CERANO
ANTHONY

Personne nage.

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• Nom : Cerano • Prénom : Anthony • Surnom(s) : Carnaval • Âge : 17 ans • Nationalité, origine(s) : Britannique d'origine espagnole. • Pouvoir et description : Maskaphobie, la peur des masques (j'avais deux idées pour ce pouvoir, à vous de me dire si l'idée numéro 1 est valide à vos yeux). [IDEE NUMERO 1] Carnaval possède la capacité de créer des masques "copiant" les capacités des voyageurs et créatures qu'il touche de sa main (ne peut créer qu'un masque par nuit). Mais si le masque a la capacité d'octroyer temporairement à son porteur les pouvoirs copiés, chaque masque développe une âme propre qui tend à prendre le contrôle de son porteur : plus grands sont les pouvoirs, plus l'âme est puissante. La création d'un masque n'affaiblit en rien la cible. [IDEE NUMERO 2] Carnaval utilise différents masques pour s'octroyer de façon temporaires divers pouvoirs (force, résistance ou rapidité accrue). Chaque masque possède son âme propre et son propre caractère, qui tend à prendre le dessus sur son porteur. Carnaval débloquera des masques plus puissants au fur et à mesure de sa progression.

Description Physique.

Du "haut" de ses un mètres soixante neuf pour quelques soixante kilos, Anthony n'est pas vraiment quelqu'un de remarquable. S'il n'est pas gras, on ne peut pas non plus le qualifier de musclé : athlétique tout au plus, il n'est pas pour autant impressionnant. Des cheveux noirs abondants, jamais coiffés et secoués de nombreux épis tombent sur son front en mèches éparses, masquant presque ses yeux d'un bleu un tantinet quelconque.

Il aurait pu s'habiller de façon excentrique histoire de se démarquer, il aurait pu porter du cuir et essayer de s'affirmer, mais Anthony s'efface également vestimentairement : pantalons cargos riment avec bermudas cargos, et sur des converses usées... ça passe partout ! Des t-shirts amples, des sweat-shirt pas plus moulants font qu'au final, Anthony passe partout.

Néanmoins, il arbore fièrement de nombreux colifichets, badges, pin's et autres bracelets comme des trophées, des reliques données par la seule véritable personne qu'il ait jamais considéré comme une amie et comme sa famille. Son bien le plus précieux et seul véritable élément persistant dans le monde éternellement changeant de Dreamland : un petit bracelet de perles de jade que Charlotte lui a donné étant gamins (n'allez pas lui dire que ce n'est pas du jade mais une broutille bon marché, ça le rend grognon).

Même si ça tenue change au gré du bon vouloir de Dreamland à chacun de ses voyages, Anthony transporte toujours une autre chose que son précieux bracelet et que ses étranges masques : un sac à dos mystérieux, dont ses masques semblent jaillir et viennent parfois s'accrocher lorsqu'ils ont une envie d'air frais.

Il transporte également à la ceinture un bôken (sabre japonais de bois) qu'il a surnommé Shichiseiken et dont il ne se sépare jamais. Ce bôken semble être lié aux pouvoirs de ses masques (dans le cas où l'idée numéro 1 serait retenue).

Caractère.

Du fait d'une enfance difficile, d'un passage à l'orphelinat pour le moins chaotique et d'une scolarité difficile relevant d'un parcours du combattant au milieu d'un panier de crabes affamés, Anthony a développé le charisme et le caractère d'une huître atrophiée.

S'il existait un stade au delà de la timidité maladive, de l'absence totale de confiance en soi et d'auto-dénigrement, Anthony serait encore au delà. Il est tout simplement convaincu qu'il ne peut rien faire, qu'il n'est pas assez fort (les innombrables raclées et corrections par les autres gamins de l'orphelinat l'en ont rendu certain) pour accomplir ses rêves dans la vie. De façon générale, Anthony aura plutôt tendance à éviter les problèmes et de fait les gens qui pourraient lui en apporter... et les autres personnes par mesure de précaution.
Seule véritable exception : sa meilleure amie Charlotte.

