NOLAN
Irisa
Personnage
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• Nom : Nolan • Prénom : Irisa • Surnom(s) : • Âge : 24 ans • Nationalité, origine(s) : Créature des rêves, originaire du royaume de la Foudre• Pouvoir et description : Née d’un père originaire du royaume du Vide et d’une mère originaire du royaume de la Foudre, Irisa a développé un pouvoir en adéquation avec son ascendance. En effet, elle a la capacité de créer des tempêtes. Jusque là, simplement un vent violent direz-vous. Et bien non, en plus du vent elle a également la possibilité de lancer des éclairs dont le voltage augmentera avec le temps jusqu’à ce qu’il soit létal.
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Description Physique
J’e m’appelle Sam, je suis un ami de longue date d’Irisa et aujourd’hui qu’elle a un peu de temps elle m’a prévenu qu’elle allait passer chez mes parents. Alors bien entendu, comme d’habitude je l’attends, assis sur le muret de briques devant la maison. Elle va tourner au coin de la rue, ce n’est plus qu’une question de secondes, je le sais. Ah, voilà, c’est elle. Je reconnaîtrais entre mille sa démarche, son pas assuré mais tout en souplesse. Elle l’a travaillé longtemps cette souplesse. Élevée dans une famille qui voulait en faire une sorte de poupée destinée à plaire à un personnage bien particulier, elle a appris tout ce qu’une dame du monde devait savoir, selon sa famille, donc à pouvoir se déplacer sans heurts, en ayant une démarche presque glissante. Même si elle a tiré un trait sur son passé, certaines habitudes semblent avoir la vie dure. En plus, cette aptitude lui est plutôt utile maintenant il paraît.
Je m’attarde ensuite sur la silhouette de mon amie. Pas parce que je ne suis qu’un homme ! Vous savez quelle réputation on nous prête dès qu’on regarde une femme plus de quelques secondes, et dans certaines zones particulières. Je la regarde parce qu’il m’est impossible de ne pas regarder. Irisa a en effet hérité d’une silhouette toute en longueur et aux formes bien réparties. Malheur pour moi, elle passe son temps entre élégance et provocation. Elle a appris il y a longtemps à se mettre en valeur et en profite parfois pour obtenir ce dont elle a besoin. Je ne lui ai jamais demandé de détails et elle n’en parle pas non plus, je sais juste qu’il lui arrive d’avoir affaire à différent types de personnes, et pas seulement des gentils.
Son inimitable chevelure rousse est, comme à son habitude, en bataille, cachant ses adorables oreilles en pointe, signe de ses origines oniriques. Elle m’a dit il y a quelques temps avoir coupé ses cheveux parce que leur précédente longueur l’obligeait à passer des heures devant un miroir, pour les démêler puis les coiffer de façon à ce qu’ils ne se ré-emmêlent pas pendant la journée. A l’époque, cela ne la dérangeait pas, a-t-elle laissé entendre, mais depuis environ un an qu’elle voyage d’un bout à l’autre de Dreamland, elle a perdu l’envie de passer des heures à s’occuper d’elle quand quelques minutes peuvent suffire. Pourtant, elle n’en reste pas moins féminine pour autant.
Alors qu’elle s’approche, je peux distinguer plus nettement les détails de son visage, la pointe de son menton, l’ovale de sa joue. Sa peau semble toujours translucide, mais pourtant sans défaut. Ça y est, elle m’a vu. J’esquisse un sourire auquel elle répond avec enthousiasme. Ses grands yeux verts s’éclairent d’une lueur enfantine lorsque ses lèvres fines s’étirent alors qu’elle me remarque. Lorsqu’elle sourit, je revois presque la fillette que j’ai rencontrée il y a bien des années, alors que je vivais encore dans le même royaume qu’elle.
Comme à mon habitude, je ne bouge pas, je reste assis sur mon muret en attendant qu’elle s’approche. Comme d’habitude elle s’approche presque jusqu’à toucher mes genoux. Comme d’habitude elle se penche et m’embrasse sur la joue.
«
- Tu m’as manqué, puceron ! » Ah oui, j’ai oublié de vous dire qu’elle a deux ans de plus que moi et prend un malin plaisir à me traiter comme un gamin.
«
-Allez entre, mes parents ont hâte de te voir. » Lui lance-je en sautant sur mes pieds.
Caractère
«
- Irisa, ma chérie ! » L’accueille ma mère. « Entre, installe-toi, j’ai fait du thé à la menthe. C’est bien ton préféré, je ne me suis pas trompée ?
