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Chronique d'une rêveuse

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Nea Wasabi
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Date d'inscription : 18/02/2015

Rêveur
Nea Wasabi
Rêveur

MessageSujet: Chronique d'une rêveuse Chronique d'une rêveuse EmptyVen 20 Fév 2015 - 2:24


Wasabi
Nea

Personnage.

Chronique d'une rêveuse 687200avatar1
© Avatar taille 160x320 pixels.


  • Nom : Wasabi
  • Prénom :Nea
  • Surnom(s) : la blatte
  • Âge : 22 ans
  • Nationalité, origine(s) : Française
  • Pouvoir et description : Peur de l’inconnu. Nea, dû au comportement surprotecteur de sa mère, a développé dans son enfance une peur irrationnel de tout ce qui lui est étranger, inconnu. Lorsque adulte elle affrontera peut-être dans Dreamland ses craintes et les acceptera, elle se verra dès lors capable de détenir toutes sortes d’informations sur les lieux qui l’entourent et les personnes qu’elle côtoie. Ce don lui permettra par exemple de connaitre les points faibles autant physiques que psychologiques de ses adversaires et en fera une alliée redoutable. Ne lui permettra pas pour autant de prédire le futur et ne lui confèrera aucune force de combat.





Description Physique.

Nea est de stature moyenne, plutôt décharnée, et son épine dorsale courbée est surplombée par d’étroites épaules qui, comme abattues par une charge invisible, plongent vers l’avant. Son corps est l’incarnation de ses longues années d’angoisse, comme victime d’un mal silencieux et sournois qui l’aurait rongé pendant trop longtemps. Sa peau pâle est le témoignage des longues heures passées à l’intérieures de sa chambre.

De constitution fragile, ses poignets et ses mains semblent prêt à se briser au premier impact et, accompagnés d’un léger tremblement, ses doigts torturés se lèvent périodiquement à ses lèvres où ses dents vont à l’encontre de ses ongles, dans un combat sans merci. Sa bouche aux lèvres écorchées s’endette parfois en un sourire peut confiant accompagné d’un regard interrogateur.

Ses yeux sont sertis d’iris gris violacés tachetés d’étoiles, tranquilles et semblables à la profondeur et au silence de l’univers infini, qui s’opposent à sa pupille inquiète et fuyante. Au-dessus de ces derniers règnent la frange épaisse de Nea derrière laquelle elle abrite son front évasif. Ses cheveux sont bruns, fins et cassants mais plutôt volumineux. Elle a pour coutume d’en tresser nerveusement les pointes afin qu’ils de la dérangent pas durant ses activités quotidiennes.

Son style vestimentaire s’apparente, plutôt qu’à des habits, à l’épaisse carapace des scarabées. Elle utilise ses vêtements comme s’il s’agissait de véritables boucliers capables de la protéger des regards inconnus. Un tissu doux et violet, fait sur mesure, la couvre du commencement de son cou jusqu’à ses lèvres, et elle ne l’ôte que très rarement. Sa poitrine est simplement habillée d’une toile de coton aux tons beiges surmontée d’un bustier grisâtre. Ses bras et jambes sont préservés derrière une opaque étoffe qui remonte respectivement jusqu’à sa taille pour l’un et ses doigts pour l’autre. Si ce n’était pour les conseils de ses amies de confiance elle s’abriterait certainement derrière une armure de chitine.




Caractère.


Nea est d’une nature totalement angoissée, terrorisée à l’idée de s’affronter à quelque chose d’inconnu. Ce trait de personnalité plutôt invasif l’empêcha durant de nombreuses années de rencontrer de nouvelles personnes et s’il lui arrivait par mégarde d’être confrontée à quelqu’un de nouveau, elle avait tendance à se cacher derrière une amie ou carrément de s’en aller le visage déformé en une grimace digne d’un bon vieux film d’horreur. Actuellement, motivée par un désir nouveau, Nea essaie du mieux qu’elle peut d’affronter les nouvelles situations qui lui sont présentées et si son teint originalement clair vire au ton de cire ça ne serait qu’une manifestation moindre des émotions purulentes qui lui hurleraient intérieurement de prendre ses jambes à son cou. Malgré tout, après quelques minutes en sa compagnie elle finirait probablement par se détendre, ou pas.

Très prudente, elle ne va à aucun endroit qu’elle ne connaisse pas, ou dont elle ne s’est pas longuement informée auparavant, à moins que ne l’y emmène quelqu’un auquel elle ferait confiance. Car il est vrai qu’elle est profondément dévouée à ses amies et ses proches et ferait n’importe quoi, ou presque, pour les complaire et afin de conserver leur affection.

