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Hope is Dead : Jacob Hume VS John McDoug

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MessageSujet: Hope is Dead : Jacob Hume VS John McDoug Hope is Dead : Jacob Hume VS John McDoug EmptyMer 26 Jan 2011 - 16:00
John McDoug sentit ses lèvres se tordre en sourire, Aion avait parfaitement joué son coup, et lui avait laisser une cible parfaite. Son travail au sein des Sword of Misery était simple, il tuait des cibles, on lui donnait de l’EV, il voulait de l’EV car il sentait que c’était la seule monnaie dans ce coin gigantesque qu’est Dreamland, et celui qui en avait le plus était le plus puissant. Le boucher regarda autour de lui, et se réjouit à l’idée de combattre au Village des Hunters, voila longtemps qu’il n’était pas venu, la dernière fois s’était finie par un super banquet en son honneur pour avoir tuer et découper un monstre qui sévissait dans le coin. Plusieurs personnes passèrent et lui firent un grand signe de la main auquel John répondit avec un sourire hypocrite. Seul l’argent l’intéressait et dans Dreamland l’argent, c’est l’EV, aussi son regard se porta sur le jeune homme face à lui, il le dévisagea puis l’analysa de haut en bas. Il pourrait en tirer un excellent prix au marché des cadavres ou il pourrait tout simplement prélever les organes ici même. Aion lui avait dit qu’avec les Sword of Misery, il gagnerait plus d’argent qu’en parcourant le monde des rêves seul, il n’avait pas eu tord, c’était vraiment le pied de rencontrer des gamins aussi insouciant que celui en face.

« Dis moi, ça te dit de t’assoir ici et d’attendre que le temps passe… Je ne sais pas ce qu’il s’est passé mais j’ai pas du tout envie de me battre ce soir. Allez viens je vais pas te manger ^^ »

*Oui, je vais pas te manger, je vais juste de tuer, t’étriper, te lacérer ta chair, te vider de tes organes, puis je m’en ferais un manteau et une cape MOUAHAHAHAHAHA…… Calmons-nous mon cher McDoug, calmons-nous *
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Jacob Hume
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MessageSujet: Re: Hope is Dead : Jacob Hume VS John McDoug Hope is Dead : Jacob Hume VS John McDoug EmptyMer 26 Jan 2011 - 16:39
*Ok, ce genre de truc, j'aime que moyen voyez. J'avais décidé de passer une nuit tranquille quoi. Déjà que vous avez tous rappliqué pour jouer vos connard. Nan mais putain, z'étaient combien dans cette affaire ? Il y a avait Ed, et toute une bande de tarlouze qui sont sortis de nulle part. Vraiment la merde quoi en fait. Un moment, j'ai cru que j'allais être obligé d'intervenir. Z'étaient tellement tous à la vouloir se foutre sur la gueule que j'étais assez vénère. Mais là... Ouais là, j'aime carrément moyen moyen quoi. Je ne sais pour vous, mais le trip globe trotter ça me fais kiffer moyen. Qui est le connard qui m'a téléporté ? Je veux même pas savoir en fait. Je m'en fout. Je sais même pas où je suis. Il y a deux seconde j'étais dans un royaume cow-boy un endroit relativement tranquille. Enfin, la rue l'était, à ce que j'ai compris, dans le saloon, c'était la merde. Mais bon, pas dans mon champ de vision, on s'en occupe pas. J'aime bien cette politique. Et le problème se trouvait évidemment dans mon champ de vision. Tous ces gus de merdes, une horde de voyageurs complètements idiots qui ne cherchent qu'à se mesurer les uns aux autres. Génial. Une bande de con, une vrai. Et ils étaient vingt. Vingt réunis au même endroit. Jusqu'à ce qu'il y en ai un qui décide de s'amuser un peu et d'envoyer valdinguer tout le monde à travers Dreamland. Super les mecs, vous avez VRAIMENT que ça à foutre. Putain, me font chier ces merdes, on peut même pas crever tranquille dans ce patelin. Raah, j'en ai marre. Le seul point positif de cette affaire, c'est que je suis débarrassé d'Ed dans la nuit. Quoi que, si ça se trouve il est dans le royaume d'à côté et va trouver le moyen de me faire chier. Tient, ma bulle s'est mise en mode ballon par réflexe... Tu coup, j'ai plus le chapeau. Vraiment des connards.

Mais qu'est-ce que tu regarde petit con ? T'es qui toi d'abord ? Ouais, tu étais parmi les idiots qui se regardaient genre de vais dégainer mon flingue alors que j'en ai pas. Tu m'a l'air complètement barré dans le genre. On dirait que tu sors d'un film d'épouvante de série z qui se passe dans la boucherie du coin du patelin du réal', parce que bon, il y avait pas vraiment les moyens de tourner ailleurs et que le boucher on le connais bien, il est sympa. Franchement, tu as juste l'air d'une tarlouze en tablier avec des gros hachoirs à viande. Super, tu comptes découper quoi avec cette saloperie de merdier ? Ouais, t'as pas l'air net du tout. En fait ça m'étonnerait pas que tu sois exactement le genre de type qu'on croise dans les films d'épouvante de série z... J'avoue que tu me plais moyen comme gus. Et si tu me fais chier, je te préviens, je ne serais pas tendre avec toi ce soir. Tu m'as l'air d'un idiot, simplement d'un idiot. Après bon, tu es peut-être sympa et t'as un genre de handicap, mais là... Pfff, dégage pauvre tâche, j'ai envie d'être tranquille ce soir, la nuit sera longue et j'ai pas besoin qu'on me rajoute un connard dans ton genre pour me la pourrir... Allez, casse-toi, maintenant, ou tu vas devoir te frotter à moi. Il y en qu'on essayé, ils ont eut des problèmes.*


Jacob soupire en voyant l'autre essayer de lui parler. *Je t'entends pas couillons. Rentre chez toi maintenant, tu vas te couper avec tes conneries. C'est dangereux ces choses-là tu sais...* Il hausse les épaules et fait une moue déçue. Son adversaire a l'air trop sûr de lui, et ne semble avoir qu'une envie, le découper en morceau. L'intouchable n'a pas très envie de jouer et préfère lui faire comprendre dès le début qu'il ne vaut mieux pas le chercher. Il évalue la distance qui le sépare de son ennemi à environs cinq mètres, peut-être moins. Il se concentre et un bras invisible et inaudible part de sa bulle, fonce droit vers le ventre du boucher et poursuit sa route sur encore trois mètres. John Mcdoug est non seulement poussé vers l'arrière sans avoir pu voir venir le coup, mais il a aussi le souffle temporairement coupé par l'attaque. Jacob lui lance un regard morne, vide de toute envie.

