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Edgard Garise

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Edgard Garise
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Edgard Garise
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MessageSujet: Edgard Garise Edgard Garise EmptyDim 2 Aoû 2015 - 3:57


Garise
EDGARD

Personnage.

Edgard Garise 100717113450488361
© Avatar taille 160x320 pixels.


  • Nom : Garise
  • Prénom : Edgard
  • Surnom(s) : Le Vieux, le Vagabond, le Marcheur de l'Extrême (autoproclamé)
  • Âge : Septante-sept ans
  • Nationalité, origine(s) : Belge
  • Pouvoir et description : Phobie de la mobilité. Dans le cas d’Edgard, c’est précisément la peur de marcher. Les capacités qui en découlent permettent de se déplacer sur n’importe quelle surface ou matière, voire même sur l’immatériel en fonction de la puissance de son utilisateur.



Description Physique.

Lourd. C’est l’impression que donne Edgard dès qu’on le voit. Il n’est pourtant pas bien grand avec son mètre septante-six, mais il y a quelque chose dans sa carrure, sa démarche et son comportement qui lui donnent une présence imposante.
Déjà, la Nature semble avoir remplacé son buste par un tronc d’arbre, ce qui n’est pas peu dire. A première vue, on pourrait le croire rigide et inflexible, tant il émane la puissance brute et semble vomir sa résistance à toute épreuve par tous les pores de sa peau. Pourtant, comme toute part de son anatomie, son torse est bel et bien pourvu d’articulations, capable de se plier même si, plus le temps passe, et plus ça se fait dans la douleur.

Car la vieillesse, même s’il fait passer l’illusion de son absence, le ronge petit à petit, s’attaquant particulièrement à ses articulations. De fait, ses mouvements sont pesants et n’ont pas la moindre once de grâce. Sans oublier son dos, qui se voûte de jour en jour et dont on n’a plus aucun souvenir que, jadis, il fut droit. Ses jambes robustes, aux cuisses et aux mollets de cycliste dopé, s’arquent de plus en plus à mesure que ses os fléchissent.
Pourtant, ces traits de vieillard qui donneraient à n’importe qui l’allure d’un guignol des plus grotesques donnent à Edgard un aspect massif et imposant, comme si chacun de ses pas – d’une lourdeur sans commune mesure – était capable de faire trembler la terre entière.

Son visage n’est que rides et sillons où s’engouffrent les ombres, traçant un visage austère et peu hospitalier. Avec un peu d’observation, on peut voir que le crâne du vieillard est plutôt difforme. Ses pommettes, ses fossettes, ses orbites, sa mâchoire, tous les os proéminents semblent avoir été enfoncés ou brisés puis ressoudés à moult reprises, comme si son principal passe-temps était de passer sous un rouleau-compresseur. Son corps est un peu comme un livre. Un livre où l’on peut lire nombre de récits d’aventures, suivant les péripéties d’Edgard grâce à ses cicatrices et ses blessures de guerre - ou pas de guerre, en fait, comme la cicatrice au doigt qu’il s’est simplement faite en taillant un bout de bois, par exemple.

En gros, on pourrait le voir comme un grabataire fini, dont le déclin est à son paroxysme, mais ce serait là une bien grossière erreur. Car s’il n’a plus toute la vigueur de sa jeunesse, il n’en reste pas moins un robuste vétéran qui a survécu à tous les errements du temps et de ses aventures, ce qui n’est pas peu révélateur de sa ténacité. Il est encore bien capable de mettre sa rouste à n’importe qui ! Du moment que n’importe qui n’est pas trop fort, évidemment.



Caractère.

Insaisissable. Tel est le mot qui pourrait le mieux définir le vieil Edgard. Véritable sans-gêne, il peut se taper l’incruste pendant des jours ou des semaines voire carrément des années. Mais il finira toujours par partir. Sans même prévenir. Parfois, il semble vivre dans un monde totalement différent, déconnecté de la Terre et suivant son propre chemin, son orbite. Car, ainsi, il peut se placer dans une position spectateur.
Mais un spectateur assoiffé d’images, de découvertes, mû par une insatiable curiosité. Les habitudes comptent parmi les choses qu’il déteste et il est donc toujours en quête de nouveautés.

