Personnage.
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- • Nom : Censkid
- • Prénom : Charlie
- • Surnom(s) : Le mouton
- • Âge : 19
- • Nationalité, origine(s) : Franco-Belge
- • Pouvoir et description : Pourriture, Pousse instantanée de champignons.
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Description Physique.
De loin, Charlie apparaît comme légèrement plus grand que la moyenne et possède une corpulence fine.
Malgré cette taille de guêpe, il reste relativement musclé dans sa silhouette. Ces bras notamment resplendissait de ces efforts, et lorsqu'il soulevait quelque chose, ses veines formaient comme des chaînes de montagnes sur le plateau de ses avants bras.
Il possède une touffe de cheveux bouclés bruns ce qui lui vaut son surnom de mouton, doux au toucher, il est dit qu'on peut y ranger ses affaires et même qu'une suite 2 étoiles est disponible à tout instant à l'intérieur. Il arrive parfois qu'il se débarrasse de cette laine par une tonte chez le coiffeur, ce qui surprends souvent ses proches.
Pour que ses cheveux ne se sentent pas seuls il porte la barbe en collier à laquelle il apporte un grand soin... sauf pendant les vacances.
Il a des yeux à la couleur changeante qui sont comme une énigme insoluble que l'on tente en vain de résoudre en les regardant. Allants de vert-gris à brun en passant par ambre, ils sont soulignés par des lunettes rectangulaires noire ébène.
On lit sur son visage une attitude flegmatique, dessinée par des paupières légèrement tombantes et un sourire discret.
Vestimentairement, il s'habille simplement, le plus souvent de T-shirts colorés ou humoristiques et d'un énorme pull de laine qui lui sert à camoufler son corps fin. Il le porte toujours ouvert ( qu'il vente, qu'il pleuve ou qu'il brûle ). Ils sont généralement accompagné d'un jean usé qui possède ça et là des déchirures sans aller dans l'extrême ni le choquant.
Ses doigts sont partiellement brûlés aux extrémités, des brûlures qu'il s'est fait en cuisine avec de l'huile chaude et de l'inattention.
Enfin, il aime jouer avec sa mâchoire qu'il fait souvent claquer comme certains peuvent tapoter du doigt : au rythme d'une musique ou de ses pas.
Caractère.
Charlie ne connaît pas l'avarice. Il n'a jamais eu de gros budget et même si ce manque d'argent l'a fait souffrir, il sait aussi par expérience que l'argent n'est pas nécessaire au bonheur.
On le voit la plupart du temps comme étant calme, posé et réfléchi, voire totalement déconnecté de ce monde, la conscience en pause.
En revanche une coïncidence d'événements provocateurs et disons-le : chiants, le mène alors dans une rage. Il lui pousse alors soudainement une envie de casser, briser, détruire, réduire en poussière tout ce qui lui passe sous la main. Mais il connaît les dangers de cette colère qui, trompant son bon sens, ne fais souvent que détériorer la situation défavorable dans laquelle il était déjà. Il fait donc tout pour se calmer afin d'éviter cet état second.
Charlie sait que lorsqu'il veut quelque chose, il doit faire ce qu'il faut pour l'avoir. Qu'il s'agisse d'un dur labeur, un travail d'hercule, ou bien juste avoir le courage, que dis-je l'impétuosité de parcourir, telle une odyssée, la distance inimaginable qui sépare son fauteuil du frigo pour aller se chercher de quoi dîner. Il lui arrive parfois d'imaginer un monde où tout se simplifie, les efforts deviennent bénin, les relations avec les autres claires et sans complications, ce monde si doux... après réflexion... il le pense stérile et inutile.
Si Charlie est un cuisiner, ça n'a pas toujours été pour faire manger les autres. Il a appris sur le tas en expérimentant un tas de recettes qui, pour sûr, seraient condamnables si l'humanité venait à apprendre leur existence. Il est donc très vorace et particulièrement fier et attaché à sa gourmandise même des plats les plus... atypiques.
Charlie n'a jamais touché ni à l'amour ni à la luxure, mais cela ne l'empêche pas pour autant de savoir charmer. En bref, son inexpérience ne l'empêche pas de garder son calme ni d'affrioler les demoiselles.
Histoire.
Je suis né d'une famille fort modeste, un petit appartement à Millau, un boulot de misère et un train de vie morne était le quotidien de mes parents. Je suis venu au monde 3 ans après ma sœur, Floria qui avait fait découvrir les joies de la paternité à mes parents.
Mais avec un deuxième enfant à charge, les problèmes financiers s'accumulèrent, la dette familiale grandissait et l'amour qui aidait ma mère à surmonter tout ces obstacles, à tenir bon face aux sournoiseries de la vie s'effaçait jour après jour. Vint un moment où les sentiments ne compensaient plus les privations; ma mère abandonna mon père et je ne la revis plus depuis. J'avais 4 ans.