*Dégage mon gars, j'ai pas que ça à foutre. Si tu étais venu me faire chier une autre nuit pourquoi pas. Mais là... Tu m'as juste l'air d'un connard psychopathe. Peut-être que je vais me résigner à faire une dernière bonne action avant d'aller mourir tranquille. De plus, ça accélèrera sûrement le processus... Non ? Si sûrement. Bref, ne m'attaque pas si tu ne tiens pas à t'en prendre une nouvelle dans la tronche... Je pourrais continuer longtemps comme ça... Et toi, tu n'aurais même pas la possibilité de me toucher... Navrant...*
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MessageSujet: Re: Hope is Dead : Jacob Hume VS John McDoug Hope is Dead : Jacob Hume VS John McDoug EmptyJeu 27 Jan 2011 - 19:52
Le ciel était assez dégagé et plusieurs oiseaux volaient au gré du vent, de temps en temps un oiseau plus gros que les autres attrapait un plus petit pour en faire son goûter, c’était passionnant la vie des piafs… John continuait à regarder le ciel, il avait été victime d’une rafale de vent assez forte et concentré dans son abdomen, peu commun me direz vous pour une rafale de vent, mais disons que depuis qu’il était dans Dreamland, John en avait vu des choses. En fait, cela ne l’étonnerait pas du tout que ça soit le jeune garçon qui, après ses paroles, lui ai cloué le bec… Amusant comme l’on revient aux oiseaux… John commença à sentir une très bonne sensation monter en lui, le genre de sensation que aucune personne saine d’esprit ne pourrait refuser… Est que John McDoug était sain d’esprit ? C’était un fait non vérifié encore. Une nouvelle montée d’adrénaline lui arracha un sourire, et sa main se dirigea d’elle-même vers l’un de ses couteaux… Non, pensa t il, il était encore trop tôt pour le taillader façon samouraï. Le boucher des Sword of Misery se releva, avec paresse et regarda son adversaire… Son ennemi qui lui lançait un regard de chien battu… Un regard que quand on te regarde avec tu as envie pleurer tellement c’est dépréssif. Mais il n’y a aucun plaisir à tuer un dépressif ! John mit son visage entre ses mains, de tous les voyageurs qu’il y avait au royaume des cow-boys, il a fallu qu’il tombe sur Mélancolikman… Le boucher fit un grand sourire à son adversaire puis s’exclama dans une révérence théâtrale digne de Molière…

-"Allons mon jeune ami, en voila des façons de traiter un pauvre homme sans défense… Bon okay, il se pourrait que j’ai effectivement des défenses, mais c’est pas parce que je me trimballe avec six couteaux qu’il faut me jeter à terre dès que tu me vois ! "

Aucune réaction. C’était presque irritant… C’était tout à fait irritant à vrai dire… Lorsque une idée lui traversa l’esprit… Il était peut être muet… Donc il l’entendait mais ne pouvait pas répondre… John lui fit un signe de la main. Toujours aucune réaction… Un aveugle ? Le boucher fit quelques pas de côté faisant attention de ne pas faire de bruit, le regard du jeune garçon le suivit sans qu’il n’ait eu d’hésitation. Ce n’était pas un aveugle… Voyons comment vérifiez s’il avait un quelconque handicap… Le boucher regarda la distance les séparant, il y avait environ cinq mètres… Cette distance était vraiment énorme pour quelqu’un se battant au couteau, certes contre une personne armé d’un pistolet, il aurait eu toute ses chances mais là, impossible de savoir quel était le pouvoir de Dépressif Boy… Soudain, un homme du village des Hunters arriva vers le boucher, il venait de derrière son adversaire, celui-ci allait forcement se retourner… Il allait se retourner… Il allait le faire…Ou pas. L’homme passa à côté de lui et l’air de surprise qui passa sur le visage du jeune homme renseigna tout de suite John sur l’état de ses oreilles, il était sourd. Le brave homme salua le boucher, il se serrèrent la main et demanda s’il y avait un problème. John lui fit son plus beau sourire d’hypocrite et agita la tête de droite à gauche, il n’y avait aucun problème, plus maintenant. Le boucher attrapa l’un de ses couteaux, et le relevant tout doucement au niveau de ses yeux, il évalua ses possibilités.

*Un humain peut se vider de son sang en huit secondes et trente six centième, si je lui coupe cette artère, ainsi que ce machin et le truc qui bouge vers ici, il se pourrait que ce jeune homme décède prématurément… Non, il faut que j’apprenne ce qu’il peut m’apporter sur le marché noir des organes de voyageurs… Voyons voir tout d’abord si il a de bonnes capacités de défense…*

John McDoug lança son couteau non pas vers son adversaire mais bien au dessus de lui, puis il s’empara de deux lames de plus qu’il projeta cette fois vers le jeune voyageur lui faisant face. S’il ne les esquivait pas, il ne pourrait plus se servir des ses bras de toute la nuit, et à moins de cinq mètres, il ne pouvait pas faire grand-chose.

-"Couteau gauche, avant bras droit, tendons, et couteau droit, avant bras gauche, tendons."

Ses yeux regardaient les lames qui scintillaient sous les rayons du soleil qui venait de faire une apparition furtive entre les arbres, les oiseaux avait cessé de chanter, comme si ils voulaient voir la suite du combat.
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MessageSujet: Re: Hope is Dead : Jacob Hume VS John McDoug Hope is Dead : Jacob Hume VS John McDoug EmptyVen 28 Jan 2011 - 0:29
*Ne cherche pas mec, reste tranquille. Mon coup a l'air de t'avoir passablement calmé. Tu m'as l'air plus... réfléchit, plus prudent. Je me demande si c'est une bonne chose ou pas. Est-ce que tu vas arrêter le combat ou est-ce que tu vas simplement devenir meilleur d'un seul coup ? J'aime pas ton attitude là. Tu bouges dans tous les sens comme un gros taré. Et je crois qu'en fait, tu as juste l'air d'un con là. Si ta technique de combat c'est de faire le pitre, tu as gagné mon grand, c'est une victoire que j'accepte tout fait. Pas de violence, pas d'effusion de sang. Plutôt cool quoi. Le genre de truc sympa qui peut faire plaisir une fois de temps en temps. Bref, un clown déguisé en boucher. On dirait presque "ça", comme dans le roman de Stephen King... mais inversé. Oh là, je commence à dire n'importe quoi moi. Bon, mon grand, il va falloir que tu te décide, parce que je vais pas te mentir, je tient plus longtemps que tout le monde à "je te tiens, tu me tiens par la barbichette" et avec ton grand sourire de glandu, t'es pas près de gagner. Allez, décide-toi, barre-toi ou bats-toi, mais reste pas la planté comme un con, ça me fais de la peine pour toi... Mouvement sur la g... Non, c'est bon c'est rien. Jacob, tu es tendu mon grand. Et être tendu, c'est pas bon. Pas bon du tout pour un combat, je risque d'agir trop brusquement, de réagir trop vite. De faire des erreurs donc. Et les erreurs c'est pas bon en combat... Enfin, si combat il y a. Parce que là... m'enfin, j'ai moyen envie de passer cette nuit avec un bras cassé quoi qu'il arrive. Ce sera déjà assez pénible comme ça. Alors pas la peine d'en rajouter. Ah ! Tu te décide enfin ? Alors c'est quoi le combat ou la fuite... j'ai comme pas du tout l'impression que la seconde solution t'intéresse.*

John lance un premier couteau au dessus de Jacob. *Raté. Tu es vraiment inutile où c'est un piège ? Ne jamais sous-estimer son ennemi. C'est un piège et j'ai pas envie de savoir lequel. Attention, en voilà deux nouveaux. Il va être surpris du résultat.* Les deux autres se dirigent droit vers les bras de Jacob qui ne réagis pas tout de suite, ayant confiance dans sa protection pour arrêter les armes. Ce qui suit se passe très vite et il ne comprend pas très bien. Les lames font fi de la bulle et traversent. Un réflex paniqué le pousse à se protéger d'une manière ou d'une autre, il replie ses bras sur son corps et se recroqueville sur lui-même. Les couteaux semblent refermer leur prise mortelle sur lui et il se baisse au dernier moment pour les esquiver. Les couteaux passent sans l'atteindre tout à fait, pourtant, l'un d'eux lui touche le bras gauche. Il croit alors qu'une entaille est faite, mais il ne ressent aucune douleur dans le bras. Stupéfait, il regarde son bras et il n'a rien. Il tente de le bouger et découvre la vérité. Son bras , à partir du coude, n'est plus opérationnel. *Merde ! C'est quoi cette connerie. Ma main, putain ! Elle bouge plus ! Raaaah ! Saleté. Et en même temps... J'y sens plus rien dans c'te partie là du bras. Plus aucune douleur. J'ai l'impression d'avoir perdu un tendon... Non, c'est pas possible, ça m'aurait coupé le reste...

