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"Soumets-toi à ma volonté !"

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Hobbes Thomas
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MessageSujet: "Soumets-toi à ma volonté !" "Soumets-toi à ma volonté !" EmptyLun 27 Mai 2013 - 21:53


Thomas
Hobbes

Personnage.

"Soumets-toi à ma volonté !" 100717113450488361
© Avatar taille 160x320 pixels.


    • Nom : Thomas• Prénom : Hobbes• Surnom(s) : . • Âge : 20 ans dans quelques mois. • Nationalité, origine(s) : Marseille, France. • Pouvoir et description : Hobbes a peur du regard des autres, de l'image qu'ils ont de lui, en soit du ridicule mais pas que, il ne supporte pas l'idée qu'on puisse le trouver égoïste ou quoique ce soit d'autre. Il est de ce fait dans le monde réel sociable, gentil et très hypocrite pour ne être mal vu. Au fond de lui brûle un brasier de haine, qui, une fois cette phobie vaincue va se matérialiser en pouvoir dominateur. Son pouvoir se base sur la suppression de ce regard. Ce pouvoir consiste à soumettre à sa volonté la cible (souvent un rêveur). Il peut en soumettre plusieurs, mais ils seront moins efficace qu'un seul rêveur seul, qui verra ses capacité s'améliorer. Cela va de soi.



Description Physique.

Mon cher petit Hobbes -qui n'est pas si petit que ça - est la copie conforme de son jumeau à quelques détails près. La coiffure de ce petit rat de laboratoire est beaucoup plus ébouriffée que celle de son frère, pour une raison obscure. Ses lunettes, carrées et indestructible face au temps sont également une des grosse différence entre les deux jumeaux. Je vais décrire tout cela plus en détails.

Commençons par les cheveux de mes adorables petits-fils. Des chevelures d'or ornent leurs crânes pâles, elles montrent ainsi leurs présences et on sait que les frères Thomas sont dans les parages quand on voit ces deux têtes blondes. Ceci dit, celle de Hobbes a des mèches rebelles qui sortent de nuls parts, de manière très aléatoire, elles recouvrent très souvent ses yeux, à force de se coucher tard et de toujours veiller à être savamment décoiffé, ah la jeunesse ! Lorsque sa chevelure est mouillée elle lui tombe sur l'ensemble du visage, il est obligé d'utiliser un serre-tête pour la faire tenir.

Bon, le visage maintenant. Hobbes a toujours le visage souriant au contraire de son frère qui n'a pas le sourire aussi facile -sauf avec son grand-père. Le sourire d'Hobbes est là pour cacher sa timidité envers les autres, il sourit toujours de toutes ses dents d'une manière toujours sincère. Les yeux des deux frères sont la dernière grosse différence sur le plan physique entre eux. Ceux de Calvin sont très foncés, alors que ceux d'Hobbes, peuvent être comparés à une paire d’émeraude. Pour faire simple : des yeux verts, couverts d'une paire de lunette tout à fait classique.

Pour le visage c'est à peut près tout. Pour leurs corps, pas grand chose à dire, ce sont deux jeunes hommes de dix-neuf ans. Ils sont grands, l'un est très fin, habile avec son corps, l'autre a plus de muscle. Forcément celui qui révise à moins de muscle que celui qui fait du sport. Ce sont tout même deux gringalets, rien de bien inquiétant, cependant, ils font complexer leur vieux grand père. Hobbes, a souvent le dos légèrement courbé, en toutes circonstances.

Courbe, qu'il s'acharne à cacher avec ses vêtements. Les goûts vestimentaires de ce garçon sont assez ... Luxueux, on va dire. Aussi bien dans le monde réel que dans DreamLand. Un jean acheté très cher provenant d'une marque de vêtement renommée, un tee-shirt coûtant la peau des fesses et une veste très colorée, mais pour le coup très chère. Voilà les vêtements de Hobbes. Lorsque il décide de s'habiller pour un rendez-vous professionnel, ça veut souvent dire : costard, cravate, beau pantalon, belle chemise impeccable. Pour un rendez-vous amoureux, je ne sais pas, je ne l'ai jamais vu en action ! Ah ça grandit si vite !





Caractère.

Tiens, rebonjour les enfants ! Non aujourd'hui pas d'histoire, petits êtres malfaisants. Je vais plutôt vous décrire un de mes chers neveux. Hobbes. Un petit gars vraiment marrant.