Cependant, Dreamland change bien des gens... et qu'y-a-t'il de plus malléable qu'un gamin mou comme une pâte à prout? Lorsque Anthony s'éveille chaque nuit et arbore ses masques étranges pour devenir l'énigmatique Carnaval, le caractère de chaque masque semble prendre le dessus : tantôt calculateur, taquin et sournois sous le masque de Kitsune, il devient amnésique, désinvolte et imprudent en arborant le masque de Mao.

Mais au fond de lui même, Anthony sait qu'il finira par arborer un masque si puissant qu'il n'arrivera pas à reprendre le contrôle et que ce jour venu, il ne reviendra plus à Dreamland. Si cette éventualité l'effraie parfois (souvent même), il évite cependant d'y penser et d'en parler à son amie Charlotte de peur de l'effrayer elle aussi.

Histoire.

Un peu d'ambiance pour lire ?:

L'histoire d'Anthony devient intéressante à partir de ses cinq ans, si tant est qu'on puisse qualifier l'accident de voiture qui a coûté la vie à ses parents d'intéressant... Encore qu'un semi lancé en pleine course dans un chemin de montagne puisse faire un bon scénario de course poursuite.

Placé à l'orphelinat de quartier de Bradbury Garden, dans la banlieue nord de Manchester, il passa la plus grande partie de son enfance à lire des livres à la bibliothèques de son école primaire, à écrire des histoires dérisoires des plus grands de l'école et de l'orphelinat qui se plaisaient à le cogner et l'humilier et à tout faire pour être invisible à leurs yeux, et tout particulièrement de la bande à Teddy!

Ils avaient l'habitude d'orchestrer un jeu qui les amusait beaucoup : le soir venu, à la cantine de l'orphelinat, ils faisaient semblant de venir manger à côté d'Anthony et remplissaient toujours son verre d'eau à ras-bord, l'obligeant à boire toujours plus tant et si bien que la nuit tombée, la vessie pleine et le coeur lourd, il n'avait d'autres choix que d'aller vidanger. Mais le jeu ne s'arrêtait pas là : ils l'attendaient dans les toilettes, les visages masqués comme pour se donner des airs de bandits de films masquant une identité qu'Anthony ne connaissait que trop bien. Et ils s'amusaient, le cognaient, le déshabillaient et lui plongeaient la tête dans les toilettes avant de le laisser pleurer sur le carrelage, jusqu'à ce que le froid ne le pousse à retrouver son lit en pleurnichant.

Treize années d'un pareil calvaire jusqu'à la liberté conditionnelle de la majorité, où l'on aurait fini par le livrer à lui même, l'auraient probablement conduit à un destin bien misérable si une gamine n'était pas entrée dans sa vie très tôt. Si Charlotte n'était pas beaucoup plus grande, ni beaucoup plus musclée, elle ne s'était jamais démonté pour cogner et corriger ses tortionnaires. Pour peu qu'Anthony savait de son histoire, c'est à dire ce qu'elle avait bien voulu en dire, Charlotte n'avait pas été bien mieux lotie que lui. Pourtant, elle était parvenue à se forger cette image de grande soeur bienveillante et rassurante qui avait permis à Anthony de ne pas sombrer dans la dépression.

Mais une telle figure d'autorité n'a pas pour autant permis à Anthony de devenir un être pleinement épanoui. Si Charlotte l'a délivré des bourreaux de son passé, Anthony n'a depuis lors cessé de se raccrocher à elle dans les moments d'incertitude, de se protéger derrière face aux difficultés au risque de s'effacer plus encore et de n'en devenir qu'une ombre.

Les histoires de son enfance et les livres qui l'ont bercé l'appellent, tel le champ des sirènes, vers une carrière de littéraire au travers de laquelle, il en est certain, il pourrait prendre sa revanche sur la vie et désormais aller de l'avant.
Néanmoins, les aspirations professionnelles militaires de Charlotte ne pourraient pas être plus éloignées de son rêve, et Anthony demeure toujours indécis...
Le lycée s'achèvera bientôt pour eux d'eux, et Anthony devra se décider entre enfin prendre son envol et sa vie en mains ou continuer de suivre la seule ancre émotionnelle qu'il ait jamais connu.