Bon sang Jacob, concentre toi sur ce qu'il se passe ! Il t'a balancé des couteaux qui traversent ta bulle ! Peut-être qu'il peuvent traverser le corps pour couper que les tendons. Ouais ce serait possible... Mais bordel ce que c'est chiant cette connerie ! Ne plus pouvoir se servir de sa main gauche ! J'aimerais vous y voir... Attend, le couteau lancé en l'air? Il est où ? Ne prends pas de risque ! Pas pour l'instant. Attends de voir ses capacités avant de juger. Il peut peut-être te tuer. Une occasion à ne pas manquer ! Mais d'abord, vois de quoi il est capable. Oui, Jacob, c'est peut-être ta chance, mais il faut voir s'il le peut vraiment. Avec cette satanée bulle, ce n'est pas dit. Et, je sens plus ma main, mais... Oui, il y a un remède à tout... hélas, ce remède est une prison. Ne lui laissons pas l'occasion de tendre ce piège ! Allez Jacob, montre lui ce que tu sais faire. Pousse-le à te tuer... Il n'y a que comme ça qu'il arrivera à quelque chose. Et d'abord, montrons lui un petit tour de magie !*


Jacob passe sa bulle en mode collée au corps, il est évident qu'il n'a plus besoin de se protéger derrière une bulle compacte et que cette forme lui offre une plus large liberté de mouvement. Il garde un oeil sur les couteau, mais sans faire un geste de plus, si ce n'est sourire très légèrement *un fou en vaut un autre...*, il se concentre et envoie immédiatement un bras invisible, aussi indétectable que le premier, dans le nez de son adversaire, pour le sonner. Et profitant du fait que son ennemi est temporairement incapable de le surveiller, il s'élance dans les airs pour changer radicalement de position et va se poser à quatre mètre de son adversaire, toujours dans son champ de vision, mais complètement à l'opposé de sa première position. *Je surveille les couteau. Et je vois qu'ils reviennent vers toi d'eux-même. Intéressant. C'était donc bien un piège idiot que tu m'as lancé. Mais je ne les lâcherait pas des yeux à présent. Tu m'as dévoilé une de tes armes. Et toi, je suppose que tu n'as pas encore la moindre idée des miennes. Et je vais même te surprendre. Tu dois être fier de m'avoir couper le tendon ou paralyser le bras, j'en sais foutre rien de ce que tu as fais exactement. Mais tu vas être surpris, j'ai une très mauvaise nouvelle pour toi. Je ne contrôle peut-être plus mon bras, mais je contrôle ma bulle... et elle, je te met au défi de la paralyser... tes couteau la traversent comme l'air ! Je pense que tu n'as pas la moindre idée de son existence et je ne te laisserais pas en comprendre un broc du principe. En attendant, un petite démonstration ! Cette bulle est collée à mon corps comme une seconde peau ? Alors un peu de concentration Jacob... il te suffit de la bouger comme tu bougerais une peau !*

Au prix d'un effort de concentration, il parvient à faire bouger sa bulle au niveau du bras gauche. D'abord lentement, puis avec un peu plus d'aisance. Le coude semble se plier comme si le bras commençait à retrouver ses sensations, sa liberté de mouvement. Et Jacob sourit toujours légèrement à son adversaire. *Ok, c'est pas aussi net qu'un mouvement normal pour un bras. Mais ça a de quoi emmerder ce mec s'il me paralyse un bras et que je le fais bouger, c'est pas bon pour lui. Et même si ça me demande de la concentration pour le moment, mais je finirais pas m'y faire, contrôler cette bulle comme si c'était mon corps. Je le faisait déjà d'ailleurs... plus ou moins inconsciemment, il suffit que je m'y remette... ça ne doit pas être très compliqué. Bref, je surveille tes couteaux mon grand, tu ne m'auras pas deux fois. Mais avant de te montrer tout ce que je sais faire, j'ai bien envie de tester un truc...*
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MessageSujet: Re: Hope is Dead : Jacob Hume VS John McDoug Hope is Dead : Jacob Hume VS John McDoug EmptyMar 1 Fév 2011 - 23:58
Un sur deux, c’est un résultat plutôt convenable, surtout lorsque son adversaire est doué d’une rapidité tel qu’il peut réagir et esquiver des couteaux allant à grande vitesse, droit vers leurs cibles alors que la distance les séparant est de seulement cinq mètres... John rappela ses ustensiles qui vinrent se remettre dans leurs fourreaux respectifs, laissant l’adversaire en découvrir un peu plus sur son pouvoir. Puis c’est avec un sourire qu’il regarda le visage du jeune homme qu’il affrontait se tordre de douleur, et oui, la perte d’un tendon fait très mal… Beaucoup plus que ce que l’on peut imaginer. John s’apprêtait à amorcer une autre attaque lorsque une poussée sortit de nulle part, le projeta une nouvelle fois vers l’arrière, le faisant tomber lourdement sur le sol. Le boucher des Sword of Misery lâcha un soupir blasé, c’était bien la première fois que l’une de ses proies le faisait tomber deux fois de suite et avec la même technique… Enfin, ça devrait être la même technique, pas beaucoup de dégâts, une portée encore à définir et une approche totalement indétectable… Une technique de lâche quoi… John sentit un sourire se tordre sur ses lèvres, voila longtemps qu’il n’avait pas affronté un adversaire de cette mentalité là. Oh, mais voila que celui-ci s’amuse à voler dans les airs, prendrait il la fuite ? Non, le voila qui se pose à quelques mètres de là, à l’opposé de sa position initiale… Peut être préfère t il attaquer avec le soleil à sa droite… Idée stupide, à effacer tout de suite des pensées actuelles…John se releva et s’étira de tout son long, poussant au passage un gémissement rauque accompagnant très bien les divers craquements émanant de son corps. Puis il se retourna pour faire face à son jeune adversaire qui semblait se concentrer tel un premier de la classe devant un problème de mathématiques. Ce qui se passa fit froncer les sourcils de notre ami boucher, le bras de son adversaire qui pendait lamentablement dans le vide il y a quelques secondes de cela, se mit à onduler puis à reprendre des mouvements saccadés pour enfin bouger lentement mais sûrement. John fut surpris de cette petite guérison miracle qui se divisa en deux hypothèses pour lui. Soit notre cher ami avait des capacités de régénération cellulaire très avancées, soit il faisait tenir son bras grâce à autre chose… John évalua la distance les séparant et compta environ quatre mètres, puis après une petite réflexion de quelques microsecondes, le boucher des Sword of Misery répéta son plan une dernière fois dans son esprit. Enfin, il attrapa deux de ses couteaux et les jeta le plus vite possible vers son adversaire.