Ce beau et fringuant jeune homme a toujours été timide. Il ne pouvait pas adresser la parole à un adulte étant petit. Puis cette timidité a diminuer. Pour être exact, il l'a enfoui au plus profond de lui. Il arrive à aborder des gens, mais avec beaucoup de courage. Je me souviens de son premier jour d'école. Leur institutrice ne savait pas du tout quoi faire lorsqu'elle demanda le prénom de notre petit Hobbes et qu'en guise de réponse elle n'eut qu'un long et gênant silence ainsi que des joues écarlates. Au fil des années, cette timidité enfanta une peur, une phobie : celle de la honte, du regard des autres. Maintenant, il arrive à parler aux gens, il essaye toujours d'être irréprochable de façon à ce que l'on ne pense pas de mal de lui. C'est un garçon très paranoïaque.

Parlons plus en détail de sa phobie. Timidité tous ça, je vous ai raconté. Mais ses réactions sont très ... Étranges. Dès qu'une moquerie ou un regard le blesse, il baisse la tête et accélère le pas. S'il ne peut pas partir autre part, il se contente de baisser la tête. Son corps est en ébullition, il transpire beaucoup et meurt de chaud. Souvent, ses larmes montent. Il ne se défend jamais, trop intimidé pour le faire. Au plus profond de lui, il rêve d'humilier ses bourreaux.

Il est cependant fort généreux avec tous les gens qui l'entourent. Parfois même un peu trop. Mais jamais mon neveu ne se montra agressif envers quiconque. Il apporte toujours son aide aux gens qui sont dans le besoin. Il aime voir sur le visage des gens la bonne humeur. Cette attitude lui a apporté beaucoup, des emmerdes certes, mais plein de bonnes choses. Tout d'abord, les appréciations de ces professeurs, car, il faisait tout pour que la classe ait une bonne ambiance, la reconnaissance des gérants des nombreuses œuvres de charité au quelle il a participé. Cependant avec tout ça, sa naïveté n'a cessé de grandir et sans qu'il ne s'en rende compte, beaucoup se sont servit et se servent encore de lui.

Malgré tout cela, il n'a jamais cessé de s'ennuyer, son frère avait souvent l'air de ne pas vouloir jouer avec lui donc, il préférait rester à l'écart pour ne pas l'embêter. Il se consacra entièrement à ses devoirs et autres travaux scolaires, n'ayant rien d'autre à faire. Connaissant ses cours sur le bout des doigts, ses notes étaient sans cesse supérieures à quinze. À présent c'est plus difficile mais c'est une vrai tête de mule sur ce point-ci et il tient plutôt bien la cadence.




Histoire.

« Calvin, tu veux bien jouer avec moi ? »

Quatre ans. Deux enfants, deux têtes blondes, assis sur un muret, balançant leurs pieds dans le vide. Calvin et Hobbes. Cet endroit était coupé de la ville. On n'y entendait pas le bruit permanent, pas le brouhaha de la foule. Juste les vagues s'écrasant contre les pierres constituant le mur sur lequel ils étaient assis. Cet endroit représentait à lui seul le calme et la sérénité. Les deux enfants n'étaient encore qu'en maternelle. À cet âge, ils aiment bien l'école, pour la plupart. Ils y font des coloriages, leurs parents s'occupent bien d'eux à la sortie, ils jouent ensemble. Aucune raison de s'ennuyer. Calvin se leva, son frère le contemplait, silencieux, il était, pour Hobbes, une sorte guide, un exemple.

Le sourire de Calvin s'inscrit sur son visage, une caresse salvatrice aux yeux de son frère. Ce dernier se releva, le même sourire aux lèvres. Les deux frères se lancèrent à la poursuite l'un de l'autre. Leur jeu fut ponctué de point de côté et d'éclat de rire.

Ces deux garçons grandissaient, mûrissaient et rien ne changeait. Presque rien. En primaire, leurs jeux changèrent. L'un jouait les jedis, l'autre les siths. L'un, le Blade Runner, l'autre, le Replicant. La confrérie de l'anneau, les orcs. Ils avaient intégré leur grand-père à leurs activités, qui se mêlait avec entrain à cette nouvelle jeunesse, puis une jeune fille, qu'il rencontrait toujours en allant chez leur papy Jacques. En parlant de lui, il avait du mal à tenir le rythme des piles électriques qu'étaient ses petits-fils, ainsi, il les laissait bien souvent seuls. Grâce à la présence d'Alice, ils avaient maintenant la possibilité de respecter leurs classiques cinématographiques. Les joues écarlates, la respiration haletante, les genoux écorchés, c'était à ça que ressemblaient leurs journées. C'est beau la jeunesse, c'est beau l'été, c'est beau les mois de juin, c'est beau les garçons quand c'est gentil et droit.