Ses gouts sont les mêmes depuis son enfance : la couleur violette, les chiffres pairs et les insectes font parties de ce qui lui plait le plus. En conséquence, elle adore les myrtilles, les mûres, les cerises, la betterave, le chou rouge et les aubergines. Elle n’osera jamais manger quelque chose qui ne soit pas violacé ou parfaitement traditionnel.

Sa passion la plus forte est celle des insectes. Elle leur démontre une vénération à toute épreuve et peut passer des heures à suivre une mouche dans tout l’appartement et se mettre à pleurer si par inadvertance elle écrase un cloporte. Elle considère que le règne animal est largement supérieur à tout ce qui représente l’humanité et si elle pouvait, elle se transformerait en une chanceuse coccinelle ou une laborieuse abeille.

Ayant horreur de l’inattendu, elle fut au bord de la crise de nerf le jour où ses amies lui préparèrent une fête surprise, et la stupeur sur son visage persuada ces dernières qu’il avait s’agit d’une très mauvaise idée. Elle n’aime pas le vacarme et préférera toujours être dans un environnement silencieux qu’au milieu d’une fête composée d’étranger alcoolisé au comportement imprévisible. Si elle pouvait changer le monde, elle commencerait par bannir l’alcool de la société, qu’elle considère comme la drogue la plus néfaste qu’il ait été donné au monde de voir le jour. Elle éliminerait également les chiffres impairs, les armes et la violence en générale, ainsi que les criminels bien sûr, qu’elle tuerait volontiers de ses propres mains si elle en avait le courage. Le courage, cette fameuse qualité qu’elle ne possède pas, sur lequel elle a déjà beaucoup lu, mais qui lui reste définitivement étrangère.



Histoire.


“Ne parle pas avec des inconnus !”

Ces quelques mots sont les premiers dont Nea se souvient avoir entendu sa mère prononcer. En effet, étant fille unique, depuis sa plus tendre enfance sa mère l’a constamment surprotégée et mise en garde contre le monde extérieur. Ses parents s’étaient connus dans un hôpital : elle, victime d’un inconnu aux mœurs barbares qui lui avait violemment brisé les côtes à coup de bâte en échange de sa bourse, lui, un policier de quartier en charge de l’enquête. Traumatisée, sa mère avait pris refuge sous l’aile bienveillante du flic et quelques mois plus tard emménageait dans son appartement.

Sa maman, qui était auparavant enseignante, ne reprit jamais son poste dans l’école primaire du quartier et, heureuse de l’attention qu’on lui accordait due aux problèmes de santé qui avaient découlé du malheureux mais bien fortuit événement, elle se complaisait dans sa malchance, s’inventant des complications et jouissant de tristesse. Avant la naissance de Nea, elle ne cessa de se plaindre des douleurs de la grossesse et après l’avoir mis au monde de s’apitoyer sur le sort de cette fragile créature.

« La pauvre enfant » ne cessait-elle de répéter. « Une enfant tellement délicate n’est pas faite pour un monde autant cruel, brutal, si seulement elle avait pu rester dans mon antre, en sécurité ! »

Son père, un très bon employé de l’état, au salaire merdique et qui ne remettait jamais en question ses supérieurs – ni sa femme -, était un homme de bonne foi, passionné pour sa épouse qui l’accusait de n’avoir toujours pas attrapé le salaud qui lui avait par chance pourri la vie. Quand Nea vint au monde et durant quelques minutes il fut le plus heureux des hommes.

Nea jaillit des entrailles du néant et grandit aux côtés d’une mère au verre à moitié vide dont l’existence était devenue incroyablement plus intense depuis qu’elle souffrait allégrement et mettait Nea en garde contre le terrible monde extérieur. Une fois en âge d’aller à l’école, sa maman décida de lui faire l’école à la maison pour « ne pas prendre de risque ». Elle passa donc toute son enfance entre les inconnues terreurs fantasmatiques de sa mère et les récits plus que palpables de son père qui lui racontait comment il avait toute la journée esquivé les balles.

Comme n’importe quel enfant et malgré les mises en garde de sa chère mère, Nea se voyait tout de même pourvue d’une certaine curiosité qui l’incitait à s’aventurer dans les couloirs de l’immeuble en recherche d’insectes, sa passion occulte. Alors qu’elle traînait dans les escaliers, ayant échappé au regard omniprésent de sa mère, fascinée par un cafard qui montait les marches, elle se retrouva nez à pied avec un monsieur vêtu d’une vieille salopette et armé d’un balai.