-« Couteau gauche, Abdomen, épiderme. Couteau droit, torse, épiderme. »

Hors à cet instant, son adversaire n’a que peu de chance d’y échapper à cause de sa vitesse de réaction humaine et de la faible distance les séparant. Mais John McDoug aime le travail bien fait aussi, il sort un couteau de plus qu’il plante dans le sol et en saisit deux autres avec lesquels il se jette vers son ennemi, accompagné d’un sourire béat, presque innocent, presque… Il ne voulait pas en finir maintenant mais si son adversaire était trop faible pour lui résister, il se ferait un plaisir de finir ce combat et d’aller siroter un petit vers à la taverne du coin, pour une fois qu’il n’avait pas Héléna ou Kano dans les pattes, il allait profiter de sa nuit. Enfin, il fallait tout d’abord battre ce jeune présomptueux qui le prenait de haut… Ou alors il ne faisait pas exprès, voila qui serait vraiment drôle pensa notre boucher tout en continua sa lancée, il venait de parcourir déjà un mètre, puis son pied droit se leva pour aller se poser un mètre plus loin. Ce qui serait vraiment drôle, ça serait qu’il ne puisse pas parer mes coups lorsque je viens au corps à corps, là, ça serait le clou du spectacle… Oui un spectacle, car peut on seulement l’appeler « combat »… Un lanceur de couteau et un jeune homme qui se régénère ou autre chose encore… Cela descendrait plus du cirque que du combat épique pour la survie d’un des deux protagonistes. Bref, cela importe peu maintenant que je suis presque à portée. Entamant le troisième mètre et profitant que son adversaire soit occupé avec les autres couteaux qui lui avait servis de projectiles, John lança un nouvelle fois vers son adversaire, à seulement un mètre de lui, deux couteaux qui semblait à nouveau être pointés droit vers le torse du jeune homme au regard dépressif. Et c’est à ce moment que John lança presque à voix haute :

-« Couteau gauche, Poumon droit. Couteau droit, troisième côte en partant du haut ! »
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MessageSujet: Re: Hope is Dead : Jacob Hume VS John McDoug Hope is Dead : Jacob Hume VS John McDoug EmptyJeu 3 Fév 2011 - 22:33
*Héhé, ma petite connerie à l'air d'avoir fonctionner. Le problème c'est qu'il va falloir bouger vite et que je suis pas sûr de pouvoir faire bouger mon bras sans me concentrer quoi. Mine de rien je ne le sens plus du tout ce bras et c'est pas terrible comme sensation. Même si je peux sûrement encore l'utiliser et qu'il est toujours là, c'est plutôt flippant quoi. J'ai vraiment l'impression de ne plus avoir de bras. Perturbant comme affaire. Enfin, de mon point de vue... À vrai dire, il n'est pas encore l'heure de tergiverser inutilement sur la sensation que ça me fait. Il faut que je tente mon truc, que je vois si ça marche. Et si sa marche, je ferait d'une pierre deux coup. Je niquerai sa tronche à un connard sanguinaire et je me suiciderai. Bon, le suicide est normalement prévu dans l'affaire. Mais je crèverais plus vite. Parce que crever en plus de vingt heures de souffrance, c'est pas le programme le plus réjouissant du monde, voyez-vous ? Alors je vais devoir trouver le moyen de bouger ce bras un peu plus vite si je veux que ça marche. Et pour ça, il faut que je me concentre. L'autre excité ressort les couteau et ça va de nouveau être à mon tour de faire la fille dans le cirque qui attend que le lanceur de couteau ne l'empale pas. Sauf que dans les cirques, ils visent les bords et charge à la fille de rester immobile. Lui, il me les lance en pleine gueule et charge à moi de les éviter. Un autre style de numéro dirons nous. Et attention ! Revoilà le loustique et ses joujoux pas beau ! Ouh ! J'ai peur... Ouais, déconne pas Jacob, tu sens plus ton bras...*

L'intouchable vois les couteaux se diriger vers sa poitrine, mais il leur destine une toute autre destination. S'il peut mourir et vaincre ce type, il le fera. Il faut bouger vite et c'est en laissant libre cours à la tension qu'il a accumulé pendant l'attente du coup qu'il y parvient. Le geste lui vient naturellement, presque, il est précipité et pas particulièrement adroit, mais suffit amplement. Au dernier moment, il s'écarte de la trajectoire des lames pour ne laisser en place que son bras blessé, tendu en travers des lames. Comme prévu, elles passent la bulle et vienne le découper. Hélas, les entailles qu'elles laissent derrière elles sont... amèrement ridicules. L'épiderme du bras est tranché, ce qui, à part lui laisser de belle plaie droites, n'est pas très efficace. *Bon, je m'attendais à une coupure autrement plus dangereuse moi... En plus, comme je sens rien, ça picote même pas. Aucune douleur et une blessure qu'est pas exactement capable de me tuer... Si c'est tout ce dont tu es capable, ça ne va pas suffire mon grand et il faudra que je te défonce sans rien en échange. Ce qui n'est déjà pas aussi amusant que la perspective de mourir. Bref, je vais te faire signe pour que tu passes au rang supérieur là. Parce que franchement c'est décevant. Et te voilà qui cherche le corps à corps maintenant ? Vraiment, je suis déçu. Je pourrais te repousser d'une seule pensée? Mais non, j'ai une bien meilleure idée. Range tes couteau jeune homme, tu pourrais te couper...*

McCloud se jetant sur lui en lui lançant deux autres couteaux *Décidément, il n'a que ça pour lui ce type...*, il ne cherche pas à prendre un coup de plus avant de lui avoir montrer que lui aussi est capable de se battre. Et s'il a bien appris une chose en se battant contre les méchants de ce monde, c'est à réagir rapidement. Les couteaux se dirigeaient vers son torse une fois de plus et il du se contorsionner tout en avançant pour les éviter, mais il passèrent juste au dessus de lui, sans faire de dégât, sans même le toucher. Son ennemi a les bras en avant, il vient de lancer deux couteau. Avec son bras valide, il lui saisit le poignet gauche et força le bras à se tendre. Puis, avec une rapidité presque naturelle, qui le surpris lui-même, il frappa avec autant de force qu'il le put l'articulation du coude du bras qu'il venait de saisir. Il venait de frapper avec son bras invalide et le coude touché s'était fracassé, net. Sa propre mains semblait s'être brisé sous l'impact, ses os semblaient avoir pris une tournure bizarre dans la paume. Et il avait entendu un craquement, or, il était incapable t'entendre le craquement du coude de son adversaire lorsqu'il s'était brisé. Pourtant, il ne sentait aucune douleur, malgré les os brisé. Les couteaux commencèrent à revenir. *Vite, éloignons nous !* Et il lâcha le bras de ennemi, bondit vers l'arrière et s'envola quelques instants pour se placer de nouveaux à quatre mètres de son adversaire.

