Haut
Bas
Le deal à ne pas rater :
Nike : Jusqu’à 50% sur les articles de fin de saison
Voir le deal

Partagez

D4rk_warrior_of_Bl00d, un héros trop dark.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Calvin Thomas
Messages : 206
Date d'inscription : 02/05/2013

Maraudeur des rêves
Calvin Thomas
Maraudeur des rêves

Carte d'identité
Essence de Vie: 255
Renommée: 823
Honneur: 162
MessageSujet: D4rk_warrior_of_Bl00d, un héros trop dark. D4rk_warrior_of_Bl00d, un héros trop dark. EmptyVen 3 Mai 2013 - 23:13

Thomas
Calvin

Personnage.

D4rk_warrior_of_Bl00d, un héros trop dark. 100717113450488361
© Avatar taille 160x320 pixels.

    Nom : Thomas
    Prénom : Calvin
    Surnom(s) : D4rk_warrior_of_Bl00d (dans un MMO)
    Âge : bientôt 20
    Nationalité, origine(s) : Marseille, France
    Pouvoir et description : Peur des conteneurs de sang.
    Calvin peut manipuler le sang versé selon sa volonté, tandis qu'en boire lui procurera probablement des forces, au vu du look de son seigneur.



Description Physique.

Si l'on demande à Calvin de se décrire, il n'y arrivera pas. Pas de panique, il y a une astuce ; lui demander de décrire d'abord son frère jumeau. Sa voix forte mais calme, très légèrement teintée par le soleil du sud, commencera comme ça ;

« C'est un mec assez grand, blond, élancé, avec des cheveux qui poussent un peu trop avant de passer voir une paire de ciseau. Mon frère est un peu plus fin que moi, on ne fait pas les mêmes sports et je fais un peu plus attention, disons. Je suis la force, il est l'agilité, comme on dit dans les jeux vidéos. Sinon on est jumeaux, donc on se ressemble, mais lui il porte des lunettes, ça cache un peu les yeux verts « durs et qui mettent mal à l'aise ». Enfin, moi, tout le monde dit que je mets mal à l'aise donc je sais pas...
Lui il a l'air plus gentil que moi en général, parait-il, personnellement je préfère un visage neutre qu'un visage qui sourit sans raison, c'est tout. C'est pas comme si je faisais la gueule ou autre, mais à quoi bon sourire si c'est pour mettre mal à l'aise les gens ?

Niveau fringues, c'est un peu kiffe-kiffe ; je crache pas sur ce qu'il porte, même si je ne fais pas autant attention. J'ai personne à impressionner ; les jeans suffisent , les vestes fines aussi et les capuche sont une invention géniale. Avec les écharpes. Enfin bon, j'aime bien les trucs taillés quand même, je m'habille pas trop à l'arrache sinon Hobbes m'engueule après.

Je crois qu'il m'a donné le goût pour les cravates, mais ça ne va pas vraiment avec ma personnalité alors je n'en porte que quand je sors, loin de là où on me reconnaît. Voilà hein, je sais pas quoi vous dire d'autre ? Le parfum c'est pas vraiment mon truc non... »

Puis il mettra les mains dans ses poches, pour dissimuler sa gêne, voir baissera carrément les yeux pour s'absorber dans la contemplation de quelque chose qui lui évoquera quelque réflexion interne, lui donnant immédiatement un air absent. Difficile de discuter avec quelqu'un d'aussi fermé, oui, et avouons que c'est même tout à fait désagréable. Pourtant, il fait des efforts.



Caractère.


2 Janvier XXXX
Cher journal.

Tu te demande pourquoi mon écriture sensuelle mais néanmoins acérée revient écorcher tes douces pages de sa… hum... noirceur  ? Bon, sans déconner.
La raison est simple ; je finis toujours ce que j'ai commencé ! Et je t'ai retrouvé en rangeant ma chambre. Et j'ai lu un livre façon carnet intime et ça m'a donné envie. Et il m'est arrivé un truc très, très sympa.

C'est surtout ça en fait. En attendant, ça me fera peut être du bien d'écrire ça là ; Hobbes m'écoutera toujours mais je ne veux pas lui imposer ça.
Avant tout, j'ai changé depuis que je t'ai acheté, alors un compte rendu de la nouvelle situation s'impose. D'après la dernière page que je peux lire, je t'ai arrêté après l'histoire avec Camille. Bientôt sept ans ont passés depuis.

