Dryden
Maël

Personnage.

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• Nom : Dryden • Prénom : Maël • Surnom(s) : Malou • Âge : 23 ans • Nationalité, origine(s) : Anglaise • Pouvoir et description : C’est la peur de se sentir inutile. Cette peur lui permettra de se dupliquer en quatre exemplaires de plus. Chacun exemplaire lui ressemble, sont son parfait sosie. Un est doué dans le bricolage. Le deuxième dans la cuisine, et le troisième dans le combat. Sans oublier le quatrième est doué dans la maitrise des avions et hélicoptère.

Description Physique.

Que dire de lui ? De son apparence ? Je dirais simplement qu’il est grand. Pour un homme, n’est – il pas important d’être grand de nos jours ? Lui, il mesure 1m85. Ses cheveux blonds lui encadrent parfaitement son visage calme et reposer. Que dire de ses yeux… Un bleu océan dans lequel beaucoup de jeunes femmes ont osé si perdre. Sa stature est posée même si son éducation le rend parfois stricte dans sa démarche. Il a une silhouette affinée. Mael peut manger ce qu’il veut, il ne prend pas un gramme. Combien de personnes ont enragé en le voyant dévoré gâteau sur gâteau sans grossir ? Il ne les compte plus. Ses doigts sont fins, se faufilant discrètement pour embêter quelques demoiselles en les chatouillant.

Mael à un gout pour l’élégance. Voir, les autres de son âge s’habillaient tel de vieux adolescents refusant de grandir, le répugne. Il préfère les chemises blanches, voir noir, voir rouge… Portant de temps en temps un gilet pour décorer l’habit. En pantalon, il est plus conciliant. Maël porte des jeans bleus foncé, ou noirs et des pantalons en toile noire, ou grise. Il porte un manteau très ville, long… Ne supportant pas les manteaux de sport. Maël en jogging est quelques choses de rares, même en short, préférant en être en bermuda… Encore moins en maillot de bain, ne trouvant pas cela élégant. Les baskets sont aussi rares chez lui. Bien sûr, il a une paire chez loin, mais elle doit être quasiment neuve. Une chose qu’il a horreur par-dessus tout, c’est les chapeaux et autres bonnets…. Vous ne le verrez jamais avec ça sur la tête.

Caractère.

Le caractère de Maël est une peinture mélangeant un panel extraordinaire de couleurs. Il a une devise qui le suit dans sa vie. « On ne doit jamais taper une femme, à moins que notre vie est en jeu. » Il a hérité ça de son père. Son père lui donne une éducation de gentleman. L’élégance et la galanterie est une chose précieuse. Il vouvoiera, même ceux qui sont plus jeunes que lui. Pour qu’il vous tutoie, vous devez lui le l’autoriser. Il hait la société qui prime l’argent à la solidarité… Il a un grand cœur, et se veut devenir chirurgien cardiaque pour aider les gens. Il est donc assidu dans ce qu’il fait, dans ses études. Il est un grand bosseur ! Maël refusera une sortie pour apprendre ses cours, et même peut disparaitre pour ses révisions. Cependant, il sera toujours là pour un ami, ou pour quelqu’un d’important pour lui. Il est courageux comme jamais. Il préfère donner sa vie pour en sauver une autre. Il hait se sentir inutile à telle point qu’il en a peur.

Maël est sympathique, sous ses airs d’homme sévère. Il a du mal à exprimer ses sentiments… Beaucoup de mal. Il aime les femmes, les courtiser, et jouer avec elle. C’est assez contradictoire avec son manque d’assurance concernant les sentiments. Quand il courtise ou joue avec une demoiselle, ce n’est pas amusement, sans sincérité. Par contre, quand il joue, jamais il ne soufflera des sentiments comme l’amour… Il a une certaine fierté de lui, un certain ego même. Chose importante, il ne prône pas la violence. Il se défend bien avec les mots que les coups. Il sait embrouiller, manipuler avec sa voix, et sait faire preuve de diplomatie.