« Calvin, pourquoi tu joues Deckard quand Alice joue Rachel, pourquoi tu joues Han quand elle joue Leila ? Calvin, tu es amoureux d'Alice ?»

Onze années, il était temps d'en finir avec les jeux pensaient-ils. Ils devenaient grands, ils allaient rentrer au collège. Il était temps de mûrir. Il était temps de se décider. Tu es amoureux d'elle ou pas ? Pourquoi dès que tu la vois, tu restes avec elle ? Pourquoi je joue toujours les méchants ? Calvin ? Pourquoi tu me laisses tomber ?

Leurs pieds se balançant une fois encore dans le vide. Cette fois Calvin ne répondait pas, il ne bronchait pas, les yeux fixés sur l'eau qui s'écrasant contre la pierre blanche. Hobbes détourna le regard, il leva ses yeux au le ciel en soupirant, ses mains moites écrasées contre le sol. C'était la première fois que Calvin ne répondait pas. Les questions d'Hobbes étaient devenues de plus en plus fréquentes. Sauf que celle-là ce n'était pas la bonne. Dernier jour de vacances. Tous les enfants voulaient qu'elles continuent, rien qu'une semaine, pour encore en profiter, tous sauf Hobbes. Il avait hâte de rentrer au collège. De nouveaux amis, de nouveaux savoirs, moins d'ennui. Finalement, tout changeait.

Pour les nouveaux savoirs, il fut servi, pour les nouveaux amis, ça n'avait pas été ce qu'il avait imaginé. Son engouement pour l'apprentissage et sa réussite n'avaient pas été bien pris par ses camarades, de tout niveau. Les moqueries et les mauvais regards commencèrent.

« Calvin, pourquoi ils ne m'aiment pas, pourquoi leurs regards me transpercent dès que je les croise ? Calvin, pourquoi tu te sacrifies pour moi ? »

Treize ans. Les deux garçons se dévisagèrent, d'un côté, Calvin, avec son visage d'ange, sa belle chevelure blonde, de l'autre celui d'Hobbes, couvert d'ecchymoses, son œil droit assombrit par un hématome, ses lèvres gonflées, les cheveux ébouriffés. Les moqueries étaient allées trop loin.

Un groupe d'élève, mené par un quatrième, avec la gueule de l'emploi, le parfait petit con : cheveux rasés et tout ce qui va avec, avait vidé le sac de Hobbes sous ses yeux,  Ce dernier, s'était jeté au sol pour ramasser ses affaires, il avait inconsciemment bousculé son bourreau, qui prit cela pour une attaque personnelle. Il s'acharna contre le visage d'Hobbes, toujours à terre. Jusqu'à ce que Calvin intervienne. Les mains de ce dernier étaient à présent couvertes de pansements. Il avait repoussé le quatrième avec son pied et l'avait frappé pour le faire reculer. Laissant le temps au surveillant de les séparer.

Les deux jeunes adolescents tournèrent leurs visages vers l'horizon et inspirèrent l'air salé. Finalement, Calvin n'avait pas laissé tomber son frère au profit d'Alice. Hobbes allait arrêter avec ses questions. Il allait essayer. Il se contenta de contenir ses sanglots en rayant de sa mémoire ces moments horribles, ces regards horribles. Il avait peur, oh oui, il avait peur. Peur de ce qu'on pouvait penser de lui maintenant. Il allait arrêter de pleurer aussi. Arrêter d'être enfermé sur lui-même.

Leurs années de collégiens restèrent pour Hobbes un synonyme de l'enfer. Il se réfugiait auprès de Calvin ayant l'impression de devenir un poids pour ce dernier, ceci dit, il faisait des efforts, vaincre sa timidité,, allait vers les autres, être parfait. Ces efforts payèrent à la fin de la troisième et lui assurèrent une scolarité tranquille au lycée. Lorsqu'il y rentra, il avait réussi à s'intégrer dans un groupe, qui était devenu son groupe d'ami. Mais ... Il y a toujours un, mais.