Depuis... Par où commencer ? Camille est devenue très populaire, en changeant de look après s'être déclarée. Elle m'a accusé de toutes sortes de choses ; que j'avais voulu la violer (au collège !), qu'elle se suicide, l'avait insultée, humiliée... Moi, je n'ai jamais été très populaire, je pensais pas que les mensonges prendraient. Ca a prit, et les rumeurs n'ont jamais cessé depuis. D'une façon ou d'une autre, je suis grillé à Marseilles depuis ce jour, je n'ai plus jamais vraiment réussi à me faire des potes, exception faite de Eude et Daniel qui sont remontés sur la capitale depuis. Reste Hobbes, qui me soutient, et j'ai sa bande pour sortir me pinter la face. Ma « mauvaise réputation », ça les amuse. Les gens qui connaissent ma image (tout le lycée ? Jusqu'à la fac? Quand je donne mon nom, les inconnus dans les boites font la grimace) m'évitent et... Oula, j'ai perdu le fil avec cette parenthèse, je fais une pause attends.

Me revoilà. Donc, je suis un grand solitaire, ouin ouin, restons en là ! Enfin, je fais ce que je peux pour que ça change. J'ai été délégué de classe, fais pas mal d'efforts pour «défendre les camarades de classes », j'accoste des gens dans mon cas, j'ai fréquenté des clubs... Rien ne marche pas vraiment, je ne suis pas assez sympa faut croire.

Pour le moment, je ne perds pas mes idéaux de vue ; grâce à ça j'ai réussi mes études. La première année de médecine a été un échec, en revanche, je ne pourrais pas suivre Hobs' plus loin je crois. J'aimerai réussir à devenir médecin, ou vétérinaire (oui, je voulais être policier avant, mais je crois que ça ne m'irait pas) mais ça semble compromis. On verra bien.
Ca fait bizarre d'écrire ça là, j'ai l'impression d'être une gamine. Mais bon, ça fait du bien. J'imagine que des gens très bien font ça aussi après tout.

Je vais profiter de ce carnet pour écrire les choses incroyables qui vont m'arriver maintenant, pendant mes nuits. Puisque la semaine dernière, j'ai découvert un truc fantastique, avec anonymat inclus. J'ai découvert Dreamland ! J'organise mes idées et je décris ce qu'il s'est passé.



Histoire.


Saviez vous que l'on peut contracter une phobie sans en connaître la raison, ou voir sa vie totalement perturbée par cette dernière ? Maintenant oui.

Presque heureux troisième enfant d'une famille très saine, à l'exception d'une incapacité viscérale à se faire des amis depuis le jour où il rejeta une fille aussi populaire que rancunière, au collège, Calvin est aussi le frère jumeau d'un brillant garçon qu'il apprécie énormément. Fils de parents de classe moyenne attentionnés, logeant avec son frère dans un appartement loué par ses parents dans la ville de Marseilles où il pratique diverses activités depuis son plus jeune âge, le jeune étudiant n'est pas du genre à plaindre. S'il manque d'amis intimes, l'entourage de son frère lui permet de vivre des soirées arrosées et s'il manque de petite amie, il ne s'en plaint pas. Si ses amours de vacances n'ont jamais survécu jusqu'au Noël suivant l'été, il est responsable d'une rupture sur les trois -à son avis.

Mais le jeune homme est bien comme il est. Peut être secrètement attristé de sa situation, son cocon de jeux vidéos, d'animéx et de conception de modèles réduits, le tout rythmé par de la course course à pied et des cours de batterie préservent son équilibre.

Grand amateur d'escrime médiévale, Calvin est ce genre de personne, qui un jour, à l'idée de se faire prendre du sang, a failli tourner de l'oeil mais a eu la présence d'esprit de penser à autre chose avant. Le genre qui en regardant la télé détourne compulsivement le regard à la moindre scène dans un hôpital, parce qu'il faut toujours mettre des petites intraveineuses ici ou là pour que le décor convienne au directeur artistique. Un phobique oui, qui change de trottoir devant une camionnette de don du sang, mais qui ne vécut jamais sa peur particulièrement mal.