*Bien. Mon bras commence à être dans tous ses états, mais je sens rien... Il a du me couper le tendon, tout un truc comme ça. Ou alors, il coupe les sensations ? Franchement je m'en fout. Tout ce que je sais, c'est que je sens plus rien dans le bras et qu'étonnement, j'ai réussi à le bouger normalement et rapidement... deux fois. J'y ai surtout pas pensé. J'ai simplement agit comme si mon bras n'avais rien, pensé comme si mon bras n'avait rien et du coup, la bulle a suivit. Aussi simple que cela ? Oui, c'est le principe de la bulle. Elle obéit à mes ordres mentaux et ne suis pas les mouvements de mon corps. J'ordonne à mon corps, et en même temps à la bulle. J'ai juste à... continuer... Intéressant. D'autant plus que, comme je ne sens rien dans ce bras... Mmh. Très intéressant, je peux y aller comme je veux. Mais maintenant que mon message est passé, j'aimerais vraiment tenter mon truc. Montre-moi ce que ces couteaux peuvent faire... Et si tu t'approche encore, je t'envois encore un bras dans la tête, histoire que tu comprenne que tant que j'ai pas eu ce que je voulais. Tu resteras à l'écart. Si tu veux un vrai corps à corps, blesse-moi vraiment avant...*
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MessageSujet: Re: Hope is Dead : Jacob Hume VS John McDoug Hope is Dead : Jacob Hume VS John McDoug EmptyMar 15 Fév 2011 - 16:52
Quelle sensation désagréable que celle de la douleur, elle vous fait souffrir, et vous empêche de réfléchir correctement, elle n’est après tout qu’une information de votre cerveau qui vous dit « Hey gros débile, tu t’es fait touché comme un bleu ! », et c’est à ce moment-là que vous lui répondiez à voix haute commençant le processus qui mène à un pseudo état de folie, plus communément appelé pétage de plombs. Donc pendant que vous discutiez avec votre unité centrale en lui balançant toutes sortes d’insultes pour qu’il arrête de vous emmerder, petit un, et que la douleur cesse, petit deux, votre entourage commence à s’inquiéter pour vous ou à se foutre de votre gueule si ce sont des gros salauds. La deuxième hypothèse est souvent la plus répandue, additionnant une honte temporaire à une douleur qui augmente et ne cesse pas, là deux options s’offre à vous, soit vous vous mettez à pleurer comme quoi dieu n’aime pas votre gueule et que de toute façon la vie est cruelle, vous envisagez même de vous tirer une balle, demandant au passage d’être réincarné en concombre de mer, soit vous vous perdiez dans les méandres de votre imagination et vous massacrez toutes les personnes autour de vous avec une arme, qu’on aurait jamais crue mortelle mais qui malheureusement l’était, y compris le gros crétin qui essaye de vous raisonner en vous disant que la violence ne résout rien, celui-là prendra une double dose. Tout ça finira dans les geôles de la prison de Dreamland, condamné à perpétuité pour les meurtres de 104 innocents à coups de fourchette et d’un ours borgne et unijambiste qui devait être transféré au vétérinaire le plus proche pour une petite bronchite, ça vous apprendra à laisser éclater votre joie dans un parc d’attractions. Heureusement, John McDoug n’est pas dans un parc d’attractions, il est certes, proche d’un village de dangereux chasseurs de monstres et bandits en tout genres mais ce n’est pas la première cible qu’il aura lorsque sa conscience se perdra… D’ailleurs pourquoi elle se perdrai… Il est clair que le jeune homme qui était en face de lui semblait d’un autre niveau… John plissa les yeux pour regarder attentivement son adversaire, celui-ci avait esquiver la dernière attaque du boucher des Sword of Misery mais avait encaissé sans broncher la première. Son épiderme était toujours ouvert ce qui prouvait que ses dons de régénérations cellulaires étaient aussi existants que le père noël... Pardon pour le spoil les enfants… Bref, si la régénération n’était pas son pouvoir, alors ce gentil garçon faisait preuve d’une grande capacité à contenir la douleur, il faisait mouvoir son bras en l’absence de tendons et n’hésitait pas à frapper avec. A cette pensée, John regarda son propre bras, la douleur se faisait encore plus persistante à chaque instant et le manieur de couteaux examina sa blessure, aucun os ne semblait être casser, mais son coude lui faisait un mal de chien, à croire que quelques choses n’était pas à sa place… Il ne lui avait quand même pas déboîté le coude… Pas avec ce bras supposé être à la limite de ses capacités… John se baissa et posa son bras à terre puis il mit son pied dessus et après un courte hésitation, il se redressa d’un coup sec, il y eu un craquement sonore, puis une vague de douleur qui arracha un cri rauque à notre ami boucher, celui-ci regarda alors son adversaire, il voulait le tuer, il voulait en finir et lui faire payer toute cette mascarade. Il attrapa l’un de ses couteaux et regarda fixement la lame.

-« Couteau, Crâne, voies nociceptives… »

Après avoir lancer un dernier regard à son adversaire, il passa la lame à travers sa tête, mais il n’eut aucune égratignure, aucune goutte de sang perla le long de son crâne, de plus ses yeux affichèrent une ardeur retrouvée qui arriva même à transformer son rictus en sourire victorieux. John McDoug venait de faire un pas en avant vers la victoire et il comptait bien en faire un deuxième dans peu de temps. Il rangea son couteau dans son étui puis entra dans une courte réflexion, puis après avoir regarder à droite puis à gauche, il ressortit l’une de ses lames et la planta dans le sol, puis il se mit à tourner autour de son adversaire conservant les quatre mètres qui les séparait, il en planta un nouveau lorsqu’il fut à la droite du jeune homme, puis continua jusqu’à ce que cela forme un cercle de quatre couteaux dont l’adversaire du boucher des Sword of Misery se tenait au milieu. John le regarda à nouveau puis il lança de toute sa voix :

-« Il semblerait que tu ne puisses pas m’entendre et tout cela est très bien, je vais à présent te dévoiler une de mes techniques secrètes, cela m’a prit beaucoup de temps depuis que je suis à Dreamland pour la concevoir, avant, mes couteaux revenaient dans leurs étuis d’une façon tout à fait normal et je n’y jouait aucun rôle, mais à présent, c’est moi qui déciderait quand est qu’ils reviendront et comment ils reviendront, enfin bref, tu ne m’entends certainement pas mais tu peux pas savoir comme ça fais du bien de balancer son plan de combat à venir et de voir son adversaire le regarder avec des yeux de merlans frits… Bref, attention, ça va être à nous, prêt jeune homme… Merde c’est vrai tu comprends rien, bon, j’y vais alors. »

John attrapa ses deux couteaux restants et les lança vers son adversaire, avec force et passion, attendant le moment propice, le moment où il déchaînera ses lames qui déchiquèteront le corps de ce pauvre gamin…