« Calvin, est-ce que tu me détestes ? »

Seize ans. Certes, Hobbes avait beaucoup d'ami, mais quelqu'un avait frappé où ça faisait mal. Pas contre lui, contre son frère. Son frère, c'était cette lueur qui l'aider à avancer, ce mec avec un charisme impressionnant, cette personne intouchable. Qui avait su rester digne devant tous ces gens qui l'avaient insulté et colporté des rumeurs sur lui. L'auteur de toute cette haine déversée sur son frère était une fille, populaire, dont son frère n'avait pas voulu.

Hobbes se sentait coupable, les rôles des deux frères s'étaient inversés. Calvin regardait son frère, ébahi, il avait posé une nouvelle question et pourtant, il avait promis de ne plus en poser. Et il fut encore plus ébahi lorsque son frère rompit une seconde promesse. Hobbes se laissa tomber sur l'épaule de son frère, en sanglotant et en murmurant qu'il était désolé. Il se promit de ne plus jamais laissé tomber son frère. Plus jamais.

Et il allait la tenir sa promesse.

« Calvin, c'est quoi, ''Dreamland'' ? »

Vingt ans.



Post Rp.

Hobbes allait assister à une soirée fêtant la fin de sa première année de médecine et la réussite de ces partiels. Calvin n'avait pas voulu venir, il jugeait qu'il n'avait pas à être là vu qu'il avait raté les fameuses épreuves. Son frère lui avait proposé de rentrer avec lui, mais il s'y était opposé, s'énervant légèrement. Hobbes le connaissait, il savait que ça irait. Il n'aurait qu'à dire que la soirée n'avait été qu'un prétexte à l'ivresse générale. Ce qui, souvent, était vrai. C'est pour cela qu'Hobbes ne restait jamais à ce genre de fête trop longtemps. Surtout qu'ici, il ne connaissait pas grand monde.

Pour l'instant, il discutait avec ses seuls amis présents. Ils étaient trois et avait également réussie leur année. Deux filles et un garçon. L'une était une rousse de la même taille qu'Hobbes, l'autre était plus petite et brune. Le garçon était le frère de la brune, ce dernier était châtain, musclé et assez bronzé, cependant, sa taille n'atteignait pas celle de Hobbes. Les quatre personnes discutaient de différents examens qu'elles avaient subis.

Dans la conversation le plus grand absent était Hobbes, il ne disait rien et se contentait d'écouter. Sa coupe de champagne à la main. Il rigolait aux blagues et regardait ses interlocuteurs avec intérêt, comme d'habitude. En guise de vêtement, il avait retiré sa veste et ne portait qu'une chemise et un pantalon accompagné des chaussures de ville. Le liquide frais et gazeux remplissait sa bouche et réchauffait sa gorge. Tout allait bien. Il s'éclipsa un temps pour aller manger quelques gâteaux et par la même occasion, pourquoi pas faire de nouvelles rencontres ? Lorsqu'il arriva devant les tables, une jeune femme passa derrière lui. Elle se cala contre le mur et soupira.

Hobbes se tourna vers elle et posa sa main sur son épaule.

- Hey, tu es sûre que ça va ?

La jeune femme soupira, elle se tourna vers Hobbes. Elle était blonde et assez petite. Des formes sympathiques et un visage aux traits fins. Ses pommettes étaient rougies par l'alcool. Elle étendit ses bras et enlaça Hobbes.

- Kouuuuuuuuuuuupain !

Le pauvre blondinet fut très gêné, il vira au rouge tomate. Sa respiration s'accéléra, cette position était trop pleine de sous-entendu. Il s'éclaircit la voix. La demoiselle commençait à s'endormir sur son torse, mais ... Mais ... Pourquoi faisait-elle ça ? Le visage du blond devint encore plus rouge. La chaleur commença à embraser son corps, le haut de sa tête le démangeait. Il voulait qu'elle se réveille, qu'elle s'excuse, lui fasse un petit câlin si ça lui chantait, mais pas ça ... Non pas ça. Il commençait à angoisser. Il se devait de déposer cette jeune femme sur un support adéquat. Il passa la main dans le dos de la demoiselle, plia ses genoux pour soulever ceux de la jeune femme. Une grimace se mit à tordre son visage. Conduit par l'adrénaline, il traversa la foule à la recherche d'un canapé.