Histoire.

Parmi les décombres, la vie prit son sens. Ces morceaux de céramique rouge laissaient la terre se perdre dans les fissures du sol. Tout s’échappait dans une destruction certaine, et pourtant, la vie brandissait un espoir. Cette fleur aux magnifiques pétales blanche se tenait là debout sur un lambeau de terre, fixant le ciel. Elle avait survécu aux petites mains d’un enfant. Un enfant qui malgré la peur d’être puni, sourit de n’a pas avoir cassé la fleur favorite de sa maman. Il se retourna, sortant du balcon ou la fleur gisait. Il marcha doucement.

- Papa ? Papa ?

Personne ne répondit. Pour le petit enfant savait qu’il était là. Il ne comprenait pas.

- Maman ? Maman …

C’est là qu’il la vit, serrant fort le téléphone contre son visage. Elle tremblait ayant de mal à annoncer quelques phrases à son interlocuteur.
Cet enfant, ce petit garçon continua d’avancer, voulant que sa maman lui accorde de l’intention. Juste un peu. C’est là qu’il vit un bras sur le sol. Un bras vêtu d’une manche blanche et d’une montre… Il s’arrêta net. Sa maman avait posé le téléphone.

- MAMAN ! Cria – t- il.

Elle se retourna, figé par le cri. Son fils de quatre ans était là. Il fixait ce bras, et compris dans son petit cœur que c’était son papa.

- Pourquoi papa est – il par terre ? Il a bobo ?

Il demandait ça sans comprendre. Ces petits yeux bleus n’arrivaient pas à croire ce qu’ils voyaient. Sa maman courut vers lui, le prit dans ses bras, et le serra fort. Il s’accrocha aux vêtements, tout en fixant le corps de son papa qu’il voyait maintenant au complet. Puis il fixa sa maman. Elle pleurait, si fort que les larmes coulaient sur ses vêtements.

- Papa … papa… est…

Elle n’arrivait pas à terminer sa phrase. Elle se sentait brisé, alors que sa petite fille d’un an dormait dans sa chambre et que la grande était à l’école. Elle tremblait, et le petit garçon se mit à pleurer de peur… Voir sa maman pleurait, le marqua. Il sentait inutile de ses quatre ans. Il voulait tellement voir sa maman sourire mais il ne savait pas comment faire. Il se mit à pleurer, à pleurer car il ne veut pas voir sa maman pleurer.

Tout se passa très vite ensuite. Des hommes, des ambulanciers prirent le père, et l’emmenèrent d’urgence à l’hôpital. La grande – mère avait été appelée pour garder les enfants. Mémé, voilà comment le petit garçon appelait sa grande – mère. Il fixa sa mémé qui était toute triste.

- Mémé, ou est papa ?
- Maël…

Et sa mémé partit en sanglot. Un jour funeste allait arriver. Son papa mourut à l’hôpital dut à une crise cardiaque. Ils l’avaient réanimé à la maison mais une fois à l’hôpital, il en eu une deuxième fatale. Maël grandit sans père. Sa mère s’occupa avec beaucoup de mal, toute seule d’eux. Sa grande sœur Eléonore aida beaucoup dans la maison. Et sa petite sœur Mia ne souffrit pas de cette perte, et ne souvenant jamais de son père. Elle était trop jeune. Maël voulait tellement se sentir utile, qu’il aida dès qu’il le pouvait sa maman. Il la voyait souvent triste. Il avait si peur de sentir à nouveau impuissant que quand il voyait sa maman triste, il allait lui faire un câlin. Il est très lié avec sa famille.

Maël décida très tôt de devenir Médecin. Il travailla très dur dans ce sens. Entrée à l’école de médecine, il choisit de se spécialiser dans la chirurgie du cœur, dans la cardiologie. Aujourd’hui à 23 ans, il est en 4ième année de médecine à la faculté de Londres, là où il est né.

Poste Rp.