Faire des cauchemars liés à sa phobie n'était de ce fait pas, mais c'est un euphémisme, quelque chose de fréquent -au grand dam de son papi Jacques, pour une raison alors inconnue. Si le jeune homme a peur du sang,ce n'est que lorsque ce dernier stagne ; car le sang inerte lui évoque la mort, nauséeuse, palpable, et l'hémoglobine coulant dans son propre corps lui semble dès lors n'être qu'un compte à rebours odieux.

Seulement voilà ; Calvin veut devenir médecin, car Calvin est idéaliste, qu'il cherche à avoir un haut revenu, qu'il a tenu le coup scolairement et que sa famille peut le soutenir financièrement pendant toute la durée de ses études. Ce n'est pas une vulgaire petite peur de rien du tout qui pourra y changer quelque chose ! Pensait-il.

Mais après avoir passé la première année de médecine, notre jeune héros a dû déchanter. La phobie, autrefois sans importance, est venu le hanter. A sa première insomnie, Calvin ne s'alarma guère. Mais cette journée là, ses révisions se passèrent si mal que l'angoisse de mal dormir le tint éveillé, jusqu'à ce qu'il s'endorme sur un cours traitant d'hémoglobine... Malheureux (ou heureux) fait de circonstance ; Calvin rêva qu'il prenait un bain de sang, épais et stagnant, dont la surface brune était presque solidifiée. Il s'éveilla avec la conscience d'avoir essayé de pleurer dans son sommeil -sa respiration restait aussi saccadée que les battements de son coeur- et avec un affreux goût aux lèvres. Un goût de fer.
La suite de son histoire; il l'a écrite du mieux possible lui même;



Post Rp.


3 Janvier XXXX

Je vais arrêter de t'appeler cher journal maintenant, ça fait un peu tapette. Bon, je reprend où j'en étais hier ; c'est ici que ça commence vraiment.

Donc, je faisais des cauchemars, un peu récurent, après une nuit d'insomnie et des révisions sur la nature de l'hémoglobine. Ca m'a pas mal emmerdé ; impossible de réviser après une insomnie ; j'ai besoin de mes neufs heures de sommeil ! Ca m'a rappelé les questions de papi, donc on a pris contact, longtemps discuté et il m'a paru assez content. Une joie étrange. Plus qu'habituellement je veux dire ; plus que le simple fait que je vienne lui parler. Si papi est de plus en plus rond, il ne change pas vraiment à part ça. Toujours aussi doux avec sa barbe de vieux pirate, sévère, il ne semble se passionner que pour les activités de vieux même s'il aime raconter toute sorte d'histoires (en boucle) et que ses yeux sont particulièrement vif. C'est un bon vieil honnête homme, comme on dit. Il a insisté pour qu'on discute de ça ; des poches de sang et des cauchemars. Il m'a dit d'y penser avant de m'endormir, ce genre de trucs. Je me souviens qu'il m'a dit « bats toi ». Pour un fana du scrabble c'est plutôt étrange, j'étais un peu sur le cul, donc bon, évidemment ça m'a travaillé et j'ai suivi les consignes.

Deux semaines plus tard, j'ai fait un cauchemar.
Je me suis éveillé dans une sorte de grotte, de grande grotte souterraine, humide et sombre. Sensation de déjà vu immédiate. Les colonnes arquées qui soutenaient le plafond briqué m'apprirent que je faisait fausse route ; plus qu'une grotte, j'étais dans une cave immense. Une réserve d'eau, quelque chose dans ce goût là, façon moyen âge. Sauf que et bien, voilà, ce n'était pas de l'eau. Dit comme ça, ça semble évident, mais sur le coup, rien ne m'avait préparé à ça.
Du sang à perte de vue. Rien qu'écrire ça me donne la nausée, encore aujourd'hui.

Ce fut un choc. J'aurais aimé hurler mais j'avais une boule dans la gorge, quelque chose entre la gerbe et un gros paquet de larmes. Impossible de reprendre mon souffle. Une peur panique, immédiate s'est installée. Je pense que même poursuivi par un psychopathe dans une ruelle, j'aurais moins perdu mes moyens. Là, je n'ai rien pu faire que m'effondrer en gémissant, yeux clos. Je me sentais mal, affreusement mal, comme à chaque fois que je vois du sang figé et froid, la simple idée de savoir que j'étais moi même rempli de sang... J'ai toujours ce réflexe ; croiser mes bras et poser les mains sur l'intérieur de mes avants bras quand je vois des poches de sang. Pour « me protéger », je sais pas. Le mien restait chaud, heureusement, et je me pinçais pour sentir la douleur, la vie, (pas pour me réveiller bizarrement, je crois l'idée d'être dans un rêve ne m'a jamais traversé l'esprit) mais la révulsion restait là, impossible à écarter d'un simple et hâtif geste mental.