Il réussit à la mener jusqu'à une banquette. Il la posa délicatement dessus et s'assit à ses côtés, le corps trempé de sueur. Il reprit sa respiration, lentement, mais sûrement. Il tenta de se relever, mais, avant qu'il ne puisse partir, la jeune fille se saisit de son bras, elle déposa un baiser dessus et s'en servit d'oreiller en se rendormant presque instantanément. Le pire, c'était que des gens avaient vu la scène, Hobbes resté immobile, une expression d'angoisse déformait son visage. Il s'enfonça dans le canapé et baissa la tête. On jetait régulièrement des regards à la demoiselle et Hobbes. Ce qui ne manqua de le mettre très mal à l'aise. Qu'allait-on penser ? Qu'il avait profité d'elle et de son ivresse ? Sa paranoïa lui fit imaginer les pires scénarios possibles. Son pouls commença à s'accélérer. Tellement, qu'il réveilla la demoiselle qui poussa son bras dans le vide en grognant. Il se leva, se précipita vers ses amis pour leur dire au revoir puis il sortit.

Une fois dehors, il passa ses deux mains dans ses cheveux, il plia ses genoux, se contorsionna, des larmes coulaient de ses joues. Il fonça jusqu'à la première station de métro.

Il s'assit sur un des sièges du métro, le corps encore trempé de sueur. Il reprit sa respiration. Tous ces regards braqués sur lui ... Ça avait été insoutenable. Le métro commença à ralentir, Hobbes en sortit difficilement, il tituba jusqu'à chez lui, fouilla ses poches, attrapa ses clés et tenta de les enfoncer dans la serrure lentement. Lorsqu'il rentra, il se déchaussa tout en marchant, arrachant sa chemise, il la balança, il jeta son pantalon dans sa chambre avant d'y rentrer et de s'y enfermer.

Il souffla un grand coup. Tituba jusqu'à son lit. Soupira, s'endormit.

Dreamland ? Salut.


Vraisemblablement, Hobbes était allongé. De tout son long et sur le ventre. Ses jambes lui semblaient molles et inertes, il n'avait aucune envie de bouger. Si ce n'était ses bras pour frotter ses oreilles suite aux acouphènes qui les polluaient, mais, ces derniers s'amenuisèrent peu à peu, cédant la place à un bruit beaucoup plus assourdissant et constant. Des bruits de pas, des directives, des rires, des cris de joie, des huées. Qu'est-que, c'était que ce bordel ? Les paupières du Marseillais clignèrent. Ses pupilles ne purent transmettre qu'une image floue à son cerveau, peu à peu, l'image perçue fut plus nette. L'endroit dans lequel il se trouvait été plongé dans le noir. Des gens couraient dans tous les sens, devant lui, derrière lui, des rideaux s'agitaient au fond de la pièce, filtrant la lumière.

Il sentit quelque chose le tirer vers le haut, avant même qu'il n'ait pu se débattre ou identifier à qui appartenait cette force, la lumière dense et intense d'une dizaine de projecteurs l'aveugla. On l'avait jeté au sol. Il s'était écrasé les genoux contre le sol et avait roulé sur lui-même. Des rires raisonnaient, lui, ne voyait rien et souffrait. Il se redressa, chancelant légèrement, les rires s'intensifièrent. Ses bras, qui cachaient ses yeux il y a encore un instant, descendirent lentement, jusqu'à sa taille.

Il cligna plusieurs fois des yeux. Une incommensurable foule lui faisait face. Ses vêtements lui collaient à la peau à cause de la transpiration, vêtement avec qui il venait de faire connaissance. Un jean rouge, une chemise blanche, déjà trempée. Son visage devint écarlate. Il sentit ses jambes vacillait sous lui, il tomba à genoux. Incapable de bouger, juste de rester là, à regarder cette foule se gausser de lui. Son visage s'était décomposé, ses lèvres entrouvertes laissaient voir ses dents au public, ses paupières ne clignaient plus. Son cerveau traité des millions de situations en même temps, l'enivrant d'incompréhension.