- Non Nina, tu as parfaitement choisi ! » Lui répond-elle en saluant mon père avant de s’asseoir.
Irisa a toujours été plus à l’aise chez nous. On avait l’impression qu’une fois sortie de chez elle, elle pouvait enfin se laisser aller à être qui elle voulait. Pas cette petite fille, puis adolescente, puis jeune femme confinée dans un rôle que ses parents avaient choisi pour elle depuis sa naissance. Dans ces moments où elle échappait à la présence suffocante de ses parents, elle étalait au monde la même joie de vivre que celle dont elle fait preuve maintenant avec ma famille. Mais je crois bien que c’est maintenant le seul endroit où elle se sente vraiment chez elle et où elle laisse tomber le masque…
«
- Alors ma chérie, raconte-moi ce que tu deviens. » Questionne ma mère.
«
- Voyons… En ce moment c’est un peu plus calme, mais habituellement je n’ai pas une minute à moi. Je n’ai pas de travail à proprement parler, je vais de ci de là, je fais le travail que je trouve. Je ne vais pas te cacher que c’est parfois dangereux. J’essaie de travailler avec quelqu’un, mais c’est parfois difficile. Tu connais ma sociabilité.- Allons Irisa, elle n’est pas si mauvaise que ça, regarde, tu prends toujours de nos nouvelles et tu viens nous voir autant que possible. Je te vois vraiment mal agir autrement avec qui que ce soit. Depuis ton enfance tu as toujours été serviable et attentionnée envers les autres.- J’ai changé Paul, tu sais quand et tu sais pourquoi. » Son visage s’assombrit alors qu’elle s’enfonce dans ses souvenirs, je le vois au léger pincement de ses lèvres. Le silence tendu semble sur le point de s’éterniser, chacun perdu dans ses pensées.«
- Dis donc toi ! Tu n’as pas des anecdotes amusantes à nous raconter ? » Dis-je pour alléger l’atmosphère. Une ébauche de sourire fleurit sur son visage et je sais que j’ai gagné quand elle recommence à parler de façon plus enjouée. Du moins en partie car ses épaules restent tendues, elle n’a pas encore oublié.
Des heures plus tard, nous marchons côte à côte dans la nuit alors que je la raccompagne en ville à sa chambre. Les rues sont calmes, ce qu’elle semble apprécier. Elle est plus apaisée lorsque le monde est tranquille et endormi. J’hésite et pourtant je me lance :
«
- Tes parents passent me voir de temps en temps, tu sais. » C’est gagné, elle se raidit et dans son regard brûle la haine qu’elle éprouve à leur égard. «
Ça fait des mois qu’ils me harcèlent pour savoir où tu es, ce que tu fais, ce que tu deviens, si tu te comportes bien. Entends par là selon leurs principes. J’ai beau ne rien leur dire de toi et, surtout, leur dire de ne plus revenir, ils n’ont pas l’air de comprendre qu’ils ne sont pas les bienvenus. J’ai même pensé à déménager tu sais…- Je sais. Je travaille à les écarter définitivement de nos vies. »
Je sais ce qu’elle veut dire par là, je sais pourquoi elle travaille d’arrache-pied, parfois jour et nuit, je sais pourquoi elle voue une haine si féroce à sa famille. Je sais à quel point sa douleur ne la quitte jamais vraiment. Je le vois dans son regard aujourd’hui plus déterminé qu’haineux.
«
- Je les ferai partir, je te le promets. »
Et c’est ainsi qu’elle me laisse devant la porte de l’auberge où elle a pris une chambre. Elle ne se retourne pas, elle ne regarde pas derrière elle. Elle a peur de s’effondrer un jour et de perdre de vue son but, la seule chose qui la tienne debout depuis plus d’une année. Pourtant demain elle sera de nouveau sereine, concentrée et déterminée. Son sourire fera des ravages et elle rira comme une petite fille, comme quelqu’un qui malgré les épreuves ne se laisse pas détruire.
Histoire
Poste Rp
Autres
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Aime : •
N'aime pas : Ses parents
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Particularités, autres : •
Niveau d'étude hors de Dreamland : •
Comment avez-vous découvert le forum ? Par des amis qui y sont eux-mêmes déjà inscrits
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Première impression : •
Pour les DC (double compte) ou TC (triple compte), qui a donné son accord : Second compte, mais le premier est inactif (Melinda Warren)
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