-« Couteau gauche, poumon droit, couteau droit, tendon jambe gauche. »
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MessageSujet: Re: Hope is Dead : Jacob Hume VS John McDoug Hope is Dead : Jacob Hume VS John McDoug EmptyVen 18 Fév 2011 - 20:31
*Putain, Salaud. Tu m'as eu... bien joué...* Les choses se sont précipité et Jacob, sans comprendre comment il en est arrivé là, s'écroule sur le sol, d'abord en laissant un genou sombre, puis l'autre. Il lui faut se maintenir avec un bras pour ne point s'affaler complètement tandis que l'autre bras est occuper à palper inutilement son flanc droit. Geste inutile puisqu'en toute circonstance, il ne peut pas toucher les organes qui sont à l'intérieur de poitrine. La vérité est qu'il ne peut même pas toucher sa peau, qui est toute recouvert d'une bulle impénétrable, sans parler du fiat que c'est avec son bras gauche qu'il cherche à attraper ce qui vient d'être sectionné et avec ce bras, il ne sent plus rien. *Putain, tu m'as pas loupé connard. Et moi comme un con, je me suis pas méfier une seule seconde. J'avoue que ton truc m'a complètement déstabilisé. J'aurais pas cru qu'on tranchait le cerveau chez les malades, c'est peut-être à force d'y découper allègrement que tu es devenu aussi barjo, n'empêche que ça fait mal. Sacrément. Et que, mine de rien, je pense que tu m'as vraiment eut. C'est bien ça ton pouvoir hein ? Tu coupe ce que tu veux, tu choisis ce que tu veux couper et sa passe tout le reste. C'est pour ça que tu entre dans ma bulle. C'est pour ça que je sens plus mon bras que il n'y a que la peau qui soit tranchée sur ce même bras, alors que la lame aurait pu traverser plus... Et c'est pour ça que tu peux te trancher la tête en ne sentant rien. Et pourtant, tu dois bien y avoir coupé un truc, parce que t'es peut-être complètement loufoque, mais faut pas déconner, t'es moins con que t'en as l'air. Tu ne fais pas un truc comme ça juste pour le fun. À part peut-être t'en prendre à moi... m'enfin. C'est la fin pour moi, qu'est-ce que tu veux que je te dise, je te foutrais pas ta rossée, mais je t'ai eu à plusieurs reprise, un autre viendra te foutre la branlée du siècle, Ed peut-être, lui serait carrément capable te t'over-niquer. Sa capacité à fracasser les crânes étant largement plus avancée que la mienne... Trancher sec un poumon. Fallait le faire quand même. Finalement... je ne suis pas invincible et je peux mourir plus simplement qu'en me niquant ma santé au somnifère. Étrangement... je me sens bien, non pas que je n'aie pas mal, mais je suis heureux. C'est une question de minutes avant que je puisse retrouver mon sommeil d'antan. Putain, c'est con, mais rien que pour ça, je me fiche que tu passe la nuit sans correction...*

Pendant le temps qui lui est impartie, Jacob cherche à analyser la situation et à retracer ce qu'il s'est passé. *Tu t'es coupé la tronche, c'est ça qui m'a perturbé. Je me suis sentit con. J'ai pas compris. Puis tu t'es mis à parler tout seul, enfin à moi, mais tout seul du coup. Ah ça tu aimes parler dans le vide, expliquer tes coups à l'avance. Si j'étais pas sourd, tu ne t'en serais peut-être pas sortit aussi bien. Mais bon, chacun ses faiblesse. Tu es tombé sur un gars qui a un super pouvoir pour se défendre, mais toi tu t'en fout parce que tu es le genre de seul gars qui peut s'en foutre. Et t'es pas nombreux dans ton genre. Jusqu'à présent, il n'y avait qu'Ed, et Trouble. Et ni l'un ni l'autre n'avait voulu m'ôter la vie, me libérer. Et franchement, rien que pour ça, c'est une bande de connards. Mais toi aussi remarque. Et puis un peu moi quand même, j'en ai fait des conneries. Tous des connards. Tout un monde de connard ! Et moi, oui moi, je m'en vais, rejoindre celui des cons et ne plus entendre parler de celui-ci... Tu parlais. Ouais, tu parlais et moi je me suis dit que du coup, je pourrais foncer tu vois. Me jeter sur toi, te défoncer la mouille. Mais je pensais trop à ton truc avec la tête. J'ai oublié toute prudence. Et voilà le résultat. Jacob, mon garçon, tu es vraiment naïf. Enfin, tu as ce que tu voulais. Oui, j'ai ce que je voulais... puisque je vais crever comme un chien. C'est ma jambe gauche qui a défaillit. D'un coup je l'ai plus sentit. Je n'y croyais plus à tes saloperies de couteau. J'en avait évité un certain nombre et il n'y en avait qu'un qui m'avait fait un truc vraiment important... quoi que, j'y ai remédié au final. Et je me suis laissé surprendre, je me suis laisser vaciller un instant, en pleine course... Et du coup j'ai pas évité l'autre. Putain ça fait mal. Je crois qu'on peut compter un tiers de mon poumon qu'à été tranché, enfin, j'y connais pas grand chose en médecine pour évaluer. Toi, tu es un chirurgien, et j'aurais du comprendre avant. Mais voilà, la chose et faite et... et... Non... Non ! ... Non non non ! NON ! PUTAIN !! NOOOOON BORDEL !!! Laisse moi crever, laisse moi crever salope !!!!!*

C'est comme si l'on enfoncer quelque chose dans sa gorge, c'est dur, indolore, mais ça se glisse en lui comme un serpent, lui donne envie de vomir, mais il réfrène l'envie, ne sachant que trop à quel résultat cela le mènerai. Il le sent descendre en lui, s'immiscer dans les voies respiratoires, jusqu'à l'endroit où la section a été faite. C'est un morceau de sa bulle, un mince filet de sa bulle qui vient jusqu'à la plaie intérieure condamne la partie tranchée, refermant le reste du poumon, l'empêchant de se gorger de sang, évoluant avec lui à chaque nouvelle respiration. Ce n'est plus qu'un demi poumon et la douleur est toujours bien présente, mais, sa respiration semble reprendre un cour beaucoup plus normal et il sait. *Je sais que je ne vais pas mourir. Pas comme ça. C'est impossible, impossible ! Je me noyait dans mon sang, je crevais. Et cette salope viens trouver la parade. Putain, j'ai l'impression d'avoir un tube dans la gorge. Un truc qui m'aider à respirer. C'est super désagréable. En même temps, je sais que je ne vais pas mourir. Je vais en chier, aucun doute, mais je n'en mourrais pas ! Putain, si près du but ! À ça ! Non, c'est injuste, tu ne peux pas me faire ça, c'est impossible ! Je te déteste crevasse. repasse en ballon ! Repasse en ballon bordel ! En mur ! Je m'en fous ! Change de forme putain, change de forme laisse mon poumon tranquille, laisse moi crever !* Mais rien n'y fais, la bulle est un artefact à la fonction double, plus qu'elle n'obéit à la volonté de son possesseur elle le tyrannise tout en l'empêchant de mourir, le conservant en vie envers et contre tout. S'il change de forme et perd le contact avec la bulle, elle ne pourrait plus le maintenir vivant, ainsi l'empêche-t-elle de changer de forme. Et la rage est telle en Jacob que ses yeux son rouge, il oublie un instant la douleur, veut tout détruire, agrippe des pierres dans ses mains et veut les serrer aussi fort qu'il le peut. Dans le même temps, sa colère lui arrache un cri atroce de rage, de couleur, d'une haine sans nom, fort, puissant à faire trembler les murs et pourtant, inaudible pour tous les autres que lui.

