Cole
Megan

Personnage.

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• Nom : Cole • Prénom : Megan • Surnom(s) : The Masochist Girl • Âge : 24 ans • Nationalité, origine(s) : Français, originaire d'Angleterre • Pouvoir et description : Peur de la douleur, suite à différents événements marquant à ses quatorze ans, notre personnage a peur de se blesser, de se faire mal ainsi que souffrir. A présent qu’elle a vaincu sa peur, Megan est ce que l'on pourrait appeler une indolore : elle ne ressent plus la douleur ou presque pas. Son pouvoir consiste à contrôler sa douleur, elle peut donc diminuer la douleur qu’elle ressent ainsi que celle des personnes qu’elle touche ou encore de pouvoir amplifier la douleur des gens qu’elle touche. Si sa cible n’est pas blessée et n’a donc pas de douleur, Megan peut également transférer sa propre douleur au touché. Pour le moment, la seule chose qu’elle peut faire avec son pouvoir c’est réduire considérablement sa propre douleur, mais il n’y a encore aucun effet quand elle touche quelqu’un. Chose importante : Megan contrôle la douleur qu'elle ressent, mais ça ne fait pas d'elle quelqu’un d’invincible ou d’immortel, elle peut être blessée et tuée comme n’importe qui, juste qu’elle ne souffre pas de ses blessures ce qui peut aussi être un désavantage car Megan peut très bien se surmenée facilement et y laisser la vie. De plus elle sent la douleur si elle n'utilise pas son pouvoir, une attaque surprise lui fera donc mal.

Description Physique.

Un bruit résonnait dans une petite pièce sombre: les rideaux étaient tirés, empêchant la lumière de rentrer dans la pièce en question. Le seul éclairage dont semblait disposer l'endroit était celle de l'écran d'un ordinateur portable. Devant y était assise une fille qui martelait le clavier de ses doigts pour écrire diverses choses sur des sites connu comme fessebouc ou des forums de discussions sur des jeux-vidéos et de mangas. Le bruit qu'on entendait, c'était bien celui de ses longs doigts fins sur le clavier mais ceux-ci se stoppèrent alors. La jeune femme passa alors sa main dans ses cheveux: ils étaient longs, bouclés et ils s'entremêlaient entre eux, un véritable nid à nœuds. Noir de jais, ses cheveux contrastaient énormément avec son teint de peau blafard, une couleur de peau si pâle qu'on aurait pu la prendre pour une morte: nul doute possible qu'elle ne sortait pas souvent ou alors qu'elle évitait méticuleusement le soleil. Des traits de visage agréable, des sourcils fins et noir, des longs cils un peu maquillés et enfin: des lèvres bien rose et surtout pulpeuses. Un joli brin de fille dirons nous mais nous avons oublié un détail: ses yeux. Elle a des yeux simplement magique, des yeux presque envoutant et enivrant: ils sont bleus argentés ce qui ressort d'avantage dans ce mélange de noir et de blanc. Elle laissa ses cheveux tranquilles et décida de se lever pour vaquer à d'autres occupations. Une fois debout, son regard balaya la pièce: une chambre d'étudiant tout ce qu'il y a de plus modeste.

Megan poussa un soupire: c'était un bordel sans nom qui avait prit place dans cette chambre. Des sous vêtements qui trainaient un peu partout sans qu'on sache si c'était propre ou sale, surement un mélange des deux en fait. Vêtue d'un simple débardeur moulant noir qui lui remontait au dessus du nombril, il étai plus qu'évident de deviner les formes de la jeune femme. On pouvait voir les contours de ses hanches se dessiner sous sa peau, elle n'était pas grosse mais pas non plus maigre. De là à dire normale... Vous risqueriez de la vexer: elle déteste ce qui est banal. Donc nous dirons qu'elle a ce qu'il faut où il faut. Et après tout, il est vrai qu'elle dispose d'une poitrine à faire des jalouses mais ce n'était pas non plus trop volumineux et elle n'avait pas de problème de dos.

Elle enjamba la vague de vêtements posé sur une chaise: jeans, débardeurs et autres trucs en tout genre, sa longue jambe passa lentement par dessus la pile, elle était nue, dépourvue de vêtement. Oui, Megan se promenait en culotte noir et débardeur noir mais bon, elle était chez elle où était le mal? De jolies jambes élancées et parfaitement épilées. Elle se dirigea lentement vers son lit, escaladant si besoin des tas de fringues ou des paquets de gâteaux vident qui trainent. Enfin, elle se laissa mollement tombée sur le lit pour contempler le plafond: sa soudaine envie de faire le ménage venait de voler en éclat.

Caractère.