S'il n'en a pour l'instant peut-être pas conscience, c'est peut-être dans ses rêves que Carnaval trouvera les réponses qu'il cherche sans les poser...

A suivre ?

[A LA CONDITION QUE L'IDEE #1 DU POUVOIR SOIT ACCEPTEE]
Ayant découvert qu'il détient le pouvoir de créer des masques et, en quelque sorte, de s'approprier les pouvoirs des voyageurs et créatures qu'il rencontre, Carnaval s'est mis en tête de rassembler le plus de pouvoirs possibles. Rejoignant les rangs des "Pro rêveurs" en compagnie de Charlotte, le tandem se met en quête des pouvoirs les plus intéressants pour compléter sa collection.

Mais si monter une telle Mascarade risque de l'occuper un moment, Carnaval n'a pour l'instant jamais parlé de ce qu'il comptait faire des pouvoirs qu'il cherche à accumuler.

Post Rp.

AaAambiaAaAance !!:

La pluie battait les hautes fenêtres du petit orphelinat de Bradbury Garden avec une lancinante continuité en cette nuit du trente et un octobre, frappant les carreaux de verre à intervalles de splah...*SILENCE* et resplash. « Un temps pourri pour une nuit pourrie », se dit le gamin maigrichon assis sur le rebord de son lit. De façon générale, Anthony n'a jamais aimé Halloween. Il a en horreur les carnavals et autres cirques qui lui hérissent le poil et donnent la nausée, *splash et resplash*.

Ses pieds nus posés à même le carrelage blanc et froid de sa chambre, il tenait sur ses genoux en pyjama une édition d'un classique de littérature française, Les mémoires d'Outre-tombe d'un certain Chateaubriand, mais tout à sa lecture qu'il semblait, ses pensées butaient contre les pages de papier jaunies pour venir se répercuter contre les murs en béton noirci et dériver vers d'autres horizons.
NON, il ne comprenait pas pourquoi des gens appréciaient le simple fait de porter ces masques : se cacher derrière pour commettre les pires exactions, voilà la seule raison de porter un masque et quiconque en portait ne pouvait que nourrir les pires intenti...*SPLASH ET RESPLASH...floc*

FLOC?

Anthony baissa les mains et reposa le livre sur ses genoux pour regarder ses pieds : baignant dans une marre d'eau qui gagnait le carrelage, gonflant à vue d'oeil de geysers dans les coins de la pièce. « Meerd...»

Splash *silence* et resplash, floc.

En ouvrant les yeux, Anthony eut une moue désagréable... il n'avait pas pour habitude de rêver de son enfance et, autre fait notable en bougeant et sentant la gêne qui le prit soudainement, plus du tout, l'habitude de se pisser dessus en dormant.

« Et merde... grogna-t-il en s'extirpant doucement de son lit, fait chier ».
A l'autre bout de la pièce, Charlie continuait de dormir silencieuse dans son lit. Anthony se massa le visage encore engourdi par le sommeil tout en se dirigeant vers la sortie. Splash *silence* et Resplash, la pluie battait son plein à l'extérieur, et s'il avait toujours aimé écouter la pluie les grands jours d'orage, confortablement à l'abri à l'intérieur, il s'en serait volontairement bien passé aujourd'hui. Les couloirs de l'orphelinat auraient à loisir pu évoquer un hôpital psychiatrique à l'imaginaire foisonnant d'Anthony : un dallage de carrelé blanc trop régulier et impersonnel rythmant de nombreux coudes et corridors desservant les éternels mêmes portes à la devanture blanche fatiguée (leurs revers ne demeuraient jamais éternellement vierges des dessins, posters et autres personnalisations des résidents des chambres qu'elles fermaient).