Il se reprend, la rage la quittée d'un seul coup. Il n'est plus sur son visage qu'une expression vide. Vide de toute autre émotion que la lassitude. Il n'est pas mort, il est sauvé, une fois de plus. Il a mal, très mal, mais ses yeux ne l'expriment plus. Il reste le regard plongé vers le sol, seulement lassé. *Connerie. Je crèverais pas. Il faut que ce soit beaucoup plus rapide. Pour qu'elle ne trouve pas la parade... Bon, la nuit s'annonce longue et mauvaise au final. J'ai plus que le trois quart de mes poumons, et je respire déjà un air corrompu qui n'est carrément plus pur du tout. Le reste de la situation ? Je sens plus un bras entier et je ne sens plus une jambe non plus. Mais ça, c'est juste nul. Avec ma bulle, je peux m'en foutre. Ça m'a juste fait tomber. Chaque fois que je respire, j'ai l'impression de m'arracher les côtes. C'est ça le problème. J'ai l'impression d'avoir fait un bond de quatre heure dans l'agonie que je subit tous les soirs. C'est la merde. Et puis quoi ? Je vis. Je continue, inlassablement à vivre. Cet idiot ne m'a tué et je suis toujours là à quatre patte. On m'a tiré de mon agonie et je peux presque paraître normale. Oh, je ne me fais pas d'illusion, ça doit se voir sur mon visage que je suis pas bien. Je dois avoir pris un sacré coup de vieux et je dois pas paraître bien. Un loque ? Ouais, je dois en être à peut prêt au stade de loque là. Je suis juste complètement crevé, j'en ai marre de la douleur, mais je suis - bordel de merde - toujours vivant. Et je n'ai pas fini de parler. Aujourd'hui, je meure. Et je suis déjà trop loin dans la douleur. Trop abîmé. Et toi, tu te portes bien hein ? Mais t'en fais pas mon grand. Je ne t'ai pas oublié. Et vu comment tu me fais souffrir, ne pense pas t'en tirer comme ça. Je m'en fout un peu à présent d'avoir mal, oh c'est sûr que ça ne va pas vraiment m'aider à me battre, mais je ne vais crever. Et tant que j'aurais un type à corriger, surtout un type qui pourrais me tuer. Je chercherais à lui infliger un saleté de correction. Tu pourras difficilement me faire plus mal que ça et cette douleur... je l'ai déjà vu cent fois.*

Non sans difficulté, il se relève pour se retrouver à genou et lève immédiatement son bras droit vers sa cible, pour lui envoyer un bras invisible dans l'entrejambe. *Un coup vicieux, mais ne va pas me dire que tu ne l'as pas mérité...* Pourtant, si l'autre se reçoit le coup, il ne semble pas en être affecter. *Saleté, aucune douleur. Deux solution, soit tu es un fille - particulièrement laide - soit tu as fais un truc pour te protéger... à moins que... Mais oui, ta connerie de couteau dans la cervelle, je savais bien que ça servait à quelques chose. Plus de douleur ? Ou plus de ressentit sur les burnes ? Non, vu comment tu utilise ton bras, je pense que c'est plutôt la douleur. Vraiment pas idiot, mais ça ne suffira pas. À présent, nous seront deux à nous en prendre plein la poire sans rien ressentir. La seule différence, c'est que moi, je la ressent déjà la douleur... Très bien mon grand, à présent, battons-nous.* Il relâche les mains pour reformer ses poings, de sa droite tombe une pierre, de sa gauche, de la poussière. Il n'y jette qu'un regard intrigué. *Intéressant...* Mais, il n'a même plus l'envie de sourire au plan qui vient de se forger dans son esprit, il n'y a plus que de la lassitude et quelques vagues grimaces arrachées par ses respirations lentes et difficiles. Il se lève sur ses deux jambes et fait de nouveau face à son adversaire. Il se concentre et lui envoie un nouveau bras sur le nez, même s'il ne ressent pas la douleur, au moins sera-t-il un peu sonné. Puis, usant de sa capacité à voler, il se jette sur son adversaire d'un bond, tendant le bras gauche pour attraper son adversaire, mais avec le droit, il prépare de façon à peine discrète un puissant coup de point.

*Je doute que tu sois dupe sur celle-là, mais qui ne tente rien n'a rien.* Et soudain, la pensée le traverse : *Suis-je réellement invincible ?* Dans son regard, l'on sent alors toute la détresse que lui inspire cette idée...
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MessageSujet: Re: Hope is Dead : Jacob Hume VS John McDoug Hope is Dead : Jacob Hume VS John McDoug EmptyMar 15 Mar 2011 - 16:08
Voila qui était fait, John McDoug n’avait à présent plus aucune arme sur lui et sa cible semblait avoir encaissé toutes ses attaques sans pour autant être à terre, criant pour se faire épargner. Sa jambe gauche devait lui faire souffrir le martyr à chaque fois qu’il prenait impulsion dessus, son bras gauche devait lui faire ressentir une douleur telle qu’un homme normal aurait déjà versé quelques larmes ou lancer un ou deux cris de détresse. L’un de ses poumons n’était pas dans un meilleur état et sa cage thoracique devait être en feu, au sens figuré bien sûr. Pourtant le jeune homme que le boucher des Sword of Misery venait d’attaquer était certes faible mais pas pour autant en voie de mourir. Durant un bref instant, il sembla même s’étouffer puis tout revint à la normale, son expression semble être celle d’un homme qui n’a plus rien à perdre ou plutôt qui a déjà tout perdu. Il tente de se relever mais sa jambe l’empêche bien évidemment de soutenir son corps et l’adversaire de John se retrouve à genou une fois de plus. Il lève cependant le bras vers lui, désireux de demander quelques choses, le pardon peut être ou tout simplement de la pitié… Les réflexions de John s’arrêtèrent là lorsqu’il sentit un impact lui faire courber l’échine en avant, la zone visait se situer juste en dessous de la ceinture, certain pourrait qualifier ceci de coup bas ou de manque d’honneur mais dans un combat à mort, les coups bas et l’honneur sont le dernier des soucis, et il n’avait apparemment pas effleurer l’esprit du jeune homme. Un sourire se dessina sur les lèvres de John, il ne ressentait plus la douleur et à par un chatouillement dans l’entrejambe qui n’avait rien de désagréable, ce coup ne lui avait rien fait. Son adversaire semble étonné et lorsqu’il ouvrit ses paumes de l’une, tomba une pierre tandis que de l’autre une simple nuée de poussière glissa entre ses doigts. Le garçon se releva sur ses deux jambes, ce qui commença à créer le doute chez John, il semblait vraiment ignorer toutes les blessures qu’il venait de recevoir, mais l’adversaire du boucher des Sword of Misery ne s’arrêta pas là. Le jeune homme fit de nouveau en sorte grâce à son pouvoir mystique de frapper John à la tête et plus particulièrement dans la zone nasale ce qui eu pour effet de faire renverser la tête du combattant en arrière, la douleur ne vint pas et à la place un sourire carnassier se dessina sur le visage du boucher, il était temps d’en finir, ça ne se passera pas comme la dernière fois, le jour où on est venu le recruter chez les Sword of Misery.

