Tarass
Noa

Personnage.

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• Nom : Tarass, par son père qu'il n'a jamais connu. Ce nom ne represente rien pour lui si ce n'est un état civil. • Prénom : Noa; sa mère le nomma ainsi pour ne pas oublier que c'est son enfant qui l'a sauvé d'un mari violent et alcoolique, c'est ainsi que l'arche de Noé se transforma en arche de Noa. / Ikar; Second prénom de cet enfant, qui serait résolument tourné vers les cieux et inspiré du prénom basque 'Iker'. • Surnom(s) : (Dream Maker.) ; Zenith. • Âge : 17 ans et des poussières. • Nationalité, origine(s) : Nationalité française; Originaire du Pays Basque. • Pouvoir et description : Sismophobie (Peur de la terre et des phénomènes terrestres) // Cette phobie vaincue par Noa lui permet de contrôler la terre et les phonèmes qui y sont liés (comme les tremblements de terre). Avec un peu de dextérité et d'experience, le voyageur pourra également contrôler la poussière et des rochers de grande taille.

Description Physique.

J’avais toute la nuit devant moi. Elle était là et s’étendait de toute sa largeur. La voûte qui s’élevait au dessus des têtes de milliers d’humais endormis semblait avoir été colorée d’un coup de pinceau maladroit. On s’était amusé à placer de petits rayons de lune éclairant difficilement les alentours.
La nuit était mate. La nuit était dure. Elle l’est toujours, pour le rêveur éveillé qui songe à la besogne qu’il doit accomplir. Autours de moi, un mécanisme me rappelait constamment le temps qui passait, un inlassable tic-tac et d’interminables cliquetis tournoyants et s’entrechoquant : Chaque seconde semblait s’amplifier, s’allonger et résonner sur les parois de bois de l’horloge.

Glisser et s’évanouir. On aspire tous à se laisser aller. Cette chute est d’autant plus bénéfique, que l’on ne pense plus à rien, et le corps devient alors un drôle d’automate.
Depuis toujours, son corps était devenu une machinerie parfaite, huilée et toujours prête à servir. Charpente flexible, à l’aube d’un âge étincelant, qui s’élève à plus d’un mètre quatre vingt cinq du sol. Plus que l’apologie de la beauté corporelle, c’est une logique utilitaire qui a remplacé les critères esthétiques : Chaque muscle trouve sa place dans le monde qu’est devenu son corps.
Un bond, une cloche qui culmine près de la lune, depuis les toits d’ardoises. Contraction et relâchement, pour une trajectoire déviée, atrophiée. Une main attrape une mince prise, à peine de quoi y placer un doigt ; Il suffit d’écouter la pierre et de laisser son corps se fondre dans sa matière. Cela suffit. La main droite freine la chute tandis que la gauche cherche la prochaine prise. L’atmosphère souffle et se craquèle et fait trembler le capuchon immaculé qu’il porte. Sous les fibres volètent quelques mèches noires, courtes. Au fond du mystère brille deux perles d’anthracite au bleu d’opale, d’un teint mat.
Glisser et s’évanouir. Le vent pousse le sourire heureux, une passe réussie fait luire des dents blanches dans la nuit. Le Parkour à toujours été une manière de vivre, plus qu'un simple sport.

L’immensité de la ville m’aspirait totalement. Je me sentais pris dans un siphon tourbillonnant, qui avait de l’abîme la profondeur. A marcher dans la foule, à travers elle et dans la moindre de ses fibres, on disparait. On se fond et se confond avec le marchand, l’escamoteur, l’enfant ; Côtoyer ce flot d’hommes, c’était infléchir le hasard et devenir celui que l’on enviait. L’histoire ne comptait plus lorsque je me glissais parmi ce groupe d’amis, n’existait plus que leurs discussions et leurs plaisanteries, la bonne humeur, la joie de vivre.

C’est un visage presque anonyme sous un bonnet ou autre couvre chef. Menton qui s’efface sous des mâchoires arrondies et un bouc. Pommettes alignée et quasi-invisibles, donnant un aspect de méplat à son visage. Un front assez haut pour un ovale bien fait. Son profil fait pourtant dans l’altier et son regard peu devenir terrible. Ses pupilles là connaissent la tolérance, la tempérance comme la rage et le désespoir.
À ses oreilles brillent quatre boucles d’or, qu’il porte fièrement comme un symbole. Celle de la liberté ou bien d’un renouveau ? C’est ce que semble indiquer la rangée droite de bagues à ses phalanges. Des symboles racontant des histoires, une chute puis le courage qu’il faut pour se relever et avancer. À sa gauche s'entrechoquent des anneaux d’argent vierges. Sous ces bijoux se cachent des tatouages, réminiscences d’une ancienne vie : Love and Death ; Oubliés ses souffrances passés, il les a enterré sous le métal scintillant.
Noa à un style bien a lui, ce petit truc unique qui pourtant s’efface devant la tranquillité de son expression : Tantôt un baggy tantôt un pantalon ‘cigarette’, il n’accorde d’importance qu’à ce que lui souffle ses envies. Débardeurs unies, t-shirt aux motifs édulcorés ou bien plus sombres se succèdent sous un manteau court en cuir. Le col remonté il enfourche sa Harley les jours de lune et d’étoiles miroitantes de rêves et s’évanouit dans la nuit. Il n’a pas froid car ses mitaines protègent ses doigts, il n’a pas peur parce que l’inconnu l’appelle. Sous ses Doc Martens l’embrayage glisse et s’enclenche. Noa pousse sa moto dans ses derniers retranchements.