Edgard voit le mouvement comme un synonyme de liberté et la liberté comme idéal de vie. Il a passé sa vie à essayer de se libérer des chaînes qui l’entravaient. Dans ses moments de grande errance, il se libère de tous sentiments, de la morale ou même de la raison. Mais ça n’en fait pas quelqu’un d’asocial pour autant. Une fois qu’il a les pieds sur terre, il en profite pour combler ses besoins sociaux propres à l’être humain, parfois même avec un trop plein d’exubérance. Il a tendance à palier des années de solitude en quelques jours et cela le rend parfois très lourd. En outre, ce manque lui a fait oublié la plupart des bonnes manières et autres formes de respect dont il se tamponne le coquillard. Il peut donc être cassant, avec un humour noir des plus cyniques et un franc-parler qui pourrait rendre sa personne antipathique aux yeux de la plupart.



Histoire.

Depuis qu’il est gosse, Edgard regarde vers l’horizon et se demande ce qu’elle cache. Une interrogation qui le tarauda toute sa vie et qui, encore aujourd’hui, le suit constamment.

Son enfance fut un véritable calvaire pour ses parents. Déjà tout bambin, il était connu comme « le gosse de maternelle qui séchait les siestes ». Il disparaissait et ses institutrices devaient toujours lui donner la chasse, le retrouvant aux quatre coins de l’école, parfois même à l’extérieur. Une fois plus grand, en cours, il n’écoutait rien et passait la plupart de son temps à regarder le mur les yeux perdus dans le vague. Et lorsqu’il se reconnectait à la réalité, c’était pour entraîner ses petits camarades dans des coups fourrés. Plus le temps passait et plus les choses empiraient. A l’athénée, il redoubla cinq années à cause de ses innombrables absences injustifiées. « Il est pas con votre fils, il n’est juste pas intéressé » disaient les profs au réunion de parents. Ce qui ne les empêchaient pas de sombrer lentement dans la démence à force de s’inquiéter pour l’avenir de leur progéniture. Durant sa jeunesse, Edgard rencontra une foule de psychologues et autres personnes tentant de l’aider mais rien ne semblait l’affecter. Tout simplement parce qu’Edgard n’avait pas besoin d’aide.

A dix-sept ans, en pleine soirée avec des amis, il s’était soudainement levé en demandant :
- C’est loin l’Alaska ?
- Euh… A peu près sept milles kilomètres, lui avait répondu son meilleur ami.
- Oh, pas mal.
Et il était parti. Plus personne n’eut de nouvelles de lui et il fut déclaré officiellement mort. Il revint dix ans plus tard chez son meilleur ami pour terminer la soirée et découvrit en ouvrant brusquement la porte que de nouvelles personnes habitaient les lieux. Il retourna alors chez ses géniteurs pour leur demander si, par hasard, ils n’auraient pas vu son pote et se fit proprement exécuter, recevant mille et un supplices parentaux.
Moins d’un an plus tard, il était déjà reparti. L’Etat le collait comme une sangsue, lui demandant de faire la lumière sur dix années d’inexistence, de rembourser telle ou telle chose, de remplir tel ou tel papier. Il traça alors sur les routes eurasiatiques et déboucha six ans plus tard à Vladivostok. Il rejoignit le Japon en bateau et y vécut quatre ans dont deux à Tokyo. Il y avait même trouvé un travail pour financer une vie de couple car il avait rencontré une femme. Un an après leur rencontre, ils se marièrent. Une semaine après leur mariage, il était parti. Sans attaches, sans remords, sans peurs si ce n’était celle d’être immobile. Le mouvement représentait la liberté pour lui. Et la liberté fut toujours son idéal suprême, le guide de sa vie.

Six continents furent foulés par ses pieds vingt années durant. Jusqu’à ce que la pire épreuve de sa vie ne se présente à lui. Il fut fauché par une voiture et se réveilla dans un lit d’hôpital, complètement paralysé par la douleur. Le docteur lui annonça alors qu’il avait été touché à la colonne vertébrale et qu’il ne pourrait plus jamais marcher.
D’un coup, d’un seul, sa vie avait changé, sa pire crainte était devenue réalité. Lui, le marcheur de l’extrême, réduit à devoir passer le restant de sa vie dans un fauteuil roulant. Totalement désespéré, il reprit contact avec sa famille et fut rapatrié en Belgique. Une fois sur place, il sombra dans la dépression, s’accrochant aux bouteilles d’alcool comme un naufragé s’accrocherait à une bouée.
Il vécut des aides de la société, enfermé chez lui, et devint rapidement blasé de tout. Un rêveur perpétuel, constamment dans la lune, avait été cloué sur terre et cloîtré entre quatre murs.