« Bonjour » lui lança son interlocuteur, souriant.

Nea fourra le cafard dans sa poche et prit ses jambes à son coup, s’échappant du terrifiant inconnu ! De retour dans les jupons de sa mère, le souffle court, elle put tout juste balbutier qu’un monsieur lui avait parlé. Sa maman fondit en larmes, la fit culpabiliser d’avoir profité d’un instant d’inattention pour déguerpir et lui demanda si elle cherchait sa mort. Nea, comprenant qu’elle était la cause des souffrances maternelles, se promit de ne plus s’aventurer toute seule dans l’immeuble pour ne pas l’inquiéter et conserver son amour, tout comme sa protection.

Ainsi passèrent les années et les peurs de sa mère devinrent siennes. Elle commença à craindre tout ce qui venait à contredire sa plaisante routine journalière et son monde se limita à l’appartement, au balcon d’où elle voyait les autres enfants jouer dangereusement, et aux rares endroits où sa mère l’emmenait. A l’âge de dix ans, elle connaissait son immeuble, ses voisins, la rue qui menait au supermarché et celle qui conduisait à la place de jeux du quartier où sa maman l’accompagnait quelques fois lors de fugaces sorties afin qu’elle puisse jouer avec d’innocentes fourmis. A cet âge, Nea avait déjà pu vaincre les inquiétudes qui s’échappaient du monde physique rationnel. Grâce à la science et aux mathématiques, elle avait déduit que l’inconnu, pour autant terrorisant qu’il soit, ne pouvait pas se matérialiser sous la forme d’une horde de singes meurtriers l’attendant au coin de la rue. Cette découverte, bien que tardive, lui fut d’un grand soulagement et cette même année demanda à sa mère de l’emmener pour la toute première fois au musée des arachnides.

Nea vivait la plus grande partie de son temps dans sa chambre, où elle jouait avec des insectes en plastique, et dans ses songes qui, après tout, ne risquaient pas d’altérer sa vie réel. Mise à part les jolis rêves peuplés de coléoptères, Nea faisait de nombreux cauchemars dans lesquels elle se retrouvait projetée dans d’étranges mondes dont un, particulièrement récurrent, composé de diverses inscriptions qui la tourmentaient mais dont, au réveil, elle n’arrivait jamais à bien se souvenir.

Quand elle atteint 14 ans d’âges de peur macérées aux herbes de frayeurs, ses parents prirent enfin une bonne décision en l’envoyant à l’école publique, jugeant finalement important qu’elle rencontre des mômes de son âges. Sa mère profita de l’occasion pour se plaindre de sa future solitude domestique et pour la mettre en garde, une fois de plus, sur les dangers de parler avec des inconnus, mais également sur les périls du changement et les malheurs qui l’accompagnent.

« Une valeur sûre est une valeur connue » récitait-elle « La sécurité passe par la limitation des relations avec des éléments inconnus. »

Sur le chemin de l’école, accompagnée de son père, Nea avançait sans conviction, dépitée et terrorisée à l’idée de rencontrer de nouvelles personnes, et imaginait déjà le pire des scénarios possibles.

Étonnamment, contrairement aux pronostiques chaotiques de sa génitrice, Nea ne rencontra pas les horreurs qu’elle prévoyait, tel que la flagellation et autres châtiments corporels. Evidemment, les autres élèves, qui se côtoyaient tous depuis longtemps, la traitèrent comme une vilaine blatte qu’on essaie d’écraser et se riaient de la voir apeurée au simple énoncé de son nom.  Ils finirent malgré tout par se lasser de ce nouvel bouc émissaire car qu’elle ne réagissait que trop peu aux attaques cinglantes. Nea finit même par se faire, avec le temps, quelques amies. C’est ainsi que pour la première fois de sa vie elle prit de sa distance quant aux fabulations de sa mère, se rendant compte de l’irrationalité de cette dernière. Cependant, sa résistance au changement l’empêchait d’appliquer ses nouvelles découvertes au monde plus ample qui l’espérait à la sortie de l’école et continua à se rassurer dans la sécurité du quotidien, allant de l’école à sa chambre.