Un sourire fend son visage, il est heureux.

Caractère.

« Quand je suis allé à l'école, ils m'ont demandé ce que je voulais être quand je serai grand. J'ai écris "heureux". Ils m'ont dit que je n'avais pas compris la question, j'ai répondu qu'ils n'avaient pas compris la vie. »

John Lenon.

Enfant du ciel, profondément ancré par la terre, le comportement de Noa est forgé de ce paradoxe. La réalité lui a été durement rappelée, à ces âges ou l’on accepte que le rêve. Acceptant la domination de la Mère-Terre, il baissa la tête et trembla... Il n'y avait pas plus effrayant que cette masse informe sous ses pieds. Le ciel est pour lui une joie immense, un symbole de liberté et de l’immensité du monde. Ce lieu que l’on pourrait presque toucher, mais dont l’on est tellement éloigné. Il concilie toute les valeurs que défend ce voyageur : Générosité ; Le soleil qu'il accueille et ses rayons qui réchauffe la terre. Liberté ; le ciel n’est entravé d’aucune loi d’aucune sorte. Grandeur ; car rien ne se trouve ni ne se tiens au dessus de son immensité bleutée.
Bienveillant, qu’il soit noir où qu’il soit gris, rien n’entrave sa marche ni les bienfaits qu’il fait pleuvoir ou mouvoir au dessus des hommes. Et si un seul but pouvait se détacher de la masse complexe d’idéaux et d’envies d’Icar, c’est bien celle de devenir son propre zénith.
Cet être libre ne supporte aucune domination ni prison, pas même celle des Cieux. C’est un loup solitaire, qui ne complait que peu la présence des hommes car il préfère la nature à ces êtres inconstants et volatiles. Bien qu’il aime leur caractère et la vie qui rayonne de leur substance, il ne tolère pas leur excès. Leur suffisance. Ce mépris de la Nature qu’il respecte et qu’il chérit bien plus que la chaire. Profondément marqué par l’histoire de sa mère –n’en est-il pas la cas de nous tous ? Il ne pardonne pas les violences inutiles. La faiblesse, comme une jeune pousse, ne lui inspire que la bienveillance. Il se plait donc à protéger ceux qui ne peuvent le faire seul, et à châtier ceux qui en tire profit. La nature pardonne et protège malgré tout le mal qu’on lui fait, cependant Noa n’est pas de cette nature là. Il châtiera sans hésiter ceux qui se dresseront face à son idéal. L’harmonie ne tolère pas qu’on brise nos semblables, dirait-il, et l’harmonie est devenu dogme à mesure de temps pour le voyageur.

Et comme un orage d’une violence inouïe, sa volonté tonnera sur le mal, et s’abattra son courroux sur ceux qui le servent.

Si tu veux la paix, prépare la guerre. C'est une guerre contre la tyrannie et l'opression, une vendetta contre la violence et la barbarie que mène Ikar. Même si la compassion et l'amour sont toujours présent dans le coeur de l'homme libre, il sait que la moindre erreur pourrait lui couter, et bien plus encore à ceux qu'il souhaite proteger : Lorsqu'il rêve c'est un gardien prêt à tout ; Lorsqu'il se réveille c'est un étudiant comme les autres ... Cette dualité à fait naître en lui un paradoxe dérangeant. Entre noir et blanc, entre harmonie et cahos. Entre guerre et paix, violence et pardon. Il se trouve sur cette ligne médiane qui ouvre toutes les portes tout en vous empêchant de faire un pas.

Histoire.

"Dans mes rêves, je tombais. Et j'ai finis par croire que c'était ça la vie, une longue chute."

Poste Rp.

(Ce post nous montrera votre niveau RP, il portera sur le moment où vous avez vaincu votre peur ou, si vous avez vraiment aucune idée, sur un passage de votre vie, mais il a intérêt à être intéressant ...)

Autres.

• Aime : La musique ; Le graphisme ; Lire et écrire ; Les arts ; Sortir ; vivre ? ha ha.
• N'aime pas : Toutes sortes de gens ; Perdre son temps ; le latin (beuah).
• Particularités, autres : Faites pas gaffe, j'suis du genre ironqiue et plein de mauvaises intentions mais c'est pas personnel ha ha ha.
• Niveau d'étude hors de Dreamland : L1 Lettres modernes.
• Comment avez-vous découvert le forum ? Par Google ^^.
• Première impression : J'le trouve cool.
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