Des années plus tard, alors qu’il ne croyait plus en rien ni personne, on lui annonça que les progrès fulgurants de la médecine laissaient présager des possibilités de guérison pour le futur. Plutôt que de le réjouir, cette nouvelle provoqua en lui une sensation des plus curieuses sur laquelle il n’arrivait pas à mettre le doigt. Mais plus le temps passait, plus les recherches avançaient et plus ce sentiment grossissait en lui. Lorsqu’il commença à faire des cauchemars, il réalisa que c’était de la peur. Une peur panique et viscérale : La peur de marcher à nouveau. Depuis son accident, il s’était terré, voire même enterré, dans son monde et cette guérison allait le forcer à en sortir. Il lui fallut des années avant de pouvoir vaincre et cette peur et ce n’est que la veille de l’opération qu’il y parvint enfin, accédant de fait à un monde incroyable : Dreamland.



Post Rp.


La clarté soudaine irradiait par son omniprésence, pourtant Edgard ne cilla pas. Tout était blanc autour de lui comme si un publicitaire bossant pour Vanish avait posé le décor pour son prochain spot. Sous ses mains, il sentait l’habituel contact métallique des roues de son fauteuil. Il était seul dans l’infinie pureté du blanc.
Lorsqu’il reconnut son cauchemar habituel, son cœur commença à accélérer et il sentit ses muscles se tendre. Lui qui, d’habitude, était placide comme un cadavre s’agitait désormais tel un hyperactif. Il savait. Il savait ce qui s’apprêtait à venir. Il savait que son fauteuil n’allait pas tarder à disparaître. Il savait qu’il allait lui inculquer une puissante poussée pour le redresser avant de prendre la poudre d’escampette. Il allait s’écrouler misérablement au sol, et pleurer à chaudes larmes. Un énième et lamentable échec qui ferait monter la douleur mentale jusqu’à ce qu’il n’en meurt. Jusqu’à ce qu’il ne se réveille.

Il ne voulait pas. Il ne pouvait pas marcher. Plus jamais, on le lui avait bien dit. Il s’était convaincu qu’il traînerait ses jambes comme des boulets jusqu’à sa mort et avait fermé la porte qui le reliait au monde. Avec le temps, de véritables murs dignes des plus grandes forteresses s’étaient érigés autour de cette porte. Un seul pas, et c’était tout son univers qui s’écroulait.
Dégoulinant de sueur, il collait littéralement au cuir de son fauteuil et seuls des bruits de succion étaient audibles alors qu’il continuait à s’agiter piteusement.
Vint alors la poussée tant redoutée.
Il resta muet de stupéfaction lorsqu’il constata qu’il conservait un certain équilibre. Le temps d’une seconde, il était resté debout. Une seconde qui parut une éternité pour quelqu’un qui n’avait plus vu de si haut depuis si longtemps. Une seconde qui fit naître en lui un brasier qui répandit sa chaleur dans tout son corps : l’Espoir.
Puis tout s’éteignit et il s’écroula, se fracassant durement contre le sol, tête la première. L’échec, à nouveau. Il se sentit plus lamentable que jamais. Il avait vécu l’extase de se tenir droit, il avait presque senti les courants d’airs froids trônant au-dessus des plus hautes montagnes. Et la chute en avait été mille fois plus dure. Déjà, il sentait les larmes monter. Un océan s’apprêtait à se déverser par ses yeux.

- Non ! La seconde… Pense à la seconde ! Vis la seconde à jamais ! Lève-toi ! Lève-toi et marche ! lâcha-t-il.
- Je peux pas… Je peux pas, je… ne veux pas, se répondit-il sur un ton de lamentation.
- Donc tu peux ! Tu peux ! Et tu le veux ! Lève-toi et marche !

Ses bras s’agitèrent péniblement. Lentement, il posa les mains à plat sur le sol et redressa la tête. C’est alors qu’il vit que, contrairement à d’habitude, son fauteuil n’avait pas disparu. Il était là, face à lui, à peine à quelques mètres. Dans un effort surhumain, il mit toutes ses forces dans ses bras et poussa comme un dément. Après ce qui lui parut durer des heures, il parvint finalement à s’assoir. Il haletait bruyamment et tous les muscles de son corps le brulaient. Il aurait aimé dire que c’était à cause de la fatigue, mais au fond de lui, il savait que la peur était la source de ses maux. Tellement pure et viscérale qu’elle semblait lui broyer l’estomac, faisant de ses tripes un véritable sac de nœuds. Il ne voulait pas aller plus loin. Il était bien assis. C’est comme ça qu’il vivait depuis vingt ans après tout.

- Peuh ! Minable.