Combien de temps allait-il encore rester inactif ? Il devait se relever faire preuve d'auto dérision ou je ne sais quoi, il devait faire quelque chose. Il posa sa main droite sur le sol et commença à se relever, ses jambes étaient fébriles. Une paire de chaussures martela la scène, lentement certes, mais avec une rythmique agressive. Hobbes tourna la tête, lorsqu'il vit l'être en face de lui, il eut un spasme, il se tourna vers son interlocuteur en sursautant, dès que ses pieds retouchèrent le sol, il recula de six pas, conservant un équilibre incertain. Une femme se dressait devant lui, une paire de bottes aux pieds, un pantalon en jean et un débardeur blanc couvrant le torse féminin. Cette fille, c'était celle de la soirée.

Le corps de Hobbes s'embrasait, d'épaisses gouttes fendaient son visage, d'autre longeaient son corps dans l'ensemble, sa chemise était maintenant, tout à fait transparente. Il était foudroyé par le regard de la demoiselle, incapable de bouger, de s'exprimer, de penser, de s'excuser. C'était la seule personne à qui il devait des excuses, pourquoi était-il incapable de remuer ses lèvres et sa langue pour exprimer son pardon ?

Déjà parce qu'il se sentait coupable de l'avoir mis dans cette situation et qu'en plus, il l'avait laissée seule à la soirée, il avait du mal à croiser son regard. Ses genoux rencontrèrent une fois de plus le sol. Fidèle au rendez-vous : le tonnerre de rire et de huée. Un sourire en coin se dessina sur le visage de la demoiselle. Elle s'avança vers lui en gardant cette expression, dévoilant son sadisme à toute épreuve. Elle s'arrêta à trois mètres de lui. Hobbes n'arrivait pas à faire sortir les excuses de sa bouche, il avait fermé les yeux, ses lèvres s'étaient contractées, ses joues gonflées, son visage écarlate. Il baissa sa tête et expira, il inspira le précieux oxygène dans la foulée. Il releva les yeux vers la demoiselle, la bouche entrouverte, prêt à parler, mais non.

- Sérieusement, Hobbes ? Sérieusement ?

Son visage se décomposa une fois encore. Un sourire de satisfaction recouvra le visage de la jeune fille.

- Tu m'as beaucoup déçu, tu sais ? Tu ne pensais pas que si je venais vers toi c'était pour être protégée ?

Elle se tourna vers le public avançant sur la scène, étendant ses bras.

- Et vous, vous trouvez ça normal ?

Hobbes se prit la tête entre ses mains, pour remuer sa chevelure sous la honte. On commençait déjà à le huer et l'insulter.

- Sale lâcheur !

Oh que oui qu'il avait été lâche. Laissant cette jeune fille, seule et dans un état second, qui la plongeait dans une situation délicate.

- Va crever, enfoiré !

Ses mains agrippaient d'épaisses touffes de cheveux. Il était secoué par des spasmes d'angoisse. Il explosa en sanglot, qui se firent de moins en moins silencieux. Ses larmes étaient trop abondantes pour qu'il puisse se calmer.

- Hobbes ! Relève-toi !

Le jeune homme redressa sa tête presque immédiatement, un encouragement parmi un demi-million d'insultes. La voix qui l'avait lancée s'était tellement égosillée qu'on ne pouvait la reconnaître. De plus qu'est-ce qu'il lui disait que ce n'était pas qu'une pure illusion de son esprit pour se réconforter dans ce moment cauchemardesque ?

Un homme dans le public se leva arma son bras et lança un fruit à la face de Hobbes, la tomate s'écrasa sur son nez, le jeune blond s'écroula. Plusieurs autres spectateurs, entraîner par le mouvement, l'imitèrent. La foule continuait d'exprimer sa joie, ce numéro était un succès. Les organisateurs devaient être en train de se frotter les mains à la vue de ce résultat si positif. La jeune femme jubilait, déambulait sur la scène tout excitée, elle riait beaucoup.

- Ahah, tu n'as que ce tu mérites. As-tu une idée de la solitude dans laquelle tu m'as laissée ? En as-tu une idée ?

Il releva la tête vers la blonde, les yeux irrités et creusés par ses larmes. Le jeune Marseillais tenta de parler, sans réussir, il hoqueta, s'étouffa avec ses sanglots sous les moqueries de la demoiselle et de la foule. Il se mit en boule, la tête sur les cuisses, le menton contre la clavicule. Ses larmes ne cessaient d'affluer. Il criait en son for intérieur, il voulait que ça s'arrête, que tout revienne à la normal. Il avait réussi à vivre normalement, pourquoi fallait-il que ça recommence ? Il était tétanisé et ...