* fLOc *

Anthony arrêta soudainement le court de ses pensées et ses pieds qui à nouveau pataugeaient dans l'eau... Comment était-il arrivé aux toilettes ? Baissant les yeux, il agita les orteils en souriant doucement dans les quelques trois centimètres d'eau qui commençaient à inonder les toilettes, les robinets de chacun des lavabos crachant un des flots réguliers qui bientôt ne manqueraient pas de venir grossir la marrée montante.

« Tu t'éclates Cerano ? brailla une voix dans son dos qui poussa Anthony à se retourner brusquement. Oh, t'dérange pas pour nous mollasson, t'as l'air de bien t'amuser ! *éclats de rire, Teddy et ses potes étaient venus en bande*
- Ah, attends Ted... *SPAF* le poing d'acier de Teddy lui percute la joue, la mâchoire et l'envoie sur le carrelage.
- J't'ai pas dit d'l'ouvrir Cerano, hein ? » demande le masque grimaçant de clown que Teddy arbore en se rapprochant de son visage. Les éclats de rire derrière Teddy se firent alors plus sonores, mais Anthony n'osait pas bouger la tête, un doit ou même respirer. La main solide de Teddy le tenait par le col, lui écrasant la face contre le carrelage trempé des toilettes.

Il était terrifié, combien de fois déjà s'était-il retrouvé dans pareille situation ? Combien de fois était-il retourné à son lit le corps meurtri, douloureux et empli d'un sentiment d'impuissance ? Les larmes aux yeux, il se mit à chercher la seule personne qui aurait pu lui venir en aide : mais Charlotte dormait dans son lit, elle ne viendrait pas l'aider.

« Hihihin hin hin »

Il était là, dans l'entrebâillement de la porte à le regarder, un gamin d'à peine sept ou huit ans. Anthony aurait été incapable de le dire, il portait un masque blanc représentant un renard souriant, presque narquois, mais le voyait clairement se tenir là, ricanant et observant tandis qu'il se faisait maltraiter et molester.

« T'aurais pas du v'nir Cerano, tu cherches les coups ou bien? railla à nouveau la voix de Teddy, et tandis qu'il parlait, sa face de clown s'approchait centimètres par centimètres du visage d'Anthony. Son sourire grimaçant s'étirait jusqu'à ses oreilles et ses dents se changeaient en crocs tandis qu'il braillait et postillonnait sur le pauvre garçon terrifié. J'adore te voir comme ça Cerano, te voir pleurnicher et supplier pour que je te laisse tranquille !
- Non, s'il-te-plait ! N'ap...va-t'en ! hurlait Anthony en levant les bras devant lui.
- ELLE EST PAS LA POUR TE PROTEGER CETTE FOIS TA COPINE CERANO ? IL EST TOUT SEUL LE PETIT CERANO ?! » hurla la voix du clown tandis qu'il secouait le pauvre Anthony comme un prunier, lui claquant la tête contre le sol tandis qu'il se marrait à pleins poumons dans un concert d'éclats enflé par les autres derrière lui.

La vue troublée par la douleur et les larmes, Anthony ne voyait pas la pièce se remplir d'une épaisse fumée blanche.

« Ferme la un peu bouffon, j'ai toujours été là ! lança une voix féminine d'un air de défi. Défends-toi un peu Antho', tu fais chier à être aussi mou!
- M...mais les masques, ils sont part...
- Ta gueule Antho' et réfléchit un peu, c'est pas un masque qui te fait ça, c'est celui qui est derrière alors bouge toi !
- Mais comment? J'sais pas quoi f... sanglota-t-il tandis que le clown le regardait à nouveau, visiblement furieux.
- OH MERDE ANTHO', SERS-TOI D'TA TÊTE BORDEL ! »

Teddy le clown grimaçant venait de soulever le garçon par le col tout en levant son poing pour frapper lorsque Anthony ferma les yeux et se servit de tête... Son front vint cogner de plein fouet le nez du clown qui lâcha prise en tombant à la renverse dans un craquement sonore de bois brisé et que sa victime retombait inconscient sur le sol.