Étendue sur son lit, le regard porté vers le plafond, Megan semblait motivée à ne rien vouloir faire. Elle s'ennuyait et n'avait rien à faire, elle aurait put sortir pour s'occuper mais non: elle n'aimait pas sortir. Elle n'aimait pas spécialement la compagnie et surtout: elle n'avait pas spécialement d'amis. Pas vraiment sociable, pas très amicale avec les autres, Megan était du genre franche, direct et surtout froide. Le tact? Elle ne doit même pas connaitre la signification de ce mot. Finalement, elle roula sur le coté: lassée d'observer un plafond blanc unicolore. Elle prit son paquet de cigarettes, soigneusement déposé sur la table de nuit et en alluma une. Vous remarquerez peut-être que c'est l'une des rares choses à peu prêt rangée dans cette chambre enfin ce taudis, à vous de voir pour le terme à employer.

Elle se redressa alors pour jeter un regard à son ordinateur: aucun nouveau message. Elle poussa un soupire et partit alors en quête de son téléphone. Les fesses en l'air, la tête penchée vers le bas du lit, elle espérait le trouver en dessous. Pose ridicule n'est-ce pas? Tout ça par flemme de "se lever" mais quand on regarde bien c'est surement plus physique que simplement se lever. Enfin qui a un jour dit qu'une femme pouvait être logique? Personne? C'est bien ce que je pensais... Elle glissa alors, ses fesses descendirent d'un étage mais surtout: sa tête heurta sans ménagement le sol. Elle hurla de douleur et roula sur le sol, se tenant le visage entre ses mains. Prise de panique à l'idée d'être défigurée, de s'être ouverte le front ou encore cassée le nez voir pire encore: qu'elle attrape un bleu énorme. Elle se dépêcha de courir vers la salle de bain, se prit alors les pieds dans le linge et réussit tant bien que mal à se rattraper à la chaise de son bureau. le cœur battant à tout rompre, elle avança alors lentement pour se passer de l'eau sur le visage. Peur de la douleur? Oui, mais ça c'était avant -et non elle ne porte pas de lunettes- à présent, elle a un peu plus prise confiance e elle et s'ose à des idioties de ce genre mais elle le regrette rapidement quand elle se fait mal...

Accrochée à la chaise devant son PC, elle vit qu'elle avait une réponse dans une discussion instantanée. Elle se jeta sur le clavier pour insulter le mec avec qui elle parlait: c'était apparemment un site de rencontre et le mec en question -parfait inconnu- lui faisait des avances salaces auxquelles elle ne put s'empêcher de placer quelques insultes pour l'envoyer voir ailleurs. Elle détestait ce genre de mec: les gros lourds, les vieux chiens, enfin elle n'aimait pas spécialement les mecs vue qu'elle avait eut quelques mauvaises expériences -et non, elle n'aime pas les femmes, quoique... Allez savoir?- donc elle se mettait facilement en colère sur ce genre de sujet. Après s'être défoulée sur ce pauvre type, elle se rappela qu'elle voulait aller se passer le visage sous l'eau pour éviter d'avoir une bosse ou un bleu et d'être super laide. Remarque, vue qu'elle ne sort jamais ou très rarement, quel intérêt de vouloir être belle?

Histoire.

Londres, vingt-quatre ans auparavant. Megan voyait le jour dans une petite maternité. Ses parents venaient d'avoir leur premier enfant et c'était pour eux un grand moment de bonheur. Normal dans un couple ordinaire direz vous et c'était bien le cas. La petite grandit paisiblement en recevant l'amour de ses parents. On la bombarda avec un appareil photo: quand elle eut sa première dent, quand elle fit son premier pas, son premier anniversaire, ses premiers mots. Une enfance comme n'importe quelle autre -enfin dans un pays développé- et elle entra à l'école maternelle juste avant ses trois ans. Sa mère tomba de nouveau enceinte mais la relation de couple de ses parents se dégradaient de plus en plus: son père était militaire de carrière et passait très peu de temps à la maison. Finalement, sa mère décida de divorcer, ne supportant pas de ne jamais voir son mari ou pas suffisamment et surtout quand ils se voyaient soit ils ne quittaient pas la chambre, soit ils se disputaient...

Le divorce terminé, enceinte jusqu'aux yeux, elle décida de partir pour la France afin de vivre chez sa sœur qui y travaillait. Direction Belfort: proche de la Suisse, en Franche Comté. Elle emménagea chez sa frangine et accoucha donc en France. Megan quand à elle fut inscrite à l'école et reprit donc sa scolarité avec un peu de retard et surtout: la barrière de la langue. Mais bon à presque quatre ans, s'adapter et apprendre une nouvelle langue ce n'était pas ce qu'il y avait de trop compliqué. La petite eut un peu de mal au début à se faire des amis: difficile de communiquer il faut bien l'avouer, surtout qu'elle parlait anglais à la maison avec sa mère et sa tante. Il lui fallut bien six mois avant de commencer à parler un tant soit peu français et donc: se faire des amis. Elle aurait surement put apprendre plus vite, mais la petite ne montrait aucune envie à se socialiser avec les autres. D'une nature renfermée, elle ne cherchait pas plus que ça à s'intégrer... Son petit frère débarqua finalement à la maison: Corey, né en France, il fut donc de nationalité français alors que Megan était anglaise mais pourrait devenir français ou avoir la double nationalité une fois majeur, normalement -si j'me plante pas dans la loi mais j'avoue que j'y connais rien-