Bientôt, le flanc sur lequel j'étais couché devint poisseux, tout comme mon visage. Mon visage, couvert de sang! Si ça n'avait été que de l'eau, très bien, mais c'était.. beaucoup trop lourd et compact. J'avais du sang sur le visage. Poisseux. Comme du lait qui a tourné. Et froid, tellement, tellement horriblement froid. Je crois que je me suis mis à hurler,je me suis levé d'un bond. A ce moment là, plus rien n'était clair. Ma vue ; brouillée de larme, je n'ai pas de honte à le dire. J'ai voulu m'essuyer le visage pour enlever.. ça.
Et j'ai senti que mes doigts étaient froids. Glacés. Mon sang, à moi, s'était figé, littéralement. J'étais devenu un cadavre.

Je me relis là, et je constate que c'est impossible à décrire. Ce que j'ai ressenti... C'est une horreur si intense, si puissante. Quand on rêve qu'on tombe, on sursaute avant de toucher le sol, et on se réveille. L'horreur de la milliseconde avant de toucher le sol, cette fois, était décuplée en centuple et allait croissant, elle s'est emparée de moi, de chaque parcelle de mon esprit et de mon corps. Alors, je suis tombé dans .. Le sang.

A cet instant, je suis devenu suicidaire. J'ai toujours méprisé ceux qui se donnaient la mort (sauf les samourai, et encore) , mais cette fois, j'étais partagé entre le profond (c'est encore un mot trop faible, mais je ne trouve rien de mieux) dégoût que m'inspirait de toucher cette masse de mort liquide, et la joie de sentir que j'étais incapable de trouver les forces de surnager. J'allais me noyer, et les choses seraient finies. Aucune solution n'aurait pu me sembler meilleure. Je n'avais pas conscience de dormir, et la mort me semblait douce et salvatrice. L'idée même d'être plongé dans de l'hémoglobine se faisait de plus en plus lointaine ; je coulais, tout simplement, profondément.

Mais comme j'accueillais la mort, quelque chose me tira.

Un bras puissant, massif et chaud me plaqua contre un torse tout aussi plein de vie, une main fermement agrippée sous mon aisselle. Alors... comment dire... la peur devint plus diffuse. L'idée auparavant évidente, de mourir, m'apparut dans son horreur. En perçant la surface, cracher le sang, même épais et lourd, fit perdre à ce dernier son caractère figé et horrible. Je crois que j'ai vomi, tout de même, à cause du goût surtout. J'en avais avalé aussi et sûrement plus qu'un peu. Mon sauveur m'a hissé sur un pan de terre ferme, au pied d'une des arches. Je suis tombé, pour vomir encore. Comme il me lâchait, toute la chaleur s'était éteinte. Je me sentais à nouveau pris d'horreur et levait les yeux sur celui qui se tenait là, debout, devant l'une des rares torches illuminant les lieux.

C'était Jacques, c'était grand père. Sous son regard, sévère, doux, peiné.... Jamais je n'avais lu de regret dans les yeux de grand père, jamais je n'ai eu l'impression d'être dégoûtant ou rejeté, comme partout ailleurs. Cette fois.. Je l'avais peiné. Voir son petit fils accueillir la mort l'avait blessé, peut être. Sous ce regard, je n'ai pas pu m'empêcher de fondre en larme.

Mais entre sanglots et hoquets, un bras réconfortant s'est posé sur moi.

Et puis... Je ne sais pas ce qui est arrivé. Je ne voulais pas faire de peine à mon grand père. Je voulais écarter le sang qui me collait la joue, entre lui et moi. Le sang, même froid, même figé, n'avait plus d'importance. Je l'ai écarté. Sans le toucher je l'ai enlevé. Je l'ai fait quitter la trame de mes cheveux, lavé de mes vêtements, fait glisser le long du bras de papi, jusqu'au sol, qu'il rejoigne la mare opaque. Comme j'étais plus léger, lavé de cette horreur, j'ai pleuré un peu moins fort, tandis que le père de ma mère me serrait contre lui avec fierté.

