebelles, courtes, celles derrière lequelles elle se cachait. D'un pas allégé sur le béton nu, elle gagnait sa nouvelle vie. Ses larmes avaient le goût de la liberté.

Une phobie éteinte.

Elles s'étaient rencontrés dans un bar, Lou emportée par une connaissance dans un de ces pubs irlandais trouvé sur les grands boulevards. Plusieurs regards échangés quand l'androgyne daignait lever les yeux de son livre. Cette fille la toisait de son regard de braise avec un sourire embusqué derrière le verre de vin qui teintait ses lèvres de carmin. Elle se surprit à apprécier cette couleur et cette boisson dans ce lieu qui n'y correspondait pas. Il restait seulement à établir le contact. Prostrée sur sa chaise, ce fut à l'inconnue de faire le premier pas, une main tendue, une invitation, une voix sulflureuse qui berçait ses pensées de films osés mais jolis. Quelques mots, quelques pas, sur la musique, elles furent lancés, revenues, du bout des doigts, elles échangeaient plus qu'une simple danse. Son regard se noyait dans l'épaule de sa partenaire. Elle humait son odeur qui suffit à ébranler ses sens.
Un verre, de la discussion, des échanges, de la littérature, de la sociologie, un brin de politique et l'amertume de la nature humaine déblatérée durant des heures. Le bar fermé, elles furent obligés de décamper. Outrepassant sa timidité, elle l'invitait, chez elle, dans son studio oppressant tant il était petit. Elle se sentait vaciller à chaque pas, elle se surprit à sursauter quand la main de l'inconnu vint se loger contre la sienne, leurs doigts entrelacés dans une tendre étreinte. Elle appréciait. Elles ne tardèrent pas à arriver. Le studio se constituait d'un couloir disposant d'une porte : celle de la salle de bain. Il menait à la cuisine jouxtant une pièce disposant d'un lit double mais, rien de plus. Elle fut poussée dessus sans pouvoir s'en débattre. Elle fut dominée d'une présence sans pouvoir y réfléchir, couchée avec la demoiselle paraissant soudainement imposante au-dessous d'elle, des lèvres pressées contre les siennes, sa lippe saisie dans une morsure érotique. Les paupières closes, le drame lui revint par ellispe, une main, un chibre, une douleur intense. Ses mains se posèrent brusquement sur le buste de son invitée pour la repousser brusquement. Son corps entier était sujet au tremblement alors que la gerbe remontait sa gorge. La soirée se terminait ainsi et plus jamais, elle n'osa la revoir.

Cette phobie fut éteinte. Un matin, la suite d'un rêve, une impression de liberté, une oppression retirée. Ce matin-là, appuyée dans l'encadrement de la porte dévoilant la salle de bain, elle s'observait dans le miroir.
— « Je suis libérée... » parvint-elle à murmurer. La véritable histoire commence maintenant.




Post Rp.

La tasse de chocolat fumante était posée sur la table de chevet tout proche des Derniers Hommes de Bordage. Logée sous une couverture, recroquevillée sur elle-même, elle émergeait d'un monde post-apocalyptique situé chronologiquement parlant après la troisième guerre mondial. Un baîllement arrachait sa mâchoire avant que ça ne soit mes muscles qui gémissent de quelques étirements. Sans sortir de son nid douillet de tissu, elle attrapait sa tasse pour avaler quelques gorgées en jetant un regard par la fenêtre. La lune brillait dans le ciel nocturne et l'église sonnait les onze heures. Les ombres des meubles se dessinaient sur les murs de sa chambre étriquée, animées par les lueurs de cette lune insolente qui poussait à faire vivre les ténèbres. Un lourd soupir lui échappait. Elle finit par extirper son corps du lit aux prix de durs efforts psychologiques et se traîna jusqu'à l'évier où elle entreprit sa vaisselle. Quelques phrases avaient hérissé les poils de sa nuque, animer sa peau de chaire volatile et causa ce frisson qui parcourut son échine. Elle avait osé lire avec dégoût, une scène de sexe morbide avec un écart d'âge dans le confort d'une remorque cendreuse où le soleil pesant sur le tissu démasquait les particules de poussière virevoltant au-dessus des deux corps. Une boule d'angoisse pesait sur son estomac comme un poids. Ses doigts décrassaient nerveusement la tasse déjà impeccable comme si cela pouvait la débarbouiller de ses mésaises.
Une ellipse guidait ses pas jusqu'à la salle de bain où s'observait son reflet. Lou s'aimait, ainsi, androgyne. L'eau ne tardait pas à couler dans la douche, brûlante, émettant cette vapeur qui enveloppait son corps pendant la nudité. Elle appréciait ses muscles se délasser sous l'eau ardente qui peu à peu, poussait l'angoisse à se dissiper. Les cheveux humides, le corps enveloppé d'une serviette qui épongeait les dernières perles d'eau, elle troquait cette modeste tenue contre un boxer surplombé d'un marcel. Elle replaçait ses lunettes embuées sur le bout de son nez avant de passer une main dans ses cheveux bleutés pour replacer quelques mèches le long de son front.
— « Je me sens mieux... la nuit devrait bien se passer. » souffla t-elle à son reflet avant de faire demi-tour pour gagner sa chambre qui jouxtait la cuisine. Un lit double la meublait simplement avec un placard inscrusté dans le mur. Elle s'y écroulait avant de plonger son regard sur le plafond. Le frêle drap vint la couvrir et ses paupières furent rapidement closes sous la fatigue qui la pesait. Ses pensées prenaient des teintes extraordinaires avant d'être totalement éprises de Morphée. Elle se fut endormie.