Megan adorait s'occuper ou du moins faire comme si elle s'occupait de son petit frère, elle l'aimait beaucoup et passait le plus de temps possible avec lui. Bon, elle appréciait surtout le faite qu'avec un bébé on peut faire des expériences tel que: voir s'il hurle ou non quand on lui jette un truc au visage ou si on lui verse de l'eau dessus. Ou encore le trimballer partout dans l’appartement en le trainant par la jambe. Sadique? Surement mais bon c'est une enfant, elle ne voyait pas vraiment sa mal et n'imaginait pas qu'elle puisse lui faire mal ou autre chose, pour elle ce n'était qu'un jeu innocent. Une fois en primaire et la découverte des subtilités de la langue de Molière, la petite se fit quelques amis, elle avait bien choisit les personnes afin de s'en sortir: s'entendre avec la grosse brute pouvait toujours servir ainsi qu'avec le petit intello. En revanche, trainer avec des filles ne lui disait mais absolument rien. Juste en regardant les gamines de son age, cela suffisait à l'énerver: jouer à la poupée, se coiffer... Elle trouvait ça d'un ennui olympique.

L'école primaire se fit sans trop de problème. Juste un problème mais rien à voir avec sa scolarité: sa mère c'était retrouvé un mec et franchement, elle aurait surement put trouver mieux... L'homme n'aimait pas spécialement les enfants et les disputaient souvent. Encore avec Corey ça allait mais avec Megan il était détestable surtout que la petite lui tenait facilement tête. Il ne fut donc pas rare qu'elle prenne une claque ou deux ainsi qu'un coup de pantoufle en plein visage quand elle refusait d'obéir à ce qu'il disait ou encore quand elle lui répondait. Ce qui était dérangeant, c'est qu'il s'arrangeait toujours pour le faire dans le dos de la mère et donc, celle-ci pensait que Megan se battait à l'école ou se faisait mal en jouant à la maison. La petite avait beau dire la vérité, sa mère ne l'écoutait pas car dés le départ Megan avait montré beaucoup d'hostilité à ce type car elle pensait encore à son père et ne supportait pas que sa place soit remplacé... Oui, elle nourrissait l'espoir qu'un jour son père les rejoigne.

Elle entra enfin au collège, là, la vie devint un peu plus intéressante pour elle: l'internat! Oui, elle s'était inscrite à l'internat alors qu'elle ne vivait pas bien loin du collège. Pourquoi? Simplement car sa mère ne supportait plus qu'elle mente et donc pour l'avoir moins sur le dos elle l'y avait inscrite. Mais Meg' avec son sale caractère n'était pas pour autant sortit d'affaire: elle se disputait souvent avec les autres à l'internat et il arriva plusieurs fois qu'elle se batte. Et pas forcément que avec des filles... Elle ne supportait plus vraiment de se battre, de se disputer, résultat elle s'isola un peu plus en prenant une chambre seule et en cours, elle se plaçait tout au fond de la salle. Dés qu'on lui disait un mot de travers, elle baissait les yeux, évitait de répondre même si les répliques cinglantes fusaient dans sa tête car elle avait trop peur de prendre encore une gifle ou un coup... Frappée à la maison par son beau-père, souvent embêté à l'école, rien ne l'aidait vraiment à s'épanouir comme une adolescente ordinaire. Les filles disons "ordinaires" étaient du genre à aimer se maquiller, faire du shopping pour trouver des vêtements tendances et trop beaux, écouter de la musique surtout quand le chanteur est trop beau! Megan trouvait tout ça d'un ridicule: vêtements noirs c'est classe, la musique c'est l'oreille qu'on utilise, les yeux on s'en moque et le maquillage quand on a douze ans ça sert surtout à ressembler à un pot de peinture. Mais, contrairement à avant elle gardait ses idées pour elle et n'en faisait pas part.

Le week end, elle s'enfermait dans sa chambre pour éviter de voir le mec à sa mère. Elle avait récupéré un vieil ordinateur et utilisait la connexion internet du voisin pour découvrir le monde sur la toile. C'est comme ça qu'elle fit la connaissance d'une amie: une fille qui avait peur de prendre le métro, le bus et qui refusait de monter dans une voiture. Elles s'étaient connu sur un jeu de rôles en ligne comme donjons et dragons, elles s'étaient très rapidement entendu. Megan avait donc apprit au fil des discussions de la peur des moyens de transport de son amie internaute, elle lui expliqua que elle, elle avait peur de souffrir, qu'elle avait pas mal de soucis dans sa vie et qu'il était fréquent qu'elle se fasse frapper encore une fois. Ce qu'elle ne disait pas, c'est qu'elle avait vraiment peur d'avoir mal, peur d'être frappée au visage et de se retrouver dévisagée ou encore qu'un coup un peu trop fort vienne à la paralyser... Chaque fois que son beau-père levait la main, sa hantise de la souffrance la submergeait au point qu'elle ne pouvait plus bouger et qu'elle se roulait en boule. Meg' racontait tous ses malheurs à son amie d'internet alors qu'elle ignorait jusqu'au prénom de celle-ci mais elle s'en moquait, elle l'aimait bien: elles avaient un caractère dans le même genre, un mauvais caractère pour résumer.