- HOBBES ! Ressaisis-toi !

Hobbes tourna sa tête, un groupe de spectateur s'était formé devant la scène, mais derrière ce groupe, il put voir, une silhouette connue, une silhouette à la chevelure blonde. C'était cette silhouette qui lui avait donné du courage pendant toute son enfance et il n'y avait aucune raison que ça ne continue pas. Son torse se redressa, fit basculer sa tête en arrière, il huma l'air frais, une douce brise vint caresser son visage. Il se releva et leva sa tête pour regarder la demoiselle dans les yeux.

- Excuse-moi.

Puis d'un seul coup, son visage, qui était jusqu'à lors doux et désolé changea, une expression de haine monopolisa le visage. Il avait comme perdu connaissance, c'était l'adrénaline qui le faisait agir. Son bras pointa la demoiselle, sa paume visait la tête de la fille, ses paroles raisonnèrent dans tout le théâtre.

- Soumets-toi à ma volonté !

D'un seul coup, la demoiselle recula et étendit ses bras, ses pupilles devinrent blanches, elle posa un genou à terre face au tout nouveau voyageur et leva sa tête vers lui. Un fruit venait de s'écraser sur ce dernier, il se tourna vers le groupe qui s'était formé juste devant la scène. Des jeunes apparemment bien alcoolisés. Le nouveau voyageur les dévisagea, ils lui avaient fait passer une nuit atroce. Le retour de bâton allait être terrible. Il commença à avancer vers ces personnes, qui riaient un peu trop à son goût. Tout à coup, la longue chevelure blonde sauta dans la foule. Écrasant son genou contre le visage d'un des hommes, le menant ainsi au sol dans un joyeux craquement. Avant même que les autres n'aient pu réagir, la fille fit un salto arrière, formant avec ses jambes un grand écart, qu'elle referma brusquement : deux nouveaux crânes s'entrechoquèrent. Elle regagna le sol et bloqua avec ses avant-bras les quatre coups qu'un homme tentait de lui donner, elle le fit reculer d'un coup de front dans le nez.

Inutile de vous dire que Hobbes était tout à fait estomaqué par ce qu'il venait de voir. Cependant, la jeune femme venait de trouver un adversaire à sa taille, un adolescent, crâne rasé. Il n'était pas aussi agile, mais il encaissait mieux et se battait avec hargne et impulsivité. Il plaqua le crâne de la demoiselle contre la scène. Hobbes courut et comme la jeune femme un peu avant, il sauta sur le jeune homme. Les deux adversaires roulèrent dans la boue, jusqu'à ce que Hobbes soit enveloppé d'un nuage de fumée et se retrouve sans adversaire. La jeune femme s'approcha de lui et lui tendit sa main, il l'a saisi.

Une montagne venait de descendre de la scène, des griffes avaient remplacé ses mains. Drôle de phénomène. La jeune femme fusa vers lui, elle sauta et lui frappa la mâchoire d'un coup de semelle, il vacilla quelque peu. L'ancien rêveur écrasa son poing avec le plus d'élan possible contre le visage de l'homme. Un sinistre crac retentit. C'était la main d'Hobbes. L'homme profita de l'occasion, il attrapa ses deux adversaires par le coup. Mais, avant qu'il n'ait pu faire quoique ce soit, il s'écroula laissant les deux autres tomber à cause du manque de déséquilibre. Hobbes put voir devant lui la silhouette ... C'était ...

Il se redressa d'un seul coup, emportant ses draps, il était tout en nage.

- Calviiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin ?



Autres.


Aime :Le coca, le coca et encore le coca. Ah oui réviser avec une bouteille de coca. 
N'aime pas : L'ennui, avoir honte, les adolescents.
Particularités, autres : Très bon à l'école, possède une impressionnante capacité de réflexion.
Niveau d'étude hors de Dreamland : Passe en deuxième année de médecine.


Comment avez-vous découvert le forum ? Bah enfaite j'ai déjà un compte ici.
Première impression : Je ne m'en souviens plus.
Pour les DC (double compte) ou TC (triple compte), qui a donné son accord ? Ed Free.
Avez-vous lu les règles et les respecterez-vous ? Ouep
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MessageSujet: Re: "Soumets-toi à ma volonté !" "Soumets-toi à ma volonté !" EmptyMer 29 Mai 2013 - 13:17
.