Il y avait quelque chose de curieux dans ce rêve. Elle était couchée sur un lit, ses doigts taquinant les draps, les aggripant fermement et la sensation était intense. Elle était nue. Les draps étaient frais. Une fenêtre ouverte lui faisait face et elle pouvait sentir le froid vivifiant mordre sa peau dénudée. Habituellement, ses rêves étaient flous, parsemés d'ellipses et la moindre couleur vive ébranlait ses sens. Depuis quelques temps, ils avaient quelque chose de différent mais lui, plus encore. Ses yeux s'accoutumaient à le semi-obscurité et en se relevant, appuyée sur les coudes, elle put déceler une silhouette dans l'encadrement la porte. Une silhouette imposante ; la carrure d'un homme ; les épaules larges ; le visage carré. Sa chevelure était épatée et son regard vif. Il souriait d'une esquisse narquoise qui dévoilait ses dents blanches. Immédiatement, Lou se saisit d'un drap pour couvrir le bas de son corps jusqu'au creux de son bas-ventre, négligeant sa faible poitrine dont les pointes étaient érigés par la fraîcheur.
— « Bonsoir jeune fille. » dit-il d'un ton suave, presque mielleux. En quelques pas, il était au-desus d'elle, assise au bord du lit. Ses deux mains pliaient le tissu et ses bras tendus le portait de manière à ce que son visage soit à la hauteur de celui de l'androgyne. Elle put sentir son souffle chaud caresser ses lèvres. Ses pensées lui hurlaient de reculer mais, elle était littéralement paralysée par cette présence qui l'encerclait de ses appendices.
— « Je... T... tu es qui ? » parvint-elle à questionner d'une voix entrecoupée par un souffle court.
— « Celui qui va te baiser ce soir. »
La conversation fut close. Un rictus gourmand étirait les lèvres du jeune homme quand elle, elle offrait un aspect terrorisé. Il vint s'éprendre de ce visage dans un langoureux baiser, sa langue forçant la barrière de ses dents pour gagner son alter ego alors qu'il la plaquait brusquement au lit, une main épousant ses hanches d'une prise ferme quand ses ongles marquaient la peau pâle. Elle peinait à suivre le tourbillon de ses pensées qui naissaient dans sa tête, source de ses tourments. Son frêle petit corps était soumis aux tortures sensuels de la personnification de sa phobie. Il déposait un sentier de baisers de la commissure de ses lèvres jusqu'à sa clavicule, marquant son cou de crevasses qu'étaient les morsures.

Incapable de lutter, elle se laissait faire, les muscles tendus et les lèvres scellées. Elle peinait à reprendre le dessus, réfléchir, comprendre, combattre cette phobie qui pesait son estomac et le long de son corps. Un couinement s'évadait de ses lèvres quand elle sentit les doigts tracer le creux de son bas-ventre pour effleurer son intimité. Il était doux, tendre mais, rien n'y faisait la terreur grandissait en elle. Son souffle rauque était saccadée tout comme ses réfléxions. Elle se remémorait les conseils de la seule collègue avec qui, elle avait réussi à causer de cette phobie. Ses paupières furent closes, elle respirait calmement, elle cherchait le plaisir dans cette ébauche de caresse, se concentrant pour effacer cette peur et apprécier la tendresse des gestes. Ses élucubrations d'idées dressaient les scènes de la dernière fois qu'elle s'était retrouvée au lit, avec une femme, cette femme, celle qui l'avait charmé par ses mots, sa discussion mais qu'elle avait repoussé par crainte alors qu'elle cherchait seulement son plaisir.
La culpabilité remplaçait la peur ainsi que la raison. Une chaleur nouvelle commençait à embraser son bas-ventre sous les caresses superficielles qui découvraient peu à peu sa fleur intime, ses nymphes, son bourgeon. Un gémissement lui fut soudainement arrachée, ses hanches se cambraient et elle s'éprit à son tour, de celle de son partenaire.
— « Je suis capable... j'en suis capable... » rugit-elle pour elle-même avant de faire rouler le jeune homme sur le côté par une force nouvelle pour se mettre à califourchon sur ses cuisses. Son regard fut happé par l'érection qui se dressait vers son sexe. Elle s'en saisit avec une fermeté presque brutale pour la frotter à ses lèvres intimes légèrement humides.
— « Qu'est-ce que tu fais ? Tu n'as plus peur ? Doucement, hein...  » réagit-il comme effrayé par ce regain soudain de convictions.
Elle respirait maladroitement, ses jambes flageolantes et ses doigts crispés sur les draps. Elle pensait encore à Elle, toujours à Elle, pour Elle et pour ses futures conquètes. Décisivement elle outrepasserait sa phobie pour satisfaire ses futures amourettes et pour devenir un individu lambda. Elle ne supportait plus que malgré son absence, son père l'handicapait encore et toujours. Avec une douceur quasi-religieuse, elle vint s'éprendre du pieu de chaire de son intimité, ses nymphes s'écartant pour laisser passer la source de ses phobies et ce, jusqu'à la garde. Son bassin s'activait et avalait l'homme à chacun d'entres eux. Sa phobie fut éteinte, le brasier dans son intimité avait cessé pour laisser place à un feu de joie, de sensation, de plaisir.