Niveau scolarité tout se passait bien, elle s'en sortait bien et elle avait de bonnes notes. Les profs l'appréciaient sans plus: elle était au fond, calme et silencieuse, donc même si elle avait de bonnes notes, elle ne participait jamais au cours. Mais arrivée à sa quatrième, à cause des embrouilles avec son beau-père, elle décida de se rebeller, mais n'osant plus répondre, elle se contenta de ne plus rien faire en cours, à ne plus travailler... Elle préférait se promener en ville que d'aller en cours malgré les avertissements qu'elle reçu à cause de ses sorties. Résultat, elle loupa son année et du redoubler pour améliorer ses notes. Sa mère lui hurla dessus durant des heures pour tenter de lui faire la moral... En vain. Par contre, ce qui l'aida à se motiver à bosser en cours, c'était son beau-père, vue qu'en récompense à son redoublement, il la traita d'incapable, d'idiote et la passa à tabac bien plus souvent elle se mit en tête de faire de grandes études. Pourquoi faire des grandes études? Pour qu'il paye les frais pour les écoles, pour qu'elle soit le moins souvent possible à la maison et surtout: qu'elle trouve un travail intéressant et bien payé pour ne jamais avoir à revenir à la maison.

Elle termina donc le collège avec le brevet en poche et s'orienta pour une seconde général en scientifique. Cette fois-ci au lycée et toujours en internat, elle se méfiait encore plus des autres qu'avant. Elle évitait tout regard dans les yeux avec les autres, elle faisait bien attention quand elle se déplaçait de ne jamais heurter qui que ce soit pour ne pas se faire mal... Pourquoi avoir tant peur que ça de la douleur? Son beau-père l'avait envoyé plusieurs fois aux urgences, il lui avait déjà brisé des cotes, ouvert l'arcade, ouvert la lèvre... Bizarrement, on avait toujours cru qu'elle remuait trop et qu'elle se faisait mal en jouant, personne ne s'imaginait que l'homme osait véritablement la frapper. Elle discutait toujours autant sur internet avec son amie, apparemment celle-ci était de Paris ce qui ne l'aidait pas vue sa peur des véhicule en tout genre. Meg' essayait tant bien que mal de la rassurer, mais c'était peine perdu, après tout elle aussi n'arrivait pas à ne pas craindre d'avoir mal ou de se faire frapper.

Le lycée se passait relativement bien, toujours à l'internat, toujours de bonnes notes et ça sans trop forcer. Inutile de préciser qu'en anglais elle était la meilleur de sa classe vue qu'elle était bilingue. Mais tout ça finit par mal tourner: un week end, alors qu'elle était à la maison, son beau père leva la main sur son petit frère. Megan perdu alors le contrôle, elle refusait qu'il ose le frapper. Elle voulait qu'il souffre, elle voulait qu'il ressente tout ce qu'il lui avait fait endurer. Elle lui sauta dans le dos, serrant sa gorge entre ses mains. Mais le beau-père la fit valser contre un mur, elle s'écroula au sol et il la roua de coup de pieds... Un autre séjour à l'hôpital disant qu'elle était tombée dans les escaliers lui fit comprendre qu'elle ne devait pu remettre les pieds chez sa mère. Après tout, sa mère avait vue toute la scène et n'avait tenu rigueur que à Megan, elle n'en voulait pas à son homme... Tout ça car elle ne travaillait pas et vivait entretenu par ce sale type. Elle emménagea donc au Crouss, des chambres pour étudiants et demanda une bourse pour ne plus avoir à rentrer. Un peu plus de seize ans et déjà "indépendante" à cause d'un enfoiré qui avait ruiné sa vie... Elle termina le lycée,obtenu le bac avec mention sans oublier l'option: glande.

Elle enchaina sur un BTS en infographie et audiovisuel, le tout en apprentissage afin de gagner de l'argent et subvenir correctement à ses besoins. Elle quitta donc le Crouss pour se trouver un petit studio miteux mais dont le loyer était dans ses moyens. Alternant école et travail, elle se découvrit une véritable passion pour l'infographie et la vidéo. Deux ans plus tard, elle obtenait son diplôme et décida de chercher un emplois. Mais rien ne fut si facile... Pas d'entreprise adapté à son travail, pas d'offre d'emplois intéressante. Sans compter qu'elle avait du mal à accepter n'importe quel travail vue qu'elle avait toujours peur d'être frappée ou de se blesser. Résultat, elle fut prise par sa tante comme serveuse dans un Pub du centre-ville. Un Pub avec un ambiance très rock'n'roll, l'endroit préféré des jeunes fans de musique comme le hard rock et avec son look de gothique, elle s'adapta très facilement à cet environnement. Elle ne travaillait que le soir et jusqu'à tard dans la nuit, mais elle aimait bien ce boulot et ça payait bien sans compter que la patronne était sa tante et qu'elle s'entendait super bien avec. En revanche, elle ne quittait jamais le comptoir et restait toujours un peu en retrait, évitant tout contact avec les clients par peur d'un geste violent... Et ainsi, nous arrivons à ses vingt-quatre ans, elle travaille toujours au Pub, se couche tard souvent et gagne modestement sa vie. Elle a souvent du mal à dormir car elle fait des rêves étranges voir cauchemardesques. Mais depuis peu, il semble avoir changé, comme si elle était devenue moins peureuse. Quel peut être la raison de ce changement? Dreamland...