Le dédain qu’il perçut dans sa propre voix attisa sa haine, celle qu’il portait envers lui-même et sa faiblesse. Il crevait de trouille comme un gamin alors qu’il n’y avait aucune raison d’avoir peur. Il sentit alors que le feu de l’espoir n’était pas mort. Il vivait encore en lui, d’une petite étincelle. Elle n’attendait plus que de quoi l’alimenter.
Il regarda alors sa jambe gauche avec intensité pendant dix bonnes minutes durant lesquelles elle tressauta. Finalement, il réussit à la plier. La jambe droite fut plus dure et lui demanda trois fois plus de temps. A l’aide de ses bras, il se renversa alors brusquement et prit position sur ses genoux. Le fauteuil s’était soudainement éloigné de plusieurs mètres. Il sembla à Edgard que toute l’oxygène des lieux emplirent ses poumons lorsqu’il prit une longue inspiration. Son genou gauche se décolla du sol et il réussit à poser le pied à plat.

- LEVE-TOI ET MARCHE ! hurla-t-il en s’élançant.

Et il était debout. Debout en train de marcher, sans même s’en rendre compte. Comme si c’était naturel. Comme si ses jambes ne lui avaient jamais été arrachées. Un pas, puis un pas, puis un autre, et encore un. Alors qu’il marchait des fissures se firent jour et grossissaient tout autour de lui. Des morceaux de murs commencèrent à tomber. Plus il avançait et plus tout s’écroulait, sans même le toucher, sans même l’inquiéter. Lorsque l’euphorie s’atténua, il remarqua qu’il n’y avait plus de murs et qu’un nouveau monde s’ouvrait à lui : Dreamland.



Autres.

(La première partie de cette section concerne votre personnage, et pas vous IRL)
Aime : La liberté, marcher, fumer, la nature
N'aime pas : Les entraves, rester statique, les villes
Particularités, autres : Il pète la forme pour un vioque!
Niveau d'étude hors de Dreamland : Aucun


Comment avez-vous découvert le forum ? Via un Topsite
Première impression : Très bonne, par contre je sais pas où mettre mon image dans le code.
Pour les DC (double compte) ou TC (triple compte), qui a donné son accord ?
Avez-vous lu les règles et les respecterez-vous ? Ouaip!
Code de validation :
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Clem Free
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MessageSujet: Re: Edgard Garise Edgard Garise EmptyDim 2 Aoû 2015 - 10:53
Tout d'abord, bienvenue sur le forum ! Si tu as la moindre question sur le moindre sujet, n'hésite pas à nous la poser.

Pour ce qui est de ta fiche, il y a de bonnes choses à dire, notamment la qualité de l'écriture et l'originalité de la fiche de façon générale et à part une partie "Caractère" très courte et pas forcément complète, il n'y a pas grand chose à pointer du doigt et la qualité du reste de la fiche rattrape facilement cet écueil.

Pour ma part, j'ai un doute quand à la catégorie de voyageur auquel ton pouvoir te permettrait d'accéder mais je pencherais pour un Morpheur (bien que ce ne soit pas certain), pour le reste en revanche, c'est rang 3 pour moi.

Plus qu'à attendre l'avis d'un second admin pour officialiser ou modifier ta validation
^^
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Edgard Garise
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Nouveau challenger
Edgard Garise
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MessageSujet: Re: Edgard Garise Edgard Garise EmptyDim 2 Aoû 2015 - 11:28
Salut, salut!

Merci à toi pour l'accueil et les compliments, ça fait bigrement plaisir! J'avoue, j'ai un peu pêché par excès de flemme une fois arrivé au Caractère mais bon, ça me fait toujours cet effet les fiches (même si d'habitude, c'est généralement sur le physique que ça coince).

Par contre, pour le pouvoir, j'aurais plus vu ça comme un Contrôleur, non? Parce que je ne vois pas bien en quoi il se muterait. En Guide du Routard? xD
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Lithium Elfensen
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MessageSujet: Re: Edgard Garise Edgard Garise EmptyMar 4 Aoû 2015 - 9:13
Et je te souhaite la bienvenue sur le forum !
C'est une fiche de grande qualité que tu nous as fait là en tout cas.
Tu n'auras pas volé le rang 3, ça c'est sûr ! Mais j'avoue que ton pouvoir, qu'il faudra détailler dans la FT, est particulier. Morpheur, je ne pense pas. Contrôleur, pourquoi pas. Il peut marcher sur n'importe quelle surface. C'est comme si il manipulait sa masse, ou tout ce qui passait sous ses pieds. Je pense que le Contrôleur est effectivement la meilleure solution !
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