Lorsqu’elle fêta ses 18 ans, Nea craignait, plus que de rencontrer un fantôme nécrophile, de rencontrer un inconnu, plus que tout un garçon ! Grâce à ses amies, elle avait pu s’épanouir quelque peu dans ses relations affectives avec autrui, mais elle restait totalement paralysée à la simple idée de converser avec un garçon. Elle en avait une peur bleue ! Mais cette même angoisse réveilla en elle une émotion nouvelle : l’excitation. Cette douce et terrible sensation lui donna envie de dépasser ses limites, d’affronter ses peurs, d’apporter un changement à sa vie, de connaitre plus de gens, et même de connaitre l’Amour. Elle essaya durant les années qui suivirent de modifier sa condition de vie, quitte à ne pas plaire à sa mère qui réprimait la flamme de la curiosité qui brillait en elle avec de vigueur.

Lorsqu’elle termina finalement ses études de biologie et commença à travailler comme entomologiste, Nea décida d’abandonner le domicile familial afin de se libérer de l’emprise de sa mère névrosée. Elle alla s’installer avec une amie de confiance qui l’aida énormément dans cette effrayante entreprise. Au début, ses peurs s’intensifièrent d’autant plus dû à son manque de repères : une nouvel maison, un nouveau quartier, de nouveaux voisins, imaginez l’angoisse ! Ses cauchemars semblaient s’intensifier chaque jour d’avantage, mais elle savait qu’il s’agissait d’une étape obligatoire sur le chemin de la libération.



Post Rp.

Nea se retrouva à nouveau dans cet étrange rêve qu’elle faisait fréquemment, où tout son être semblait exposé à la vue du monde, comme un précieux papillon épinglé derrière un vulgaire cadre de plastique recyclé ou une grenouille qu’on aurait disséqué à vif dans une salle de classe. Tous ses doutes apparaissaient autour d’elle, gravés dans de grosses roches, le tout dans un désert dénudé de végétations, sans même un cafard à l’horizon. Nea connaissait déjà cet univers loufoque l’ayant visité de nombreuses fois auparavant, sans jamais en garder un souvenir bien défini au réveil. Portant son regard sur les stèles les plus proches, elle parvint à lire : «Où suis-je ? » « Y’a quelqu’un ici ? » « A quoi ça sert tout ça ? » « Quelque chose va changer un jour dans ma vie ? » « Est-ce que j’vais pouvoir m’débarrasser d’mes peurs ? »  « Comment ? » « A quoi ça sert l’inconnu ? »

À peine eut elle formulé cette question qu’elle bascula dans un autre plan de Dreamland. Une dimension inconnue, dépourvue de toute chose qu’elle aurait auparavant pu expérimenter. Elle se sentait comme dans un fond d’écran d’ordinateur dont la qualité d’image, tellement mauvaise et déformée, ne lui permettait pas d’identifier ce qu’il l’entourait. Une sueur moite glissait le long de sa nuque alors que sa gorge se resserrait sur un gémissement et que ses muscles se crispaient d’angoisse, déjà tremblants.

Nea était perdue au milieu de toutes les choses qui existent et de celles qui n’existent pas. Elle sentit soudain que l’univers se brisait à l’égal que son corps et tomba dans une chute sans fin au milieu d’un palais sans fond à travers les âges infinis du monde. Autour d’elle, comme faisant partie de la structure du temple, des millions d’ouvrages, livres et autres parchemins s’avancèrent dans sa direction. Pendant ce qui lui parut des heures, elle résista à tous ces écrits qui semblaient vouloir envahir son être, pénétrer les pores de sa peau et se frayer un chemin jusqu’à sa conscience. Toutes sortes d’idées, d’images, de sons plus méconnus les uns que les autres virevoltaient autour d’elle alors que, noyée dans sa peur, elle accepta que sa mère avait toujours eut raison : elle aurait dû rester dans sa panse, en sécurité.

Une fois de plus l’univers bascula et Nea se retrouva dans l’utérus de sa maman, au chaud, sans aucune peur, car ce genre de concept est étranger à un monde rempli d’amour. Enfin, elle était heureuse, libérée du monde extérieur, protégée par ce temple infini qui lui procurait aliments, douceur et bien-être. Les minutes, les heures et les jours passèrent, elle se vit alors grandir, passer d’une simple cellule œuf à un embryon et de l’embryon se convertit en fœtus. Le fœtus vint à se transformer en un petit bébé qui, prenant à chaque seconde un peu plus d’ampleur, de force, se rendit compte qu’il lui était nécessaire de naitre, d’affronter ce nouveau monde, de continuer à évoluer, d’apprendre, de grandir encore plus, de vaincre ses peurs les unes après les autres, de briser les limites de la dimension qui nous entoure pour ouvrir les yeux sur un univers à chaque fois plus ample et rempli d’une infinie connaissance.