Mon père, encore plein d'affection pour ses deux bébés redoubla d'effort pour maintenir le cap. Il commence à travailler la nuit et à se priver pour arriver à joindre les deux bouts. Sa lutte acharnée et son travail lui permettront de faire flotter le radeau, jusqu'à ce jour.
Avec ce mode de vie, il paraît évident que les petits plaisirs étaient rares. C'est quand Floria, qui se promenait dans la rue proche du marché, trouva une viennoiserie. Encore emballée dans un papier, c'était inouï, le chocolat qui dépassait de la croûte dorée de ce pain était recouvert d'un duvet qui semblait fait de sucre. Elle se précipita chez nous et une fois arrivée dans notre rue décrépite, s'empressa de me trouver pour partager sa trouvaille. Elle coupa cette merveille de sucrerie en deux et cela aurait pu être pour moi un des plus beaux goûter de mon enfance.
Si seulement elle l'avait su...
Elle fut prise d'une forte fièvre et il lui était rapidement impossible de quitter son lit. Pour ma part j'ai eu à subir une dysentrie, pas ce qu'il y a de plus agréable, mais je me portait bien. Sa maladie dura plusieurs jours, elle devint d'abord faible puis pris un teint pâle. A ce moment, j'avais déjà abandonné l'école pour rester à son chevet. Puis fatalement, une nuit, elle rendit son dernier souffle.
J'ai été anéanti. Détruit. Mon esprit, réduit en poussière, n'était plus capable de faire quoique ce soit.
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Après un coma, j'ai dû me remettre de ce choc.
Les années passèrent, mon père harassé d'abord par son travail puis par la mort de Floria trouva refuge dans l'alcool. Il mourra aussi, noyé dans l'alcool et dans la fatigue de sa vie de travail.
J'ai eu la chance d'avoir pu être hébergé gracieusement par des amis de lycée, sans quoi je me serait retrouvé à la rue. J'ai continué mes études, sachant que c'est la seule chose qui me permettrait de progresser. J'ai suivi un cursus scientifique et par ce que j'avais un bon niveau, j'ai poursuivi par une fac de médecine sans trop savoir quoi faire par la suite.
Aujourd'hui, j'entre dans ma deuxième année de fac. j'habite toujours chez mes amis et j'ai un emploi à mi-temps dans un restaurant de Montpellier ce qui me permet de participer au budget de la maison. La vie est rude, mais je suis maintenant jeune homme et je dois regarder de l'avant.
Post Rp.
Ouaaaaaah...
On étais vendredi, dernier jour de la semaine... Je m'habille puis vais saluer mes amis et comme chaque matin, je sors sans plus attendre dehors. L'air frais voire froid du matin a tendance à vite réveiller. Je me dirige vers la boulangerie, voisine de 3 portes pour y prendre un croissant et deux autres viennoiseries pour les deux autres zigotos. Je déjeune et après un brin de toilette, je me rends à la fac.
Aujourd'hui on a cours de bio toute la matinée... Notre prof nous expose les découvertes d'Alexander Fleming. Vu comment le prof paraît lui même ennuyé de son cours, tout le monde dans l'amphi s’emmerde très vite en fait... Au bout d'une heure et demie je commence à regretter ces dernières parties de jeu que j'avais lancées tard dans la nuit.
Avec l'ennui, mes yeux s’alourdissaient. Comme si le prof voulait m'hypnotiser, plus je luttais plus il m'étais impossible de rouvrir les yeux. Finalement ma tête lâcha et un *Sbom* se fit entendre dans l'amphi. C'était trop tard, je dormais.
Je voyais de l'herbe qui s'étendait par delà les collines, jusqu'à l'horizon. Ces plaines immenses ressemblaient à un décor de film, ou plus précisément au fond d'écran de Windows XP. Un peu perdu je ne savait pas trop quoi faire...
D'un coup, je visualisait une goutte tombant de haut pour s'échouer sur l'herbe. Elle atterrit une cinquantaines de mètres devant moi et de là je pouvais observer qu'un cercle s'était formé autour du point de chute. L'herbe y avait pris une teinte grise et brunâtre. Après quelques secondes, j’apercevait le caractère grandissant de ce cercle; en effet cette aire d'herbe brune s'étendais vite, très vite même. Je voulais la fuir, mais cela n'avais pas la moindre influence, c'était trop tard, "ça", quelque ce soit, me rattrapera quoique je fasse. Fatalement, je fut happé par cette herbe. Dès lors, il m'étais impossible de faire le moindre pas. Je réalisais de quoi il s'agissait : de la pourriture, de la moisissure, des champignons, appelez-ça comme vous voulez.
Horrifié et dégoûté par cette chose sur laquelle il m'était forcé de poser les pieds, mon cerveau avait appuyé sur le gros bouton rouge : Mon cœur jouait un gros morceau de batterie, mes nerfs l'accompagnaient à la guitare électrique et mes organes dansaient en rythme.