Flash Back…

Le marché du royaume des chats était désert, seul un petit groupe était là, quatre voyageurs étaient face à un cinquième qui semblait en mauvaise posture. John se tenait un entaille sur l’abdomen tandis que dans sa main résidait l’un de ses trois couteaux, les deux autres étaient suspendus en l’air incapable de bouger et apparemment, incapable de revenir à lui, comme si il était stopper en plein vol. Une jeune fille aux cheveux argentés s’avança vers lui, ses deux épées en main, elle était puissante, bien plus puissante que lui. Elle fit encore quelques pas puis s’agenouilla pour le regarder plus précisément, elle émit un rire cristallin puis se retourna vers l’un des trois hommes qui la suivait.

-« Aion, tu es sûr que c’est lui que l’on doit prendre dans l’équipe, il me paraît vraiment faible… »

-« Héléna c’est Sa volonté, il ne faut pas Le décevoir… »

-« Voila qui est vraiment chiant, bon, le petit boucher, tu viens avec nous où je t’expédies en enfer. »

Ce jour là, John venait de voir ses libertés s’effondrer, pour lui Dreamland signifierait carnages et cadavres, le jour où Ses yeux s’étaient posés sur lui, sa destinée au sein de ce monde onirique était tracée, il serait John McDoug, le boucher des Sword of Misery.

Retour à la réalité…

Le boucher releva la tête pour voir son adversaire tendre un bras vers lui tentant de l’attraper, le regard plein d’espoir, préparant son poing pour le frapper de toutes ses forces. Comment il était arrivé ici, cela n’avait plus d’importance, comment il allait agoniser, ça c’était plutôt d’actualité. John enserra le bras qui venait de l’attraper au niveau de sa tenue de boucher puis il leva son bras droit sur le côté et serra le poing, ses lèvres s’entrouvrirent puis après un rapide sourire il formula son désir le plus profond.

-« All Sword, Back Bone ! »

L’ensemble des ses couteaux se détachèrent du sol, et orientèrent leurs lames vers les fourreaux de leur maîtres mais au passage, elles allaient perforer, déchirer, trancher tout les os qu’elle rencontrerait.
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MessageSujet: Re: Hope is Dead : Jacob Hume VS John McDoug Hope is Dead : Jacob Hume VS John McDoug EmptyDim 3 Avr 2011 - 17:19
*Putain, ça fait mal. Je ne peux plus, c'est impossible. Je sens juste plus rien d'autre que la douleur. J'ai tellement mal partout... Je veux juste que ça s'arrête, que ça s'arrête. Comment j'en suis arrivé là ? Je sais pas, je m'en fout un peu je crois. J'ai complètement sous estimé ce mec je crois. Jamais je n'aurais cru que cela serait possible. Tu croyais quoi ducon, que Dreamland était peuplé d'abrutis incapable ? Non, il y a aussi des fous furieux complètement barges qui n'en ont rien à foutre de la vie et qui se trouvent prêt à te niquer quitte à perdre un bras ou deux dans l'affaire, tant que toi tu souffres. Tu vois Jacob, ton problème, c'est que ta connerie t'a poussé à de te mettre dans des situations particulièrement débiles où tu croyais risquer ta vie, alors qu'en réalité, tu n'es jamais vraiment allé là où c'était vraiment la merde pour toi. Tu le savais depuis le début en plus que jamais dans ces conneries de zones de seconde zone tu ne trouverais personne pour t'arracher la gueule. Tu savais aussi qu'il devait bien y avoir quelque part une ribambelle de connards qui n'attendaient que ça, de te défoncer ta gueule comme un connard. Et voilà, voilà où j'en suis donc. Je me suis fait défoncé comme tous ces petits cons arrogant que j'ai toujours méprisé. Mais merde ! Pourquoi j'en suis là, pourquoi ce connard a fait de moi un voyageur, qu'est-ce qu'il m'a pris aussi de faire tout ça ? Je ne souffrais pas assez hein ? Il fallait en rajouter toute une saloperie de couche. J'ai vraiment été con. La prochaine fois que je me suiciderais, je ferait ça proprement. Là, j'ai juste trop mal, je veux que ça s'arrête, pitié, faites que ça s'arrête...*

Doucement le corps de Jacob dérive dans le ciel de Dreamland, cela fait longtemps que la bulle, pour protéger son hôte s'est laissée porter par le vent, l'éloignant de tout danger...

*Ce type était vraiment fort, et son dernier coup ? ... Je suis vraiment qu'un petit novice de merde par rapport à lui. Je peux plus bouger, il m'a niqué tous les os je crois, tout me fais mal. Tellement que je ne sais même plus avec précision où j'ai mal. Il n'avait pas l'air plus en forme que moi cet idiot. J'ai pas très bien compris s'il avait subit le même sort que moi. Prêt à se pulvériser lui-même juste pour pas perdre ou si ça lui avait seulement bouffé de l'énergie. Mais c'était bien joué, je dois le reconnaître. Mon attaque à moi était bien ridicule à côté, un petit piège sympathique qui a du bien le faire rire. Tain, j'ai mal. J'ai mal et c'est tout. Et c'est con surtout. Con d'avoir pris ces conneries de somnifères aussi. Combien d'heures je vais pleinement sentir passer comme ça ? Elles seront nombreuses, très nombreuses. Trop longues. Et j'en crèverai même pas. Je crois que j'ai trop mal pour en avoir quelque chose à foutre je pleurerais plus tard. Il a fallut qu'en plus de me bousiller ici j'aille me bousiller dans le monde réel. Je vais être malade pendant combien de temps avec ses conneries ? Je ne sais pas. Je ne veux pas savoir. Ce soir, j'ai juste trop mal. Ce type m'a eut, c'est sûr. Peut-être qu'il s'est eut lui-même, mais je m'en fout. Il ne m'intéresse pas. Ce monde tout entier ne m'intéresse plus. Je veux juste qu'il s'arrête. Je veux juste que tout ça s'arrête. Que tout ça redevienne qu'une saloperie de cauchemar que je puisse continuer à vivre normalement. Je m'en fous de savoir qu'il y a un monde des rêves ou même qu'il y a des créatures dedans. Je vivait mieux avant. Et j'aimerais que ça redevienne comme avant. Oh putain, j'ai mal... j'ai mal...*

Si fort qu'il puisse appeler la mort en cet instant, Jacob ne meurt pas. Ses souffrances insupportables finissent d'achever sa conscience et son esprit se déconnecte même de ce monde onirique pour laisser son corps divaguer au loin, se laissant porter par le vent. Les somnifères, pas assez nombreux pour le tuer, dans un monde comme dans l'autre ne feront que prolonger son calvaire et le rendre d'autant plus faible. Il restera dans cet état léthargique de souffrance absolue pendant une vingtaine d'heure avant que son corps réel ne soit tiré de son sommeil par une colocataire inquiète et un médecin venu en urgence. Il passera deux jours à l'hôpital pour récupérer et gardera le souvenir plus que présent de cette bataille perdue d'avance. Dreamland lui apparaît alors d'un oeil nouveau, totalement indifférent à tout ce qu'il s'y passe, il le traverse seul, sans se soucier de rien. Et se promettant bien sûr que la prochaine fois qu'il voudra se tuer, il s'y prendra mieux.

*Pour ça, I'll dig up the bastard that made me...* songe-t-il sombrement.

Mais oublier ses compagnons a beau être une chose, il n'est jamais certains qu'eux vous oublie... et Ed reviendra bientôt rechercher son équipier pour une nouvelle aventure... sera-t-elle la dernière ?
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