Et bien, ce n'aura pas été facile.

D'une façon ou d'autre, « papi Jacques » m'a donné des pouvoirs. Enfin, « papi Jacques », ce nom ne correspond pas vraiment à l'individu qui se tenait devant moi. Son corps était... beaucoup plus puissant, irradiant une présence rassurante de force paisible. Ensuite, nous avons parlé un peu. Enfin, ce fut plutôt un monologue en fait et je n'ai compris qu'une seule chose ; grand père avait revécu cette scène plusieurs fois avant de me voir « laver » le sang. Le reste, j'ai pas compris, apparemment tout ça, c'est plus d'émotions que je ne peux en supporter.

C'est assez long à expliquer, à écrire, et j'en ai un peu marre mais bon, je vais terminer. Papi m'a raconté qu'il existait un monde de rêves éveillés, où chacun peut obtenir des pouvoirs, liés à une peur profonde, lui conférant le titre de Voyageur. Cependant, les Voyageurs sont rares. Lui même a survécu grâce à un pouvoir le conférant une grande force -et d'où il tirerai ici le surnom de « Béhémoth »! Papi Jacques Béhémoth ! C'est.. difficile à croire.

Toujours est-il que je suis censé mieux supporter la vue du sang en poche depuis cette nuit. Je n'ai pas eu l'occasion de confirmer la chose pour le moment. Je ne croyais à rien de tout ça, jusqu'à la nuit suivante. Je me suis « réveillé » après m'être couché, dans une plaine dite « des doutes », si ma mémoire est bonne. Puis, papi (ou le Béhémoth !...) est arrivé et m'a expliqué quelques choses à savoir sur ce monde, que j'expliquerai plus tard sans doute. Notamment que c'est un lieu dangereux fascinant,magique, merveilleux, dans lequel il rêve depuis de décennies de nous voir entrer, moi et mes frères. Edouard et Julie, tes parents... Je n'ai jamais pu les aider comme j'ai fait pour toi. En vieillissant, les peurs phobiques semblent plus rares...

Puis, pendant que j'essayais de me servir de mon « pouvoir » après qu'il m'y ait invité, quelqu'un d'autre est apparu. Il connaissait papi, et s'est approché de moi tandis que grand père s'écartait. Je te laisse avec elle pour le moment. Ne crains rien. A-t-il dit. J'ai eu le sentiment qu'il n'est pas parti très loin.

L'autre n'était pas rassurante. Une sacré fille, cela dit. Enfin pas mal je veux dire, physiquement. Elle m'a examiné un peu. Elle était froide, tandis que ma température corporelle était, cette fois là, redevenue normale. Je dois dire que ça m'a dégoûté -son corps glacé. A part ça, j'avais remarqué sa mâchoire semblait la gêner, comme quelqu'un à qui l'on vient de poser un appareil dentaire. J'ai vu après que derrière ses lèvres se cachaient en fait une dentition... De vampire, dira-t-on...

C'est plus ou moins ce qu'elle m'expliqua être.

Je suis une Voyageuse du Comte. Tu t'es réveillé trop tôt hier pour que nous venions t'accueillir dans les règles. Voyons ce que tu sais faire aujourd'hui !

A la suite de quoi elle m'a demandé de faire tout un tas de choses impossibles, en s'énervant un peu parce qu'elle me trouvait particulièrement peu doué, semble-t-il. J'étais partagé entre la gêne et l'irritation. Au bout d'un long moment, elle m'a sorti quelque chose du genre ;

Mais tu avais peur de quoi à la fin ?! Du sang, non ? Des vampires ?
Et bien non ma grande ! J'ai du lui expliquer ce qui me faisait peur ; le sang qui stagne et voilà tout ! Je sais que c'est un peu bizarre mais putain, c'est pas dur à comprendre. Je crois qu'elle a rit d'un air triste et vaguement dédaigneux.

Puis cette dingue s'est entaillée. A part le fait de s'entailler, le sang coulant de son corps ne m'effrayait pas, jusqu'à ce qu'elle évoque «  Mon sang est glacé, n'oublie pas. C'est un sang mort. Enlève le de mon corps.  ». La sensation de dégoût est revenue, en arrière plan. Un sang froid et épais... J'ai réussi à faire glisser le liquide écarlate le long de son bras, puis le faire tomber sans même le toucher, par la pensée.