Poste Rp.

Le silence le plus total... Un long couloir étroit se dressait devant elle. Ses doigts glissèrent lentement sur le mur en pierre alors qu'elle avança d'un pas serein. Désireuse de voir ce qu'il pouvait bien y avoir au bout du tunnel, elle ne s'imaginait pas ce qui l'attendait. Mais bon, ce n'était qu'un rêve après tout non? Megan avança donc, faisant attention à ne pas se prendre les pieds dans les coins des pavés au sol: inutile de chuter et de se faire mal pensa-t-elle... Le couloir était sombre, mais on voyait un peu devant soit, on pouvait donc avancer, prendre son temps pour que nos yeux s'habitue à la pénombre. Elle avait comme une impression de déjà vue pourtant, comme si elle était déjà venue ici... Serait-ce le cas? Elle ne s'en souvenait pas.

Après plusieurs minutes, elle arriva finalement au bout du couloir. Celui-ci débouchait sur une pièce bien éclairé: un salon d'un appartement médiocre, un sapin de noël sur le coté, les fenêtres et les volets fermés, surement faisait-il nuit dehors. Cette impression de déjà vue s'était intensifié: normal, elle connaissait cet endroit, c'était l'appartement de sa mère quand elle était jeune. Megan sentait déjà sa pulsation cardiaque accélérer: elle se souvenait du lieux mais aussi du moment. Elle regarda alors autour d'elle, prise de panique. Et là, elle le vit: sur le sol, un cadeau de noël dont le papier avait été déchiré pour qu'on puisse voir le contenu. Elle tomba à genoux, les larmes coulaient déjà de ses yeux. Elle savait qui avait ouvert le cadeau, elle savait déjà ce qui allait se passer et rien que de penser à ça, elle angoissait et était totalement pétrifiée de peur.

Une porte claqua alors derrière elle. La jolie brune sursauta et tourna la tête rapidement. Le regard paniqué, elle fixait la porte et ses larmes dévalant ses joues amplifièrent. Elle avala difficilement sa salive tout en fixant l'homme qui venait de refermer lourdement la porte.

"Je... Je suis désolé! Je sais que... Que je n'aurais pas du! Pardon!
-Tais toi! Sale gamine!"

L'homme avança alors sur Megan, il lui colla un gifle qui la coucha au sol. Presque assommée sur le coup, Megan tenta tant bien que mal de bouger mais sa joue était si douloureuse... Peut-être lui avait-il brisé la mâchoire? Ou alors des dents? La douleur la paralysait ainsi que l'idée d'avoir encore quelque chose de cassé. Mais l'homme n'en resta pas là, il lui donna un puissant coup de pied dans le ventre, la faisant glisser sur le sol alors qu'il vociférait des insultes.

"Sale petite garce! Ta mère s'est donnée du mal à les emballer ce n'est pas pour que tu les ouvres en cachette tel une petite voleuse!"

Il se pencha pour l'attraper par les cheveux pour la redresser. Megan pleurait et cachait comme elle le pouvait son visage derrière ses mains tout en implorant pitié, espérant qu'il se calme et qu'il ne la frappe pas encore. Elle se souvenait que trop bien de ce moment; elle avait huit ans tout au plus et le soir de Noël, elle s'était relevée en douce pour aller voir ses cadeaux. Elle espérait tellement avoir ce qu'elle désirait qu'elle ne pensait pas qu'on lui en tiendrait rigueur... C'était sans compter le nouveau mec de son père... Lui! Ce salopard qui fit de sa vie un enfer, qui à cause de lui elle dut quitter la maison à seize ans pour ne plus se faire frapper ou insulter à la moindre chose qu'elle faisait ou osait dire. Et donc, ce soir qu'elle revoyait en rêve, c'était la première fois que ce fumier avait levé la main sur elle. Tout ça car elle avait ouvert ses cadeaux en avance. Elle espérait pouvoir changer le passé, pouvoir dire qu'elle s'excuse et le voir sourire, comprendre qu'une enfant puisse agir ainsi juste par curiosité et donc: trouvé ça mignon ou amusant, mais pas de vouloir lui mettre une correction pour lui apprendre la vie.