Dans la toile des rêves se tisse les ombres de ses hantises. Il avait peur. Il tremblait à l’idée de s’endormir et de rêver… Cauchemarder à la perte de son père. Il était si petit quand le drame eu lieu et pourtant dans ses rêves, il est grand, adulte … Responsable…Il aurait pu agir. Des murmures s’entrelaçaient autour lui comme un appel à l’aide… Maël n’écoutait pas. Il était figé face à son père allongé sur le sol du salon, le regard perdu… Il était mort. Trop tard encore, il n’a pu rien faire… Il criait. Il voulait que cela cesse, que ça hantise se taise. Chaque nuit depuis qu’il a compris, il combat la noirceur de son cauchemar. En vain, le résultat était le même…Lui devant son père mort.

Un rêve qu’il refusait de croire aussi tenace que ça. Cette nuit-là se fut le même scénario qui défilait devant lui. Tel un vieux film, il revoyait tout. Seulement, Maël voulait que cela change, qu’il puisse enfin connaitre le repos. Il avança vers son père sentant la vie s’échappait encore une fois. Il savait, il avait appris comment faire pour le sauver. Il voulait tant le sauver, tant l’aider pour ne plus voir sa mère pleurer… Les larmes de sa mère furent le fer rouge qui le marqua. La paralysie se fit ressentir. Ses mouvements se crispèrent, la peur l’envahit telle poison coulant dans ses veines, après qu’un serpent, le serpent de la peur l’ait mordu… Pourtant le serpent n’était-il pas le symbole de médecine et d’Aclépios ? Si !

- Papa… Murmura - t – il. Je …

Les gémissements de la fin se firent entendre comme des ongles s’enfonçant dans le parquet avec un bruit horrible en fond sonore. Maël devait agir. Les ombres prirent possession de son âme, de son être tournoyant autour de lui…

*Tu n’y arriveras pas. Tu es faible. Tu es un pleurnichard. Un à sa maman, incapable de réussir… Tu es la honte de ton père !*

Les larmes coulèrent sur ses joues. Il voyait sa mère et ses sœurs rire de lui, se moquer de lui. Il voulait fermer les yeux, effacer ça. Cependant, il ne voulait pas le perdre encore une fois, succomber encore une fois à la peur. Maël serra les poings aussi forts qu’il le pouvait. Il avança, se mit à genoux. Son corps tremblait toujours, vibrait toujours sous la peur. La sueur coulait le long de son visage. Il prit la main de son père.

- Je vais y arriver !

Il sentit son père lui serrait la main. Maël déboutonna cette chemise blanche puis lui releva un peu la tête, ouvrit la bouche… Avec commença le massage cardiaque… L’unique moyen de sauver quelqu’un d’un arrêt cardiaque. Il le fit avec conviction, car il doit… Il le doit !

Il réussit. Son père se leva, le sourire aux lèvres. Il prit dans ses bras son fils. Il le serra tendrement contre lui.

- Je suis fier de toi !

Maël ne savait plus quoi dire. Il était trop ému pour réagir. Son père s’écarta de lui. Il s’évapora en murmurant :

- Tu n’y es pour rien mon enfant....

Un bruit aigu envahissait la pièce telle une alarme… Dans la fumée, Maël se sentit étrange comme si un exploit avait été accompli… Il se sentait aussi reposer. Il ouvrit les yeux alors qu’il ne les avait pas fermés, et se retrouva dans sa chambre, avec un sourire aux lèvres. Il regarda le plafond.

- C’était une belle nuit… Susurra – t- il.

Il fixa le réveil. Il avait sonné. Il était six heures du matin. L’heure pour se lever et aller en cours.

Autres.

(La première partie de cette section concerne votre personnage, et pas vous IRL)
• Aime : Le chocolat. Très gourmand sur les gâteaux. La musique.
• N'aime pas : Echouer, la déchéance humaine, les épinards.
• Particularités, autres :/
• Niveau d'étude hors de Dreamland : 4ième année d’étude de médecine.


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