Et bien, tu ne devais pas avoir assez peur... C'est plutôt ridicule je dois dire. Bonne chance dans ce monde petit. Si tes dents te démangent un jour, reviens me voir. Ou passe voir le Comte. Il ne te fera rien ; même si tu es aussi faible qu'un moinillon, tu es comme un fils pour lui. Salut !

Un truc du genre. Quelle connasse ! Les filles jolies sont toujours des vraies chieuses ! Enfin, papi a semblé beaucoup plus enthousiaste qu'elle quand je l'ai revu après. On a marché un bon moment en discutant de pas mal de trucs, mais je ne me souviens pas de tout. Je crois qu'il parlait surtout pour lui de toute façon. Les ducs, le comte, les machins, les trucs...

Et puis voilà... Maintenant, j'ai mal à la main. La suite plus tard sans faute !



Autres.

(La première partie de cette section concerne votre personnage, et pas vous IRL)
Aime : les modèles réduits, le sport, faire des BA, les animaux, son jumeau, les héros.
N'aime pas : les rumeurs, les pimbêches, les ados suicidaires.
Particularités, autres : Dark, badass et garytsue.
Niveau d'étude hors de Dreamland : Redouble sa première année de médecine.


Comment avez-vous découvert le forum ? Grâce à Nedru Etol, ce brillant informateur.
Première impression : Le pouvoir de l'amour et l'amitié semble fort ici !
Pour les DC (double compte) ou TC (triple compte), qui a donné son accord ? Le saint cerbère; Lith-Ed-Khi.
Code de validation : [J'ai mangé le code, et c'est pas une blague. By Lith' qui n'a plus faim.]
Revenir en haut Aller en bas
AuteurMessage
Lithium Elfensen
Surnom : L'Ambidextre
Messages : 2709
Date d'inscription : 03/09/2010
Age du personnage : 31

Arpenteur des cauchemars
Lithium Elfensen
Arpenteur des cauchemars

Carte d'identité
Essence de Vie: 855
Renommée: 2665
Honneur: 420
MessageSujet: Re: D4rk_warrior_of_Bl00d, un héros trop dark. D4rk_warrior_of_Bl00d, un héros trop dark. EmptySam 4 Mai 2013 - 16:22
.

Et bien, comment dire que.. Bah j'adore.
Non sérieusement en fait.
Pour moi ça serait contrôleur rang 3 direct quoi.

Un autre avis ?

.
Revenir en haut Aller en bas
https://berliefanny.wixsite.com/illustratrice
AuteurMessage
Khildar Blacksilver
Surnom : Le Bourgeois
Messages : 722
Date d'inscription : 05/10/2010
Age du personnage : 36

Maraudeur des rêves
Khildar Blacksilver
Maraudeur des rêves

Carte d'identité
Essence de Vie: 650
Renommée: 1200
Honneur: -400
MessageSujet: Re: D4rk_warrior_of_Bl00d, un héros trop dark. D4rk_warrior_of_Bl00d, un héros trop dark. EmptyDim 5 Mai 2013 - 21:53
Un style décontractée, des remarques personnelles pour faire vivre le récit, une narration qui parfois s'écarte pour mieux revenir, une sommaire mais efficace description, une histoire un brin originale et un post rp plus qu'honorable, je valide également rang 3, contrôleur de sang stagnant !
Revenir en haut Aller en bas
AuteurMessage
Calvin Thomas
Messages : 206
Date d'inscription : 02/05/2013

Maraudeur des rêves
Calvin Thomas
Maraudeur des rêves

Carte d'identité
Essence de Vie: 255
Renommée: 823
Honneur: 162
MessageSujet: Re: D4rk_warrior_of_Bl00d, un héros trop dark. D4rk_warrior_of_Bl00d, un héros trop dark. EmptyDim 5 Mai 2013 - 23:42
Merci à vous, j'essaierai d'en être digne ! Je fais la fiche technique très vite !
Revenir en haut Aller en bas
AuteurMessage

Contenu sponsorisé


MessageSujet: Re: D4rk_warrior_of_Bl00d, un héros trop dark. D4rk_warrior_of_Bl00d, un héros trop dark. Empty
Revenir en haut Aller en bas

D4rk_warrior_of_Bl00d, un héros trop dark.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Dreamland RPG :: Administration Onirique :: Personnages Joueurs :: Présentations :: Validées-