Avait-elle mal agit? Aurait-elle du rester au lit et attendre gentiment le lendemain? Surement, mais méritait-elle un tel traitement? Je ne pense pas. Il la tenait par les cheveux, elle fixait sa main libre et le voyait serrer les doigts, espérant, implorant qu'il ne le fasse pas, qu'il arrête son geste avant. Elle ne voulait pas qu'il la frappe, elle ne voulait pas avoir mal et encore moins finir à l'hôpital pour le jour de Noël! Mais elle ne put voir que le poing fondre sur son visage alors qu'elle était impuissante. L'uppercut lui explosa l'arcade et son nez fit un craquement atroce. Elle s'écroula de nouveau au sol, sentant également une vive douleur à l'arrière du crâne: il lui avait arraché une touffe de cheveux dans la foulée.

Megan hurlait de douleur, elle avait du sang dans le nez ce qui rendait sa respiration difficile. Puis le sang descendu lentement dans sa gorge: le gout du fer, le gout du sang lui donnant envie de vomir. Sa vision était devenu trouble, elle avait trop mal pour penser, trop mal pour se protéger et même se soucier de ce que son beau-père faisait. Elle s'imaginait déjà défigurée, obligée de se cacher derrière un masque. Mais surtout, ce qu'elle désirait c'était que la douleur cesse, elle ne supportait plus le fait d'avoir mal comme ça.

"Combien de fois devrai-je te le dire? Ici, tu es chez moi petite bâtarde! Ici, c'est moi qui décide et qui commande! Ce n'est quand même pas compliqué de fermer ta sale petite gueule et d'obéir non? Ou dois-je te briser toutes les cotes et t'arracher la langue pour que sa rentre enfin dans ta petite tête?"

Un autre coup de pied dans le ventre, celui-ci la décolla un instant du sol avant que ne retombe mollement. Le souffle coupé, Megan n'arrivait plus à respirer, sans compter que la douleur devenait ingérable pour réussir à réfléchir et à bouger. Elle se contentait donc d'implorer sa pitié, de lui demander d'arrêter et de dire qu'elle s'excusait.

"Pardon? Pitié? J'en ai rien à foutre!"

Il lui donna un autre coup de pied. Cette fois, il laissa le pied sur elle, lui écrasant le bras de tout son poids alors que la brune hurlait de douleur. Elle parvint cependant à ouvrir les yeux et c'est ainsi qu'elle put voir sa mère: derrière ce salopard en train d'observer la scène sans dire un mot, juste les yeux brillants, elle se forçait à ne pas pleurer, à rester là telle une spectatrice. Est-ce que ça c'était toujours passé ainsi? Sa mère avait-elle toujours tout vue, tout sue et n'avait rien dit? Ayant trop peur de perdre l'homme qui la faisait vivre? Megan en voulait à sa mère: si celle-ci avait trouvé un boulot, jamais elle n'aurait eut besoin de garder un homme comme lui! Mais elle se suffisait à vivre au crochet de quelqu'un d'autre ce qui dégoutait Meg', elle espérait tellement que sa mère change sa façon de vivre...

Megan regardait donc sa mère avec dégout, celle-ci ne bronchait pas en voyant sa fille se faire cogner. Son beau-père la souleva alors du sol, la relevant en la tenant par la gorge. Il lui colla une gifle, puis une autre. Il la poussa contre le mur, sa tête heurta avec force et elle faillit perdre connaissance. Une seule chose occupait l'esprit de la jeune femme: l'envie de se venger de ce mec et faire également payer sa mère mais elle n'osait pas broncher, elle attendait juste que l'orage passe et qu'on la laisse tranquille. L'homme la laissa retomber sur le sol sans ménagement. Megan jeta un regard autour d'elle, réalisant pour la première fois que le décor était étrange: avant elle avait eut trop peur pour y prêter attention, mais là qu'elle était maltraité, qu'elle voyait flou, qu'elle ne réfléchissait plus vraiment, elle semblait moins prêter attention à son agresseur. Système d'auto-défense dirons nous: elle essai de penser à autre chose pour moins sentir ladouleur pour oublier sa peur, même si ça ne marche pas vraiment. Donc, le décor: la pièce était différente, il y avait des trucs qui n'auraient pas du être là tel qu'une lampe à huile fixée au mur. Le volet n'était pas fermé en faite, mais derrière la fenêtre il y avait un mur en pierre comme le couloir par lequel elle était arrivée ici.

Cette pièce n'était pas celle de son enfance, c'était autre chose, mais quoi? Un autre coup dans le ventre la fit sortir de ses questions. Quoiqu'elle fasse, il ne semblait pas décidé à s'arrêter. Il lança la jambe encore une fois pour la frapper, mais cette fois, elle n'en pouvait plus. Au moment de l'impact, elle lui attrapa la jambe pour la maintenir et surtout: tenter de faire tomber ce salopard. Son regard croisa celui du beau-père, elle le détestait, elle ne supportait plus qu'il la frappe, elle se souvenait qu'il avait même osé lever la main sur son petit frère.

"Désolé... Mais j'ai plus dix ans maintenant..."