Alors que Nea allait renaître et ouvrir les yeux pour la première fois sur un monde sans peur, elle sentit et vit cette dernière, plus vive que jamais, s’incarner dans un corps sans visage. Comme inquiète à l’idée de disparaitre, sa peur aux formes charnelles la râlait à présent jusqu’au limite de Dreamland, et, en pleurs, Nea se réveilla, terrorisée.



Autres.

(La première partie de cette section concerne votre personnage, et pas vous IRL)
Aime : les insectes, les chiffres pairs, le violet
N'aime pas : l’inconnu, le bruit, l’alcool
Particularités, autres :
Niveau d'étude hors de Dreamland : nivó « uni vers de terre »

Comment avez-vous découvert le forum ? Par hasard, sur tourdejeu.net
Première impression : Très bonne ! (ah ! Excepté le chatbox : y a vraiment des gens bizarres dessus :p)
Pour les DC (double compte) ou TC (triple compte), qui a donné son accord ? -
Avez-vous lu les règles et les respecterez-vous ? Oui à la première question et « peut-être » à la seconde…
Code de validation : L'Homme Fontaine valide.
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Nea Wasabi
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Nea Wasabi
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MessageSujet: Re: Chronique d'une rêveuse Chronique d'une rêveuse EmptyVen 20 Fév 2015 - 2:31
Voilà pour mon perso, une simple rêveuse pour l'instant et peut-etre plus tard une voyageuse avec un joli pouvoir qui lui permettra de connaitre ses adversaires, si ce n'est pas trop permissif à votre gout Smile

J'attends vos avis Very Happy
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Kala Kourou
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MessageSujet: Re: Chronique d'une rêveuse Chronique d'une rêveuse EmptyVen 20 Fév 2015 - 13:45
J'aime bien ton personnage ^^ Il est marrant Very Happy

Bon ouais, ok, c'est pas ça qui fallait dire. Je le trouve intéressant, voilà ! Hâte de te voir RP Smile

Pour moi le pouvoir ne me gène pas, il est correct et pas mal. Je valide \o/

Et je valide la présentation en tant que Rêveuse ! On attend un autre avis pour donner tes couleurs et ton rang ^^
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MessageSujet: Re: Chronique d'une rêveuse Chronique d'une rêveuse EmptyVen 20 Fév 2015 - 14:09
Bienvenue !
Dommage que les rêveurs n'aient pas franchement de rang à proprement dit, parce que c'est joliment écrit comme fiche. J'aime beaucoup, un personnage intéressant et tout. Bref, va pour une rêveuse donc !
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Nea Wasabi
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MessageSujet: Re: Chronique d'une rêveuse Chronique d'une rêveuse EmptyVen 20 Fév 2015 - 20:05
Merci ^^

J'suis à disposition pour n'importe quel rp! Par contre j'ai quelques petits doutes, vu que j'ai pas trop de point de comparaison avec d'autres joueurs: j'imagine que je ne peux rien "gagner"(points de compétence, EV...) vu que Nea n'est pas "consciente" de ses rêves, mais est-ce qu'elle peut tout de même participer à des quêtes?(sans but précis de sa part, bien entendu...)

Sinon concernant ce paragraphe:
Sujet: Les classes de Dreamland RPG a écrit:
Ceci pris en considération, ils peuvent s'amuser à tout faire, dans la limite de leurs délires ; se transformer, jeter des boules de feu, voler... Tant que ça n'affecte qu'eux ou d'autres rêveurs, il n'y a aucun problème ! C'est beau d'être innocent...

Est-ce que ça veut dire que je peux m'imiscer dans n'importe quel rp? Very Happy
Mwahahahahahahaha! Quoi? Ah? Faut que je demande aux autres joueurs quand même avant de poster dans leur sujet? Bon ben pas grave...
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Clem Free
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MessageSujet: Re: Chronique d'une rêveuse Chronique d'une rêveuse EmptyVen 20 Fév 2015 - 20:19
Pour participer àun Rp, il faut que tu crée un sujet dans la partie "Demande de RP du forum" ou alors que tu répondes à un déjà existant. Ou alors tu t'arranges avec des gens sur le chat. Même chose pour les quêtes mais ces dernières s'organisent sur un autre sujet.

Pour ton manque à gagner de récompense, on en prendra compte lors du passage de Nea en voyageuse, si passage il y a ^^
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Chronique d'une rêveuse

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