Mes sens, qui étaient plus qu'en alerte, m'indiquaient que quelque chose se préparait dans mon dos... Je pu me retourner mais le regretta aussitôt. Devant moi se profilait un immonde amas de matière organique pourrie et écœurante. Au fur et à mesure que je le regardait, cet amas s’élargissait et prenait de la hauteur. Pétrifié comme j'étais, il m'était impossible de bouger le moindre petit doigt, je devais voir cette chose innommable grandir devant moi sans pouvoir rien y faire. Quand il atteignit ma taille, il avait pris la forme d'un slime et sans plus tarder, il me bondit dessus et m'engloutit totalement.
J'étais alors plongé dans une sorte de vide sidéral. C'était comme si je flottais dans du sirop à la menthe. Plusieurs secondes passaient alors, mais celles du genre qui semblent durer une heure chacune. Soudain, je réalisais quelque chose : tout ceci n'était qu'un cauchemar ! Mais alors si le slime avait fini de m'engloutir, pourquoi suis-je encore là ? Pourquoi le cauchemar ne s'arrête t'il pas ?! Pourquoi devrais-je subir ça ? Pourquoi... PAR CE QUE JE POUVAIS ENCORE LUTTER !
D'un geste du bras, je m'extirpais du slime, l'envoyant valser à cinq mètres de moi. Mon corps était recouvert de champignons, je pourrissait, mais je n'en avais que faire. D'un coup de sang, je me suis jeté sur le slime en lui assénant la plus belle beigne que je n'aurais jamais imaginé distribuer un jour. Cette fois ci, ça devait être à lui de subir sans rien faire. A ce moment, tout les champignons qui recouvraient mon corps se sont dirigés vers mon poing et s'y sont rassemblés. Cet élémentaire de moisissure fut désintégré en un quart de seconde.
Peu après ça, je vis un petit vieux à ma droite. Avec une calvitie proéminente, une taille dérisoire d'un peu plus d'un mètre, des lunettes de vue aux verres démesurés qui cachaient ses yeux et une pomme flétrie croquée dans sa main, le tout renvoyait un image d'un personnage ridicule qui pourrait être sa propre caricature. Dans mon état second, il n'y avais pas beaucoup à réfléchir : Si ça n'était pas moi, c'était un ennemi. Je fonça vers lui, m'apprêtant à balancer une autre beigne du même genre. Il fit un pas de côté, m'esquivant de la manière la plus simple du monde et planta son index dans mon ventre. Instantanément, une sensation horrible et indescriptible m'envahit. Cette sensation qui donnait l'impression que j'allais vomir mes entrailles me stoppa net dans mon élan. Je lança un grand " Aaaaaah ! " de douleur, ce qui fit sursauter mes voisins et obligea le prof à s'interrompre.
J'étais réveillé.
" Ce jeune est bien fougueux... Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas vu quelqu'un utiliser le Rotten Touch dès sa première arrivée... ... ... Cronch, miomiom... "
Big up à ceux qui ont repéré une référence, manifestez vous
Autres.
(La première partie de cette section concerne votre personnage, et pas vous IRL)•
Aime : La cuisine, les sciences, avoir une belle barbe.
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N'aime pas : Quand il fait VRAIMENT trop chaud, le gaspillage.
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Particularités, autres : Renommé pour faire des plats à partir de n'importe quoi depuis que tout petit il mélangea son bœuf et sa mousse au chocolat.
Si vous souhaitez connaître plus en détail ce que peut contenir sa chevelure, je vous renvoie à cette chanson : https://www.youtube.com/watch?v=jMUMKVTqgaI&ab_channel=CarlosCedilloSantamar%C3%ADa
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Niveau d'étude hors de Dreamland : étudiant 2ème année ( 19ans )
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Comment avez-vous découvert le forum ? J'ai d'abord connu le manga puis en zyeutant sur l'écran d'un pote, je regardais ce qu'il faisait. Il m'a expliqué le principe du site et ça m'a intéressé.
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Première impression : Ca m'a l'air d'être compliqué et de haut niveau, en lisant les aides dans l'école de rp j'ai d'abord cru que je n'y arriverais pas, mais je me suis surpris à écrire plus et mieux que prévu. Je redoute quand même la suite et la rédaction de textes looooooooooongs. J'espère aussi me faire aider, pour cette première expérience de RP sur forum ^^
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Pour les DC (double compte) ou TC (triple compte), qui a donné son accord ?
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Avez-vous lu les règles et les respecterez-vous ? Mmmh... Je sais pas... peut-être... Bon allez, on va dire ok, je les respecterais, mais c'est bien par ce que c'est vous hein ? :b
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Code de validation :
, après le bac approche pour moi donc je sais pas si je serais super actif pendant ce mois, mais une fois en vacances je devrais avoir du temps à revendre 