L'homme faillit tomber, il se rattrapa grâce au mur et il utilisa son autre jambe pour marteler Megan sur le sol. Elle hurlait de douleur et finit par abandonner pour se mettre en boule et se protéger, la douleur l'avait submergé et elle n'osait plus rien faire. Avoir osé se rebeller semblait avoir amplifier la colère du beau-père. Recroquevillée sur elle même, refusant de bouger et même d'ouvrir les yeux, elle entendu alors sa mère lui parler, une voix pas naturelle, une voix qui ressemblait à celle de sa mère sans vraiment être la sienne. Celle-ci lui disait que si elle avait divorcé, c'était uniquement de la faute à Megan, qu'elle avait donc ce qu'elle méritait: la douleur, la souffrance et la solitude.

Megan ouvrit les yeux, écarta un peu ses mains devant son visage pour fixer sa mère. Celle-ci était étrange, de loin, elle ressemblait à sa mère, mais à présent qu'elle s'était rapprochée ce n'était qu'un ressemblant de sa mère. Megan se posait des questions: tout ceci était bien un rêve, enfin un cauchemar qui relatait son enfance, il était donc normal que tout ne soit pas relatif à la réalité mais... Pourquoi la douleur était-elle si réelle? Pourquoi souffrait-elle autant? L'imagination de son subconscient était-il suffisamment fort pour qu'elle ressente tant que ça la douleur? La lanterne, le mur derrière la fenêtre, était-ce une interprétation voulant dire que quand elle vivait chez sa mère, c'était identique à une prison?

Le beau-père se pencha alors sur elle pour l'insulter, la traiter de tous les noms possible. Il lui disait qu'elle ne servait à rien, qu'elle ne ferait rien de sa vie, que ce n'était qu'une sale gamine inutile. Megan n'en pouvait plus, elle le saisit alors par la gorge, lui hurlant de la fermer, lui disant qu'elle ne voulait plus jamais le voir, plus jamais l'entendre. L'homme parut surprit et ne bougea plus, il semblait tétanisé de peur en voyant la jeune femme se rebeller pour de bon. Megan ne le lâchait pas, elle força du mieux qu'elle pouvait pour l'étrangler, pour qu'il s'étouffe. Elle se releva tant bien que mal et s'adossa contre le mur. Le visage en sang, le corps endolorit, elle avait mal partout, elle avait la tête qui tournait. Elle fixait son beau-père et le dévisageait. Elle prit une longue inspiration et chercha à reprendre son calme. Sa mère avança alors vers elle, son corps changeait: ses cheveux noir étaient devenu plus long, des traits noirs tel de la peinture apparaissait sous ses yeux, son corps devenait celui d'un homme. C'était quoi ce truc? Megan tourna les yeux pour fixer seulement le beau-père pour le moment, elle ne voulait pas s'en prendre à sa mère. Bizarrement, les douleurs de Megan étaient moins atroces, elle avait moins mal, comme si ses souffrances c'étaient amoindrit car c'était ce qu'elle voulait. Une chose résonna alors dans sa tête et elle afficha un large sourire amusée.

"J'y pense... Si c'est un rêve. Tout ceci est dans ma tête non?
Alors... Je veux que tu souffres. Que tu souffres comme tu m'as fais souffrir!
Je veux que tu ressente la douleur de chaque coups que tu m'as donné!"

Elle se sentit alors fléchir sous son propre poids, ses jambes se mirent à trembler, son cœur s'accéléra et elle se sentait d'un coup épuisée: à bout de force. Mais elle réalisa qu'elle n'avait plus mal nul part: malgré sa lèvre tuméfiée, ses bleus au ventre, son nez cassé et son arcade ouverte, elle n'avait pas mal, elle ne ressentait vraiment plus aucune douleur. En revanche, son beau-père en plus d'étouffer semblait souffrir, il tentait de hurler de douleur. Surprise, elle lâcha prise et l'homme s'écroula sur le sol, il se roula en boule pour se tenir le visage et le ventre. Ressentait-il vraiment la douleur qu'elle avait ressentit? Tout était devenu moins flou depuis qu'elle ne souffrait plus. Elle fixa alors sa mère: ce n'était pas elle, mais un homme étrange très ténébreux et ressemblant un peu à un démon. Une créature étrange, il faut l'avouer. Megan avança vers ce type en se posant des questions.

"Et... Puis-je savoir qui tu es?
-Il semblerait que tu es devenu une voyageuse, ma force à cesser de s'accroitre depuis quelques minutes.
-De quoi?"

Megan ne comprenait plus rien.. L'étrange créature en face d'elle aux longues oreilles semblait s'amuser de la situation. Son beau-père était étendu au sol et son corps changea de forme, il se changea en une petite créature pourvue d'elle de chauve-souris. La créature apparemment humaine ou avec des traits humains, hurlait de douleur et se lamentait sans bouger. L'autre, en face de Megan, avança vers elle, il posa sa main sur la jeune femme qui fut alors transcender par la douleur: ses plaies s'ouvrirent d'avantage, son sang gicla de son corps et Meg' s'écroula au sol à cause de la douleur et de ses blessures.