Le réveil fut brutale. Une sortie de l'univers onirique, le corps fragile dans les draps qui lui semblaient brûlants, le coeur tambourinant contre sa poitrine et les mèches collées à son front par la sueur. Il était encore tôt, le soleil dessinant des lueurs orangées derrières les bâtiments de la capitale. D'un pas léger, fébrile, elle gagnait la salle de bain pour se passer de l'eau sur le visage avant d'en ressortir. Appuyée quelques instants contre l'encadrement de la porte, se dévisageant avec une certaine fierté, elle remarquait que l'oppression habituelle avait disparu comme une sensation de liberté aux creux de ses entrailles.
— « Je suis libérée... » parvint-elle à murmurer. Son rêve lui apparaissait clairement comme une lucidité, un acte passé d'un univers réel et non onirique. Curieuse sensation.


Autres.

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Comment avez-vous découvert le forum ? Megan Cole.
Première impression : Le graphisme est vraiment sympathique. Le contexte est complet et très intéressant.
Pour les DC (double compte) ou TC (triple compte), qui a donné son accord ? ~
Avez-vous lu les règles et les respecterez-vous ? Oui !
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Mara Leros
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MessageSujet: Re: [16+] L'infamie est affaire qui marche - Lou Nowak [16+] L'infamie est affaire qui marche - Lou Nowak  EmptyVen 16 Sep 2016 - 22:31
Bienvenue à toi, j'ai hâte de voir ce que va donner ce perso, ton pouvoir est vachement intéressant ^^

Le code est bon, tiens-nous au courant de ta progression !
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Lou Nowak
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MessageSujet: Re: [16+] L'infamie est affaire qui marche - Lou Nowak [16+] L'infamie est affaire qui marche - Lou Nowak  EmptySam 17 Sep 2016 - 19:09
Bonjour & merci ! ^.^

Et bien, la fiche est terminée, j'espère que la lecture sera agréable et que les fautes ne seront pas trop assidues. J'espère avoir suffisement respecté le contexte.
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Mara Leros
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MessageSujet: Re: [16+] L'infamie est affaire qui marche - Lou Nowak [16+] L'infamie est affaire qui marche - Lou Nowak  EmptySam 17 Sep 2016 - 19:46
... Waaaa, j'ai beaucoup aimé, c'est extrêmement bien écrit et vachement prenant! (par contre, ne m'en veut pas si je mets une balise 16+ dans le titre, juste par principe ^^')

Pour ma part, je propose une validation pour Morpheur rang 3, d'autres avis?
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Lou Nowak
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MessageSujet: Re: [16+] L'infamie est affaire qui marche - Lou Nowak [16+] L'infamie est affaire qui marche - Lou Nowak  EmptySam 17 Sep 2016 - 21:24
Merci, je suis contente que l'histoire ait pu plaire.

Il n'y a pas de mal pour la balise, j'aurais dû y penser. ^.^'
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Lithium Elfensen
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MessageSujet: Re: [16+] L'infamie est affaire qui marche - Lou Nowak [16+] L'infamie est affaire qui marche - Lou Nowak  EmptyDim 18 Sep 2016 - 12:32
Alors j'approuve Mara pour la balise 16+, ça n'est absolument pas de refus au vu du contenu (qui est très appréciable, il en va sans dire).

Je ne répéterais pas les dires de ma collègue plus haut, car je pense la même chose. C'est effectivement très bien écrit, intéressant, etc...

Le rang 3 en tant que Morpheur est plus qu'offert !
Je te mets tout de suite ta couleur et tu peux partir faire ta FT.

La bienvenuuuue !
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Lou Nowak
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MessageSujet: Re: [16+] L'infamie est affaire qui marche - Lou Nowak [16+] L'infamie est affaire qui marche - Lou Nowak  EmptyDim 18 Sep 2016 - 13:37
Merci ! ^.^
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[16+] L'infamie est affaire qui marche - Lou Nowak

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