MEEP! MEEP! MEEP! MEEP! MEEP! MEEP! MEEP! MEEP!

L'alarme lancinante et entêtée de son réveil numérique lui vrilla le crâne au moment où il ouvrit les yeux. Tendant fébrilement le bras hors de la couette pour chercher à tâtons l'engin de malheur sur sa table de chevet, Anthony laissa glisser la tête sur son oreiller pour décoller sa joue de la marre de bave qui lui collait la peau.

MEEP! le doigt avait enfin trouvé l'interrupteur. S'asseyant à grande peine, la tête aussi profondément enfoncée dans son giron que possible, il émergea lentement en se rendant compte que Charlotte s'éveillait à son tour.

Partager sa chambre de l'orphelinat avec une fille n'aurait, en général, pas été toléré. Mais le surveillant McEnzy avait finit par plier bien des années auparavant lorsque, à court d'idées pour consoler les pleurs et les crises d'angoisse d'un gamin maladif il s'était rendu compte combien la jeune fille que Charlotte était déjà à l'époque avait endossé un rôle de pitbull maternel à l'égard du petit Cerano. Depuis lors, le gamin n'avait cessé de suivre la jeune fille et de s'en référer en toute occasion et ils étaient, en l'espace de quelques années, devenus presque inséparables. Ce qui n'empêchait pour autant pas qu'Anthony de se sentir mal à l'aise lorsqu'il prenait conscience à certains moments que "sa Charlie" changeait doucement mais sûrement sur certains points d'anatomies... aussi détourna-t-il le regard en commençant à sortir du lit.

« Alors, bien dormi ? fit Charlotte en s'étirant, et Anthony se figea.
Il ne sut dire si c'était le ton qu'avait employé son amie, si c'était l'impression que son rêve lui avait laissé ou le simple fait, justement, qu'il se souvienne si exactement de son rêve dans le moindre détail, ce qui ne lui arrivait jamais. Toujours étant, Charlotte avait posé cette simple question d'un ton amusé et un tantinet fier d'elle, sans qu'Anthony sache pourquoi.
- Ou...ouais, j'ai fait un rêve bizarre j'crois, répondit-il en se grattant les cheveux ébouriffés par la nuit contre l'oreiller.
- Tu m'raconteras ça à table, j'ai besoin d'une douche ! »
Et Anthony la vit le devancer dans la salle de bain avant que la porte ne se claque derrière elle, le laissant seul avec ses pensées.

Autres.

• Aime : Charlotte (mais il ne l'avouera pas), les histoires qui se finissent bien, les pâtes gratinées, le chocolat chaud, les rollers, dessiner aux feutres sur une feuille bristol, le caramel au beurre salé, le jus de pomme en brique de 25cl, les pandas et les furets,
• N'aime pas : Les gros fiers à bras, les emmerdeurs, voyager en autobus, les endives, les filles vulgaires, les histoires qui se finissent mal, attendre dans la file de la cantine, les gens qui sentent mauvais, marcher dans les feuilles mouillées sur le trottoir en automne, devoir dire à quelqu'un quand il se trompe
• Particularités, autres : A une cicatrice au front due à un bout de carrelage (ou de céramique), a tendance à ronfler, se gratte les cheveux quand il est gêné, ne sait pas siffler, arrive à imiter pleins de voix différentes (ce qui aide avec les multiples personnalités des masques).
• Niveau d'étude hors de Dreamland : Lycéen


• Comment avez-vous découvert le forum ? Grâce à Charlotte Naphy.
• Première impression : 42.
• Pour les DC (double compte) ou TC (triple compte), qui a donné son accord ? Euh...
• Avez-vous lu les règles et les respecterez-vous ? Oui, non...enfin, oui?
• Code de validation : Code validé

• Modification dans la description du pouvoir
  
• Ajout d'un point à la suite de l'histoire
  
• Ajout d'un premier récit RP, je suis en train d'écrire une seconde partie