"Ici, tu es dans le royaume obscur. Je suis un duc et je contrôle la douleur, les blessures ainsi que la solitude. Je comptais me nourrir de ta peur pour amplifier ma force, mais... Il semblerait que tu puisse à présent avoir une autre utilité. Meilleure normalement, mais rien n'est moins sur."

Megan ne comprenait pas tout, elle n'avait entendu et comprit que un mot sur deux à cause de la douleur. Royaume obscure: contrôler la douleur et la solitude? C'était quoi ce délire?? Elle tenta de se relever mais en vain. Elle se contenta d'imaginer que ça douleur n'existait pas, que tout ceci n'était qu'un rêve et comme par magie, elle avait moins mal, enfin un peu moins mal, suffisamment pour obtenir la force d'être lucide et pouvoir se redresser.

"Royaume obscur? Duc? On est où...? Et l'autre truc qui se plaint, c'est qui ou quoi?
-Lui? C'est juste un de mes larbins, une créature de Dreamland, de ce monde. Je l'utilisais pour amplifier ta peur mais tu as réussis à la vaincre. Je t'avoue être impressionné.
-Dreamland?
-Oui, Dreamland. Ce monde. Tu croyais que tes rêves n'étaient que le fruit de ton imagination? Et bien non, c'est un monde à part entière. Enfin... Tu comprendras la prochaine nuit."

Le duc appliqua une nouvelle fois sa main sur Megan, mais cette fois-ci elle ne ressentit aucune douleur. La créature venait de dissiper sa douleur comme par enchantement. Mais il n'en resta pas là: quand il retira sa main, la jeune femme avait sur son bras, là où il avait posé sa main, un tatouage. Une sorte de marque étrange.

"C'est quoi ça?
-Le sceau de la solitude. Chaque nuit, tu te retrouveras ici, dans ce royaume, dans mon temple. Je vais faire de toi MA voyageuse. Même si tu refuses, tu n'as pas vraiment le choix. Ne t'en fais pas, je ne te ferai aucun mal... Avoir un voyageur sous ses ordres peut m'être très utile et si tu es sage, je te laisserai déambuler dans Dreamland pour répandre la douleur et la solitude en mon nom..."

Megan restait silencieuse, tout ceci lui paraissait bien trop irréaliste et étrange pour qu'elle puisse véritablement y croire. Comme si cette créature, ce "duc" pouvait vraiment diriger ses rêves? Elle n'y croyait pas vraiment et préféra ne rien dire: il lui avait montré qu'il pouvait la faire souffrir d'un seul contact alors inutile de le défier...

Elle disparut alors dans un nuage de fumée. Ouvrant grand les yeux de nouveau: Megan était étendue dans son lit, elle venait de se réveiller. Elle se leva doucement: ne portant que des sous-vêtements, elle se dirigea vers sa petite cuisine -elle vit dans un studio, je vous le rappel- Meg' alluma la cafetière pour se faire couler un jus et elle s'alluma une cigarette tout en s’asseyant sur le rebord de sa gazinière. Soufflant la fumée par le nez, le regard perdu dans le vague.

"Dreamland... C'était quoi ce rêve chelou??"

Autres.

• Aime : la musique, le rock, l'électro, le blackmetal, la viande saignante, les vêtements gothiques, Dreamland, son petit frère.
• N'aime pas : Son ex-beau-père, le rap, les gens qui la traitent de suicidaire ou d'émo à cause de son look, Dreamland.
• Particularités, autres : ///
• Niveau d'étude hors de Dreamland : Bac +2


• Comment avez-vous découvert le forum ? Par un ami il y a longtemps
• Première impression : J'adore Dreamland donc je devrai m'y plaire. J'étais déjà venu mais suite à plusieurs soucis et un manque de temps j'ai pas pu rp, donc cette fois-ci j'aimerai vraiment m'y mettre!
• Pour les DC (double compte) ou TC (triple compte), qui a donné son accord ? ///
• Autre chose à dire? Megan Cole sort les poubelles en mâchant du chewing-gum à la fraise

Merci bien pour l'accueil, je relis tranquillement le règlement pour voir les nouveautés et si un souci j'enverrai donc un MP ^^

Pour mon ancien personnage, ce n'est pas vraiment important, j'ai préféré refaire un compte pour "repartir à zéro", j'avais joué (pas beaucoup) un invocateur de cadavres. Si tu veux, je te MP pour parler de ce compte pour par exemple le supprimer (enfin je fais pas un double compte sans le demander, je trouve juste mieux de refaire un compte pour recommencer).

On est d'accord ^^

Pour le compte, c'est pas obligé de le supprimer: personnellement je m'en fiche je compte pas m'en servir mais si vous y tenez il ni a aucun souci.

Double poste... Désolé °°


J'ai terminé ma présentation! Je vous souhaite une bonne lecture! ^^

Merci pour l'accueil et la validation :]

Puis-je faire ma fiche technique en attendant ma couleur (afin de m'occuper un peu et gagner du temps)?