Bah bon courage mon petit Kai ^^


.
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MessageSujet: Re: "Soumets-toi à ma volonté !" "Soumets-toi à ma volonté !" EmptyMar 25 Juin 2013 - 22:02
Et voilà c'est fini ! Smile
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MessageSujet: Re: "Soumets-toi à ma volonté !" "Soumets-toi à ma volonté !" EmptySam 13 Juil 2013 - 0:59
On attend toujours ton vava, Hobbes
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MessageSujet: Re: "Soumets-toi à ma volonté !" "Soumets-toi à ma volonté !" EmptySam 13 Juil 2013 - 13:52
Ainsi que le code de validation mon petit Kai.
On attends donc patiemment des nouvelles ^^
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Kaijin Zared
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MessageSujet: Re: "Soumets-toi à ma volonté !" "Soumets-toi à ma volonté !" EmptySam 13 Juil 2013 - 14:14
D'accord ! Apparemment il reste quelques fautes donc je corrige ça, je met l'ava et le code et puis ce sera bon !
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Lithium Elfensen
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MessageSujet: Re: "Soumets-toi à ma volonté !" "Soumets-toi à ma volonté !" EmptySam 13 Juil 2013 - 14:42
J'attends cela avec impatience mon mignon ^^
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MessageSujet: Re: "Soumets-toi à ma volonté !" "Soumets-toi à ma volonté !" EmptyDim 16 Mar 2014 - 22:22
Alors Kai', toujours d'actualité ce nouveau compte ou non ?
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MessageSujet: Re: "Soumets-toi à ma volonté !" "Soumets-toi à ma volonté !" EmptyLun 17 Mar 2014 - 13:03
Je t'aurais répondu que non il y a quelques jours. Mais j'ai retrouvé un pouvoir amusant. Cependant tout ça va demander des modifications. Je vous tiens au courant !
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MessageSujet: Re: "Soumets-toi à ma volonté !" "Soumets-toi à ma volonté !" EmptyLun 17 Mar 2014 - 14:46
D'accord, alors tu nous préviens ^^
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MessageSujet: Re: "Soumets-toi à ma volonté !" "Soumets-toi à ma volonté !" EmptyDim 20 Juil 2014 - 10:28
Up d'actualité !
On en est où sur cette prez ? Smile
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Kaijin Zared
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MessageSujet: Re: "Soumets-toi à ma volonté !" "Soumets-toi à ma volonté !" EmptyDim 20 Juil 2014 - 14:52
Je vais la reprendre, avant août j'espère. J'étais assez préoccupé par mon court-métrage, mais là ça se calme du coup je vais pouvoir m'y remettre tranquillement. Ré-écrire les descriptions, l'histoire, faire un nouveau post rp et actualiser le pouvoir !
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Lithium Elfensen
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MessageSujet: Re: "Soumets-toi à ma volonté !" "Soumets-toi à ma volonté !" EmptyDim 14 Sep 2014 - 11:21
Alors Kaillou, le code est bon, la fiche a l'air terminée.
Question dont la réponse me paraît évidente, Calvin Thomas (donc Neddy) sera ton frère ? Sinon, pour le pouvoir, j'ai pas tout à fait compris ce que tu voulais dire par "soumettre les autres".

Merci Very Happy
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Kaijin Zared
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MessageSujet: Re: "Soumets-toi à ma volonté !" "Soumets-toi à ma volonté !" EmptyDim 14 Sep 2014 - 11:40
Alors, non la prez n'est pas fini. Le nouveau post rp arrive. Plus que deux pages à relire.
Calvin sera mon frère.

Pour le pouvoir, je peux simplement soumettre un rêveur à ma volonté, j'en fais un esclave, un zombie de compagnie. Toute ces petites choses un peu inhumaines et illégales.
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Kala Kourou
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MessageSujet: Re: "Soumets-toi à ma volonté !" "Soumets-toi à ma volonté !" EmptyDim 14 Sep 2014 - 15:16
D'après ce que j'ai compris, c'est une idée des deux zigotos. Ils me l'ont expliqué et je valide le pouvoir ^^ Il sera bien sûr soumis à une restriction.

Et bien sûr, ce sera mieux détaillé dans la FT, Lith Very Happy
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